Jeu 14/03/2024 Raquettes Sancy- Col de la Geneste

Animatrice : Mady
Nombre de participants : 17 animatrice comprise (8F, 9H)
Météo : Beau temps avec quelques nuages d’altitude, un peu de vent du sud ouest
Distance : 9,200 km
Dénivelé : 415 m
Enneigement : limite près du col, neige lourde sur les altitudes les plus basses, quantité et qualité s’améliorant sur la partie haute du parcours
Durée déplacement : 4 h 30
Classement Atlas : facile
Kilométrage auto : 130 km x 2 voitures de Clermont Fd , 94 km x 2 voitures du Crest soit au total 448 km + 1 voiture directement sur place

Préparation et rédaction : 2 h 00

ITINÉRAIRE : Col de la Geneste, remontée du ruisseau de Chareire, buron du Meynialou, remontée de la Trentaine, la Montagne Haute, sud du Puy Gros, ouest du Paillaret, col de la Geneste

A 1369 m, altitude du col, la neige est présente mais en moins grande quantité que je le pensais. Elle a déjà bien fondu sous le soleil de mars et le vent du sud ouest. Pour rejoindre le ruisseau de Chareire que nous allons remonter, il faut choisir les passages pour éviter les petits ruisseaux qui descendent du Paillaret.

Nous longeons le ravin où coule le ruisseau de Chareire jusqu’à trouver un passage permettant son franchissement sans déchausser. Encore un petit effort et nous voici sur le plateau à 1450 m d’altitude avec une vue superbe sur les monts du Cantal et une neige plus portante.

Le Cantal enneigé

Nous prenons la direction sud ouest, l’objectif étant le buron du Meynialou. 

Descente vers le Meynialou

Nous y faisons une petite pause boisson et barres. Le manque d’enneigement que je constate à son niveau et plus bas, me fait changer l’itinéraire. Au lieu de descendre encore plus pour rejoindre ensuite la Fontaine Salée, nous reprenons de l’altitude. Cette fois-ci c’est la Trentaine que nous allons suivre. Prenant sa source près du Puy Ferrand, elle change de nom après la confluence avec le ruisseau de Taraffet et devient la Tarentaine. Le ravin où elle coule est profond et bordé de barres rocheuses. Il faut le dépasser et atteindre les 1500 m pour pouvoir passer rive droite. Le ruisseau coule à découvert, un peu d’équilibre sur les cailloux et c’est fait !

Traversée de la Trentaine

Le ravin bien à l’abri du vent sud-ouest est un endroit parfait pour le pique nique. Il y fait tellement bon qu’il n’est même pas nécessaire de se couvrir pendant la pause.

Une fois restaurés, nous finissons de monter et arrivons sur la Montagne Haute d’où nous surplombons la vallée de la Fontaine Salée. La neige y est encore présente mais il aurait certainement été difficile d’y arriver à raquettes. Nous poursuivons en direction du Puy Gros, puis bifurquons plein Est. 

En direction du Puy Gros

Face à nous le Paillaret et les téléskis du Ferrand et du col de Couhay. Peu de skieurs sur les pistes et disparus les snowkiteurs aperçus dans la matinée. Malgré le soleil, la neige est encore assez dure et le cheminement facile et agréable. Sous la cabane des téléskis, nous traversons sans problème, sur un pont de neige, le ruisseau de Chareire. Lui aussi porte un autre nom en aval. C’est le Taraffet qui se jette dans la Trentaine ! De là nous repartons plein sud, ce qui rassure quelques participants qui s’inquiétaient à l’idée de devoir monter sur le Paillaret. Mais pour revenir vers notre point de départ nous restons sur son flanc ouest, un peu en dévers, jusqu’à la zone rocheuse.

Descente sous le Paillaret

Une dernière descente dans une neige bien molle, une fin de parcours avec neige et herbe et c’est l’arrivée au col après une belle journée de grand air.

Merci à Yves et Christian pour avoir fait les traces une grande partie de la journée, à Philippe qui n’est pas venu mais a fait passer des brioches aux pralines d’Aigueperse que nous avons dégustées avec plaisir à la fin de randonnée et à tous pour votre participation.

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Dim 10/03/2024 Raquettes Sancy – Croix Morand

Animateur : Fabien  
Nombre de participants
 : 9 (3F, 6H) animateur compris
Météo : Ensoleillé le matin, nuageux l’après-midi 
Distance :  13,6 km   
Dénivelé :  470 m
Durée : 6h00 pauses comprises                                                                                      
Terrain : Neige fraîche le matin. Humide et collante l’après-midi
Classement Atlas : Facile
Kilométrage auto : 100 km pour 1 voiture et une voiture sur place venant de Durtol  
Préparation et rédaction : 3h

ITINERAIRE : Col de la Croix Morand, Puy du Baladou, Puy de Baudet, Puy de l’Aiguiller, Puy Corde, Trioulérou, Puy de la Croix Morand.

