Dim 17/03/2024. Vélo Rando. Est Chaîne, Limagne

Préparation aux séjours 6, 16 et 20

Météo : couvert, quelques gouttes dans la matinée, température douce.
Terrain : principalement sur petites routes, avec quelques passages sur chemins d’exploitation.
Animateur :Michel J.
Distance du parcours : 59 km 690 ; Dénivelé positif : 498 m (montre GPS)
Durée de la sortie: 4 h 50 (avec les pauses)
Durée de roulage : 3 h 43 ; 16,00 km/h de moyenne.
Nombre de participants : animateur compris   12 (3F, 9H) 
Temps de préparation (matériel et rédaction) : 2 h 30

Annick, Vincent, Armand, Patrick, Janine, Alain, Laurent, Michel, Mady, Christian, Santiago, Pascal.

Les grandes lignes de l’itinéraire : départ à 09h30 de la rue des Fossés sous le Séminaire, piste cyclable Croix Neyrat, Blanzat, bassin de rétention du Bedat, Sayat, Malauzat, Volvic, Chatel-Guyon, St-Bonnet-Près-Riom, Pessat-Villeneuve, Targnat, St-Beauzire, Gerzat, stade Montpied, Musée.
Journée de reprise pour préparer les voyages à vélo personnels et associatifs de l’année 2024. Les adeptes du vélorando étaient heureux de se retrouver. Partis sur un itinéraire de 50 kilomètres, nous avons allongé un peu la distance, les bonnes sensations étaient au rendez-vous. Groupe en forme. Nous avons accueilli Vincent qui faisait sa première sortie avec les habitués et qui s’est adapté au rythme sans problème.

Les vélos peu chargés ont permis de rouler à une allure régulière. Ambiance agréable. Merci à Pascal pour les photos et Patrick pour l’aide à la sortie de Chatel-Guyon pour trouver la petite route qui va bien…

Matériel mis à disposition : néant


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Sam. 09/03/2024. Marche sportive Chaîne des Puys – Volvic

Entraînement pour le Raid du dimanche 07 avril 2024
Animateur : Michel J.
Terrain : souple et humide
Météo : température douce avec une couverture nuageuse. Quelques gouttes au 20ème kilomètre. Vent sensible de Sud tournant au Nord en cours de matinée.
Temps de préparation et de rédaction : 2 h 00
Mise à disposition de matériel : 1 paire de bâtons de 1,15 m.
Déplacement routier : 2 voitures, au départ de Clermont (3 personnes) avec un kilométrage moyen de 35 (aller et retour) et 3 voitures sur place avec un kilométrage moyen de 20 soit un total de 130 km

Bravo à Véro, Sandrine, Armand, Christian, Laurent, Pascal….

Nombre de participants : 7 animateur compris (2F, 5H)
Distance : 24,69 km ; moyenne 6,7 km/h, dénivelée 574 m (montre Garmin Félix 6 Pro Solar).
Durée : 3 h 40 (de marche) et 3 h 50 (déplacement, pauses comprises). Échauffement et étirements non comptabilisés.
(photo 1)

Itinéraire : départ parking des eaux de Volvic, les Cheyres-de-Bruvaleix, Les Goulots, Bois de Latia, Est du Puy de Paugnat, Nord du Puy de la Baneyre, Est des villages de Grelière et Lambertèche, Nord du Puy de Verrières, Sud du Suc de Beaunit, domaine de Veygoux, Sud de Charbonnières-les-Varennes, Croix de Saint-Priest, GR 441, Est du sommet du Puy de la Bannière, Vierge de Notre Dame de la Garde, les Cheyres-de-Bruvaleix, parking.

Cette sortie s’est faite sous un ciel clément. Une nouvelle fois les prévisions météorologiques étaient plus pessimistes. Groupe homogène qui a permis d’aller à bonne allure sans forcer outre mesure l’organisme dans un but de préparation à la distance de 45 kilomètres prévue le 07 avril 2024. Bon état d’esprit et groupe motivé. Prochain rendez-vous le samedi 30 mars sur une distance de 30 km.



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Jeu. 07/03/2024. Environnement. Nettoyage des bords de l’Allier

Animateur Michel J
Nombre de participants : 19 animateur compris (6F, 13H)
Météo : ciel bleu, température douce
Durée : 5h 00 (déplacement routier compris)
Kilométrage auto : 2 voitures de Clermont Fd (55 km) et 1 voiture du Crest ( 55 km), 1 voiture de Riom (50 km), 1 voiture de Sayat (55 km) et 2 voitures sur place soit 300 km.
Matériel apporté par les participants mis à disposition : deux débroussailleuses à main, une tronçonneuse et des crocs, râteaux piochons etc…
Préparation et rédaction : 3h00

