Animatrice : Mady Nombre de participants : 5 animatrice comprise (5F) Météo : ciel nuageux, vent du sud ouest Distance : 21 km Dénivelé : 800 m Durée déplacement : 7 h Classement Atlas : facile Voitures : 124 km pour 1 voiture de Clermont Fd Préparation et rédaction : 3 h
ITINÉRAIRE : la Chapelle-sur-Usson, la Guillaumie, Champagnat-le-Jeune, le Cerf, Ceilloux, Chambrefaite, Valz-sous-Chateauneuf, Brenat, Coupe-Gorge, la Chapelle sur Usson.
L’ orage de la veille a rafraîchi l’atmosphère et c’est sous un ciel nuageux et avec un léger vent que nous partons en très petit comité de la Chapelle-sur-Usson, dont la 1ère partie du nom rappelle que le village a été construit au Moyen-Âge autour d’une chapelle et la 2ème partie, tout comme pour d’autres villages du secteur, la proximité géographique de la localité d’Usson.
La Chapelle-sur-Usson
Après un début de parcours sur le « GR de Pays Autour d’Issoire », je choisis de le quitter à Perrier et d’emprunter de petits chemins pour rejoindre la Guillaumie. Comme souvent ceux-ci sont quasiment inexistants et nécessitent le passage, en dessous ou entre les barbelés, de plusieurs barrières séparant les terrains traversés. La progression devient plus fluide ensuite. Une courte pause à l‘église de Champagnat-le-Jeune, puis c’est Le Cerf, hameau reconstitué où nous en faisons une 2ème plus longue pour apprécier à sa juste mesure le travail effectué par un groupe de bénévoles pour redonner vie à ce qui n’étaient que des ruines. Restauration pleine d’humour et de poésie qui laisse découvrir des scènes de la vie d’autrefois.
Une scène de la vie d’autrefois
Ce 1er vallon où coule le ruisseau de l’Engrais passé, celui du ruisseau de la Guelle nous attend, entre Ceilloux et Chambrefaite. Et là, dans le vallon,après quelques allers et retours, une modification s’impose le chemin devant être pris n’existant plus. Un autre parcours est possible mais avec un peu plus de goudron pour arriver à Chambrefaite…Juste avant le village, un espace dégagé et ombragé nous paraît adapté à la pause pique-nique. De celui-ci nous repartons en hors piste (avec l’accord des participantes et en essayant de trouver les meilleurs passages pour éviter les ronces, shorts obligent !) pour retrouver en ligne directe la suite du parcours qui est à proximité, sans passer par Chambrefaite (nom qui remonterait au XVIème siècle avec la venue à différentes reprises de la reine Margot dans ce lieu, où la chambre devait être toujours faite).
A l’entrée de Valz-sous-Chateauneuf où nous retrouvons le ruisseau de l’Engrais, un panneau rappelle l’étonnante invitation à la garden-party de l’Élysée qu’ont reçue tous les habitants du village en 1986 du président François Mitterrand et de la venue de celui-ci à Valz le jeudi 19 février 1987.
Tout le village paraissant bien endormi, et l’église fermée, nous continuons sans chercher à avoir la clé pour la visiter.
Quelques kilomètres plus loin, c’est le ruisseau des Mines, la remontée sur Brenat, et encore plus loin, le GR qui va nous ramener tranquillement en passant par Coupe-Gorge à notre lieu de stationnement.
Nous pouvons depuis ce point haut admirer une dernière fois ce paysage vallonné encore bien vert et retracer le cheminement de la journée. Merci les filles de votre participation et à bientôt pour de nouvelles découvertes
Animateur : Georges Nombre de participants : 12 animateur compris (7 F et 5 H ) Météo : chaud toute la journée Distance : 18 km Dénivelé : 550 m Durée : 6 H Classement Atlas : facile Kilométrage auto : 75 x 2 pour 1 voiture et 91 x 2 pour 2 voitures soit 514 km Préparation et rédaction : 2 H
ITINERAIRE : Départ le Bru, pc 1019, Serre, Suc de Barrau, les Quatre Chemins, D 355, cascade le Saut, D 21, pc 913, retour le Bru.
Aujourd’hui direction le Cantal sur le plateau d’Allanche pour trouver une température plus clémente. Nous partons du village le Bru, avant le départ passage par la chapelle malheureusement fermée. Elle possède un retable du 14° siècle restauré dans les années 80. Nous partons en direction de la vallée de la Sianne, très vite nous entrons dans la forêt,
la fraîcheur relative est la bienvenue. Après le village de Serre, direction la cascade de Saut
sur le ruisseau de l’église qui se jette dans la Sianne à Auriac l’Eglise.
Nous devons faire un aller-retour pour l’atteindre et prendre un peu de fraîcheur. Nous sortons de la vallée par une sente ombragée, il est l’heure du pique-nique. L’arrivée sur le plateau est plus difficile, pas d’ombre sauf quelques arbres. Plusieurs chemins sont impraticables, ce qui nous oblige à prendre la route pour rejoindre les voitures.