Arrivés au Col de la Croix Morand, le parking est complétement enneigé. Une des 2 voitures tente une entrée mais sans succès. Cela permet à ses occupants de s’échauffer en la poussant pour la sortir ! Coup de chance, le chasse neige arrive et dégage le parking, nous permettant de garer les voitures convenablement.

Nous chaussons les raquettes et empruntons le GR30 direction le Col du Baladou. La neige est bien tombée pendant la nuit et nous faisons notre trace dans cette neige immaculée. Arrivés au pied du Baladou, c’est le moment de la 1ere ascension du jour.

Ascension du Puy de Baladou

Après avoir observé le joli paysage, nous redescendons ce Puy. Une partie du groupe redescend par la pente la plus douce. Une autre partie redescend plein ouest par une pente beaucoup plus prononcée permettant de revoir les techniques de descente en raquette.

Descente du Baladou plein ouest

Nous arrivons alors sur la forêt de Pessade. Tous ces arbres enneigés donnent une très belle ambiance hivernale.

Après avoir longé la forêt, direction le Puy de Baudet.

Le groupe en direction du Puy de Baudet

Le groupe en direction du Puy de Baudet

Nous montons par le flanc sud, en pente très douce. Au sommet, le contraste est saisissant avec son flanc nord beaucoup plus abrupt. Nous profitons du joli paysage sur la Chaîne des Puys

la Chaîne des Puys depuis le Puy de Baudet

et continuons notre chemin direction Puy de l’Aiguiller. Nous veillons à rester sur les courbes de niveau et évitons le chemin le plus direct qui nous ferait descendre pour remonter. Nous profitons d’un rocher pour nous protéger du vent et cassons la croute. Le fond de l’air restant frais et le soleil s’étant caché, ce casse-croute est rapidement avalé et nous repartons pour notre prochain objectif, le Puy Corde où nous voyons le lac du Guéry sans la moindre couche de glace. Cette année encore, la pêche au trou semble mal engagée.

Après avoir gravi le Trioulérou, nous nous approchons du dernier objectif de la journée : le Puy de la Croix Morand, terrain de jeu des snowkite qui sont bien présents ce jour. Au sommet, nous apprécions une dernière fois tous ces paysages qui nous ont accompagnés tout au long de la journée. Notre redescente sud-ouest nous amène directement à l’auberge de la Croix Morand, très fréquentée ce jour, où nous prenons le pot de fin de balade.

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Sam. 09/03/2024. Marche sportive Chaîne des Puys – Volvic

Entraînement pour le Raid du dimanche 07 avril 2024
Animateur : Michel J.
Terrain : souple et humide
Météo : température douce avec une couverture nuageuse. Quelques gouttes au 20ème kilomètre. Vent sensible de Sud tournant au Nord en cours de matinée.
Temps de préparation et de rédaction : 2 h 00
Mise à disposition de matériel : 1 paire de bâtons de 1,15 m.
Déplacement routier : 2 voitures, au départ de Clermont (3 personnes) avec un kilométrage moyen de 35 (aller et retour) et 3 voitures sur place avec un kilométrage moyen de 20 soit un total de 130 km

Bravo à Véro, Sandrine, Armand, Christian, Laurent, Pascal….

Nombre de participants : 7 animateur compris (2F, 5H)
Distance : 24,69 km ; moyenne 6,7 km/h, dénivelée 574 m (montre Garmin Félix 6 Pro Solar).
Durée : 3 h 40 (de marche) et 3 h 50 (déplacement, pauses comprises). Échauffement et étirements non comptabilisés.
(photo 1)

Itinéraire : départ parking des eaux de Volvic, les Cheyres-de-Bruvaleix, Les Goulots, Bois de Latia, Est du Puy de Paugnat, Nord du Puy de la Baneyre, Est des villages de Grelière et Lambertèche, Nord du Puy de Verrières, Sud du Suc de Beaunit, domaine de Veygoux, Sud de Charbonnières-les-Varennes, Croix de Saint-Priest, GR 441, Est du sommet du Puy de la Bannière, Vierge de Notre Dame de la Garde, les Cheyres-de-Bruvaleix, parking.

Cette sortie s’est faite sous un ciel clément. Une nouvelle fois les prévisions météorologiques étaient plus pessimistes. Groupe homogène qui a permis d’aller à bonne allure sans forcer outre mesure l’organisme dans un but de préparation à la distance de 45 kilomètres prévue le 07 avril 2024. Bon état d’esprit et groupe motivé. Prochain rendez-vous le samedi 30 mars sur une distance de 30 km.



