Jeu 04/07/2024 Rando Cantal-Massiac

Animatrice : Mady
Nombre de participants : 14 animatrice comprise (10F, 4H)
Météo : ciel nuageux le matin, plus dégagé l’après-midi, température chaude voire lourde
Distance : 24,700 km
Dénivelé : 850 m
Durée déplacement : 7h45
Classement Atlas : Moyenne
Kilométrage auto : 320 km pour 2 voitures de Clermont Fd, 120 km pour 1 voiture du Crest soit  au total 440 km
Préparation et rédaction : 2 h 00

ITINÉRAIRE : Massiac, Le Fayet, Auzelaret, Aurouze, Croute, Bonnac, Croix d’Astri, Massiac.

Parcours où vallées et plateaux vont se succéder. Après avoir traversé l’Alagnon nous commençons à monter en direction de Le Fayet et les quelques sweat ou vestes conservés par certains sont rapidement enlevés. Personne dans le village et sur le plateau, un seul troupeau de vaches occupe l’espace.

A la sortie d’Auzelaret, l’arrêt à la source au bord du chemin qui descend sur Aurouze permet d’admirer en contrebas un beau jardin potager. Le château fort d’Aurouze se profile entre les arbres et nous retrouvons la vallée de l’Alagnon. Nouvelle traversée de la rivière avant de commencer la montée vers la grotte des cavaliers. Au fur et à mesure que l’on approche de la falaise de basalte qui l’abrite, le profil de la sente devient plus rude. Nous longeons plusieurs cavités d’importances différentes et arrivons enfin devant la plus grande.

Grotte des cavaliers

 De huit mètres de large et dix mètres de profondeur, cette grotte naturelle, a été formée par l’évacuation brutale d’une  poche de gaz contenue dans une coulée de lave ardente.  

Tout comme ses voisines, elle a été au Magdalénien occupée par des chasseurs cueilleurs nomades qui poursuivaient rennes, bouquetins, chamois, marmottes et qui se nourrissaient de graminées, de mousses, de lichens et de bouleaux nains à l’image des habitants de la Laponie et de la toundra sibérienne.

Passage entre les blocs de basalte

Un dernier passage étroit entre des blocs de basalte et un chemin plus confortable nous remonte sur le plateau. La pause pique-nique à Croute permet de découvrir un panneau explicatif et une des deux pierres sculptées dans les murs de maisons du village, qui représenteraient le visage de Garibaldi, œuvres attribuées à un mineur italien venu travailler dans la mine d’antimoine de Massiac.

Tête sculptée

Puis c’est la descente sur la vallée de l’Arcueil.

 Pour éviter de longer la route jusqu’à l’entrée de Bonnac, je privilégie le bord de la rivière. Il faut se frayer un passage dans les hautes herbes mais au moins nous sommes loin du goudron et un peu à l’ombre.

En longeant l’Arcueil

De l’eau fraîche récupérée au cimetière et sous le soleil nous atteignons la Croix d’Astri. De ce point haut nous descendons vers le ruisseau de Chandèze que nous suivons, à l’exception d’une échappée montante vers la D909, jusqu’à l’entrée de Bousselorgue. C’est la banlieue de Massiac ! Nous retrouvons l’Arcueil puis l’Alagnon et c’est l’arrivée aux voitures.

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Jeu 06/06/2024 Rando Chaîne des Puys – Chanat-la-Mouteyre

Animateurs : Pierre (en formation) et Mady
Nombre de participants : 13 animateurs compris (7 F, 6 H)
Météo : nuageux et pluie passagère le matin, couvert l’après-midi. Température de 13 à 19°.
Terrain : chemins localement boueux.
Distance : 23 km
Dénivelé : 725 m
Durée : 7h00 pauses comprises
Classement Atlas : Facile
Kilométrage auto : 32 km pour 1 véhicule de Clermont, 70 km pour 2 véhicules du Crest soit au total 172 km et 2 véhicules sur place
Préparation et rédaction : 6H00

Itinéraire : Chanat-la-Mouteyre, La Mouteyre, La Piala, Tunnel de Varoux, Le Fer-à-Cheval, PC 496, PC 680, Sarcenat, PC 818, 858, 910, Croix de Ternant, PC 961, 916, 904, 896, 880, bois du Girardet, PC 801, 786, Laty, Chanat-la-Mouteyre.

Cette randonnée était animée par Pierre dans le cadre de sa formation au BF d’animateur et avait Mady pour tuteur.

Le départ se fait à proximité de l’église de Chanat-la-Mouteyre sous de bonnes conditions météo qui se poursuivront tout au long de la journée malgré quelques précipitations légères et sporadiques.
Après avoir pris la direction du sud, nous contournons le centre médical de la Mouteyre pour nous diriger vers la Piala. L’itinéraire commence par une descente qui nous fera passer au dessus du tunnel de Varoux, tunnel ferroviaire de la ligne Clermont-Ferrand/Volvic.