Merci à tous pour avoir bravé ces fortes chaleurs.
Animateur : Yves Nombre de participants : 9 animateur compris ( 5 F, 4 H) Météo : journée très ensoleillée Distance : 23 km Dénivelé : 700 m Durée : 7 H pauses comprises Classement Atlas : Facile Kilométrage auto : 170 km pour 1 véhicule et 134 km pour 1 autre soit : 304 km Préparation et rédaction : 3 H
La journée s’annonce ensoleillée et chaude et comble de malchance deux participants ont oublié l’eau à la maison. Nous passons heureusement par Blesle où les commerces ouvrent, et nos malchanceux ont pu se dépanner.
Départ d’Autrac, installé sur les flancs de l’ancien volcan du Montfouat entre Cézallier et vallée de l’Alagnon. Au moyen âge le cœur du village était Autraguet, ancien prieuré avec son église romane Saint Julien aux modillons originaux. Nous quittons un large chemin d’exploitation pour suivre une jolie petite sente en balcon à peine visible noyée par une végétation abondante. Arrivé à Courteuge le Dolmen daté de 5000 ans se présente devant nous, petite photo et nous plongeons dans la vallée de Leyvaux.
Dolmen de Courteuge
A Leyvaux, village du Cantal avec un code postal de Haute-Loire nous visitons l’église Saint Blaise du 10° et 11°S. Toute en pierre volcanique elle se caractérise par un magnifique clocher mur à 6 baies et un remarquable linteau sur lequel, sous forme symbolique, la vie sort de la divinité centrale.
Eglise de Leyvaux
Linteau de l’église
Nous sommes en fond de vallée, nous apprécions la fraicheur car le soleil commence à chauffer. Sur notre gauche, un petit panonceau “Ancienne mine” nous rappelle que dans ce secteur plusieurs mines d’antimoine furent exploitées à l’époque où la France était le 1er producteur mondial de cet alliage. Nous longeons le ruisseau d’Apcher, descendant du Cézallier, bercé par son clapotis musical. Nous l’enjambons deux fois avant de remonter sur Sagne.
Nous sommes à découvert, la côte est raide, le soleil au zénith, tous les ingrédients pour nous faire souffrir avant la pause. A Sagne ce petit muret à l’ombre est le bienvenu. Le gros du dénivelé à été effectué. L’après midi sera en pente douce sous une forte chaleur, heureusement nous sommes à 1000 m d’altitude, et le petit air est apprécié.
De Combalibœuf à Marzun je pensais passer par le Bois de Besse, pour profiter de l’ombre, mais le chemin est introuvable, nous continuons donc couvre chef visé sur la tête. Passé Montmoirat et son château du 17°S, je décide de modifier les derniers kilomètres car les organismes commencent à fatiguer et le retour à Autrac est apprécié.
Animateur : Michel J. Nombre de participants : 5 animateur compris (3F, 2H) Météo : mercredi, passages nuageux, température douce ; jeudi et vendredi beau avec une température agréable ; samedi passages de nuages se couvrant en fin de journée ; dimanche couvert avec averses orageuses surtout au moment du chargement du matériel. Classement : moyen
Matériel mis à disposition par l’association : – 3 kayaks de mer ; 1 Bélouga, de marque Plasmor, 2 de marque Dag, modèles Miwok et Ysak. – équipement complémentaire pour les kayaks (jupes d’étanchéité, éponges, 1 cordelette de 10 mètres) – équipement pour les participants (gilets d’aide à la flottabilité, pagaies doubles et 1 de secours) – pour le transport des bateaux et containers : une remorque routière équipée de l’adaptation « kayak»- 2 tentes MT 900 de marque Décathlon
Matériel de l’animateur mis à disposition :1 Bélouga de marque Plasmor, 1 Fury de marque Kayman (bateau de l’encadrant). Un filtre à eau pour 10 litres.