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Jeu. 07/03/2024. Environnement. Nettoyage des bords de l’Allier

Animateur Michel J
Nombre de participants : 19 animateur compris (6F, 13H)
Météo : ciel bleu, température douce
Durée : 5h 00 (déplacement routier compris)
Kilométrage auto : 2 voitures de Clermont Fd (55 km) et 1 voiture du Crest ( 55 km), 1 voiture de Riom (50 km), 1 voiture de Sayat (55 km) et 2 voitures sur place soit 300 km.
Matériel apporté par les participants mis à disposition : deux débroussailleuses à main, une tronçonneuse et des crocs, râteaux piochons etc…
Préparation et rédaction : 3h00

Ces rendez-vous deviennent des moments de retrouvailles appréciés des habitués malgré le travail intense fourni dans une ambiance bon enfant et à la fois très sérieuse. Nous sommes présents depuis 2018 (voir les précédents compte-rendus) dans ce projet à l’initiative d’Atlas en accord avec la mairie de Joze. Malgré les sceptiques de la première heure, nous sommes en mesure après plusieurs années de montrer qu’il est possible de lutter contre le déploiement de la renouée du Japon, une plante invasive au fort développement.
Tous les participants habituels et les nouveaux arrivés sont unanimes à constater que les bords de l’Allier en amont et aval du pont sont devenus un agréable lieu de promenade où l’herbe et les différentes plantes comme l’ail des ours, la carotte sauvage, le bois joli ont peu à peu retrouvé leur place dans ce biotope. Dans cette tâche, 2 ouvriers de la commune nous ont prêté main-forte nous mettant à disposition une troisième débroussailleuse à main.
Beaucoup plus facile que l’an passé, nous avons encore gagné du terrain et la progression vers les petites zones humides, objectif de la saison, situées en arrière plan de la rivière sont maintenant visibles. En quelques heures et avec l’aide du matériel de Luc et de Georges l’espace ouvert a été conséquent. L’importance de notre groupe a un impact réel sur l’évolution du chantier et je pense que sans notre intervention, il n’aurait pu être mené seulement par deux ou trois salariés de la commune. Cette implication pour la collectivité valorise l’image du monde associatif. Chacun peut être fier du résultat obtenu sans aucune contrepartie demandée.
Quelques promeneurs de passage, habitants de Joze ont apprécié et sont surpris d’apprendre que nous venons de la métropole bénévolement pour faire ce job.

Merci à Régine, Marie-Hélène, Marie, Mady, Corinne, Isabelle, Frédéric, Daniel, Gérard, Yves, Luc, Denis, Vincent, Serge, Laurent, Pascal, Pierre, Patrick

Au moment du goûter, moment de détente très convivial, organisé par Mady, nous avons eu la visite sympathique de Daniel Peynon, Maire de la commune et d’Alain Boucheyras, délégué aux travaux. Cette réalisation est suivi en mairie par Alain Mouton, 1er adjoint qui a apporté tout son dynamisme dans ce dossier et le résultat fait beaucoup d’envieux dans les communes du Val d’Allier de part et d’autre de la rivière.

Nous interviendrons une nouvelle fois avant l’été pour asphyxier le début de la repousse.

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Dim 03/03/2024 Raquettes Sancy – Au dessus du Guéry

Animateur : Thierry
Nombre de participants : 7 animateur compris (1F-6H)
Météo : Froid, vent et brouillard
Distance : 12 km  
Dénivelée : 650 m  
Durée : 5 heures pauses comprises
Classement Atlas : facile
Kilométrage auto 88 km pour 2 voitures soit: 176 km
Préparation et rédaction : 1H00
 
Itinéraire : parking Guéry, col de l’Ouire, W puy Corde, ferme de la Clef du lac, ruisseau de la Croix Morand, sommet puy de Corde, sommet puy de l’Aiguiller, retour par GR30.

Initialement partis pour une rando difficile dans le secteur de Cotteuge-Courgoul, notre activité dominicale s’est transformée en randonnée raquettes. En effet, la neige tombée en abondance entre samedi et dimanche à 800-900 m ne nous aurait pas facilité la tâche. Je la reproposerai au mois de mai… Avec l’accord du groupe, nous mettons le cap sur le Guéry pour une randonnée raquette classique dans le secteur de l’Ouïre – l’Aiguiller. A l’arrivée, le froid et le brouillard nous accueillent. Nous gagnons le col de l’Ouïre par l’ancien chemin. En ce qui concerne le point de vue sur Tuillière et Sanadoire, seul le panneau indicateur est visible.

Arrivés au-dessus du col, je propose au groupe de découvrir le val Blanc, petit vallon qui remonte à l’ouest du puy de la Tache jusque sous le puy Barbier. Nous quittons donc le tracé du GR 30 pour partir plein sud vers le canyon du ruisseau de la Croix Morand. La boussole est indispensable pour cette navigation sans visibilité : je me recale régulièrement sur l’azimut sud .