Par un sentier en balcon, nous arrivons au ruisseau des Valettes que nous traversons à gué malgré un bon débit cette année. En suivant le ruisseau vers l’aval, nous nous arrêtons pour découvrir la Fontaine Salée ou Font-Salado. Cette résurgence au bord du ruisseau se présente en 3 « griffons » espacés d’une douzaine de mètres dont une avec une vasque aménagée. L’eau est pétillante et ferrugineuse, d’un débit de 5 l/mn et d’une température de 11,2° continuelle. Son existence est avérée depuis au moins 1876.

Font Salado

En continuant à suivre le ruisseau, nous empruntons un petit tunnel, mi-piétonnier, mi-canal, sous la ligne ferroviaire, sautons une nouvelle fois le ruisseau et arrivons au virage du Fer-à-cheval de la D775.

Tunnel du ruisseau des Valettes

Encore quelques mètres de descente et passages de ruisseau et nous entamons la montée.
La côte assez longue nous fait ressortir à proximité de la clinique du Grand-Pré. Arrivés à Sarcenat, il est midi et bien qu’il nous reste encore du dénivelé nous nous installons sous le tilleul du four banal pour la pause méridienne. Bien nous en a pris : une ondée ne nous empêche pas, bien abrités, de finir notre repas.

Avant d’attaquer la montée, nous nous attardons devant le château de Sarcenat, lieu de naissance du philosophe-paléontologue Pierre Teilhard de Chardin, et la fontaine du merle.

Fontaine du Merle

La montée se fera sans encombre jusqu’à la Croix de Ternant cernée de champs de genêts en fleurs, point culminant de la randonnée.

La croix de Ternant

Cette croix fut érigée en 1933 et sert d’antenne à des radios œcuméniques et locales.

Devant la plaque explicative de la Croix de Ternant

Nous repartons en cheminant entre les puys, les montées sont derrière nous, en direction du nord et contournant Les Egaules.

Le retour à Chanat-la-Mouteyre nous fera passer devant une sculpture de Thierry Courtadon intitulée : « Contempler ».

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Jeu 09/05/2024. Kayak de mer (Kmer) aux Fades-Besserve

Animateur : Michel J.
Nombre de participants : 4 animateur compris (3F, 1H)
Météo : soleil et ciel bleu avec quelques cirrus. Vent du Nord sensible. Température douce.
Classement : facile
Matériel mis à disposition par l’association :

– 4 kayaks de mer ; 2 Bélouga 1 de marque Plasmor dont l’un mis à disposition par l’animateur, 1 de marque Dag, modèle Miwok, 1 Fury de marque Kayman (bateau de l’encadrant).
– équipement complémentaire pour les kayaks (jupes d’étanchéité, éponges, 1 cordelette de 10 mètres)
– équipement pour les participants (gilets d’aide à la flottabilité, pagaies doubles)
–   Pour le transport des bateaux et containers : une remorque routière équipée de l’adaptation « kayak»

Organisation générale :
Transport: à l’aide d’un véhicule en covoiturage Michel J. (Renault kangoo) tractant la remorque.
Kilométrage général effectué par le véhicule : 110 km
Niveau d’eau : le plan d’eau était au maximum.

Conditions de navigation : très bonnes.

Kilométrage parcouru : 15,38 km et 02h57 de navigation à la moyenne de 5,2 km/h environ pour un déplacement horaire de 4h22

En ce mois de mai, trois journées étaient proposées, une seule a pu être réalisée par manque de motivation de la part des adhérents et peut-être aussi à cause d’une météo peu propice aux activités sur l’eau.
L’association peut mettre à disposition des bateaux de grande qualité, faciles à prendre en main et agréables à piloter. Sur les 5 kayaks, 3 sont équipés de gouvernail et 2 d’une dérive. Quatre bateaux sont très stables et permettent à des néophytes d’avoir rapidement de bonnes sensations après un apprentissage très court.
L’objectif de ces sorties à la journée est de permettre d’étoffer le groupe des pratiquants en accueillant des nouveaux ou nouvelles, comme Marie qui a pris beaucoup de plaisir à découvrir cette activité qui peut être pratiquée quel que soit l’âge et la condition physique.
Le ciel bleu et le soleil étant bien présent, nous sommes partis de la plage de la Chazotte et l’idée, compte tenu du niveau d’eau, était de remonter au maximum vers le Sud-Ouest en direction de la rivière Sioulet, évitant le vent sensible venant du Nord, Nord-Ouest.