Transport: à l’aide d’un véhicule en covoiturage Michel J. (Renault kangoo) tractant la remorque. Kilométrage général effectué par le véhicule : 255 km Niveau d’eau : moins 50 centimètres par rapport au maximum sur Neuvic, côte très basse sur l’Aigle. Conditions de navigation : très bonne. Kilométrage parcouru : 93,68 km sur les 5 jours à la moyenne de 4,74 km/h. Temps de navigation :19 h 50 Préparation du matériel, rangement, nettoyage et compte rendu : 10 heures
Le mot de l’animateur. Contrairement à l’an passé, nous bénéficions d’une météo printanière clémente et d’une fenêtre qui doit nous permettre d’explorer les deux plans d’eau prévus. Les participants ont déjà participé à ce genre de séjour et sont très autonomes. Relation des 5 jours. Après une sortie laborieuse de la Métropole clermontoise due aux travaux un peu partout, nous arrivons sur site vers 11h00. Pour le transport routier nous avons utilisé les containers bleus contenant matériel, vêtements et nourriture personnels pour l’ensemble du périple glissés sous les kayaks. Arrivés sur le plan d’eau de Neuvic appelé également lac de la Triouzoune, le contenu des containers a été transféré dans les caissons étanches des kayaks. Ce premier jour est consacré à la découverte de ce plan d’eau et pour commencer à la remontée de la rivière Triouzoune longue d’un peu plus de 50 kilomètres et qui prend sa source vers 900 d’altitude en bordure Est du plateau de Millevaches au Nord du hameau de la Rigaudie en Corrèze. L’heure passant et après environ 2 kilomètres, nous trouvons le long de l’ancien chemin du moulin de Pellachal, un joli coin pour le pique nique au calme un peu à l’écart de la civilisation. Le couloir de navigation après environ 3 kilomètres depuis le départ devient plus étroit au fur et à mesure de la remontée et bientôt des masses rocheuses affleures nous bloquant le passage, les berges boueuses sont occupées par des plantes comme le roseau, la renoncule, se plaisant dans des zones marécageuses. Avec les bateaux de plus de 5 mètres, la manœuvre est plus ou moins aisée…. Le vent est quasiment absent comme durant les 5 jours à l’exception du dimanche matin histoire de donner un peu de piment à la navigation. La suite de la journée consiste à passer le pont de Pellachal puis de contourner par le Nord la grande île du plan d’eau dénommée île aux serpents dont le point haut est 609 m. Une pause en bordure de la D183 pour aller voir à pied de l’autre côté de la route si quelques oiseaux d’eau se montrent dans cette réserve de pêche inaccessible en kayak. Deux des participants découvrent ce lac qui est assez atypique pour un lac de barrage, les berges sont en pente douce et il fait penser à un lac naturel à la canadienne…Nous laissons le point culminant du secteur rive gauche, le Puy de Manzagol à 694 m d’altitude et allons visiter le lieu du bivouac, plat sous un couvert de chênes qui peinent à se développer. Le sable est d’une couleur claire et provient de l’érosion du granit bien apparent par endroits.
Plage sur l’Île aux serpents…
Je propose de filer rive droite et d’atteindre le port situé sur la commune de Neuvic. Le lac est géographiquement sur deux entités administratives, la première que je viens de citer et la seconde rive gauche est Liginiac. Le port est désert et les deux campings situés sur cette rive semblent peu occupés. La journée et le beau temps incitent à continuer à naviguer. Mady propose d’aller jusqu’au barrage. Deux cents mètres environ avant l’ouvrage, des bouées jaunes matérialisent la ligne à ne pas dépasser pour des raisons de sécurité. Nous débarquons rive gauche et allons observer la structure, surveillés par des hirondelles de rocher qui ont élu domicile dans les recoins de béton. Nous pouvons voir d’énormes carpes qui nagent en surface. Ce barrage est « un barrage voûte » construit de 1942 à 1945. Il a une hauteur de 27 mètres, une longueur de crête où passe la route de 145 m, une largeur de 2,50 m et d’une largeur en pied de 6,25 m. Il retient 24 300 hm3. Pas de production d’électricité au niveau du barrage. La centrale de la Triouzoune se trouve en contrebas à quelques kilomètres sur la rive droite de la Dordogne sur la retenue de l’Aigle à la sortie de la conduite forcée. Installation du bivouac vers 17h00 qui sera troublé peu de temps après et pour une bonne heure par des jet-skis de la base d’en face. Le paradis n’existe pas à Neuvic ! La nuit a été calme et au cours du petit déjeuner pris les pieds dans le sable, je propose de rejoindre la voiture et de partir vers l’autre plan d’eau, celui de l’Aigle. Après avoir contourné l’île aux serpents, histoire de profiter au maximum nous regagnons la mise à l’eau. Les trois kayaks fibres sont mis sur la remorque chargés et les deux plastiques plus lourds, déchargés, sont placés en position haute. Nous passons à Sérandon et évoquons notre commande de pains au bar épicerie de Brigitte lors de du périple « Du Sancy à l’océan en suivant la Dordogne en vélo rando ». Nous mettons à l’eau à « la Nau ». Bateaux chargés pour le reste du séjour, nous mettons le cap vers la centrale hydroélectrique citée précédemment qui nous empêchera pour des raisons de sécurité d’explorer l’intégralité du plan d’eau et notamment d’atteindre le pont de Vernejoux situé à 3 kilomètres en amont. L’endroit où se situe la centrale est très étroit et elle peut évacuer à tout moment un volume d’eau important créant une monstrueuse vague. Aujourd’hui tout est calme et aucun écoulement. Pour finir ce premier périple sur le barrage de l’Aigle, nous remontons la rivière Sumène, rive gauche sur presque 4 km sans rencontrer personne. Les rives sont désertes à l’exception de deux ou trois cormorans et deux hérons cendrés qui pêchent dans les eaux peu profondes. Et beaucoup de carpes et un brochet ! Avant de quitter la rivière nous faisons la course avec une couleuvre verte d’un bon mètre vingt la tête bien dressée au dessus de l’eau qui traverse à vive allure…
