Animateur : Georges Nombre de participants : 10 animateur compris 7 F et 3H Météo : ensoleillé le matin et nuageux l’après-midi Terrain : humide par endroits avec de grosses flaques d’eau Distance : 19 km Dénivelé : 380 m Durée : 5h 30 pause comprise Classement Atlas : facile Kilométrage auto : 50 km x 2 pour 1 voiture, 55 x 2 pour 1 autre voiture soit 210 km Préparation et rédaction : 2 h
ITINERAIRE : Départ de Briffons, puy des Anglais, pc 863, Combas, le Ribeyroux, Muratel, pc 855, pc 890, pc 957, retour à Briffons.
Ce matin départ de Briffons, village au sud des Combrailles. Le ciel est couvert, la température est idéale pour la rando. Nous partons en direction du puy des Anglais qui se situe au milieu d’une sapinière. De larges chemins nous conduisent jusqu’au ruisseau de Cornes avec une alternance de bois et de prairies verdoyantes, le printemps s’installe. Après un passage près du champ de tir de Bourg-Lastic, direction le village de Ribeyroux. Nous découvrons une maison abandonnée avec une magnifique façade en pierres taillées
Prochain village Muratel, il est l’heure du pique-nique
les nuages ont disparu, le soleil arrive. Nous repartons en direction du petit Sioulet, un chemin en balcon au-dessus du ruisseau nous conduit jusqu’au moulin des Renards. Pas de moulin en vue, il est caché au milieu des bois. Pour éviter une route goudronnée qui passe par Tortebesse, nous traversons un petit bois pour retrouver le petit Sioulet. Nous entrons dans la forêt domaniale de l’Eclache, une petite sente devient vite impraticable, nous décidons de traverser en hors piste à la boussole pour retrouver le chemin forestier. Celui-ci est en pleins travaux. Un socle en béton est prêt à recevoir une éolienne, deux autres chantiers sont en cours plus loin. Notre spécialiste de champignons trouve deux grosses morilles.
Un long chemin forestier nous guide jusqu’aux voitures.
Merci à Germaine la régionale de l’étape pour ses explications et merci au groupe pour les friandises de midi et de fin de journée.
Nombre de participants : 5 animateur compris (2F, 3H) Météo : ciel présentant quelques éclaircies en fin de matinée puis se couvrant progressivement avec de gros nuages noirs vers l’ouest. Température fraîche. Pas de pluie ! Classement : facile
Matériel mis à disposition par l’association :
3 kayaks de mer ; 2 Bélouga 1 de marque Plasmor dont l’un mis à disposition par l’animateur, 2 de marque Dag, modèle Miwok et Ysak, 1 Fury de marque Kayman (bateau de l’encadrant).
équipement complémentaire pour les kayaks (jupes d’étanchéité, éponges, 1 cordelette de 10 mètres)
équipement pour les participants (gilets d’aide à la flottabilité, pagaies doubles)
pour le transport des bateaux : une remorque routière équipée de l’adaptation « kayak»
Organisation générale :
Transport: à l’aide d’un véhicule en covoiturage Michel J. (Renault kangoo) tractant la remorque.
Kilométrage général effectué par le véhicule : 105 km
Niveau d’eau : le plan d’eau était très bas et de nombreuses constructions jamais vues apparaissent…
Conditions de navigation : très bonne.
Kilométrage parcouru : 16,610 km et 03h18 de navigation une moyenne entre 4,6 et 5 km/h environ. Une bonne reprise sur ce plan d’eau à moins d’une heure de Clermont-Fd et tellement dépaysant. Le niveau étant anormalement bas à cette période cela nous a permis de découvrir des vestiges du temps où le barrage n’existait pas et notamment l’ancienne route qui menait à Miremont et ses parapets encore en assez bon état. Nous avons accueilli Philippe qui s’est vite adapté à son bateau. La technique du radeau a été mis en place histoire d’effectuer une manœuvre rapidement…
En remontant l’ancien cours de la Sioule !