Cela fait au moins une dizaine d’années que l’on n’a pas connu un niveau d’eau aussi important et l’on peut passer le long des berges entre les troncs des chênes baignant dans l’eau. Sauvages, les rives sont occupées par quelques pêcheurs qui ont eu toutes les peines pour trouver un emplacement au sec pour poser leurs tentes. Nous naviguons dans un silence reposant troublé par quelques cris de milans noirs ou de hérons appréciant peu d’être dérangés. La remontée se fait tranquillement et après quelques erreurs techniques sans conséquences notre nouvelle arrivante maîtrise et améliore son coup de pagaie.

Le plan d’eau se rétrécit petit à petit et la remontée du Sioulet peut se faire, malgré un courant qui augmente progressivement, jusqu’au pont de Miremont lieu que nous avons pu atteindre, il y a très longtemps au cours d’une sortie canoë. Mais c’est une première en kayak !
Un arrêt à la sortie du rétrécissement de la rivière pour la pause du pique-nique entourés par de magnifiques genêts en fleurs.
Mais la journée n’est pas finie, nous suivons la rive droite puis au niveau de l’ancienne colonie de vacances de la ville de Clermont, la rive gauche de la retenue de 384 hectares pour gagner le pont du Bouchet et la plage éponyme. Le vent du Nord est sensible et quelques rafales grossissent les vaguelettes du lac qui jouent avec les bateaux.
Le retour avec le vent dans le dos ou de trois-quart arrière permet de filer à belle allure. Débarquement directement sur le parking submergé par l’eau.
A bientôt pour de nouvelles aventures !

Préparation du matériel, rangement, nettoyage et compte rendu : 2 heures

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Jeu 02/05/2024 Rando La Chaîne des Puys – Col de la Ventouse

Animatrice : Mady
Nombre de participants : 6 animatrice comprise (4F, 2H)
Météo : bruine en début de matinée, puis ciel couvert sans pluie et s’éclaircissant en début d’après midi, averse en fin de randonnée, vent en rafales.
Distance : 21,400 km
Dénivelé : 450 m
Durée déplacement : 5 h 15’
Classement Atlas : facile
Kilométrage auto : 63 km pour 1 voiture de Clermont Fd, 30 km pour 1 voiture du Crest soit au total 93 km
Préparation et rédaction : 2 h 30

ITINÉRAIRE : Col de la Ventouse, Puy de Vichatel, sud de la maison du Parc, PC993, bois de la Madeleine, Récoleine, Nébouzat, Pélat, PC1043, PC980, Cheires Hautes, Col de la Ventouse.

Seulement cinq courageux ont répondu présents ce jeudi. Ils ont envie de prendre l’air, me disent-ils. C’est bien protégés contre les intempéries annoncées, que nous prenons le départ. Le vent souffle au col mais une fois dans les bois, on ne le sent plus. Toutefois la proposition de monter au sommet du Puy de Vichatel n’est pas retenue, trop de vent, visibilité nulle ! Un peu avant la Maison du Parc les conséquences des pluies des derniers jours sont visibles. Une zone identifiée comme humide sur la carte mais habituellement asséchée, est actuellement transformée en un véritable petit lac.

Chemin inondé

Et il faut passer sur le bord du chemin pour éviter les grosses flaques qui se sont formées.

Un nouveau lac !

Nous progressons dans une atmosphère très humide mais sans véritable pluie. La protection des arbres est efficace et il faut même enlever quelques couches à l’entrée du bois de la Madeleine. La faune pensant certainement que le temps n’est pas favorable à la promenade des humains, en profite pour sortir. Un gros lièvre détale devant nous, puis au pied du Pourcharet c’est un renard, peu craintif et un tantinet cabotin qui se laisse prendre en photo avant de s’élancer en direction des bois sur la pente du puy.

Depuis la table d’orientation située à côté de la chapelle de Récoleine, la lecture de paysage est impossible mais on devine à travers le brouillard les contreforts du massif du Sancy recouverts d’une fine pellicule blanche.

Après le pique nique pris à Nébouzat, pour la plupart à l’abri de l’avancée du toit de la Mairie pour se protéger du vent, nous remontons vers la Chapelle et la Croix de la Croze dont le socle comporte de nombreuses gravures de personnages humains et d’animaux.

La Croix de la Croze

Le retour vers notre point de départ s’amorce. Nous contournons le Pourcharet, passons devant les puys de Lassolas et de la Vache sous un ciel qui s’éclaircit un peu avec de timides tentatives du soleil pour se montrer. La température est agréable, nous quittons donc les vêtements nous protégeant de l’humidité. Mais la pluie a décidé d’avoir le dernier mot et finit la randonnée avec nous ! Qu’importe, l’ensemble de la journée a été agréable avec des paysages bien verts et des promesses de muguet à venir.

A bientôt sur de nouveaux chemins.