Ces rendez-vous deviennent des moments de retrouvailles appréciés des habitués malgré le travail intense fourni dans une ambiance bon enfant et à la fois très sérieuse. Nous sommes présents depuis 2018 (voir les précédents compte-rendus) dans ce projet à l’initiative d’Atlas en accord avec la mairie de Joze. Malgré les sceptiques de la première heure, nous sommes en mesure après plusieurs années de montrer qu’il est possible de lutter contre le déploiement de la renouée du Japon, une plante invasive au fort développement.
Tous les participants habituels et les nouveaux arrivés sont unanimes à constater que les bords de l’Allier en amont et aval du pont sont devenus un agréable lieu de promenade où l’herbe et les différentes plantes comme l’ail des ours, la carotte sauvage, le bois joli ont peu à peu retrouvé leur place dans ce biotope. Dans cette tâche, 2 ouvriers de la commune nous ont prêté main-forte nous mettant à disposition une troisième débroussailleuse à main.
Beaucoup plus facile que l’an passé, nous avons encore gagné du terrain et la progression vers les petites zones humides, objectif de la saison, situées en arrière plan de la rivière sont maintenant visibles. En quelques heures et avec l’aide du matériel de Luc et de Georges l’espace ouvert a été conséquent. L’importance de notre groupe a un impact réel sur l’évolution du chantier et je pense que sans notre intervention, il n’aurait pu être mené seulement par deux ou trois salariés de la commune. Cette implication pour la collectivité valorise l’image du monde associatif. Chacun peut être fier du résultat obtenu sans aucune contrepartie demandée.
Quelques promeneurs de passage, habitants de Joze ont apprécié et sont surpris d’apprendre que nous venons de la métropole bénévolement pour faire ce job.

Merci à Régine, Marie-Hélène, Marie, Mady, Corinne, Isabelle, Frédéric, Daniel, Gérard, Yves, Luc, Denis, Vincent, Serge, Laurent, Pascal, Pierre, Patrick

Au moment du goûter, moment de détente très convivial, organisé par Mady, nous avons eu la visite sympathique de Daniel Peynon, Maire de la commune et d’Alain Boucheyras, délégué aux travaux. Cette réalisation est suivi en mairie par Alain Mouton, 1er adjoint qui a apporté tout son dynamisme dans ce dossier et le résultat fait beaucoup d’envieux dans les communes du Val d’Allier de part et d’autre de la rivière.

Nous interviendrons une nouvelle fois avant l’été pour asphyxier le début de la repousse.

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Sam. 17/02/2024. Marche sportive Chaîne des Puys – Volvic


Animateur : Michel J.
Terrain : souple et humide
Météo : température douce avec une couverture nuageuse. Pas de pluie.
Temps de préparation et de rédaction : 2 h 00
Mise à disposition de matériel : 3 paires de bâtons de 1,15 m.
Déplacement routier : 2 voitures, en co-voiturage au départ de Clermont (2 personnes) avec un kilométrage moyen de 35 (aller et retour) et 5 voitures sur place avec un kilométrage moyen de 35 soit un total de 245 km.

Nombre de participants :11 animateur compris (3F, 9H)
Distance : 25,52 km ; moyenne 6,6 km/h, dénivelée 542 m (montre Garmin Félix 6 Pro Solar).
Durée : 3 h 51 (de marche) et 4 h 17 (déplacement et pauses compris). Échauffement et étirements non comptabilisés.

Itinéraire : départ parking des eaux de Volvic, les Cheyres-de-Bruvaleix, sente à l’Ouest de Notre Dame de la Garde, Est du sommet du Puy de la Bannière, GR 441 et quelques bouts de chemin pour éviter le goudron jusqu’au Sud du Suc de Beaunit, Nord du Puy de Verrières, Est des villages de Grelière et Lambertèche, Nord du Puy de la Baneyre, Nord et Est du Puy de Paugnat, Bois de Latia, Les Goulots, les Cheyres-de-Bruvaleix, parking.

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Jeu 22/02/2024. Rando Chaîne des Puys – Volvic

Animateur : Michel J.
Nombre de participants animateur compris : 19 (8F, 11H)
Météo : temps couvert , vent de Sud-Ouest sensible, température douce, quelques gouttes en fin de pique-nique
Terrain : souple, quelques flaques d’eau
Distance : 25 km (montre gps)
Dénivelé : 715 m (montre gps)
Durée du déplacement : 6 h30 environ
Durée de la randonnée : 6h 00 environ
Classement Atlas : facile
Kilométrage auto : (70 x 1) + (37 x 2) + ( 35 x 4) = 284 km
Préparation et rédaction : 2h00

Itinéraire : parking des eaux de Volvic, les Cheyres-de-Bruvaleix, les Goulots, Bois de Latia, tour du Puy de Paugnat par le Nord, sommets de le Pradet, La Baneyre, contour du Puy de Verrières par le Nord, passage au Sud du Suc de Beaunit, Manoir du Veygoux, entrée de Charbonnières-les-Varennes, Croix de St-Priest, passage sous le sommet du Puy de la Bannière, Notre Dame de la Garde, parking.