Le niveau d’eau est tellement bas que l’on croise même une voiture ! 😏
Un déplacement à vélo a eu lieu le mercredi 07 mai 2025 pour suivre l’évolution de la plantation en ce début de printemps. Vous verrez en regardant la photo ci-dessous que les noyers ont pris de l’ampleur et que les 85 arbres se portent bien ! L’opération menée les 22, 23 et 28 mars 2024 est couronnée de succès avec une reprise à 100 % des arbres transplantés.
A bientôt pour une nouvelle opération….. -o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-
Animateur : Yves Nombre de participants : 10 animateur compris ( 7 F, 3 H) Météo : nuageux le matin, orage et averse l’après-midi Distance : 22 km Dénivelé : 600 m Durée : 6 H pauses comprises Classement Atlas : facile Kilométrage auto : 75 km pour 2 véhicules ( Benoit, Yves) soit : 150 km Préparation et rédaction : 2 H
ITINERAIRE : Manglieu, Tarragnat, Le Chat, PC457, PC486, PC489, Champriat, Craimps Haut, La Rochette, PC652, Dagout, La Farge, Pourrat, Le Brugeron, Les Creux, Château Auger, Manglieu.
Courte rando prévue aujourd’hui, car la météo annonce de gros orages dans l’après-midi. Nous quittons donc Manglieu dans la brume, après avoir visité l’imposante Abbatiale du 12°S, nous traversons l’Ailloux et direction le Puy de Céveloux.
Abbatial de Manglieu
Avant Tarragnat, le sentier se faufile entre de hautes herbes détrempées suite à l’orage d’hier. Nous voilà déjà trempés jusqu’aux genoux, test idéal pour l’étanchéité des chaussures. A Tarragnat les premières gouttes arrivent, un auvent fera notre affaire pour enfiler les vêtements de pluie. Nous contournons le Puy de Céveloux par un deuxième passage dans les herbes mouillées. Dans le bois de Rouaire, l’attention est de mise car si glissade, bain de boue assuré. Le soleil commence à pointer son nez, la chaleur est pesante, on est bien dans une ambiance de temps orageux. La montée sur Craimps est agréable avec une large vue, sur les puys et pics du Bois de la Comté, sur la Limagne d’Issoire et ses petits pitons rocheux, et en toile de fond le Sancy et le Cézallier. Peu après le hameau la Rochette, un petit coin sympathique avec des sections de troncs alignés comme des bancs, nous tend les bras pour la pause méridienne.
Nous sommes au plus haut du parcours, la descente sur Dagout et la Farge, par cette douceur, est appréciée. La D754 coupée nous remontons sur Pourrat pour contourner le Puy d’Auger et découvrir son château privé du 15°S. Le tonnerre commence à se faire entendre au loin. Au fur et à mesure de notre avancée dans le bois les grondements se font de plus en plus forts et de moins en moins espacés, le ciel s’assombrit puis se noircit fortement.
Montée au puy d’Auger
A proximité du château nouvelle séance de protection contre la pluie, le clocher de Manglieu est en vue il nous reste 2,5 km environ. Nous délaissons les chemins, emboitons la route et activons le pas. La pluie propulsée par le vent du nord se fait de plus en plus forte. Nous sommes déjà bien ruisselants, à l’entrée du village un porche de garage nous sert d’abri momentané en attendant une accalmie.
Sous le porche
Les voitures sont à quelques dizaine de mètres, les plus courageux donnent le las et nous voilà parti, jambes à notre cou, dans la rue principale. Un abri bus bienvenu a fait notre affaire pour le changement de tenue. Le timing pourtant calculé en fonction des données météo n’aura pas été assez précis pour éviter ces trombes d’eau. Merci aux courageux présents .