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Jeu 04/04/2024 Rando Sancy- Le Vernet Sainte Marguerite

Animatrice : Mady
Nombre de participants : 18 animatrice comprise (11F, 7H)
Météo : ciel nuageux le matin, dégagé l’après-midi, température douce toute la journée avec vent du sud ouest.
Distance : 22,500 km
Dénivelé : 525 m
Durée déplacement : 6 h 10’
Classement Atlas : facile
Kilométrage auto : 252 km pour 3 voitures de Clermont Fd, 54 km pour 1 voiture du Crest soit au total 306 km
Préparation et rédaction : 2 h 30

ITINÉRAIRE : Le Vernet Sainte Marguerite, Cluchat, sud de Lambre, Lenteuge, Saumoulin, la Garde, la Boueria, Moulin de Prades, la Serre de Fontmarcel, plateau de la Serre, le Vernet Sainte Marguerite.

Le Vernet Sainte Marguerite est connu pour sa source réputée miraculeuse pour soigner les problèmes digestifs et bien d’autres maladies. Mais notre parcours ne prévoit pas d’y passer. Garés à la sortie Est du village, nous nous dirigeons sous un ciel couvert vers Cluchat un des deux seuls hameaux que nous allons traverser au cours de cette randonnée. 

Au départ du Vernet

Pour le reste ce sera plateaux cultivés, vallons et vallées où coulent ruisseaux et rivière. Nous rencontrons et suivons d’abord le ruisseau du Vernet. Il coule au sud puis bifurque à l’est et prend alors le nom de ruisseau de Lambre.

Nous continuons sur le chemin qui le longe et profitons de beaux coins de campagne et de quelques curiosités. 

Une chèvre en mauvais état !

Arrivés à Lenteuge, nous remontons sur le plateau de Champille qui nous ouvre un bel horizon sur les sommets du massif du Sancy où restent quelques traces de neige.

Une légère descente, une remontée pour retrouver un plateau bien dégagé d’où nous apercevons derrière nous les monts du Sancy et devant nous la chaîne des Puys. Quels panoramas ! 

La Chaine des Puys

C’est d’ailleurs avec le Puy de Dôme face à nous que nous faisons la pause pique-nique.

Mini orgues

Nous repartons sur de larges chemins bordés de petites orgues mais avec quelques embûches, deux gros trous de plus de 30 cm de diamètre et de 50 cm de profondeur dont l’un en plein milieu du chemin. Danger en cas d’inattention !

Puis c’est la partie hors piste annoncée, qui va nous permettre de rejoindre la Monne qui coule en contrebas. Après une première partie de bois embroussaillée et avec de nombreux arbres couchés, la suite se fait plus facilement. Ce sera même l’occasion pour certains de trouver des morilles. Nous suivons la Monne jusqu’au moulin de Prades 

La Monne

puis remontons sur le plateau avec toujours, vue sur le Sancy avant de redescendre sur le Vernet où nous dégustons avant de repartir diverses et délicieuses gourmandises.

Merci aux pâtissières et à Jean Louis (absent physiquement mais présent par la pensée) pour ses pâtes de coings.

Pour cette randonnée entre 800 et 1000m d’altitude nous avons bénéficié d’une journée printanière, tant par la douceur de la température que par la végétation qui s’éveille, vert intense des prairies, fleurs parsemant les sous bois, arbustes qui commencent à fleurir. A ces altitudes, la végétation n’est pas aussi avancée que dans la plaine. Et puis une grande partie du parcours avec des vues superbes sur nos montagnes.

Le massif du Sancy

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Jeu 14/03/2024 Raquettes Sancy- Col de la Geneste

Animatrice : Mady
Nombre de participants : 17 animatrice comprise (8F, 9H)
Météo : Beau temps avec quelques nuages d’altitude, un peu de vent du sud ouest
Distance : 9,200 km
Dénivelé : 415 m
Enneigement : limite près du col, neige lourde sur les altitudes les plus basses, quantité et qualité s’améliorant sur la partie haute du parcours
Durée déplacement : 4 h 30
Classement Atlas : facile
Kilométrage auto : 130 km x 2 voitures de Clermont Fd , 94 km x 2 voitures du Crest soit au total 448 km + 1 voiture directement sur place

Préparation et rédaction : 2 h 00

ITINÉRAIRE : Col de la Geneste, remontée du ruisseau de Chareire, buron du Meynialou, remontée de la Trentaine, la Montagne Haute, sud du Puy Gros, ouest du Paillaret, col de la Geneste

A 1369 m, altitude du col, la neige est présente mais en moins grande quantité que je le pensais. Elle a déjà bien fondu sous le soleil de mars et le vent du sud ouest. Pour rejoindre le ruisseau de Chareire que nous allons remonter, il faut choisir les passages pour éviter les petits ruisseaux qui descendent du Paillaret.