La remontée de la Sumène
La Sumène est longue de 47 km et prend sa source dans le Cantal entre Collandres et Trizac à 1200 m d’altitude. Il est temps d’installer le bivouac sur une vaste place herbeuse dégagée du fait du niveau très bas du barrage. Après une nuit calme, pas de passages d’avion ni autre bruit de moteur, seulement troublée par les cris de mécontentements à deux reprises d’un vieux mâle chevreuil qui habituellement doit venir boire. Le petit déjeuner pris chacun à son rythme, les bateaux chargés et remis à l’eau, nous voguons vers le Sud sur un miroir avec comme compagnons quelques bateaux de pécheurs qui forment des trains de vagues qui réveillent le marin assoupi. Après un rocher caractéristique, on vire à droite pour passer le Pont des Ajustants où passe une route étroite en général prisée des touristes. Le mot « Ajustant » provient du confluent de la Dordogne et de la Triouzoune qu’on appelait alors « ajustement ». Le pont passé, nous remontons sur un peu plus de 1 km, le cours de la Triouzoune arrêtés brutalement par une accumulation de limon où prospèrent la renouée poivre d’eau. Le pont suivant, après 5 kilomètres est le Pont St Projet qui permet de relier Mauriac à Neuvic. Nous laissons l’infrastructure derrière nous et pénétrons dans une anse large rive gauche mais peu longue qui abrite les eaux de trois ruisseaux, ceux de Labiou (le principal), du Vézac et de Lacoste. A mi-ombre mi-soleil, nous dégustons le pique-nique et savourons ce moment de détente en compagnie de deux randonneurs assis un peu en amont qui semblent loin de tout sentier balisé. Malgré le niveau d’eau très bas, les berges sont difficilement accessibles, très pentues et peu propices pour un bivouac confortable. Nous allons d’une rive à l’autre cherchant l’endroit capable de nous accueillir. Le Port de Nauzenac semble nous inviter. La mise à l’eau trop courte est inexploitable pour nous….Nous suivons la berge rive gauche et à peu de distance trouvons un haut fond qui doit nous permettre de débarquer sans prendre un bain. Les caissons sont vidés de l’indispensable et ont fait la chaîne pour éviter des pas inutiles et surtout des glissades. Personne, des travaux sont en cours, une pelleteuse et un rouleau compresseur attendent sagement. Nous prenons possession des lieux et nous nous installons confortablement, certains sous tentes d’autres à la belle étoile sous l’avancée du bâtiment principal des lieux. Au loin un orage menace, mais le ciel reste bleu au-dessus de nos têtes. Une longue table en bois installée servira pour le repas du soir et le petit déjeuner. Réveillés par les chants des oiseaux, nous profitons des premiers rayons du soleil pour reprendre possession des kayaks attachés ensemble avec la cordelette de 10 mètres et protégés des rochers par des morceaux de bois trouvés flottant. Nous poursuivons vers le Sud puis vers le Sud-Ouest pour atteindre la zone limite navigable et voir le barrage qui a une production annuelle qui peut atteindre 500 Gwh. Il est aussi surnommé “le barrage de la résistance”. Sa construction de 1935 à 1945 a été volontairement retardée par l’Organisation de résistance de l’armée du Cantal, durant la 2e guerre mondiale, pour ne pas donner accès à une puissance énergétique supplémentaire à l’occupant.
C’est l’aménagement EDF, le plus puissant du bassin de la Dordogne. Pour oser une comparaison, c’est la production d’une centrale nucléaire en un mois avec un réacteur 900 MW. La route qui passe sur la structure permet de relier Soursac en Corrèze à Chalvignac dans le Cantal. Ce plan d’eau présente de nombreuses anses créées par l’arrivée et le creusement de l’eau de ruisseaux ou rivières. C’est le cas du ruisseau de Lachaux que nous remontons sur 1 km et qui passe sous le Pont de Lamirande que l’on aurait pu atteindre avec une retenue au niveau maximum. Nous repassons rive gauche et cherchons pour le pique-nique à retrouver le renfoncement de la veille où nous avions ravitaillé en eau grâce au filtre qui permet de récupérer rapidement 10 litres en toute sécurité. La navigation se poursuit, les uns suivants les bords, les autres un peu plus au large. Une pause afin d’observer la topographie à proximité d’une ancienne habitation sans doute une ferme avec quelques espaces en terrasse et pour un nouveau ravitaillement en eau. Je propose de retourner sur le lieu du bivouac du premier jour qui est maintenant à peu de distance. Même rituel, chacun à ses habitudes et reprend sa place. Toilette, repas et dodo avec les chants nombreux des oiseaux.