En ce jeudi, L’itinéraire proposé ne présente aucune difficulté et utilise en partie le GR 441, « le Tour de la Chaîne des Puys ». En ce début des vacances scolaires pour notre zone, le groupe rassemble à la fois des adhérents encore en activité et retraités. Après la présentation habituelle du parcours avec les points forts et la difficulté de la journée, nous nous mettons en marche dans une ambiance joyeuse. Les chemins larges permettent des échanges sur de nombreux sujets. Le lieu dit les Goulots est vite atteint et nous pénétrons dans une forêt mixte composée au départ de noisetiers puis de quelques bouleaux et au fur à mesure que l’on progresse, de grands arbres nous entourent, la hêtraie est majestueuse. Le contour du Puy de Paugnat, bien connu des adeptes de la marche nordique et sportive d’Atlas est déjà derrière nous. La seule difficulté du jour se dessine, l’épaulement nous permet de progresser rapidement dans un sous bois à l’épaisse couche de feuilles.

La montée du Puy de Baneyre

On fait une pause au sommet insignifiant de le Pradet, et échangeons sur une question « pourquoi rien ne pousse dans ce bois ? ». Nous sommes maintenant au sommet de la randonnée le Puy de la Baneyre à 967m d’altitude et découvrons une petite zone fleurie de jonquilles.


La descente est bien amorcée, un vent de Sud-Ouest souffle et le bruit dans les arbres masque notre arrivée permettant aux adhérents, en tête de surprendre un renard camouflé dans un carré de houx. Un bon chemin permet de se regrouper, la voie ferrée passée nous laissons les hameaux de Grelière et Lambertèche sur notre gauche. Le ruisseau de drainage intermittent et sans nom sur la carte, coule avec abondance le long de notre cheminement. C’est l’heure du pique-nique que nous prenons à l’abri au nord du Puy de Verrières. Après quelques gouttes, nous quittons rapidement les couches de vêtements inutiles. Un moment d’échange sur l’ancienne zone humide de Beaunit qui draine une partie des eaux de l’Ambène. Rivière, longue de 30 kilomètres, qui prend sa source à la Roche de Sauterre, le point culminant des Combrailles sur la commune de Manzat à 977m d’altitude. Nous retrouvons cette rivière à proximité du manoir de Veygoux, un arrêt s’impose pour photographier les sculptures taillées dans la pierre volcanique de Thierry Courtadon représentant du linge qui sèche. Le domaine de la famille Desaix permet de retracer la brillante carrière d’un illustre auvergnat, le général Louis Charles Auguste Desaix et d’énumérer les nombreuses campagnes menées avec Bonaparte. En 1798, les deux hommes s’embarquent pour l’Egypte où Desaix gagne le surnom de « Sultan Juste ». Ensuite il portera secours avec une troupe de 7000 hommes à Bonaparte en mauvaise posture à la bataille de Marengo en Italie où il trouvera la mort à 31 ans.
Après être passé à l’entrée de Charbonnières-Les-Varennes, nous remontons jusqu’à la Croix de St-Priest. Le chemin offre une vue sur la Chaîne des Puys.

La Croix de Saint Priest

A proximité du dernier Puy de la journée, on peut constater que les sangliers continent à fouiller le terrain. Une dernière montée passant à deux pas du sommet du Puy de la Bannière puis c’est Notre Dame de la Garde et son paysage sur la Limagne et le retour vers notre point de départ. Le groupe est en forme et a apprécié cette randonnée menée à un bon rythme sur des chemins qui le permettaient. A bientôt.


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Séjour 3. Raid hivernal Cézallier/Sancy. Du vendredi 02 au dimanche 04 février 2024


Animateur : Michel J.
Nombre de participants : 4 dont 0 femme et 4 hommes.
Météo: petite couche nuageuse vendredi en début de déplacement puis tempête de ciel bleu sur l’ensemble du séjour. Température douce en journée et gelée nocturne.
Classement : facile
Transport : Renault Kangoo
Assistance au transport : Mady Kozlowski
Kilométrage routier : 284 km (dépose et récupération)
Temps de préparation du matériel et rédaction des divers documents : 10 heures
Cartographie utilisée : cartes Ign Top 25, 2534 OT, 2432 ET.
Matériel mis à disposition par l’association: deux tentes de marque Forclaz MT900 et MT900L.

Faune et indices rencontrés : les animaux sauvages ont été invisibles pendant les trois jours. Nombreuses traces d’animaux crottes (moquette) de chevreuil, (laissées) de sangliers, de lièvre un peu partout, de grands cervidés (fumées). Des garde-mangers d’écureuils. Des boutis de sanglier. Un imposant terrier de blaireau. Un tronc d’épicéa mort attaqué par un pic noir.