Nous longeons le ravin où coule le ruisseau de Chareire jusqu’à trouver un passage permettant son franchissement sans déchausser. Encore un petit effort et nous voici sur le plateau à 1450 m d’altitude avec une vue superbe sur les monts du Cantal et une neige plus portante.

Le Cantal enneigé

Nous prenons la direction sud ouest, l’objectif étant le buron du Meynialou. 

Descente vers le Meynialou

Nous y faisons une petite pause boisson et barres. Le manque d’enneigement que je constate à son niveau et plus bas, me fait changer l’itinéraire. Au lieu de descendre encore plus pour rejoindre ensuite la Fontaine Salée, nous reprenons de l’altitude. Cette fois-ci c’est la Trentaine que nous allons suivre. Prenant sa source près du Puy Ferrand, elle change de nom après la confluence avec le ruisseau de Taraffet et devient la Tarentaine. Le ravin où elle coule est profond et bordé de barres rocheuses. Il faut le dépasser et atteindre les 1500 m pour pouvoir passer rive droite. Le ruisseau coule à découvert, un peu d’équilibre sur les cailloux et c’est fait !

Traversée de la Trentaine

Le ravin bien à l’abri du vent sud-ouest est un endroit parfait pour le pique nique. Il y fait tellement bon qu’il n’est même pas nécessaire de se couvrir pendant la pause.

Une fois restaurés, nous finissons de monter et arrivons sur la Montagne Haute d’où nous surplombons la vallée de la Fontaine Salée. La neige y est encore présente mais il aurait certainement été difficile d’y arriver à raquettes. Nous poursuivons en direction du Puy Gros, puis bifurquons plein Est. 

En direction du Puy Gros

Face à nous le Paillaret et les téléskis du Ferrand et du col de Couhay. Peu de skieurs sur les pistes et disparus les snowkiteurs aperçus dans la matinée. Malgré le soleil, la neige est encore assez dure et le cheminement facile et agréable. Sous la cabane des téléskis, nous traversons sans problème, sur un pont de neige, le ruisseau de Chareire. Lui aussi porte un autre nom en aval. C’est le Taraffet qui se jette dans la Trentaine ! De là nous repartons plein sud, ce qui rassure quelques participants qui s’inquiétaient à l’idée de devoir monter sur le Paillaret. Mais pour revenir vers notre point de départ nous restons sur son flanc ouest, un peu en dévers, jusqu’à la zone rocheuse.

Descente sous le Paillaret

Une dernière descente dans une neige bien molle, une fin de parcours avec neige et herbe et c’est l’arrivée au col après une belle journée de grand air.

Merci à Yves et Christian pour avoir fait les traces une grande partie de la journée, à Philippe qui n’est pas venu mais a fait passer des brioches aux pralines d’Aigueperse que nous avons dégustées avec plaisir à la fin de randonnée et à tous pour votre participation.

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Jeu 15/02/2024 Rando Les Combrailles- Blot-l’Église

Animatrice : Mady
Nombre de participants : 18 animatrice comprise (12F, 6H)
Météo : ciel couvert avec quelques éclaircies, température très douce
Distance : 23 km
Dénivelé : 730 m
Durée déplacement : 6 h 30
Classement Atlas : facile
Kilométrage auto : 88 km pour 3 voitures de Clermont Fd, 98 km pour 1 voiture du Crest soit au total 362 km
Préparation et rédaction : 3 h

ITINÉRAIRE : Blot-l’Église, les Grandes Besses, Villemorie, ruisseau des Cottariaux, la Croix Rouge, le Got, ruisseau de Nuat, la Croix, Blot-l’Église.

Pour cette journée nous retrouvons les paysages typiques des Combrailles, plateau ondulé parsemé d’une multitude d’étangs, de bosquets et de bocages, creusé par la vallée sinueuse de la Sioule et de ses affluents. C’est vers la Sioule que nous allons et qui nous servira de ligne d’arrêt.
Contournant par le Sud Est le château de Blot, nous apercevons dans les prés de nombreux chevaux noirs. Élevage, pension ? La question reste en suspens.

Dans la forêt les Grandes Besses, belle surprise pour les premières du groupe qui aperçoivent quelques mètres devant, 4 chevreuils , 2 petits et 2 grands, traverser le chemin.

Au loin le Puy de Dôme

Dans une partie dégagée le Puy de Dôme laisse dépasser son sommet et plus loin, à l’Est ce sont les hauteurs de la Montagne Bourbonnaise qui se profilent à l’horizon.
Les chemins sont nombreux, mais avant la Villemorie, il faut quand même longer le bord d’un champ puis traverser des pâtures, car celui devant être emprunté à l’origine est envahi de ronces et le 2ème un peu au-dessus choisi par défaut, est réquisitionné pour des cultures.
Quelques zig-zag dans un autre secteur boisé, la traversée d’une petite route (blanche sur la carte) et nous voici au ruisseau des Cottariaux, affluent de la Sioule, que nous suivons rive gauche. Nous avons fait environ 10 km depuis le départ lorsque nous nous arrêtons pour la pause pique-nique, dans un endroit boisé mais pas génial !