Lieu de bivouac habituellement recouvert par les eaux…
Au lever, le ciel est bâché occupé par des altocumulus. La veille, en fin de journée, des cirrocumulus laissaient penser à une arrivée d’humidité. Je propose que cette dernière matinée soit consacrée à améliorer la technique de la glisse et à maîtriser l’inertie de chaque bateau. Nous prenons la direction de la Sumène et cherchons à éviter les obstacles, à virer au dernier moment et à se propulser avec moins d’énergie. Nous voici de nouveau sur la Dordogne où un vent de Sud marqué agite la surface, nécessitant d’appuyer et de tirer un peu plus sur les pagaies. Nous glissons en direction du fond de l’anse de la Triouzoune pour prendre le pique nique. On en profite pour faire des trajectoires entre les arbres momifiés debout. Après un bain de boue pour débarquer et rembarquer, nous regagnons le cours principal de la Dordogne où le vent est tombé. Chargement des containers, nettoyage des kayaks, petit arrêt au belvédère de Gratte-Bruyère dont le nom provient de l’enlèvement de la bruyère (le grattage) sur des parcelles en terrasse pour permettre la culture et c’est le retour en partie par l’autoroute sur Clermont-Ferrand.
La Dordogne du belvédère de Gratte-Bruyère
Merci à toutes et tous pour votre bonne humeur et votre enthousiasme. A bientôt.
Animateur : Thierry Nombre de participants : 12 animateur compris (7 F, 5 H) Météo : Soleil et nuages Distance : 25 km Dénivelée : 600 m Durée : 7h20 pauses comprises Classement Atlas : Facile Kilométrage auto 110 km pour 1 véhicule et 140 km pour 2 véhicules Préparation et rédaction : 3H00
Itinéraire : Espinchal, La Godivelle, D32b,– près des Chastelets, la Grande Chaudière, buron de Chante-Milan, le Lac, Montgreleix, la Bastide, PC 1106, La Touche, D104, le Bac, Parpaleix, Touteix, HP et chemin sud Montagne de la Rochette, PC 1029, Espinchal
C’est sous un beau soleil de printemps – chaud l’après-midi – que nous avons arpenté les chemins et petites routes du Cézallier. Verdure et fleurs garanties. Nous étions déjà venus à Espinchal un jeudi en 2018 et le village n’a pas changé. Toujours ces belles pierres et surtout ces plus ou moins grandes maisons de marchands de toile construites par ces commerçants au XIXème et début du siècle dernier. D’Espinchal, nous nous chauffons doucement les muscles en suivant le GR30 jusqu’à Sandalouze et plus loin la Godivelle où nous parvenons par le haut et par son lac.
Lac de la Godivelle
Les quelques touristes rencontrés n’altèrent pas la quiétude des lieux. Plus bas dans le village, l’ancien gîte des Sagne restauré est devenu la Maison de la Réserve Naturelle. Elle n’est malheureusement pas encore ouverte en ce jeudi d’Ascension 😊 Nous sommes obligés de suivre la petite D32b quelques centaines de mètres pour parvenir à une sente qui nous monte dans nos premières estives vers le buron de la Grande Chaudière et la sagne de la Petite Chaudière en contrebas. La sente suit très précisément les clôtures. Sur ma carte de 1999 ce n’en était pas encore un mais c’est bien un sentier de PR aujourd’hui comme le montre l’appli de l’IGN. Nous mangeons au sud du buron de la Fage avec des vues sur les monts du Cantal, très nets pour une fois et le massif du Sancy.
Vue sur les Monts du Cantal
Belle salle à manger appréciée par les participants. Après une bonne collation, nous reprenons la route pour gagner le Lac, charmant hameau blotti dans un verdoyant vallon qui en fait un beau lieu de villégiature : quelques chalets-gîtes en bordure du lac des Estives en témoignent.
Chalets gîtes en bordure du Lac des Estives
Nous continuons vers Montgreleix où l’on aperçoit les vestiges de précédents Sancy Horizons. Le restaurant du village crée un peu d’animation : une escouade de motards en a pris possession et sur le départ, font vrombir leurs engins. On n’aime ou pas. Montgreleix est le plus haut chef-lieu de commune du département du Cantal, culminant à 1 250 mètres d’altitude. On aperçoit à l’est le Mont Chamaroux très reconnaissable et très reconnu par certains participants. On peine à imaginer que l’école comptait il y a à peine un siècle plus de 100 enfants. L’église St Laurent, « miraculeusement » ouverte, a été reconstruite après le grand incendie de 1884 qui ravagea le village. Nous y pénétrons pour admirer un grand et beau retable polychrome.
Il nous faut continuer la route pour parvenir à la croix de St Roch patron du village. Le chemin se poursuit jusqu’à La Bastide en épousant le sentier des Vaches Rouges sur de belles traces herbeuses. Après le hameau, nous avançons sur des petites routes sans voiture encadrées par de beaux prés fleuris où paissent ici et là quelques Salers ou Aubrac. Le soleil nous accablerait presque sur ces petits boyaux asphaltés d’autant plus que la pente s’accentue au sud du hameau de Labro. Le hameau du Bac un peu plus loin nous donne l’occasion d’une bonne pause. Installés près de la clôture d’une petite résidence secondaire, son habitante nous propose gentiment de remplir nos bouteilles. L’intérieur du logis est un peu rustique et le poêle à bois encore tiède. Du jardin-terrasse de la demeure on a un superbe point de vue sur la vallée de la Grande Rhue, rivière qui se jettera beaucoup plus loin à l’ouest, à Bort les Orgues, dans la Dordogne.