Mot de l’animateur.
En fait de raid hivernal, on peut parler d’un séjour de fin de printemps. La météo nous a permis de parcourir un territoire toujours aussi plaisant à cette époque avec ou sans neige. Pas de troupeaux, un grand calme, aucun humain vu pendant deux jours et demi, quelques bruits de voitures dans le lointain à la traversée des petites routes. Une montagne au repos, une visibilité excellente permettant une navigation terrestre précise, des bivouacs secs dans de beaux coins, un groupe dynamique, sympathique, tous les ingrédients sont réunis pour passer un bon moment !

Quelques chiffres : données fournies par une montre Garmin
Dénivelées positives totales : 1775 m ; négatives : 2099 m, kilométrage : 55 km 570, temps de déplacement : 17h30 (durée des pauses de la mi-journée décomptée).

Relation des journées.
Déposés vers 09h30, vendredi par Mady après 1h30 environ de parcours routier au col de Combalut, les sacs sur le dos avec tout le ravitaillement pour l’ensemble du séjour, nous prenons une direction Nord. Le terrain en cette matinée est humide, des gouttelettes de rosée s’accrochant à l’herbe sèche témoignent que le couvert nuageux qui se dissipe a du recouvrir le Cézallier en fin de nuit.
Laissant sur notre droite les Sagnes de Mourcairol, nous progressons vers le Puy de Mathonière à 1294m. Le sommet et son amas de rochers sont atteints rapidement, la borne géodésique est toujours en place.

L e Mathonière


Clôtures ouvertes ou non, notre progression est régulière, nous évitons en zigzagant les points bas synonymes de zones humides. Avec une telle visibilité, le choix des trajectoires est facile ce qui n’est pas toujours le cas dans le brouillard ou dans une tempête de neige (vieux souvenirs !). La D9 qui conduit à Allanche vers l’Ouest franchie, nous passons la Montagne de Chavanon, le buron de Fortunier. La pause de mi-journée se fait assise sur les pierres devant le buron de la Souchoune.

Arrêt de mi-journée….

Après une micro sieste au soleil, nous gagnons la combe du ruisseau de la Fontaine pour atteindre la Montagne de Paillassère très animée à la belle saison. En temps normal, ce vallon est chargé par une grosse couche de neige mais là même les zones humides se traversent sans problème sautant d’un « tremblant » à un autre. Bientôt se distingue le lieu de notre premier bivouac, à proximité d’une petite retenue d’eau aux sources de la Sianne. Les tentes sont installées dans des cuvettes, les fameux « tras » ancêtres des burons. Les tras, fogal, mazuc ou cabanes sont les plus anciennes structures d’estive. L’expression buron sera employé pour la première fois au XVIIème siècle. Un léger vent de Nord-Est nous contraint rapidement après le frugal dîner à nous réfugier dans nos tentes. Après une longue nuit, le lever du soleil nous accompagne et nous réchauffe pour le petit déjeuner, un des repas important de la journée. Les bords de la pièce d’eau sont pris par une fine couche de glace.
Un petit mouvement de terrain passé et nous découvrons le col de Chamaroux et cet étroit cordon de goudron propice à une belle randonnée à vélo. Nous attaquons à bonne allure la montée en utilisant au mieux les pentes raides, tout en ayant quitté avant l’effort pour certains quelques couches de vêtements et le sommet à 1476m marqué par une croix est rapidement atteint. Une pause méritée pour admirer un paysage sur 360° avec en toile de fond vers le Nord, le Sancy, vers le Sud, le Cantal.

Du Chamaroux….

Tous les sommets sont bien identifiables sans brume de chaleur masquant aux beaux jours le relief. Notre angle de marche laisse la Montagne de Chamaroux sur notre gauche, l’objectif est un monticule situé au Nord-Est, dernier petit relief avant Jassy. A droite, la combe où coule la Couze d’Ardes qui collecte tous les petits ruisseaux s’écoulant du plateau côté Est. La rondeur de ce dernier sommet, le Testou à 1327 m d’altitude est atteint en suivant les traces creusées, laissées par les animaux d’élevage en estive de mai à octobre. Le lac de St Alyre en contrebas est d’une belle couleur bleutée et son niveau d’eau est peu élevé. Nous le contournons par l’Est puis le Nord. Ayant récupéré de l’eau à un robinet indiqué par Claude à la cabane des pécheurs, nous optons pour tirer au plus direct, évitant le village de la Godivelle mais prenant le temps d’admirer le lac D’En Bas et situant à Benoît le lyonnais, la position de celui D’En Haut. Après quelques franchissements de clôtures et la D32, nous nous installons à proximité d’une ramification du ruisseau de la Couaille Basse pour l’arrêt de la mi-journée. Le groupe est en forme et évoquons la possibilité de changer le final du parcours prolongeant cette étape et la dernière. La décision sera prise à la hauteur de l’endroit du bivouac de ce soir. En ce début de février, les journées sont encore courtes et l’important est de pouvoir s’installer tranquillement à la lumière du jour.
Après avoir suivi un court instant le GR30, nous bifurquons Nord-Ouest et traversant une pessière puis longeant une mélézière (appelée également lariçaie), nous arrivons de nouveau sur un immense pacage où domine le Teston du Joran à 1323m. Arrivés à la latitude du plan d’eau situé au Sud-Ouest de Cureyre, nous prenons la décision de prolonger la journée. La traversée du bois de la Montagne de Veisseyre nous amène au col routier de la Chaumoune.