Pause pique nique

Si j’avais continué un peu la descente du ruisseau, nous aurions profité d’un coin beaucoup plus agréable, dégagé et herbeux.

Passage à gué

Plusieurs passages du ruisseau de rive gauche à rive droite, puis de rive droite à rive gauche, sans passerelle ou avec passerelle dont certaines un peu vermoulues, suscitent quelques hésitations et animent le parcours.

Est elle assez solide ?

Depuis le promontoire de la Croix Rouge, nous dominons la Sioule qui s’enroule autour de la presqu’île de St-Cyr que nous aussi contournons en partie une fois arrivés au niveau de la rivière. Nous retraversons le ruisseau des Cottariaux proche de sa destination finale, et continuons jusqu’au ruisseau du Nuat que nous remontons vers La Croix.

En allant vers La Croix

Beau pourcentage de pente qui s’adoucit en approchant du village.
A l’entrée de Blot-l’Église nous passons cette fois-ci devant le château et nous avons la réponse à notre questionnement du matin, un panneau annonçant l’élevage de Frisons d’Ambène.
Cette race de chevaux originaire de la région de Frise aux Pays Bas date de plus de 1000 ans avant J-C. Le frison a été une monture très appréciée de Jules César et au Moyen Age, il était tout particulièrement réservé aux nobles. D’abord cheval lourd il sera amené à s’affiner grâce à l’apport du sang Andalou qui lui apporte une encolure gracieuse et un trot aérien ce qui le rend très populaire pour les attelages.
Le cheval frison, figure emblématique de l’histoire hollandaise était le seul cheval habilité à conduire l’attelage de la reine Béatrix, lors de l’ouverture de la session annuelle du parlement.

C’est la fin de cette journée faite à bonne allure… Merci de votre présence et à bientôt.

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Jeu 01/02/2024 Rando Sud Est Chaîne des Puys-Nadaillat

Animatrice : Mady
Nombre de participants : 23 animatrice comprise (15F, 8H)
Météo : temps couvert et doux
Distance : 18 km
Dénivelé : 500 m
Durée déplacement : 5 h 30
Classement Atlas : facile
Kilométrage auto : 156 km pour 3 voitures de Clermont Fd, 72 km pour 3 voitures du Crest soit au total 228 km

Préparation et rédaction : 3 h

ITINÉRAIRE : Nadaillat, Tertre de Fontarbre, Rouillas Haut, carrefour des Treize Vents, PC 902, GR 4 et 441, PC 906, bord sud du lac de la Cassière, la Batrande, les Condamines, Nadaillat.

Quel que soit le point de covoiturage, tous les inscrits ont pu malgré quelques difficultés de circulation se rejoindre au point de départ de la randonnée. C’est un groupe important qui s’élance sur le chemin montant qui va nous amener sur le plateau. 

Départ de Nadaillat

A la 1ère ouverture dans les arbres, à hauteur d’un calvaire, la vue sur la vallée est là. Un peu plus loin et un peu plus haut, le paysage évolue, les arbres disparaissent laissant place à des landes et des près dont un troupeau de bovins profite grâce à la douceur hivernale. Un « courtas » ancien petit abri de berger en pierre, témoigne de l’ancienne activité pastorale du lieu. 

Courtas

En descendant sur Rouillas Haut, les Puys environnants Vichatel, Charmont, Combegrasse (rebaptisé la tortue en raison de sa forme par Corinne) se profilent à l’ouest, en contrebas, le lac d’Aydat bien gris sous le ciel nuageux, et au sud la vallée de la Veyre et les contreforts du Sancy. 

La vallée et les contreforts du massif du Sancy

A l’arrivée à Rouillas Haut, plutôt que de prendre directement le chemin montant nous traversons le village à la recherche des plaques de lave émaillées sur lesquelles des fables de La Fontaine connues ou non, sont inscrites. Cette ronde des fables imaginée par un habitant du village faisait suite à une première création de plaques de rues elles aussi en lave émaillée.

Plaques de rues

La chapelle située en haut du village est notre dernier arrêt.

Fable Le laboureur et ses enfants

Nous repartons sur les chemins, empruntant en partie le GR30 pour arriver au carrefour des Treize Vents. Tout de suite après nous retrouvons la forêt jusqu’à une nouvelle jonction avec cette fois-ci les GR 4 et 441. Un peu avant, Vincent attire mon attention sur quelques pierres levées dans un pré. Des menhirs ? Non répertoriés sur la carte, c’est peut-être l’œuvre d’un amateur de préhistoire !