Animatrice : Christelle Nombre personnes : 12 P. Animatrice incluse 9 F 3 H Météo : J 1 ciel couvert, quelques éclaircies et quelques gouttes J 2 couvert avec un peu de bruine et brouillard le matin, soleil l’après- midi
Terrain : alternance de passages secs et très humides, boueux Distance : J 1 19 Km 650 M D+ (+ aller-retour cascade du Déroc 1.5 km) J 2 20 Km 610 M D+ Durée : J 1 6H10 pauses incluses J 2 7h50 pauses incluses Classement : Facile Kilométrage auto : 462 km X 3 véhicules soit 1386 km Préparation et Rédaction : 15 heures
ITINERAIRE : J1 Halte à proximité de Nasbinals, aller- retour cascade du Déroc Puis transfert en voiture vers Aubrac, Croix de la Vaysse, les Enfrux, Saint Chély d’Aubrac, Belvezet, Aubrac. J2 Condamines, Vioulaguet, Luc, les Malavals, Alauzet, Mandailles, Disses, Le Cambon, Brousse, Le Cambon, le Plantou, Sisterne, Salesses, Condamines.
Départ de Clermont à 7 h pour les 12 atlassiens, arrivée 2 heures après à proximité de Nasbinals. Les derniers kilomètres en voiture nous permettent d’avoir déjà un joli aperçu de ce paysage si particulier, ces bosses au doux relief, parsemées de multitudes de boules de granit et ces prés colorés de jaune par de nombreuses jonquilles !
Nous faisons une première halte d’une heure pour aller découvrir la magnifique cascade du Déroc, la plus haute de l’Aubrac (32 m de haut) et sa falaise de basalte.
la cascade
En contournant le site par la gauche, on peut carrément passer sous la cascade et voir de près ces nombreux orgues basaltiques ! La traversée se fera lentement et prudemment car les blocs sont humides et il vaut mieux avoir un vêtement imperméable car la chute d’eau se transforme vite en vaporisateur géant ! A la remontée de l’autre côté, plusieurs bras du ruisseau arrivant du lac des Salhiens tout proche nous barrent le chemin. Chacun à sa façon réussit à enjamber tout cela, certains opteront carrément pour le bain de pieds !
Retour aux voitures pour un court trajet qui nous mène jusqu’au village d’Aubrac. Cette commune doit son existence à la création au 12ème siècle d’un hôpital monastique permettant de recevoir les pèlerins de Compostelle puisque nous sommes sur une étape de la Via Podiensis.
Notre parcours emprunte de beaux chemins forestiers bordés de murets en pierre typiques du plateau de l’Aubrac. Après les bois de Monterbosc, nous faisons une rapide pause pique-nique car il ne fait pas bien chaud en prenant quand même le temps d’étudier une fleur inconnue de tous : l’erythronium dent de chien, fleur de la famille des liliaceae dont le bulbe évoque un croc de chien. Nous débouchons ensuite sur un autre plateau où nous profitons d’un immense panorama sur le versant qui abrite le Lot. Après les Enfrux, nous empruntons un charmant chemin où l’on retrouve nos beaux murets et des bordures fleuries d’orchis mâle, anémones sylvie, primevères officinales, cardamines ….
Après une bonne descente nous entrons dans Saint Chély d’Aubrac, joli village dont l’animation et l’activité tournent essentiellement autour du pèlerinage de Saint Jacques. Après une pause sur le vieux pont des pèlerins,
nous découvrons de nombreuses belles bâtisses en pierre, certaines très anciennes où la présence de coquilles rappelle la présence des marcheurs.
Etant sur un des segments majeurs du parcours, nous en croiserons d’ailleurs plusieurs sur la deuxième partie de notre rando.
Nous entamons une longue remontée vers Aubrac par une belle petite sente, courte halte à Belvezet pour observer le neck (ou culot volcanique) qui trône au-dessus du hameau. Dégagés par l’érosion, ce sont les restes d’une ancienne cheminée issue d’une éruption datant de 9 millions d’années.