Nous passons sur le flanc ouest du puy Corde sans pouvoir apercevoir son sommet. La neige au sol est abondante mais elle ne recouvre pas complètement les zones de bruyère. Le terrain en légère descente et les portes ouvertes des estives nous assurent une progression fluide et régulière. Nous suivons peu après le chemin d’exploitation qui mène à la ferme de la Clef du Lac tant que sa direction correspond à mon azimut sud.

Nous l’abandonnons après quelques centaines de mètres pour reprendre plein sud dans des zones marécageuses que recouvre bienheureusement la neige fraiche.

La pente est maintenant bien descendante jusqu’à la bordure boisée qui marque le haut du canyon. Nous avons laissé la ferme à une centaine de mètres, sur la droite. Nous commençons à descendre dans le bois en cassant la pente au maximum. La progression est assez facile… Après une cinquantaine de mètres, je décide d’aller explorer le passage du ruisseau avec Fabien. La descente continue sur une pente plus soutenue. Arrivés à quelques dizaines au-dessus du fond de ravin, le bruit sourd du torrent qu’on n’aperçoit pas encore me laisse penser qu’il est bien en eau et qu’il sera difficile à franchir… De plus la pente pour sortir du canyon et remonter vers la route du col de la Croix Morand semble sévère même si en amont des passages moins abruptes se proposent. Il y a quelques années nous avions descendu le canyon en été pour gagner le Val Blanc et nous avions trouvé des passages faciles pour remonter. Il faut donc abandonner l’idée du Val Blanc et nous rejoignons le groupe qui nous attend plus haut. L’idée est maintenant de rejoindre le puy de l’Aiguiller et de continuer vers le puy de la Croix-Morand. Pour remonter vers le puy Corde, plein nord, nous rejoignons le chemin d’exploitation qui part de la ferme. Quelques centaines de mètres plus haut, nous devinons les traces que nous avions faites à la descente : le vent souffle et les a presque effacées. Nous longeons l’est du puy Létaud sans le voir. Peu après nous quittons le chemin pour prendre au NE le sommet du puy de Corde à 1484 m. La montée est soutenue et le fort vent de NW ne nous facilite pas la progression.

Nous ne nous attardons pas au sommet 😊 et nous redescendons NE… En bas du puy, nous entamons aussitôt la montée à l’Aiguiller. La pente est relativement douce mais cela fait près de 4 heures que nous marchons… Le sommet atteint je repique vers la rupture de pente qui surplombe la forêt du Train pour retrouver le GR30. Les premiers arbres apparaissent. Il faut descendre un peu pour trouver refuge dans le bois qui commence.

La pause repas est rapide (moins de 10 minutes). Juste avant le repas, un membre du groupe m’apprend qu’il ne se sent pas très bien surtout dans les montées. Il reste un peu de chemin jusqu’à la Croix Morand et au retour il faudra remonter sur le plateau de l’Aiguiller… Je décide donc d’écourter la rando et de prendre le chemin du retour. Nous nous calons sur le GR 30 jusqu’au col puis au parking.  Belle rando dans des conditions hivernales comme on les aime. « Merci à Laurent et Pascal pour leurs photos »

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Jeu 29/02/2024 Rando Au Pays des Couzes – Champeix

Animateur : Yves
Nombre de participants : 21 animateur compris (12 F, 9 H)
Météo : fraicheur au départ suivie de douceur, ciel bleu
Distance : 25 km
Dénivelé : 800 m
Durée : 8 H
Classement Atlas : facile
Kilométrage auto : 54 pour 3 véhicules et 32 pour 2 autres  soit : 226 km
Préparation et rédaction : 2 H 30
 
ITINERAIRE : Plauzat, la Gravière, PC601, Sauciat, PC555, Champeix, la Rougère, PC649, Puy de Lavelle, Lavelle, les Clos, Pleignat, La Croix du Bonhomme, Champeix, la Quaye, PC592, la Cave Martin, Plauzat.  


Belle fraicheur ce matin au départ de Plauzat, village vigneron que nous traversons souvent mais que nous visitons rarement. Direction donc le centre bourg, ancien village fortifié avec : son château du 17°S construit sur des fortifications du 14°S où a pris place la mairie, son église St Pierre attenante, et la magnifique fontaine aux Lions du 12°S, œuvre de Louis Gournier sculpteur Clermontois qui agrémente ce lieu. Les trois bambins joufflus supportant la vasque supérieure semblent sourire en nous voyant.