La fin du tracé devant passer par Lavergne et Sistrières plus au nord me parait encore long étant donné l’heure. Je décide de couper en suivant un chemin goudronné qui traverse deux hameaux, Parpaleix et Touteix où un beau chemin nous amène dans les prés pour le seul HP du jour. Après avoir traversé la seule clôture de la journée – un exploit dans le Cézallier – je prends plein est la direction d’un buron d’où part progressivement un chemin d’exploitation qui nous amène deux kilomètres plus loin sur la route, à l’entrée d’Espinchal. Après un petit détour herbeux et piquant pour apercevoir la cascade du ruisseau d’Espinchal, nous regagnons les voitures garées près de l’église.
Animateur : Michel J. Terrain : souple, quelques grosses flaques d’eau Météo : température douce, idéale pour l’exercice Temps de préparation et de rédaction : 2h00 Mise à disposition de matériel : 1 paire de bâtons de marche nordique en 1,15. Kilométrage : 1 voiture en covoiturage au départ de Clermont, 5 voitures sur place soit un total général de 120 km.
Nombre de participants : 8 animateur compris (3F, 5H)
Distance ; 21,75 km ; moyenne 6,4 km/h soit 9’22’’au km ; dénivelée 499 m (montre Garmin). Durée : 3 h 24 (de marche) et 3 h 35 (déplacement et pauses compris). Échauffement et étirements non comptabilisés.
Itinéraire : départ du parking du Panoramique des Dômes, la Fontaine du Berger, contournement par l’Est, le Sud et l’Ouest du Puy de Pariou, contournement par l’Est et le Nord du Puy de Fraisse, Chabanne Vieille, Bac de Montmeyre, contournement par le Nord, l’Ouest et le Sud du Puy de Besace, col de Ceyssat, Bois de Charmes, chemin des Gouris, parking
Observations : l’objectif de la sortie à 6,6 km/h n’a pas été atteint. Le chemin entre les Puys de Balmet et le Grand Suchet était défoncé par des engins de débardage et celui passant à l’Est du Puy Fillu jusqu’à la descente vers le bac de Montmeyre était encombré par des arbres tombés. Tout cela a ralenti la progression du groupe mais a été vécu dans la bonne humeur ! L’équipement recommandé a été rappelé dans les messages en amont de l’activité : chaussures de trail, jogging, un collant plus ou moins chaud en fonction de la météo, vêtement respirant pour le haut, petit sac à dos avec ravitaillement, eau, des bâtons (de type marche nordique) pouvant être prêtés … Un covoiturage au départ du musée Quillot a été proposé.
Animatrice : Mady Nombre de participants : 14 animatrice comprise ( 10F, 4H ) Météo : ciel couvert le matin, après midi ensoleillée Distance : 23 km Dénivelé : 750 m Durée déplacement : 6 h15 Classement Atlas : facile Préparation et rédaction : 3 h
ITINÉRAIRE : Jozerand, Buchavat, les Brayards, Champs, Chamalet, Est Chabrépine, les Charmats, Jozerand
La pluie qui nous a accompagnés durant le trajet en voiture s’est transformée en un petit crachin à l’arrivée à Jozerand. Le ciel est bas, la température fraîche et vestes et capes sont enfilées. Je choisis de faire le circuit en sens inverse de celui tracé initialement comptant sur la forêt plus présente sur cette partie pour nous protéger en cas de pluie. Mais finalement, aucune averse ne troublera notre parcours et les vêtements de pluie pourront être enlevés. Tout le matin nous évoluons la plupart du temps dans un environnement très boisé, utilisant de beaux chemins qui ont bien absorbé les pluies des derniers jours, les chaussures ne seront même pas sales. Nous y rencontrons de nombreux « amis » des jardiniers, limaces, escargots qui apprécient l’humidité ambiante. La modification du terrain par rapport à la carte nécessite une adaptation pour rejoindre le ruisseau des Coinches. Nous nous contenterons de le traverser alors que nous aurions dû le longer avant de remonter sur Buchavat. Après le pique-nique pris à Champs, les paysages sont plus ouverts et nous apercevons au nord les paysages très verdoyants et bocagers du département de l’Allier tout proche. Encore quelques montagnes russes pour franchir les petits vallons où coulent les ruisseaux de la Ganne et du Moulin, les vététistes rencontrés préférant pousser les vélos.
Etang sur le ruisseau de la Ganne
Sur le plateau, la végétation s’épanouit, robiniers faux acacias, genêts en pleine floraison, blés parsemés de bleuets ondulants sous le vent et herbe prête à être fauchée, avec au loin, la chaîne des Puy.