Dernier effort et c’est le retour aux voitures où nous prenons le temps de déguster un bon gâteau préparé par Aurélie ! Quelques kilomètres plus loin, nous arrivons au gîte Del Roumiou, belle bâtisse ancienne nichée au cœur du charmant village de Saint Côme d’Olt, étape de Compostelle et connu pour son clocher flamé (légèrement » torsadé »).
le clocher Saint Côme
Merci à Sophie et Gaêtan pour l’accueil chaleureux, le bon repas et le cours de chant !! Et oui toute la tablée a entonné « Ultreïa » le chant de ralliement des pèlerins !
Dimanche matin, court trajet pour rejoindre Condamines, départ de notre deuxième parcours. Fini le plateau de l’Aubrac, nous avons perdu plus de 300m. d’altitude et retrouvons un paysage plus verdoyant où le châtaignier est très présent. Après Luc, nous descendons encore de 200 m. par de jolis chemins dont une belle sente en balcon où l’accès se fait par un discret portillon en bois et qui nous permet de rejoindre les bords du Lot. La deuxième plus longue rivière de France est d’une largeur assez conséquente à cet endroit du fait de la présence du barrage de Castelnau. Cheminement paisible le long du cours d’eau tout en observant plusieurs pêcheurs en pleine action sur leurs embarcations équipées de caméras permettant de repérer plus facilement les poissons !
Puis c’est la montée un peu plus physique dans une atmosphère lourde vers Mandailles, autre beau village qui mérite le détour avec ses maisons en pierre de schiste et son superbe panorama sur les méandres du Lot !
Le Lot
Midi est déjà bien passé mais nous poursuivons car l’objectif est de pique-niquer dans un jardin qui sort de l’ordinaire…. Nous l’atteignons après une bonne grimpette le long d’une très belle sente forestière. Nous ne regrettons pas d’avoir patienté, le site est vraiment joli. Le propriétaire de l’Artistoparc nous propose de nous installer sur sa terrasse où la verdure, le soleil et la vue sur le Lot sont bien appréciés ! Le domaine façonné par notre hôte depuis des années est magnifique et nous offre une belle parenthèse bucolique.
Le parc
Nous y avons notamment observé une étonnante mini-forêt de chênes « bonzaïs » que le monsieur « élève » depuis 25 ans !!
L’heure tourne et nous oblige à écourter notre visite. Après un échange avec lui sur la suite de mon parcours, je décide de modifier mon trajet car il m’explique qu’une portion est devenue inaccessible. Bon conseil qui nous permet d’éviter un retour trop tardif aux voitures et nous laisse le temps de faire une halte désaltérante dans un café à Saint Geniez d’Olt.
Retour sur Clermont à 20H30, chargés d’un nouveau colis de beaux souvenirs ! Encore merci à tous pour votre présence !
Animateur : Yves Nombre de participants : 13 animateur compris ( 6 F, 7 H) Météo : couvert avec quelques éclaircies Distance : 25 km Dénivelé : 940 m Durée : 7 H 50 pauses comprises Classement Atlas : Moyenne Kilométrage auto : 170 km pour 1 véhicule et 140 km pour 2 autres soit : 450 km Préparation et rédaction : 3 H
ITINERAIRE : D588 vers Saint Laurent Chabreuges, PC608, Talairat, Artiges, Verneuges, PC613, Moulin de la Poudrière, Moulin de Lugeac, Saint Just Près Brioude, Vazeilles, PC663, Lodines, Les Ages, retour aux voitures.
Temps bien couvert ce matin, petit hors piste pour rejoindre le chemin en direction de la Chassagne. Au PC608, nous croisons la D12, sur notre gauche nous apercevons les ruines d’une ancienne tuilerie où l’on distingue encore les briques du four. Quelques pas plus loin, des anciennes mines nous rappellent que le secteur était riche en argent, plomb et antimoine, d’ailleurs celles de la Chassagne, spécialisées en antimoine ont été actives jusqu’en 1996. Notre parcours se continue sur un large chemin d’exploitation jusqu’à Talairat, où la gare nous remémore le passage d’une ligne ferroviaire de Brioude à St Flour , mise en service en 1910, active jusqu’à fin 1940 pour les voyageurs et en 1953 pour les marchandises. De Talairat à Artiges, nous l’empruntons, transformée en agréable chemin. D’Artiges à Verneuges, afin de diminuer la pente sur le contrefort du Pié de la Vergueur, volcan relativement jeune (15000 ans), exploité en pouzzolane, un tunnel de 650m fut creusé : le plus long de cette ligne.