Droit devant nous, la dernière difficulté, le Puy de la Vaisse à 1359m que nous montons chacun à son rythme. Du sommet, le Sancy semble tout proche, la chaleur du jour créant un phénomène de loupe qui rapproche le relief.
Nous descendons le bois de Chambedaze, composé essentiellement de hêtres, salués par le hennissement d’un cheval rustique et installons le bivouac sous le couvert forestier à deux pas du lac du même nom bien en eau. Une eau claire se trouve à proximité, la source étant protégée par un barbelé. La soirée se passe agréablement faite d’échanges et nous nous glissons dans nos duvets vers 20h00.
Quelques « Hou-Hou » d’un oiseau nocturne en début de nuit puis c’est un grand silence qui s’installe. Après cette longue période de repos, nous nous retrouvons pour le petit-déjeuner avant cette dernière étape. Il fait bon sous la hêtraie contrairement à la pâture tout proche où la gelée a figé les bords et les pourtours de l’abreuvoir. Nous contournons par l’Ouest le lac évitant au maximum les nombreuses zones humides, franchissons en cherchant un passage le ruisseau du Groleix qui va se jeter dans celui de la Clamouze en aval des cascades d’Entraigues.

Le Groleix

A la lisière du bois d’épicéa, la pente s’élève rapidement pour atteindre le sommet du Cocudoux à 1342m. Malgré l’absence de neige, nous entendons la meute de chiens de traîneaux installée depuis quelques hivers dans la forêt de Bany, le musher proposant des balades aux touristes. La traversée de la longue estive, plateau fait de creux et de bosses nous amène dans la forêt des Fraux où le pique-nique est pris sur les contreforts du lac Pavin. Nous saluons les premiers promeneurs rencontrés depuis 2 jours et demi…Nous suivons une sente contournant par l’Ouest le lac puis à travers bois gagnons la D978. La D149 passée, nous nous éloignons progressivement du bruit par une petite route, passons Les Sagnes, La Bouteix puis à La Groleix. L’animateur souhaitant échapper à ce chemin goudronné fait une proposition aux participants….et nous optons pour une portion de hors piste à travers des prairies artificielles pour rejoindre le tracé du GR30 au niveau d’une petite retenue d’eau. On récupère du précieux liquide au ruisseau de Malvoissière pour terminer la journée. Nous empruntons la Grande Allée dans la forêt de Courbanges puis suivons rive droite le ruisseau du même nom par de bons chemins jusqu’à Jassat. Une petite sente nous fait traverser à deux reprises la D618. La partie sommitale du Suc du Coq franchie, nous dévalons à travers une forêt mixte aux nombreux arbres à terre jusqu’au Lac Chambon. A l’arrivée boissons chaudes et clafoutis aux pommes apportés par Mady, nous attendent. Il est temps de se quitter et l’on se dit à bientôt.

Pascal, Claude, Benoit et Michel J. à l’arrivée !


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Marche Nordique. Période du 01/11/23 au 31/01/24

Les bienfaits apportés par la marche nordique sont consultables sous l’onglet Marche Nordique du site. Chaque semaine les informations sur l’activité sont enregistrées sur le répondeur dédié 0473257706. le lundi pour le lundi soir et le mardi soir et le vendredi pour le samedi matin.
En semaine, les séances se déroulent au stade Leclanché à partir de 18h30 en alternant une semaine sur 2, le foncier et le fractionné. Le lundi, 5 tours de 1 km 200 sont effectués soit au total 6 kilomètres, le mardi 6 tours soit 7 km 200. L’objectif est d’amener les participants à marcher à une moyenne de 6 km/h.
Le samedi matin sur le site des eaux de Volvic principalement, deux allures sont proposées : allure modérée jusqu’à 6,4 km/h sur une distance d’environ 10 kilomètres et allure soutenue à partir de 6,6 km/h sur une distance d’environ 13 kilomètres.

Ces trois derniers mois, la fréquentation est en forte progression avec des adhérents très motivés.