Bientôt les foins…
A l’arrivée à Jozerand, un petit détour pour aller jusqu’au château datant de la fin du XVe siècle mais les hauts murs qui l’entourent, empêchent toute vue sur le parc et les bâtiments. photo
Mur d’enceinte du château de Jozerand.
Merci à tous pour votre participation et les douceurs offertes.
Animateur : Michel J Nombre de participants : 6 dont 3 femmes et 3 hommes. Météo : fraîche en début de matinée puis douce sans excès avec un grand ciel bleu. Classement du séjour : facile Temps de préparation et de rédaction : 5 heures
Ce parcours de proximité entre Combrailles et Limagne nous a permis de continuer la préparation pour le grand rendez-vous à vélo rando de cette saison l’itinéraire « De Clermont au point culminant des Monts d’Arrée ». Avec la météo des dernières semaines, la campagne est verdoyante et la floraison dans les prés et les bas côtés des petites routes est exubérante. On peut reconnaître l’orchidée mâle, les compagnons rouges et blancs, les boutons d’or, les coquelicots et plus haut sur les talus les genêts chargés de fleurs d’un jaune lumineux. Deux jours de dépaysement à deux pas de son quotidien, un peu plus de 08h00 de roulage, un peu moins de 130 kilomètres vélos chargés sans compter les déplacements après installation et un peu plus de 1700 mètres de dénivelée positive. Données techniques de l’itinéraire fournies par une montre Garmin, la distance parcourue ramenée à l’unité (D) les dénivelés positifs (DP)et négatifs(DN).
Les grandes lignes de l’itinéraire : il s’est effectué sur des voies cyclables à la sortie et au retour dans la métropole et sur des petites routes à faible circulation.
J1. D 53 km DP 1023 m DN 653 m. Parking du musée Quillot, Cébazat,Sayat, Malauzat, Volvic, Crouzol, Enval, Charbonnières-les-Varennes, Loubeyrat, la Brousse, le belvédère du Gour de Tazenat, Charbonnières-les-Vieilles, Pont de Péry, Péry, Blot-l’Eglise. Jusqu’à Enval, l’itinéraire est connu d’une majorité de participants, parcouru à titre d’entraînement en cours de saison. La montée sur Charbonnières longue de plusieurs kilomètres avec des changements de rythme liés au pourcentage de pente réchauffe les organismes. Petite pause au lavoir de ce gros bourg de moins de 2000 habitants qui verra le passage du tour de France le lundi 14 juillet 2025. Sans grande circulation, la route vers Loubeyrat faite de petites bosses et de faux plats montants et descendants se fait à bonne allure. Le pique nique est pris sur une aire de jeu à l’entrée du village connu pour sa boulangerie et sa cathédrale des montagnes. Malgré le soleil, le fond de l’air est frais. Un petit détour non prévu à l’origine proposé par l’animateur pour admirer depuis le belvédère les eaux mystérieuses du Gour de Tazenat.
Arrivés de bonne heure à Blot-l’Église, nous allons en ordre dispersé visiter l’huilerie et la maison des artisans où l’accueil a été chaleureux et attentionné. Pour finir la journée, nous avons échangé à la buvette du stade avec des dirigeants et supporters du club de football de l’Entente CharBlot (Charbonnières-les-Vieilles et Blot) dans une ambiance festive (voir photo sur Facebook).
J2. D 71km DP 678 m DN 904 m Blot-l’Eglise, Marcillat, les Naines, le Mas, Chabannat, St-Priest-d’Andelot, St-Agoulin, Artonne, Aubiat, le Cheix, Varennes-sur-Morge, Clerlande, Targnat, St-Beauzire, Gerzat, la Combaude, parking du musée. Après une nuit fraîche très étoilée, nous quittons le camping tenu par un néerlandais sympathique pour un itinéraire normalement plus facile. Peu après Blot sur un épaulement qui domine la campagne sur 360°, nous découvrons un relais moderne automatisé de Météo France avec sa coupole.
Mais les petites blanches réservent toujours quelques surprises et arrivés au pied d’une petite butte qui mène au lieu dit les Naines, il faut se rendre à l’évidence que le mur qui se dresse devant nous va faire des dégâts. La moitié du groupe arrive à passer les 15 % sur un bon 400 m et les autres poussent les vélos chargés. C’est ça aussi le voyage à vélo lorsque l’on veut éviter les grands axes et la circulation, il faut savoir accepter les surprises du terrain ! Ravitaillement en pain et douceurs à la boulangerie de St-Agoulin puis c’est la descente vers la Limagne et quelques degrés de plus en température. A bientôt pour une nouvelle sortie…
Accident :néant Problème mécanique : aucun Matériel mis à disposition : 1 tente de marque Décathlon, modèle 900MT, 1 remorque « Bob » modèle Ibex.