Fontaine aux Lions

Cap sud-ouest, passage devant la fontaine St Jean, édifiée en 1874. Cette fontaine dans laquelle se prélassent de beaux poissons rouges, est dotée d’une colonne servant de répartiteur pour ses deux compagnes, Notre Dame et Sainte Austremoine.

A la Tronchère, les ruines et la cheminée nous rappellent qu’une briqueterie existait à cet endroit, et qui faisait l’écho à celle plus importante de Ludesse.
L’atmosphère se réchauffe, le ciel se dégage, et dans la descente sur le château de la Martre le Sancy nous apparait tout de blanc vêtu. 


A proximité du château, rencontre avec le GRP Autour d’Issoire que nous suivons jusqu’à Sauciat et là en plein champ une pierre debout : le Menhir de la Pierre Fichade, réalisé en arkose de 3,37 mètres de haut et d’un poids de 15 tonnes, érigé à l’âge de bronze entre 1500 à 1800 avant notre ère. Ce menhir à la signification rituelle ou religieuse se caractérise par sa forme, cheval ou hippocampe à vous de choisir !

Menhir de la Pierre Fichade

Notre parcours contourne la Chaux d’Aubany aux nombreux blocs rocheux accrochés sur la pente du vallon du ruisseau du Parc, traverse la Couze Chambon à la sortie ouest de Champeix et poursuit en direction du Puy de Lavelle.
Au Cheix de la Fie, contraste étonnant, entre un important champ de lavande et le Sancy enneigé en toile de fond.

Champ de lavande

La montée au Puy de Lavelle se fait en hors piste, car des engins passés par là pour empierrer un accès véhicules ont détruit les belles sentes préalablement existantes. Nous sommes presque en haut, mais l’endroit est trop attirant pour ne pas pique-niquer, ce que nous faisons. Une herbe sèche agréable, une vue presque à 360°, une température printanière, un ciel au bleu méditerranéen : l’idéal en somme.


Le Puy de Lavelle, petit volcan atypique qui s’étale sur 1,5 kilomètre, avec ses deux sommets, ses orgues qui dominent le village éponyme, est une zone d’intérêt écologique, faunistique et floristique.

Nous l’arpentons sur toute sa longueur avant de descendre dans le village. Là nous marquons un petit arrêt pour contempler la chapelle Notre-Dame de la Paix, construite en 1714, restaurée en 1850, de style néoclassique avec son clocher mur, sa cloche très ancienne de 1714 reconnue monument historique en 2018.

Chapelle Notre Dame de la Paix

A la sortie du village, nous reprenons plein nord, ce qui nous permet de découvrir la face est, la plus escarpée du Puy avec les orgues et les nombreux promontoires.
Déambulation entre les champs ensemencés, montée à la Croix du Bonhomme avant de dégringoler sur Champeix. Dans le village belle vue sur le Marchidial centre historique enveloppé par l’ombre de fin d’après midi.

Vue sur le Marchidial

Traversée de la Couze dans l’autre sens pour poursuivre, toujours face au nord, notre chemin en direction de Plauzat où arrivent les premiers nuages.

Une remontée sympathique entre les rochers nous permet de nous extraire de Champeix. Sur le plateau, paillats et vignes sont les stigmates d’un passé viticole important.

La journée qui aura été douce et agréable se termine sous le soleil. 

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Sam. 17/02/2024. Marche sportive Chaîne des Puys – Volvic


Animateur : Michel J.
Terrain : souple et humide
Météo : température douce avec une couverture nuageuse. Pas de pluie.
Temps de préparation et de rédaction : 2 h 00
Mise à disposition de matériel : 3 paires de bâtons de 1,15 m.
Déplacement routier : 2 voitures, en co-voiturage au départ de Clermont (2 personnes) avec un kilométrage moyen de 35 (aller et retour) et 5 voitures sur place avec un kilométrage moyen de 35 soit un total de 245 km.

Nombre de participants :11 animateur compris (3F, 9H)
Distance : 25,52 km ; moyenne 6,6 km/h, dénivelée 542 m (montre Garmin Félix 6 Pro Solar).
Durée : 3 h 51 (de marche) et 4 h 17 (déplacement et pauses compris). Échauffement et étirements non comptabilisés.

Itinéraire : départ parking des eaux de Volvic, les Cheyres-de-Bruvaleix, sente à l’Ouest de Notre Dame de la Garde, Est du sommet du Puy de la Bannière, GR 441 et quelques bouts de chemin pour éviter le goudron jusqu’au Sud du Suc de Beaunit, Nord du Puy de Verrières, Est des villages de Grelière et Lambertèche, Nord du Puy de la Baneyre, Nord et Est du Puy de Paugnat, Bois de Latia, Les Goulots, les Cheyres-de-Bruvaleix, parking.

