Jeu 23/02/2023 Rando Combrailles – Bromont-Lamothe

Animatrice : Liliane
Nombre de participants : 12, animateur compris (8 F, 4 H)
Météo : Températures de 6 à 8°. Soleil et ciel bleu le matin, puis nuageux en fin de matinée et quelques gouttes de pluie en début d’après-midi.
Terrain : Chemins sur terrain sec, tapissés de feuilles mortes en sous-bois. Très boueux à un endroit vers le ruisseau de la Planche.
Distance : 20 kms   
Dénivelé : 600 m
Durée : 6 h 15 pauses comprises
Classement Atlas : Facile
Kilométrage auto : 112 X 1 et 74 X 2 soit 260 kms. 1 voiture de 4 personnes, 2 voitures de 3 personnes et 2 voitures sur place.
Préparation et rédaction :  3 h

Itinéraire : Parking retenue d’eau d’Anchald, PC 757 – 737 – 691 – 611, Pranal par petit HP et chemin, Chalusset, PC 629 – 698 – 793 – 792, Bromont Lamothe, Lamothe, Puy de Moufle, PC 753 – 757, retour au parking.

Ce matin nous sommes un petit groupe à braver la météo qui annonce une journée de pluie un peu partout dans la région. Bien nous en a pris : ciel bleu et soleil nous accueille à notre point de départ, au plan d’eau d’Anchald, pour notre randonnée du jour.
Avant de partir nous prenons le temps d’aller voir, au bout de la retenue d’eau, le barrage construit en travers de la rivière Anchal. Puis nous prenons la direction du Viaduc de la Sioule. Le chemin emprunté descend vers la Sioule, et le viaduc nous apparait bientôt. Impressionnant vu d’en bas ! Nous remontons par des chemins très agréables dans les bois.

Chemin dans les bois

A un moment nous pouvons apercevoir la Sioule sur notre droite. Et afin d’éviter une portion de route nous faisons un petit hors-piste pour rejoindre un chemin en contrebas. Nous passons par les lieux dits de Pranal, puis de Chalusset avant d’aboutir au bois de Lamothe. Nous le traversons par une très belle sente apaisante et arborée qui longe le ruisseau de la Planche. Il n’est pas très large et a peu d’eau, nous le franchirons trois fois mais donc assez facilement. Nous terminons la matinée par une remontée dans le bois jusqu’au plateau où nous faisons notre pause déjeuner. Le plus gros du dénivelé de la journée est fait. C’est avec plaisir que nous sortons notre panier du sac.
Notre circuit de l’après-midi se fait sur des chemins dégagés. Les nuages se sont installés mais la pluie annoncée n’est toujours pas arrivée. Nous pouvons donc profiter de la vue sur les paysages alentours et sur la chaîne des Puys. La traversée de Bromont-Lamothe puis de Lamothe nous donne l’occasion de voir d’un peu plus près ces villages. Et avant de retourner à l’étang d’Anchald, nous faisons la montée du Puy de Moufle.

Puy de Moufle

De son belvédère, et malgré les nuages qui bouchent l’horizon, un beau panorama s’offre à nous sur la retenue et le barrage d’Anchald, la chaîne des puys et le massif du Sancy. L’arrivée de quelques gouttes nous déloge, mais finalement la pluie annoncée nous aura épargnés.
Merci à vous tous et à bientôt avec grand plaisir pour d’autres découvertes.

Etang d’Anchald

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Dim 19/02/2023 Vélo Rando Volvic – Lussat

Préparation aux séjours n°3 et n°7
Animateur : Michel J.
Météo : couvert et frais sur les contreforts de la Chaîne des Puys. Brise de nord
Terrain : principalement sur petites routes, avec quelques passages sur chemins d’exploitation.
Distance du parcours : 61 km ; Dénivelé positif : 690m (montre GPS)
Durée de la sortie: 5h30 (avec les pauses)
Durée de roulage : 4h28 ; 15,7 km/h de moyenne.
Nombre de participants : animateur compris   8 (3F, 5H) 
Temps de préparation (matériel et rédaction) : 2h30

Les grandes lignes de l’itinéraire : départ à 10h30 de la rue des Fossés sous le Séminaire, piste cyclable Croix Neyrat, Blanzat, bassin de rétention du Bedat, Sayat, Malauzat, Volvic, St Genest-l’Enfant, Mozac, Riom, Ennezat, Villeneuve l’Abbé, Entraigues, Chappes, Lussat, Gerzat, Clermont-Fd.