A la sortie de Verneuges, tout en contournant le Pié, nous plongeons sur la vallée du Céroux, objectif du jour. Ce ruisseau qui prend sa source vers Soulages sur le plateau d’Ally, se jette 34km à l’est dans l’Allier, à Vieil Brioude. Le soleil perce les nuages et d’un coup nous changeons brutalement de température. Au loin, nous apercevons les éoliennes d’Ally et l’origine de la vallée que nous allons poursuivre. Soudain un bébé chevreuil jaillit d’un bosquet, apeuré il détale à toutes pattes et seules ses petites oreilles dressées nous permettent de le suivre avant de disparaitre dans la végétation abondante. Nous voilà au Moulin de la Poudrière, bâtiment bien entretenu sur le bord du Céroux, endroit idéal pour le pique-nique.
Endroit idéal pour le pique-nique
Le chemin jusqu’à Lugeac, proche ou éloigné du ruisseau, ne sera que montagnes russes, et zigzague entre diverses traces laissées par des motos, le tout dans cette hétraie sauvage mais exigeante physiquement. A Lugeac, pour ne pas emprunter la route de Saint Just, nous décidons de passer au dessus, par la Côte du Chausse. Bien mal nous a pris car, après la montée sur un chemin fraichement aménagé, le sentier en courbe de niveau a complètement disparu. Notre progression se fait dans des pâturages en pleine zone de paillats, en sautant de murs en murs. Le clocher de St Just apparait : nous sommes sauvés! Arrêt devant l’église romane du 12° dont les pierres rouges provenant du volcan de la Vergueur ornent la façade.
Eglise de Saint-Just-Près-Brioude
En bas du village, l’imposant Château du Mas se détache des champs alentour où les fleurs très nombreuses de pissenlits rehaussent le tableau.
Château du Mas
Nous abandonnons le Céroux que l’on a suivi pendant 8 km pour remonter sur Vazeilles par la Combe Ramade. Un petit troupeau d’ânes en mal d’affection se rapproche et se laisse caresser gentiment. Au départ, le sentier rocheux grimpe très raide et se prolonge une fois la montée finie, en un agréable dédale en courbe de niveau très reposant. Vazeilles dépassé, nous contournons le Bois de la Couelle pour rejoindre Lodines. Après, le parcours prévu dans le Bois des Ages parait compromis vu la configuration du paysage par rapport à la carte. Nous longeons donc le bois par des pâturages et gagnons le chemin qui mène aux Ages, où un vieux pont de pierres à trois arches inégales, admirablement conservées, enjambe le ruisseau de Courgoux.
Il nous reste le Pié Boutey à contourner et nous serons aux voitures. Un brave monsieur nous confirme qu’à partir de là, il n’y a plus de chemin et nous montre que notre destination, c’est tout droit dans le bois. Boussole en main, nous voilà partis : quelques arbres enjambés, quelques ronces contournées ou piétinées et quelques glissades réalisées, nous retrouvons enfin nos véhicules.
Journée bien remplie. Participants satisfaits des paysages mais contents d’arriver car, si la distance est restée correcte, le dénivelé s’est bien envolé et le hors piste a dépassé le soupçon. Merci à tous pour ce bel effort !
Animateur : Georges Nombre de participants : animateur compris 23 (12 F et 11 H) Météo : pluvieux le matin et nuageux l’après-midi sans pluie Terrain : humide et gras Distance : 18 km Dénivelé : 500 m Durée : 5h 30 Classement Atlas : facile Kilométrage auto : 84 km pour 3 voitures et 50 km pour 3 voitures soit 402 km Préparation et rédaction : 2 h
ITINERAIRE : Départ d’Orbeil, Beauregard, Perthus, Domaine de Vort, Domaine de Moidas, Béchaud, La Roche, Les Fougères, La Malcourtie, Barberie, retour a Orbeil.