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Dim 25/02/2024 Rando Chaîne des Puys – Volvic


Animateur : Sébastien
Nombre de participants : 11 animateur compris (6F, 5H)
Météo : Couvert avec quelques giboulées, arrivée sous la pluie, températures fraîches
Distance : 22 km   
Dénivelé :  800 m +
Durée :7 H 00 pauses comprises
Classement Atlas : facile
Kilométrage auto : 60 km
Préparation et rédaction : 1 H

ITINERAIRE
 : Volvic, remontée du vallon entre la Coussedière et Viallard, Facemeunier, Douhady, Vallée de Sans-Souci, Saint-Hippolyte, Enval, Tournoël, Volvic

Après avoir pris un peu de hauteur depuis le parc des sources de Volvic, nous arpentons un chemin en fond de vallon, inédit pour tous les participants. Celui-ci termine son tracé au travers d’une belle aspérité rocheuse nous permettant peu à peu de nous hisser au-dessus des frondaisons et de découvrir le paysage alentour. La suite de notre cheminement nous conduit à l’extrémité est des Combrailles où nous pouvons apercevoir au loin le village de Charbonnières-les-Varennes, semblant comme endormi au fond du val d’Ambène… Mais c’est dans la direction opposée que nous avons décidé de nous rendre aujourd’hui.
Nous prenons notre repas dans la forêt, avec une belle vue sur le château de Chazeron, situé sur le coteau opposé au nôtre. Petite descente hors piste à travers la forêt jusqu’au ruisseau de Romeuf, où nous arrivons à hauteur d’une passerelle de fortune constitué d’un simple poteau téléphonique. Je demande si quelques courageux se sentent de faire l’aller-retour mais aucun doigt ne se lève… Pas grave, notre itinéraire ne nous oblige pas à traverser et nous suivons donc ce cours d’eau dans un paysage très bucolique jusqu’à Rochepradière.
La dernière partie de notre parcours s’amorce alors, mais ce ne sera pas la plus reposante. Nous suivons en effet une succession de buttes et de petits vallons sur un terrain assez accidenté. La forêt est toutefois magnifique et tout le groupe poursuit sa progression dans la bonne humeur jusqu’au château de Tournoël, citadelle réputée inexpugnable et censée fermer l’accès à l’Auvergne par toute invasion en provenance du nord. Ce château imprenable ne l’était toutefois pas tant que cela et après un siège de plusieurs mois, les comtes d’Auvergne qui le défendaient se rendirent au roi de France en 1213. L’Auvergne fut alors annexée au domaine royal. Comme s’il se rappelait soudainement de cet événement, le ciel auvergnat commença alors à nous tomber sur la tête, d’abord doucement, puis de plus en plus durement et nous arrivâmes aux voitures bien trempés mais heureux de cette journée.

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Séjour 1. Du 23 au 25 février 2024 Raid hivernal pédestre Traversée du Sancy

Animateur : Michel D.
Nombre de participants : 3 animateur compris (1F, 2 H
Classement Atlas :   Prévu Difficile au départ et vu les conditions météo exceptionnelles et dantesques la difficulté à avancer dans 60 cm de neige sur les sommets, se diriger en plein brouillard, je la reclasse » Hors Catégorie »
Météo :  dantesque, tempétueuse, rafales de vent avec neige en grosse quantité, brouillard et jour blanc sur les sommets, température négative jour et nuit.
Kilométrage auto : 110km
Temps de préparation et rédaction : 8h
Les données kilométriques et altimétriques des journées sont le résultat de Open Runner.
       Jour 1 = 15 km  600D+  700D-    7 h15 temps avec mini pauses
           »    2 =   8 km  500D+  450D-    5 h          »
           »    3 = 15 km  600D+  600D-    8h40       »                  total =  38 km    1700D+  1750D-
Faune aperçu :  cause des conditions météo aucune,  »pas stupide les animaux ». Quelques traces dans la neige.

Mot de l’animateur : Les Dieux de la montagne étaient avec nous, ils ont eu connaissance que nous allions faire une hivernale sur trois jours, et ils ont mis le paquet. Malgré la difficulté nous nous sommes tous les trois régalés avec ces conditions extrêmes. Mes deux acolytes étaient costaux, dynamiques et sympathiques, cela a permis de passer de très bons moments.