Manque le photographe….


Belle journée de reprise avec une température fraîche sur les hauteurs pour préparer les différents objectifs de la saison 2023. Patrick, nouveau avec Atlas dans l’activité a rapidement trouvé le rythme et sa place dans le groupe. Les vélos peu chargés ont permis de rouler à une allure régulière, histoire de se réchauffer. Bonne ambiance.
Matériel mis à disposition : néant

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Jeu 16/02/2023 Raquettes Sancy – Col de la Croix Saint Robert

Animateur : Yves
Nombre de participants : 10 animateur compris (4 F, 6 H)
Météo : Ensoleillée toute la journée
Distance : 10 km
Dénivelé : 650 m
Durée : 5 H
Classement Atlas : Facile
Kilométrage auto : 86 pour 1 véhicule et 120 pour 1 autre soit : 206 km
Préparation et rédaction : 1 H

ITINERAIRE : Parking PC1386, Suquet de Claude, Croix de St Robert, Puy de Mareilh, Creux des Boeufs, Roc de Cuzeau, Col de Cuzeau, Puy des Crebasses, Bois de Sarreveille, PC1386, parking.

​Journée exceptionnelle ce jeudi, déjà sur la route d’approche, le Sancy, éclairé par un soleil très présent, brille de toute sa splendeur et se dessine à la perfection sur un fond bleu azur. J’ ai décidé de partir aux environs de 1400 m d’altitude et j’ai bien fait car en dessous, la neige se fait rare le long de la route qui monte au col de la Croix St Robert. Stationnement au parking du virage de la carrière sur la montée de la célèbre course de côte automobile du Mont-Dore Chambon-sur-Lac.
Nous chaussons dès le départ, direction le Suquet de Claude, au pied du Puy de l’Angle où il ne reste que quelques plaques sur la face sud.

Vers le Suquet de Claude

Passage à la croix Saint Robert, qui apprécierait d’être redressée, et cap nord-est vers le Puy de Mareilh. Un petit groupe de bovidés que l’on pense être des mouflons grignote sur le sommet où la neige a laissé ressortir une plaque herbeuse. A notre arrivée ils ne sont plus là mais les traces marquent leur passage.

La Croix St Robert

D’en haut les regards se perdent sur un environnement riche et dégagé. Lac du Guéry au nord, lac Chambon à l’est, le Sancy au sud, un véritable tableau de 360°. La douceur de ces derniers jours a transformé le manteau neigeux et le constat fait en arrivant se confirme autour de nous. Mon parcours prévu pourra être réalisé, car pratiquement en totalité sur les versants nord où la neige est toujours présente. La descente du Puy de Mareilh en direction du Creux des Boeufs, pourtant plein sud, reste très agréable car la neige a conservé une épaisseur correcte. Liliane expérimente même la solution luge sur un sac plastique.

Descente du Puy de Mareilh

Afin de profiter d’une bonne qualité de poudreuse et d’un déplacement plus ludique nous ignorons le GR. Nous abordons le Roc de Cuzeau au pied de l’épaulement de gauche, passage physique mais intéressant, sur les derniers mètres la pente est un peu raide mais tout le monde gagne le sommet.

Montée au Roc de Cuzeau

La station du Mont Dore est à nos pieds, le parking a l’air complet, les skieurs comme des fourmis occupent les pistes. La petite brise ressentie nous fait descendre de quelques mètres pour la pause méridienne. Comme des lézards, adossés à un rocher, on se croirait en été. Le ciel est tellement limpide que derrière le Forez on distingue à l’horizon Mézenc et Margeride. 
Le Puy des Crebasses face à nous semble nous attendre, pique-nique terminé nous l’atteignons sans difficulté par la crête et le col de Cuzeau.