Nous attendons d’arriver au bord du lac de la Cassière pour le pique nique pris à l’abri de la forêt pour certains, adossés à un rocher près de l’eau pour d’autres.

Après un tsunami de gourmandises et un bon café, nous repartons bien lestés ! Le retour est amorcé.

En quittant le lac ….

Quelques pentes courtes mais raides, surplombent le lac côté Est, pour arriver aux Condamines. Rencontre avec des chasseurs et leurs chiens en cours de battue mais pas de coups de feu entendus.

Nous terminons tranquillement jusqu’à Nadaillat où une nouvelle dégustation de gâteaux nous attend avant de se séparer.

Merci à toutes et tous et à bientôt

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Jeu 18/01/2024 – Livradois-Egliseneuve-près-Billom

Animatrice : Mady
Nombre de participants : 13 animatrice comprise (7F, 6H)
Météo : temps couvert et doux le matin, se rafraîchissant en début d’après- midi et petite pluie fine en fin de parcours.
Distance : 18,500 km
Dénivelé : 620 m
Durée déplacement : 6 h
Classement Atlas : facile
Kilométrage auto : 144 km pour 2 voitures de Clermont Fd, 110 km pour 2 voitures du Crest soit au total 254 km
Préparation et rédaction : 3 h

ITINÉRAIRE : Le Champ (Monument) sur la D997, Nord Est de Train, ruisseau du Pic, étang du Pic, PC 569, le Moulin Blanc, les Maisons Basses, Arlanges, Le Pereyret, Maisonneuve, Signor, PC 529, La Vialle, la Pillayre, traversée du Madet, les Barnoux, D997.

Nous partons ce matin du monument dédié au bord de la D997 sous Eglisneuve-près-Billom, à Jean Baptiste Salis, avionneur et aviateur. Les recherches sur Internet m’apprennent que J B Salis, né à Montmorin, pilote militaire au cours de la Première Guerre mondiale, puis instructeur et pilote d’essai et enfin collectionneur, a créé l’aérodrome de la Ferté-Alais où se tient chaque année un grand meeting aérien.

Vue d’Egliseneuve au départ

C’est un petit groupe qui se retrouve aujourd’hui, la météo annoncée pluvieuse pour toute la journée ayant certainement effarouché plus d’un des habitués du jeudi. Et pourtant c’est sous un ciel couvert mais sans pluie que se déroulera une grande partie de la randonnée. Dès le départ le ton est donné, ce sera descentes et montées successives quelquefois sur des chemins assez boueux. D’un point haut nous apercevons la silhouette du château de Mauzun qui se détache sur le ciel.

Chateau de Mauzun

Un peu plus loin dans un creux, c’est l’étang du Pic qui se cache dans un bosquet.

Chemin dans les genêts

Une belle remontée dans les genêts entre le petit Mauzun et Clerjat avant de redescendre sur le Moulin Blanc où l’accès au chemin qui doit nous amener près des Maisons Basses ne m’apparaît pas immédiatement. Au loin, le château de Montmorin se profile.

Nous ignorons le point haut de Méraille qui n’est pas prévu dans le parcours pour aller en direction de Arlanges. Dans le village, un départ de chemin lui aussi bien discret et nous voici en direction de Le Pereyret. C’est l’heure du pique nique et un bâtiment ouvert en plein champ sera notre salle de restaurant du jour. Ce n’est qu’après Maisonneuve que nous changeons de direction pour revenir au Nord vers notre point de départ. Sur Signor, les chemins présents sur la carte, n’existent plus et il faut quelques traversées de pâtures et passages de barbelés avant d’en retrouver. Au pied du château de Montmorin le ciel est de plus en plus bas et le brumisateur se met en route.

En allant vers Montmorin

A Pillayre nous abordons les derniers kilomètres. Il ne reste plus qu’à descendre vers le Madet, le traverser pour ensuite remonter vers les Barnoux. Vite dit mais moins vite fait ! Après quelques mètres de descente, le chemin qui devrait nous conduire vers le Madet est transformé en ruisseau. Une sente en courbe de niveau paraît être une alternative possible. Mais il faut ensuite descendre droit dans la pente pour rejoindre le Madet.

Vers le Madet

Il suffit maintenant de suivre une sente pour arriver là où nous devons traverser la rivière. Mais là pas de passerelle ni de pont de fortune ! Il reste seulement 2 kilomètres pour arriver aux voitures, on peut supporter de mouiller les chaussures même si certains rechignent un peu. Après plusieurs hésitations sur l’endroit à choisir pour le bain de pieds, on se décide enfin et à tour de rôle franchissons les 2 ou 3 mètres qui nous séparent de la rive opposée.

Traversée du Madet

Fin de l’aventure, c’est par de larges chemins que nous remontons jusqu’aux voitures. Une averse de pluie et de neige mêlée et des pieds bien mouillés nous obligent à nous séparer rapidement.