Orbeil, point de départ de la rando avec une petite pluie intermittente. Nous empruntons le GRP autour d’Issoire une grande partie de la journée. Une petite incursion au village de Beauregard et nous descendons sur les berges de l’Allier qui, avec les pluies de ces derniers jours, a un fort débit. Nous quittons les berges de l’Allier en direction des domaines de Vort et de Moidas. La pluie ne nous a pas quittés et sur le plateau un petit vent n’arrange pas les choses. Nous arrivons au village de la Roche, il est l’heure du casse-croûte, un petit muret pour s’asseoir est le bienvenu.
Un monsieur nous propose gentiment de nous abriter sous son balcon en cas de grosse averse. La pluie a cessé, direction la bute d’Ibois.
Au sommet se dressait un château fort datant du 11° siècle, aujourd’hui disparu. La reine Margot y a séjourné quelques temps. Malheureusement nous n’avons pas trouvé de sente pour atteindre le sommet. Une descente nous conduit jusqu’au village de Chauffour et c’est le retour aux voitures.
Merci à tous malgré la météo, heureusement quelques rayons de soleil en fin de parcours.
Animateur : Yves Nombre de participants : 10 animateur compris ( 7 F, 3 H) Météo : journée ensoleillée Distance : 24 km Dénivelé : 550 m Durée : 7 H pauses comprises Classement Atlas : Facile Kilométrage auto : 140 km pour 2 véhicules soit 280 km Préparation et rédaction : 3 H
ITINERAIRE : Merlines, Pont de la Borie, PC647, PC621, PC601, Gare de Savennes, Le Moulin de Bardoire, La Randonnière, Feix, PC749, PC689, Gare de Savennes, Couleyroux de Gioux, Gioux, PC746, PC719, PC698, PC680, Merlines
Petite incursion en Corrèze ce matin au départ de Merlines, centre ferroviaire de grande importance de 1880 à 1952, au carrefour de deux grandes lignes Paris Bézier et Lyon Bordeaux.
Nous quittons ce petit village paisible par les gorges du Ruisseau de l’Abeille affluent du Chavanon. Le but du jour est de découvrir les Gorges du Chavanon, site grandiose, sauvage, profondément entaillé dans la roche, limite depuis des siècles entre l’Auvergne et le Limousin. Notre parcours rencontre rapidement un beau et large chemin, la taille des parois rappelle les vestiges d’une voie ferrée. Nous sommes sur l’ancien tronçon Bourges – Miécaze, crée en 1882 et fermé en 1950 suite à la mise en eau du barrage de Bort les Orgues. Nous sommes partis pour environ 8 km le long de cette rivière, bercés par le clapotis de l’eau et caressés par des rayons matinaux qui se frayent un passage à travers les hêtres.
Soudain, au dessus de nos têtes se découvre le magnifique viaduc du Chavanon à 100m au dessus de l’eau sur 300m de long, construit de 1997 à 2000 pour le passage de l’autoroute Lyon – Bordeaux. C’est le troisième pont suspendu de France après Tancarville et Aquitaine.
Viaduc du Chavanon
Compte tenu de la qualité du chemin, notre progression est rapide et nous arrivons très vite à proximité de la Gare de Savennes où nous découvrons les Fours à Chaud de Gioux. Le calcaire appelé cipolin, par cuisson dans ces fours fournissait de la chaux pour la construction et le chaulage des terres, l’activité ayant pris fin avec l’arrêt de la ligne. Nous voici à la gare, le beau chemin s’arrête. Nous continuons toujours le long de cette rivière qui s’enfonce dans cette vallée avant la confluence avec la Dordogne. Le sentier devient plus étroit, plus escarpé et plus sauvage, nous entrons dans un site Natura 2000 où plusieurs tunnels servent de gîte à de nombreuses espèces de chauve-souris dont une majorité de Barbastelles.