Montée au Puy des Crebasses

La descente face au Puy de Jumel est un régal, la neige est en quantité suffisante, légèrement ramollie , les raquettes portent bien, un vrai plaisir. L’étendue à perte de vue est légèrement marquée par quelques traces de raquettes ou de skis de-ci de-là. Sur notre droite la Crête de Coq et la Dent de la Rancune, mises en valeur par une belle luminosité, se détachent du fond de la Vallée de Chaudefour, rehaussé par la Couze qui serpente entre les roches. Nous sommes au Bois de Sarrevielle, nous suivons la lisière plein nord au relief bosselé pour rejoindre le PC1386 et les voitures.

Vers PC 1386

Journée estivale très agréable, ciel bleu permanent, pas de vent, neige encore correcte, groupe sympa, le bonheur en somme.

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Jeu 16/02/2023 Rando Combrailles – Chapdes-Beaufort

Animateurs : Noé / Michel J.
Nombre de participants : 14, animateurs compris (8F, 6H)
Météo : ensoleillée toute la journée
Distance : 21 km
Dénivelé : 680 m
Durée du déplacement : 6h45
Durée de la randonnée : 5h15 (environ)
Classement Atlas : Facile
Kilométrage voiture : 70 km x 2, 90 km x 1, 50 km x 1 soit 280 km
Préparation et rédaction : 3h00

Randonnée sous la conduite de Noë, adhérent d’Atlas qui a sollicité l’association pour encadrer une sortie dans le cadre de sa formation au brevet fédéral d’animateur de randonnée pédestre.

Itinéraire : Parking Église de Chapdes-Beaufort, Le Moulin de Mazière, Triolet, Chartreuse de Port Sainte Marie, Les Bouchauds, Les Rioux, Les Barras, Moulin Chabanne, retour parking.

Journée incroyable, le soleil était au rendez-vous accompagné d’un beau ciel bleu. Nous sommes partis du parking de l’église de Chapdes-Beaufort, bourg dans les Combrailles connu pour sa randonnée du chemin Fais’Art. L’itinéraire commence par une descente jusqu’au moulin de Mazière par des pistes agricoles, chemins et sentiers.


La remontée de la vallée fut récompensée par un magnifique point de vue sur le Massif du Sancy. Passage par le village de Triolet pour dégringoler la vallée de la Sioule jusqu’aux ruines de la Chartreuse de Port Sainte Marie où nous avons pique-niqué au soleil parmi les anciennes bâtisses du lieu dit.

Animation de Noë à la Chartreuse…


Rassasié, nous avons repris notre marche sur un sentier forestier fort agréable le long de la Sioule suivie de la remontée de la vallée.

Le long de la Sioule

C’est après notre passage dans les Bouchauds que nous avons trouvé un point de vue sur le Puy-de-Dôme enneigé et le Puy Pariou.

La Chaîne des Puys…

La randonnée s’est poursuivie en repassant le ruisseau de Mazière puis celui de Chabanne avec son moulin, pour finir par retourner au parking.
Merci pour votre bonne humeur et la bonne ambiance qui en a découlé.

Chemin creux bordé d’un vieux muret

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Dim 12/02/2023 Raquettes Sancy – Guéry

Animateur : Thierry
Nombre de participants : 7 animateur compris (4 F, 3 H)
Météo : grand soleil
Distance : 12,6 km
Dénivelée : 700m
Durée
 : 7 H pauses comprises
Classement Atlas : Facile
Kilométrage auto : 75 km pour 2 véhicules  (150 km )
Préparation et rédaction : 1H00
 
Itinéraire : Parking du Guéry, col de l’Ouire, vers Grande Fontaine, puy de l’Aiguiller, puy de la Croix-Morand, Trioulérou, puy de Corde, vers col de l’Ouire et retour parking.