Statistiques du 01 novembre 2023 au  31 janvier 2024

Les lundis et mardis
Nombre de séances réalisées
Lundi  : 11
Mardi : 12
Nombre de séances annulées  : 0

Types de séances 
Fractionné : 5 (lundi) 5 (mardi)
Foncier : 6 ( lundi) 7 (mardi)
Nombre de participants 
Lundi :  175 dont 101 femmes et 74 hommes
Mardi : 158 dont 88 femmes et 70 hommes 
Total  : 333 dont 189 femmes et 144 hommes
Animateurs : Mady, Christian, Michel J,

Les samedis
Nombre de samedis :11
Nombre de séances annulées  : 1
Allure
Modérée : 11
Soutenue :  5
Nombre de participants : 99 dont  59 femmes et 40 hommes
Animateurs : Mady, Christian, Michel J, Sébastien


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Séjour 2. Du samedi 25 au dimanche 28/01/24. Expérience trappeur dans le Sancy

Animateur : Michel J
Nombre de participants : 6 dont 3 femmes et 3 hommes.
Météo: léger crachin en début de matinée le samedi matin puis grand soleil le reste du week-end avec des températures printanières en journée. Quelques degrés en dessous de zéro dans la nuit de samedi à dimanche. Lune très présente accompagnée par un ciel clair étoilé.
Classement : facile
Transport : Renault Kangoo et Fiat Tipo.
Kilométrage routier : 140 km (aller et retour)
Temps de préparation du matériel et rédaction des divers documents : 10 heures
Cartographie utilisée : cartes Ign, 2432 ET.
Matériel mis à disposition par l’association: trois tentes de marque Ferrino, modèle Maverick, six sursacs en goretex, une couverture de survie Space Blanket orange.

Faune et indices rencontrés : un renard et un aigle royal (le dimanche). Nombreuses traces d’animaux crottes (moquette) de chevreuil, (laissées de sangliers), crottes de lièvre un peu partout. Un garde manger d’écureuil. Des boutis de sanglier. Des trous de marmotte.

Mot de l’animateur.
Malgré l’absence de neige, le séjour a été maintenu et six adhérents étaient au départ de cette aventure. Le bivouac installé, nous avons profité d’une météo très favorable pour réaliser des itinéraires inédits, hors piste en grande partie et que l’on ne peut mener qu’en petit comité. Une bonne ambiance et de nombreux apports sur le vécu des uns et des autres, sur le matériel, les techniques, le déplacement en autonomie ont permis de rendre ce séjour enrichissant. Une approche de l’itinérance à renouveler afin d’attirer de nouveaux adeptes à l’activité.

Quelques chiffres : données fournies par une montre Garmin.
J1. Dénivelées positives 636 m, négatives : 501 m, kilométrage : 15 km 500, temps de déplacement : 4h43.
J2. Dénivelées positives 800 m, négatives : 986 m, kilométrage : 17 km 200, temps de déplacement 6h50.

Relation des journées :
Samedi. Accompagné tout au long du trajet routier par un crachin et un ciel bas, nous espérions en montant en altitude pouvoir passer au-dessus des nuages. La chape nuageuse est plus épaisse que prévue. Nous sommes dans un système anticyclonique d’hiver qui plaque l’humidité dans les vallées. Les véhicules stationnés pour les deux jours au parking de Pessade, c’est toujours dans une ambiance humide que nous amorçons notre départ pédestre. Sacs sur le dos avec la nourriture pour deux jours et le matériel de couchage, les premiers pas sont un peu difficile pour les adhérents non habitués au portage. Il nous faudra un peu moins de 3h00 pour couvrir les 7 kilomètres et les quelques 400 mètres de dénivelée positive en partie sur chemins et en partie en hors piste qui nous séparent du lieu choisi pour passer la nuit. Comme annoncé, une eau de bonne qualité est à proximité. Le bivouac s’installe tout doucement orienté vers l’Est, Sud-Est, au soleil levant.
Géographiquement sans vouloir volontairement donner plus de détails, nous sommes entre le bassin versant de la Monne et celui du Fredet dans un espace dégagé afin de pouvoir profiter d’un maximum de lumière. Quelques hésitations pour monter les tentes d’hiver de marque Ferrino mises à disposition par l’association. Le temps de l’installation, les nuages se déchirent progressivement laissant passer un soleil à la douce chaleur. Nous avons une pensée pour celles et ceux plus bas qui restent sous une épaisse couche de nuages. Le pique nique avalé je montre le cheminement que l’on va suivre. Un minimum dans le sac à dos, l’allure est tout de suite plus dynamique. Nous allons chercher l’extrémité Est de la Montagne de Sautet. Après être passés à proximité du buron de Margelet entièrement restauré nous pénétrons dans la forêt de la Montagne de Pouly et passant par le Sud entre les premiers rochers nous atteignons la crête.

Montée dans la forêt de la Montagne de Pouly

Sur les hauteurs des Rochers de Sautet


La vue est magnifique sur 360°. Au Nord toute la Chaîne des Puys se dessine, à l’Est les hauteurs du Forez, au Sud-Est, les pointes du Mézenc, un peu plus loin la montagne Ardéchoise.