Sortie d’un tunnel
Au Moulin de Bardoire, nous sortons des Gorges, la pente est raide, la sente peu marquée, la faim se fait sentir. C’est fait ! On est en haut. Nous apercevons les toitures du hameau de la Randonnière et un étrange bâtiment en bois qui aiguise notre curiosité. Nous nous en approchons et nous découvrons un imposant observatoire du brame du cerf, ouvert au public depuis peu.
L’observatoire
Le chemin d’accès délimité par un tressage de gaulettes de châtaignier a été aménagé par les élèves en Bac Pro du lycée agricole de Rochefort Montagne. L’endroit est sympathique. Nous y prenons notre pique-nique.
Jusqu’à la Trapperie, nous nous déplaçons sur le plateau avec vue sur le Sancy où la neige, avec ces journées ensoleillées a pratiquement disparu. Plongée sur le Chavanon que l’on traverse cette fois à la Gare de Savennes ou d’autres fours à chaud sont au bas de la pente. Remontée sur Gioux par le Puy de Ragaury, sentier caillouteux avec quelques “coups de cul” mais sous un soleil radieux.
Retour tranquille sur Merlines pour clôturer cette journée très agréable.
Animateur : Michel Nombre de participants : 8 animateur compris (7F,1H) Météo : ensoleillé Terrain : sec Distance : 15 km Dénivelé : 1000 m de D+ Durée : 7h50 pauses comprises Classement Atlas : Moyenne Kilométrage auto : 84 km pour 2 voitures soit 168 km et 1 voiture sur place Préparation et rédaction : 3h
ITINERAIRE : parking sur D36 – maison de la réserve – Rocher de l’aigle – Montagne de la Plate – Roc de Fourme – Cascade de Pérouse – Pont St Anne – col de la Dent de la Rancune et Crète de Coq – Rochers de Laudiouse – Puy Jumel – retour aux voitures.
Après regroupement et les consignes, départ de la rando, mais, où sont les hommes ? mis à part l’animateur. C’est avec un groupe féminin très déterminé que nous prenons le 1er chemin qui longe la départementale sur la droite, nous empruntons le pont, PC1136 m pour traverser le ruisseau de Chaudefour. Petite traversée dans les pâturages pour rejoindre le chemin de découverte, passage à la maison de Chaudefour, où plusieurs équipes de grimpeurs se préparent pour aller gravir la Dent de la Rancune. La piste forestière remonte le versant nord de la Montagne de la Plate, au débouché du chemin sur le plateau du buron de la Plate, nous apercevons, sur les hauteurs dans notre direction, un groupe de 21 mouflons qui nous observent pendant une bonne 1/2 heure.
Nous observons leurs va-et-vient et leurs descentes sur le buron, après ce moment de grâce nous reprenons notre cheminement en hors sente jusqu’au sommet 1537m. Une nouvelle pause contemplative à 360° d’où nous apercevons encore quelques mouflons, traverser ” l’éboulis rouge’” zone de pouzzolane magnifique avec ses premiers crocus, jonquilles, bruyères et repousses de pins, les paysagistes sont passés part là. Nous avons à mon avis la plus belle vue sur le Massif du Sancy, avis partagé par tous. Bon ! midi approche et nous décidons d’aller faire notre pique-nique au Roc de Fourme 1448m.
Descente par le PR qui nous mène à la Cascade de Pérouse, Pont St Anne, puis direction prairie du centre de Chaudefour. Forte montée au col “Cornes du Diable et Pointe Stofer 1450m”, la plupart n’avait jamais fait cette ascension. Nous avons retrouvé quelques grimpeurs encore en action sur la rancune, et trois traileurs. Redescente, puis PR des Rochers de Laudiouze, Téton de Laudiouze 1439m, Puy Jumel 1400m , sente sur épaulement pour arrivée aux voitures. Retour sur Clermont après cette fabuleuse journée sous un soleil printanier.