Nous pouvons enfin profiter d’une belle journée de soleil et de neige même si cette dernière dans une ou deux semaines ne sera plus praticable en raquettes. L’idée de la balade improvisée car en remplacement de la rando prévue au col de la Geneste est de grimper les 3 ou 4 puys du secteur : Aiguiller, Croix-Morand, Trioulérou et Corde. Nous allons bénéficier toute la journée des beaux points de vue à 360° surtout en direction du massif adventif, des pointes du Sancy et du plateau du Guéry. La rando commence classiquement sur le GR30 modifié : il passe désormais dans la forêt au lieu de continuer sur le chemin d’exploitation et de traverser la zone humide et les estives. Le nouveau tracé, une fois sorti de la forêt, passe plus au nord.

Sur le nouveau tracé

Après avoir longé sur 500 m la rupture de pente qui plonge dans la forêt sous le puy de l’Ouire, on rejoint rapidement l’ancien tracé et le col.

Rencontre de l’ancien tracé

Plutôt que de suivre le GR pour prendre pied sur le plateau, je décide de continuer le chemin NE pour traverser 150 m plus bas la forêt de Guéry plein est et de remonter sur l’autre versant du vallon pour atteindre le plateau coté Baudet. A 1400 m, nous descendons donc de 100 m environ dans les bois dans une neige froide et déjà transformée. Le cheminement est plus ou moins simple dans ces bois peu entretenus. Vers 1310 m nous traversons le ruisseau de Grande Fontaine. Je me pose la question de continuer plein est comme imaginé mais la progression risque d’être difficile dans une pente prononcée, sur une longueur non négligeable et dans une forêt assez compacte. Je décide de reprendre SE pour remonter les 170 m de dénivelée qui nous séparent du plateau.

La remontée des 170 m

Nous suivons une trace de raquette qui disparait vite à l’est. Nous passons près de la source de Grande Fontaine à 1400m. La pente dans le bois est assez sévère et il faut trouver de bons appuis. Nous parvenons finalement à la limite du bois, juste sous la rupture de pente du plateau. Un dernier coup de cul à donner, en évitant les corniches de neige un peu plus à l’est et la pente trop raide au-dessus. Nous nous aidons d’une étroite passe pas au milieu des rochers, pentue mais avec de bons appuis pour finalement finir sur une pente que nous rendons raisonnable au prix de quelques zigs et zags.

Passage de la pente

La difficulté du jour derrière nous, nous profitons de beaux points de vue à l’ouest sur le lac. Nous continuons vers le puy de l’Aiguiller dans une neige un peu gaufrée qui laisse déjà voir l’herbe par endroit.

Vers le Puy de l’Aiguiller

Au loin, au SE, on devine le col de la Croix-Morand et son puy éponyme, notre prochaine étape. En traversant le plateau nous pouvons observer un snowkiter qui essaie de s’arranger avec le peu de vent du moment. Il arrive à prendre quelques souffles et à parcourir de belles longueurs. Technique l’activité ! Nous déjeunons aux trois-quarts de la pente du puy de la Croix-Morand tournés vers le nord. On retrouve à nos pieds le cheminement de la rando du 29 janvier…. En guise de digestif nous gagnons vite le sommet du puy de la Croix Morand pour admirer le massif adventif à portée de main qui ressemble à une grosse meringue.

Massif adventif

Un peu de lecture de carte et d’explications sur le maniement de la carte avec la boussole pour déterminer un azimut. Nous cherchons à gagner le puy de Corde (que je confondais avec le Trioulérou) : azimut 320 °. Pas difficile à vue dans de bonnes conditions de visibilité, plus difficile dans ce secteur quand le brouillard sévit. Nous laissons le petit bout de Trioulérou  à notre SE. Sur le chemin du troisième puy, Corde, nous rencontrons deux raquetteurs adhérents d’Atlas que l’on voit quelquefois à nos activités. Chaque randonneur du groupe avance à son rythme et nous nous retrouvons tous au sommet du puy de Corde bien en herbe… Encore beaucoup d’observations… Les voitures sont à 10 minutes mais nous prenons le chemin des écoliers pour faire durer le plaisir : donc contournement sud du puy pour rejoindre le col de l’Ouire plein nord. La redescente vers le parking se fait comme à l’aller par le GR. Notre isolement de la journée si regénérant prend fin aux voitures avec une surfréquentation du Guéry pour cause de vacances et de beau temps. Vivement le brouillard !