Vue vers le Nord des Rochers de Sautet

Au Sud le massif du Sancy et ses différents sommets bien connus des auvergnats. Pas de vent, l’air est limpide et l’ensemble procure une certaine sérénité…Nous progressons rapidement jouant au mieux avec les blocs posés sur cette étroite plateforme. Un échange avec un chasseur en tenue orange qui patiente attendant le sanglier que les chiens courant doivent lui débusquer. Nous changeons brutalement d’orientation pour prendre plein Sud à la conquête du Puy Chambon à 1460m. La borne géodésique atteinte, nous remontons Nord-Ouest pour le Puy de la Croix Morand, dernier objectif de la journée avant le retour à travers l’estive au lieu du bivouac.

Entre les Puys de Chambon et Morand

La soirée est calme et reposante faite d’échanges tout en prenant le dîner . La fraîcheur tombe tout doucement et la clarté diminue, il est temps de se glisser dans les duvets pour une longue nuit !
Le lendemain, nous émergeons tout doucement avec l’astre du jour qui progresse vite dans le ciel et réchauffe l’atmosphère.


Quelques traces de glace à proximité montrent que le ciel clair a permis un refroidissement avant le lever du soleil. Après un petit déjeuner copieux, nous plions les tentes en conservant une, montée, qui accueillera tout le matériel. L’idée est de repasser dans l’après-midi pour le récupérer avant de regagner les voitures. Nous prenons la direction à travers les mouvements de terrain du col de la Croix Morand. A cette heure peu de monde, quelques camping- cars sur le parking, pas de circulation. Nous amorçons les premiers virages de la montée et au niveau du deuxième amas de rochers, je montre le cheminement que nous allons suivre. La pente est raide mais l’herbe sèche accroche bien. Quelques beaux trous de marmottes, silencieux, tout le monde semble dormir et arrivons bien vite au Val Blanc. Des silhouettes de randonneurs sur les crêtes se dessinent. Après être descendus, il va falloir remonter en utilisant un épaulement qui nous conduit à la Pierre Blanche, ancien point d’arrivée du télésiège du Grand Barbier.

Vers la Pierre Blanche…
Encore un effort….

Une petite pause et la progression reprend un peu plus raide sur les premiers mètres puis c’est le sommet du Barbier. La belle journée a fait sortir les citadins et le chemin de randonnée du GR4 est bien occupé.
Nous nous installons sur la pente côté Ouest, la vue est large et ce sera la salle à manger pour déguster le pique-nique. Quelques traces de neige dans les couloirs du Sancy on se croirait à la fin du printemps. Après une micro sieste, nous nous dirigeons plein Est, admirant au cours de la descente le lac Chambon avant d’atteindre le Puy Surains.

Puy de Surains et lac Chambon

L’itinéraire se dessine devant nous en contrebas des Puys de Monne et de la Tache, franchissant de petits ruisseaux bien encaissés alimentant le ruisseau de Diane. Des mouvements dans la végétation composée de bouleaux torturés et de genêts, un arrière train de chamois puis de nouveau le silence…Au détour d’un mouvement de terrain, on découvre un aigle royal posé au sol, on s’observe quelques secondes. Ce grand prédateur à l’allure massive et au bec impressionnant s’élève avec grâce et plane rapidement, les rémiges extérieures légèrement relevées. L’instant magique n’a pas permis d’avoir le réflexe photo, tant pis, l’image est gravée dans la mémoire. Bientôt le nouveau captage puis le col où l’animation est bien présente à l’auberge. Le parking déborde de véhicules. Nous retrouvons vite le calme à travers l’estive qui nous conduit au lieu de bivouac. Le matériel est chargé dans les sacs à dos et c’est le retour en coupant au plus court à travers bois, le jour décline et nous arrivons aux voitures. Un week-end revigorant, une petite aventure qui donne envie de prolonger le moment ! A bientôt.

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Jeu 11/01/2024 – Rando raquette – Nord du massif du Sancy – Pessade

Animateur Michel J.
Nombre de participants : 14 animateur compris (7F, 7H)
Météo : nuageux en début de rando puis après avoir passé l’altitude de 1200 m grand ciel bleu. Brise d’Est.
Enneigement : bonne épaisseur (35 à 40 cm) avec une neige froide légère sur le plateau
Distance : 11,100 km (montre garmin)
Dénivelé : 438 m (montre garmin)
Durée : 5 h 21 (pause du midi non comprise )
Classement Atlas : facile
Kilométrage auto : 2 voitures de Clermont Fd (100 km) et 1 voiture du Crest ( 60 km) soit 260 km en co-voiturage.
Matériel mis à disposition : 1 paire de raquettes, 1 paire de bâtons
Préparation et rédaction : 2 h 00
Observations : de nombreuses traces, chevreuils, écureuils, lièvres. Vu un chevreuil et des mésanges à longue queue