Animateur : Thierry Nombre de participants : 15 animateur compris (8 F, 7 H) Météo : Soleil et nuages Distance : 25 km (montre altimétrique de Pierre) Dénivelée : 800 m (montre altimétrique de Pierre) Durée : 7h20 pauses comprises Classement Atlas : Facile Kilométrage auto : 50 km pour 1 véhicule et 80 km pour 2 véhicules – 2 voitures sur place Préparation et rédaction : 3H
Itinéraire : Pessade, GR4, sente SW et E vers piste forestière, buron du Creux, sous le buron du Regardet, chemin vers bois de Saignes, SE vers Beaune le Froid, W vers bois des Bruyères, petite route sous puy de Chambon, D996, vers ferme de Dyane, NW au-dessus du puy de Pouge vers source captée, gué sur ruisseau de Diane, pente est du puy de la Tache vers GR4 entre puy de Monne et puy de la Tache, GR4 jusqu’à Pessade
Un parcours varié est prévu pour une journée sans pluie et avec quelques rayons de soleil. Parti de Pessade avec un petit retard dû aux embouteillages du nord au sud de Clermont, nous quittons vite le GR pour descendre les pentes du vallon de la Monne, sous le puy de la Védrine. Au loin nous apercevons une machine de débardage à l’œuvre sur un pan entier de la colline. A proximité du buron du Regardet, nous verrons déboucher le gros tracteur à chenille qui ramène des grumes vers la civilisation.
Destruction des chemins d’exploitation garantie ! Nous marchons à l’envers du parcours suivi pendant notre rando de nuit en décembre. Les distances paraissent moins grandes. Nous remontons le long du bois de Maugue quand nous devons laisser place à une quinzaine de quads remplis de gens souriants qui s’excusent (sans doute ?) du dérangement mais quand même ca fait toujours un pincement au cœur de voir de tels engins de « loisir » rompre la tranquillité des estives. Nous continuons vers Beaune le Froid sur un large chemin d’exploitation jusqu’à la croix au PC 1088. Nous changeons alors complètement de direction pour filer plein ouest vers le puy Chambon à travers le bois des Bruyères. Il y avait autrefois un accès au sud pour longer le bois tout en bénéficiant des somptueux panorama vers la vallée de Chaudefour et la Montagne de la Plate. Mais les taillis ont envahi cette petite bande de gazon sur laquelle je pensais déjeuner. Nous nous rabattons donc dans le bois au niveau d’une coupe récente bien exposée au soleil.
Le repas est rapidement avalé et nous reprenons notre progression pour une longue après-midi de rando. Première étape, reprendre pied sur la petite route forestière qui traverse le bois un peu plus haut dans la pente. Elle nous mène sans difficulté au pied du puy Chambon qui n’est pas notre cible du jour. Nous continuons donc la route jusqu’au croisement avec la D996 qui monte au col de la Crois-Morand. Nous la traversons pour rejoindre le chemin qui mène à la ferme de Dyane. Aux abords de la ferme nous prenons toutes les précautions pour ne pas trop nous faire remarquer car l’éleveur est (était ?) connu pour être assez ombrageux avec les randonneurs. Nous sommes sur un chemin en surplomb peu visible de la ferme dissimulée derrière des sapins. Ouf l’exploitation est derrière nous et le groupe s’anime à nouveau. Il nous faut trouver le gué du ruisseau de Dyane pour prendre appui sur les pentes est du puy de la Tache. Il est atteint presqu’au bout du chemin que nous suivons depuis les abords de la ferme. On devine bien tout là-haut le collet entre Monne et Tache qui est notre but. La pente est rude mais le terrain est encore facile. Le groupe s’étale tout au long de cette belle montée que beaucoup découvrent.
Les premiers vont pouvoir voir une marmotte proche…. Parvenus sur le GR entre les deux puys, une pelouse moelleuse et ensoleillée est l’endroit idéal pour une longue pause réconfortante. Nous sommes au point haut de la rando. Il ne reste que 7-8 km à parcourir jusqu’à Pessade en suivant ce beau GR 4 : une formalité !
Animateur : Michel J. Météo : couvert, quelques gouttes, température fraîche. Terrain : petites routes et chemins d’exploitation Distance du parcours : 65 km ; Dénivelé positif : 849 m (montre GPS) Durée de la sortie: 5 h 37 (avec les pauses) Durée de roulage : 4 h 36 ; 14,2 km/h de moyenne.
Nombre de participants : animateur compris 10 (4F, 6H) Temps de préparation (matériel et rédaction) : 2 h 30
Les grandes lignes de l’itinéraire : départ à 09h00 de la rue des Fossés sous le Séminaire, piste cyclable Croix Neyrat, Blanzat, bassin de rétention du Bedat, Sayat, Malauzat, Volvic, Enval, Charbonnières-les-Varennes, Beaunit, Verrières, Grelière, les Bruyères, Paugnat, Moulet-Marcenat, les Goulots, le Cratère, Argnat, Sayat, Blanzat, cimetière de Gerzat, les Vergnes, la Combaude, Musée.
La préparation des séjours se poursuit. Le groupe est en forme et malgré une météo maussade l’ambiance a été bonne. Le parcours a été apprécié et les quelques kilomètres de chemins d’exploitation nous ont rapproché un peu plus de la nature…
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