JOUR 1
Dépose du véhicule au VVF de Super Besse après 1h de trajet, puis départ à10h en direction de la Plaine des Montons dans le brouillard. Sac à dos avec tout le ravitaillement des 3 jours et raquettes sur le sac car peu de neige. Au Roc de Fourme, descente sur la Vallée de Chaudefour où nous prenons la petite collation de midi. Ensuite PR jusqu’à Moneaux, dans le brouillard et avec la neige qui tombe. Nous progressons maintenant sur les pistes forestières du bois de Sarrevielle, les clôtures sont ouvertes, la couche de neige devient plus conséquente et nous mettons les raquettes. Nous sommes au plateau de Durbise 1500m d’altitude, la tempête est bien là, nous traversons le plateau et nous nous mettons à l’abri de la cabane du berger 2-3 min pour grignoter et boire. Là, au col, les conditions sont effroyables et grandioses, des rafales à nous jeter de droite à gauche dans 50 cm de neige, nous nous relayons pour faire la trace jusqu’à la Tête de Flon. Dans la tempête, je cherche le passage pour descendre dans la forêt de la station du Mont-Dore, magnifique paysage de neige et nous arrivons à 17h15 vers la ruine de l’hôtel Fiz Roy où nous montons notre bivouac dans le bois ; repas à 18h15, allongés à 19h au chaud dans le duvet.

JOUR 2
Après une très longue nuit, avec de grosses rafales de vent, pas de soleil pour nous réchauffer – 6° petit déjeuner rapide, démontage du bivouac et je décide d’aller à l’auberge de jeunesse qui est à 400 m boire une boisson chaude, nous réchauffer et surtout refaire l’organisation de notre sac à dos. Après avoir passé 30 mn au chaud nous rechaussons les raquettes, sac sur le dos et attaquons le Val de Courre à 10h33. Pendant notre petite pause au chaud, d’autres adeptes de rando hivernale ont fait la trace dans une neige de 30/40 cm, royal pour nous mais physique et épuisant quand même. Nous sommes arrivés au à 12 h. Pas de pause midi, pas d’abri, les conditions redoublent, la vue est quasiment nulle. Surprise, 60 cm de neige avec les raquettes, on en a jusqu’à mi-cuisse, 3 h30 de descente très épuisante pour arriver au buron de Merdençon à 15h 30 où une odeur de feu de bois nous annonce qu’il y a des occupants. Trois jeunes parisiennes depuis déjà 1 journée ; une bonne chaleur nous réconforte et nous pouvons faire notre repas de midi il est 15h45 et on à faim. Téméraires ces jeunes filles, elles sont parties chercher du bois, trois plein sacs de branches sèches de sapins, chapeau ! Plus tard 2 couples sont venus se joindre à nous et nous avons passé une agréable soirée calme et conviviale. 22 h dodo et 7 h debout.

Intérieur du buron de Merdançon

JOUR 3
Départ à 8h30 vu les conditions météo, et les nouvelles chutes de neige de la nuit, je propose au participants de ne pas faire le col de Couhay car je pense que là-haut l’enneigement doit être important et le brassage va être épuisant surtout en montée. Comme la journée n’est pas trop longue, d’un commun accord on essaye. Les jeunes parisiennes se joignent à nous car elles vont aussi à Super Besse. Comme prévu, une quantité de neige énorme à brasser avec la corniche du ravin du Ferrand à traverser, le risque est trop grand. Sous les rochers du Puy Gros, je décide de faire ½ tour. (Il faut savoir être humble face aux éléments de la montagne car c’est elle qui gagne bien des fois et à l’arrivée à Super Besse, nous apprenons la tragédie du Mont-Dore). Donc toujours dans un brouillard de jour blanc nous descendons la Montagne Haute, plein ouest dans le bois de la Morangie pour arriver au pont de la Trentaine ; il est 13h, petit grignotage pour nous trois, les parisiennes continuent jusqu’à Chareire et auto stop pour Super Besse. Nous, nous coupons par le bois de Domais sous le buron de Meynialoux. Nous empruntons les pistes de fond avec 30 cm de neige non damées jusqu’au col de la Geneste. Peu avant le col, suite à une casse de raquette, je décide de prendre la route pour arriver à Super Besse. Arrivée à 16h30, nous prenons la navette gratuite pour remonter au VVF où nous attend notre véhicule et départ pour Clermont.

Buron de Merdançon

Ressentis des deux participants :

           Janine : Magnifique petit séjour hivernal ! Je n’en attendais pas autant en m’inscrivant en tout début de semaine… Conditions difficiles (voire extrêmes) affrontées dans le calme et la bonne humeur. Un tout petit groupe bien homogène et solidaire. Un joli tracé et une grande maîtrise de l’orientation dans la tourmente permanente de la part notre animateur.

           Patrice : Un groupe homogène, de la neige fraiche tombée au bon moment, une température idéale, un programme très bien équilibré entre efforts physiques et moments de convivialité, concocté par un Michel au top de sa forme, ont fait de ces 3 jours en autonomie autour du Sancy une réussite parfaite. Malgré l’accumulation de neige, le vent, et parfois un brouillard très dense, nous avons profité de la beauté des lieux en toute sécurité avec une évaluation des risques et une prise de décision optimale de la part de Michel. Toujours avec le sourire, et dans le partage, dans une ambiance sereine, nous avons fait de ce séjour une parfaite réussite.