ITINÉRAIRE : Pessade, Est du Baladou, bois de Pessade, sous le Beaudet, parking de Pessade

Les chutes de début de semaine mais surtout celles de l’après-midi du mardi et du début de nuit ont permis de réaliser cette première sortie collective avec une neige froide et abondante surtout sur les plateaux. Rapidement, nous retrouvons de bonnes sensations de progression dans un environnement silencieux seulement troublé par quelques échanges entre les participants. La température fraîche en sous bois devient rapidement agréable au soleil et nous permet d’enlever quelques couches de vêtements superflues. Passer le ruisseau « Labadeau », nous pénétrons le couvert végétal.

Passage du Labadeau

L’idée directrice est de monter à travers la pessière, de surplomber une des branches du ruisseau de la Védrine et puis de passer au-dessus d’une petite barre rocheuse peu perceptible.

Un effort régulier ponctué de quelques pauses nous fait atteindre une zone dégagée où l’accumulation de neige et les nombreux genêts rendent la tâche de l’ouvreur une peu physique mais heureusement relayé dans la bonne humeur par quelques participants.

Entre nuages et ciel bleu sur le plateau

La traversée de l’estive Nord-Ouest nous fait passer du bassin versant de la Monne au bassin versant du Chevalard. Nous gardons une courbe de niveau à couvert en zigzagant entre les nombreux arbres tombés au sol, cassés ou couchés par les derniers coups de vent.

Féerie de l’hiver

Nous avançons lentement dans ce fouillis végétal ponctué à quelques endroits par des zones de jeunes arbres issus d’une régénération naturelle. La neige permet de voir au sol que cette forêt qui semble dormir est pleine de vie, des traces d’écureuil allant d’un arbre à l’autre, des traces plus profonde de chevreuils à la recherche également de nourriture. La neige se maintient sur un sol refroidit mais pas gelé car le moindre écoulement d’eau est dynamique. Je propose une belle éclaircie dans la végétation, orientée plein Sud, pour le pique-nique tiré du sac. Nous faisons le plein de vitamine « D ». A l’unanimité, nous continuons en contournant les cornes de bois profitant de la douce chaleur du soleil.

Vue sur le massif adventif du Sancy

Le puy Beaudet se fait plus présent avec ses pentes Est bien marquées. Nous reprenons le couvert puis après le passage de quelques ruisseaux, et le contournement de quelques arbres, des descentes et montées qui se succèdent, nous mettons les raquettes sur un chemin forestier orienté Nord qui conduisait avant la plantation, au buron à l’abandon situé en pleine estive.

Puy Beaudet, en arrière plan la Chaîne des Puys

Arrivés en lisière, notre orientation est maintenant Est, il nous faut traverser le Chevalard. Cela est fait sur un solide pont. Puis c’est le retour tranquille vers le parking en suivant les anciennes pistes de ski de fond. Un pot collectif est pris au bar de Pessade en dégustant la galette faite par Martine. Merci à toutes et tous aussi bien pour l’aide au damage que pour la bonne humeur générale dans les passages « Aventures ».




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Sam 04/11/2023. Marche Sportive – Chaîne des Puys – Volvic

Animateur : Michel J.
Terrain : souple et humide
Météo : température de saison. Grosse averse de pluie froide au 15 kilomètres qui a duré une quinzaine de minutes. Quelques moments ensoleillés en début d’activité.
Temps de préparation et de rédaction : 2 h 00
Mise à disposition de matériel : néant
Kilométrage : 1 voiture, en co-voiturage au départ de Clermont (2 personnes) et 4 voitures sur place avec une moyenne de 35 km (aller et retour) soit 175 km

Petit groupe… grosse ambiance !

Nombre de participants : 5 animateur compris (1F, 4H)
Distance : 22,58 km ; moyenne 6,9 km/h, dénivelée 486 m (montre Garmin Félix 6 Pro Solar).
Durée : 3h17 (de marche) et 3h25 (déplacement et pauses compris). Échauffement et étirements non comptabilisés.

Itinéraire : départ parking des eaux de Volvic, les Cheyre de Bruvaleix, les Goulots, bois Latia, Sud Puy des Marais, le Pradet, Ouest et Nord du Puy de la Baneyre, Est des villages de Lambertèche et de Grelière, Sud du Puy de Verrières, Ouest du Puy de Thiolet, Les Cheyres, Nord et Est du Puy de Paugnat, les Cheyre de Bruvaleix, parking.

Remarque : aucun nouveau à cette sortie prévue et annoncée sur le site à l’onglet « actualités » comme une marche sportive de découverte avec une distance courte de 17 kilomètres et une allure maximum de 6,5 km/h. Elle s’est donc déroulée avec des habitués à un rythme habituel dans la bonne humeur.

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