Merci à tous pour avoir gardé le sourire, malgré les péripéties de cette fin de rando !

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Dim 14/01/2024 – Rando raquette – Ouest du massif du Sancy

Animateur Michel J.
Nombre de participants : 17 animateur compris (10F, 7H)
Météo : couvert toute la journée avec des nuages sombres venant du Sud dans l’après-midi
Enneigement : médiocre sur les parties dégagées une dizaine de centimètres en sous bois et sur les parties non exposées au rayonnement.
Distance : 12,00 km (montre garmin)
Dénivelé : 495 m (montre garmin)
Durée : 5 h 15 (pause du midi non comprise )
Classement Atlas : facile
Kilométrage auto : 4 voitures de Clermont Fd (120 km) soit 480 km en co-voiturage.
Matériel mis à disposition : 2 paires de raquettes, 1 paire de bâtons
Préparation et rédaction : 3 h 00

Observations : de nombreuses traces, chevreuils, lièvres. Quelques gîtes de chevreuil « régalis ».Vu par certains participants un lièvre, un chevreuil et deux chamois.

ITINÉRAIRE : parking de l’ancienne station de la Tour Chambourguet, Puy du même nom, Bois de la Tour, Montagne de Bozat, Montagne de Chambourguet.

A notre arrivée à la Stèle, grosse déception, peu de neige et d’un commun accord, nous allons jusqu’à l’ancienne station du Chambourguet. La baraque qui servait de bar est toujours debout, un peu de nostalgie pour certains qui appréciaient à ski de faire une pause pour prendre une boisson chaude. La neige présente nous permet de chausser les raquettes dès le départ et nous zigzaguons à travers bois, cherchant les endroits les mieux enneigés pour atteindre le sommet du Puy du Chambourguet à 1373m d’altitude.

En montant vers le Chambourguet

J’oriente le groupe vers l’Est souhaitant descendre à travers les quelques rochers du versant, histoire de pimenter un peu la sortie. Ensuite nous suivons la lisière du bois jouant avec les mouvements du terrain jusqu’à la pointe du bois de la Tour, lieu où naît le ruisseau du Pont de Vendeix. Passé le ruisseau, nous remontons dans la pessière et trouvons un chemin forestier plus ou moins orienté vers l’Ouest que nous prenons.

Vers l’extrémité de la Montagne de Bozat

Le but annoncé aux participants est de gagner une clairière située à l’extrémité de la Montagne de Bozat. La progression est facile faite de quelques descentes et montées, de traversées d’écoulements d’eau puis d’un espace dégagé où, seuls les animaux laissent des traces de leurs passages. En pleine lumière sous un ciel couvert par une épaisse couche nuageuse, nous prenons le temps de pique-niquer tout en échangeant sur la méthode pour reconnaître un pin à crochets (merci Luc).
Après cette pause, j’explique une partie de l’itinéraire de l’après-midi.
Nous allons contourner par le Nord la Montagne de Bozat en profitant au maximum des accumulations de neige. Les genêts perturbent la progression mais les relais appuyés de quelques participants permettent d’établir une trace confortable pour les suivants. Bientôt, les pentes se font plus raides, nous devons perdre de l’altitude pour éviter la difficulté. Sous la barre rocheuse, un passage se dessine pour regagner le plateau. J’invite Pierre V. à faire la trace et à nous trouver la porte de sortie.

La sortie des barres rocheuses

Un joli passage qui sera le must de la difficulté de la journée que tout le monde franchit avec élégance ! Deux chamois nous surprennent lorsque nous débouchons, puis descendent la pente pour se cacher dans le sous bois. La traversée de l’espace dégagé qui nous conduit au pied du Puy de Cliergue ne pose aucun problème naviguant de plaque de neige en plaque de neige. Le vent faible orienté au Sud ramène de l’humidité dans l’air, de gros nuages noirs s’amoncellent à l’horizon ce qui ne découragent pas les quelques skieurs sur les pistes de liaisons entre le Capucin, Chastreix et la Stèle.
La montée au Puy de Cliergue proposée est remise à plus tard, nous virons plein Ouest et sommes accompagnés un court moment par les aboiements de chiens de traîneaux. Une des branches du ruisseau de Jarrige atteinte, nous éprouvons la solidité des ponts de neige, histoire de casser la monotonie du retour et de faire quelques photos.

Une des branches du ruisseau de Jarrige

Nous avons pu conserver jusqu’aux voitures les raquettes aux pieds, ce sera l’exploit de la journée. Un réconfort fait de douceurs nous attend dans les coffres des voitures. Merci notamment à Christelle et Pierre, pour la superbe brioche aux pralines du boulanger de Loubeyrat et à Marie pour le délicieux panettone. Les calories perdues sont ainsi vites rattrapées. A bientôt pour de nouvelles aventures !

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