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Jeu 22/02/2024. Rando Chaîne des Puys – Volvic

Animateur : Michel J.
Nombre de participants animateur compris : 19 (8F, 11H)
Météo : temps couvert , vent de Sud-Ouest sensible, température douce, quelques gouttes en fin de pique-nique
Terrain : souple, quelques flaques d’eau
Distance : 25 km (montre gps)
Dénivelé : 715 m (montre gps)
Durée du déplacement : 6 h30 environ
Durée de la randonnée : 6h 00 environ
Classement Atlas : facile
Kilométrage auto : (70 x 1) + (37 x 2) + ( 35 x 4) = 284 km
Préparation et rédaction : 2h00

Itinéraire : parking des eaux de Volvic, les Cheyres-de-Bruvaleix, les Goulots, Bois de Latia, tour du Puy de Paugnat par le Nord, sommets de le Pradet, La Baneyre, contour du Puy de Verrières par le Nord, passage au Sud du Suc de Beaunit, Manoir du Veygoux, entrée de Charbonnières-les-Varennes, Croix de St-Priest, passage sous le sommet du Puy de la Bannière, Notre Dame de la Garde, parking.

En ce jeudi, L’itinéraire proposé ne présente aucune difficulté et utilise en partie le GR 441, « le Tour de la Chaîne des Puys ». En ce début des vacances scolaires pour notre zone, le groupe rassemble à la fois des adhérents encore en activité et retraités. Après la présentation habituelle du parcours avec les points forts et la difficulté de la journée, nous nous mettons en marche dans une ambiance joyeuse. Les chemins larges permettent des échanges sur de nombreux sujets. Le lieu dit les Goulots est vite atteint et nous pénétrons dans une forêt mixte composée au départ de noisetiers puis de quelques bouleaux et au fur à mesure que l’on progresse, de grands arbres nous entourent, la hêtraie est majestueuse. Le contour du Puy de Paugnat, bien connu des adeptes de la marche nordique et sportive d’Atlas est déjà derrière nous. La seule difficulté du jour se dessine, l’épaulement nous permet de progresser rapidement dans un sous bois à l’épaisse couche de feuilles.

La montée du Puy de Baneyre

On fait une pause au sommet insignifiant de le Pradet, et échangeons sur une question « pourquoi rien ne pousse dans ce bois ? ». Nous sommes maintenant au sommet de la randonnée le Puy de la Baneyre à 967m d’altitude et découvrons une petite zone fleurie de jonquilles.


La descente est bien amorcée, un vent de Sud-Ouest souffle et le bruit dans les arbres masque notre arrivée permettant aux adhérents, en tête de surprendre un renard camouflé dans un carré de houx. Un bon chemin permet de se regrouper, la voie ferrée passée nous laissons les hameaux de Grelière et Lambertèche sur notre gauche. Le ruisseau de drainage intermittent et sans nom sur la carte, coule avec abondance le long de notre cheminement. C’est l’heure du pique-nique que nous prenons à l’abri au nord du Puy de Verrières. Après quelques gouttes, nous quittons rapidement les couches de vêtements inutiles. Un moment d’échange sur l’ancienne zone humide de Beaunit qui draine une partie des eaux de l’Ambène. Rivière, longue de 30 kilomètres, qui prend sa source à la Roche de Sauterre, le point culminant des Combrailles sur la commune de Manzat à 977m d’altitude. Nous retrouvons cette rivière à proximité du manoir de Veygoux, un arrêt s’impose pour photographier les sculptures taillées dans la pierre volcanique de Thierry Courtadon représentant du linge qui sèche. Le domaine de la famille Desaix permet de retracer la brillante carrière d’un illustre auvergnat, le général Louis Charles Auguste Desaix et d’énumérer les nombreuses campagnes menées avec Bonaparte. En 1798, les deux hommes s’embarquent pour l’Egypte où Desaix gagne le surnom de « Sultan Juste ». Ensuite il portera secours avec une troupe de 7000 hommes à Bonaparte en mauvaise posture à la bataille de Marengo en Italie où il trouvera la mort à 31 ans.
Après être passé à l’entrée de Charbonnières-Les-Varennes, nous remontons jusqu’à la Croix de St-Priest. Le chemin offre une vue sur la Chaîne des Puys.

La Croix de Saint Priest

A proximité du dernier Puy de la journée, on peut constater que les sangliers continent à fouiller le terrain. Une dernière montée passant à deux pas du sommet du Puy de la Bannière puis c’est Notre Dame de la Garde et son paysage sur la Limagne et le retour vers notre point de départ. Le groupe est en forme et a apprécié cette randonnée menée à un bon rythme sur des chemins qui le permettaient. A bientôt.


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