Animatrice : Mady Nombre de participants : 25 animatrice comprise (16F, 9H) Météo : Soleil avec quelques passages nuageux et des rafales de vent Distance : 22,860 km Dénivelé : 900 m Durée déplacement : 7 h Classement Atlas : moyenne Voitures : 44 km x 3 voitures de Clermont Fd , 12 km x 2 voitures du Crest soit 156 km, et 2 voitures sur place. Préparation et rédaction : 3 h
ITINÉRAIRE : Chanonat, Ouest Puy de Cimard, Opme, plateau de Gergovie, sud est Romagnat, ravin de Vazilhat, Gergovie, Puy de Jussat, Jussat, Chanonat.
Autour du plateau de Gergovie avec tout au long du parcours plusieurs points de vue sur les vallées et montagnes.
Vue sur le Puy Giroux et le massif du Sancy
Situé au bord de l’Auzon, Chanonat est connu pour être le siège d’une ancienne commanderie hospitalière et du château de la Batisse. Mais il serait aussi le lieu de naissance du poète Jacques Delille, sachant d’autres sites donnent Clermont Fd comme lieu de naissance !
Nous traversons la partie ancienne du village jusqu’à l’église et l’ancienne commanderie hospitalière avant de rejoindre l’Auzon. Ce petit affluent de l’Allier paraît bien inoffensif mais pourtant la commune a connu plusieurs crues au XXème siècle, dans l’entre-deux-guerres, à la fin des années 1980 et au début des années 1990 et en juin 1992.
Depuis le chemin rive gauche nous apercevons le haut de la chapelle Notre Dame de l’Arbre puis arrivons au niveau du château de la Batisse et de son jardin à la française. Après la traversée de la D 52, nous commençons la montée vers Opme où nous arrivons par la rue du Maréchal de Lattre de Tassigny. L’occasion de rappeler que de juillet 1940 à septembre 1941, il séjourna au château et créa l’École des cadres d’Opme qui forma des cadres pour l’armée française rénovée.
Sur le plateau de Gergovie les moutons qui occupent l’espace ne semblent pas être gênés par le vent qui souffle en rafales. Pour notre part nous en quittons le bord pour le milieu espérant trouver un coin abrité pour le pique-nique. Ce sera le cas pour certains derrière une haie de buissons, pas pour d’autres préférant les murets pour s’asseoir mais toujours en plein vent.
Pique nique sur le plateau face au Puy de Dôme
Heureusement, la descente sur Romagnat puis le contournement nord du plateau permettent de retrouver plus de calme et une température plus douce. Un superbe machaon ne s’y trompe pas et volette tranquillement devant nous.
Après le village de Gergovie, direction le Puy de Jussat et ses grottes. Mais comme souvent des différences entre la carte et le terrain qui suscitent quelques hésitations entre un chemin inexistant sur la carte et celui devant être suivi, une très petite partie de hors piste pour retrouver le dit chemin. Plus loin un panneau dégradé nous informe que nous sommes sur le Domaine de la sorcière qui a modifié les chemins pour en interdire certains. D’ailleurs celui que je pensais prendre pour atteindre directement le Puy de Jussat est barré et caché par une épais mur de broussailles.
Mur de broussailles
Nous arrivons donc au pied de celui-ci. Il faut remonter un peu pour arriver au sommet. Mais grosse désillusion, tout le secteur est désormais clôturé et les grottes ne sont plus accessibles. Il faudra se contenter des 2 seules grottes visibles en bordure du chemin emprunté pour monter ou de la photo faite lors d’une randonnée en 2023.
Il ne reste plus qu’à descendre sur le village de Jussat, puis à rejoindre l’entrée de Chanonat. Petite pause à la Croix St Anne, l’une des 16 croix du village, avec lecture d’informations la concernant grâce au document « Le chemin des croix de Chanonat »créé par la mairie.
Nous nous séparons après avoir partagé gâteaux et gourmandises avec encore en mémoire les beaux points de vue aperçus tout au long de la journée.
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