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Jeu 09/02/2023 Rando Val d’Allier – Cournon

Animateur: Georges
Nombre de participants : 13 ( 9 F et 4 H )
Distance : 18 km
Dénivelé : 100 m
Durée : 5 h 30
Météo : frais le matin et soleil toute la journée.
Classement Atlas : facile
Kilométrage voiture : 30 km pour 2 voitures et 3 sur place soit 60 km
Préparation et CR : 2h

ITINERAIRE :
Départ pont de Cournon, La Prade rive droite, traversée de l’Allier sur pont métallique, le coin d’Arbat, Malmouche, ancienne mine des rois, pont de Dallet, les Vaures, falaise de Malmouche, pont métallique et retour à Cournon rive gauche.

Soleil et fraicheur lorsque nous quittons le pont de Cournon en direction des puys de captages rive droite. Nous suivons une sente dans la partie boisée et découvrons un étrange fruit de la grosseur d’une orange avec une peau jaune pleine de picots.

Oranger des Osages

Après recherche, il s’agit d’un arbre d’origine d’Amérique ( Oranger des Osages ) son fruit n’appartient pas à la famille des agrumes. Nous arrivons dans la zone des puys de captages, ils alimentent en eau potable la ville de Clermont, il en existe plus de 70.

Le circuit de l’eau

Nous traversons l’Allier sur le pont métallique en direction de l’usine de relevage au lieu-dit le coin d’Arbat,tout est clôturé, ce qui nous oblige à un aller-retour. Direction la falaise de Malmouche, nous passons à bonne distance du sommet par mesure de sécurité, au retour nous passerons au pied . Nous voici à l’ancienne mine des rois de Dallet, l’entrée a été murée et nous avons un peu de mal à la trouver, la végétation a repris ses droits. Elle a été exploitée de 1884 à 1984 pour son calcaire bitumineux, il a été ensuite broyé, chauffé pour faire des pavés de trottoirs. De nombreux fossiles d’animaux et de végétaux ont été découverts  ( crocodiles, tortues, escargots et bien d’autres ) ainsi qu’un minéral de la famille des Opales ( la Lussatite ) pour info le découvreur habitait à Lussat.

Nous traversons à nouveau l’Allier sur le pont de Dallet, le métallique étant en travaux. Il est l’heure du casse-croûte, des tables avec bancs c’est le grand confort !!! Nous repartons en suivant les méandres de la rivière, une petite halte pour des photos.

L’Allier

Nous voila au pied de la falaise de Malmouche lieu de nidifications des hirondelles de rivage, nous pouvons voir des trous dans la paroi. Elles sont plus petites que les hirondelles rustiques et creusent une galerie dans le sable de 80 cm à 1 mètre pour nicher.

Falaise de Malmouche

Retour au pont métallique que nous empruntons pour passer rive gauche et rejoindre les voitures.

Merci à tous et surtout un grand merci à Josette pour son invitation a prendre un pot chez elle.

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Jeu 09/02/2023 Raquettes Sancy sud – Montcineyre

Animateur : Yves
Nombre de participants : animateur compris 11 (4 F, 7 H)
Météo : Frais mais ensoleillé toute la journée
Distance : 12 km
Dénivelé : 600 m
Durée : 6 H
Classement Atlas : Facile
Kilométrage auto : 100 km pour 2 véhicules et 135 km pour autre soit : 335 km
Préparation et rédaction : 1H30 

ITINERAIRE : PC1087, Puy de Montcineyre, PC 1193, PC 1242, bois de Chambedaze, Puy de la Vaisse, Cache Broche, Bois de Chauméane, PC1087

Départ du point côté 1087 sur la route de Compains. Nous remontons le ruisseau de la Gazelle et déjà un premier barbelé : les remarques fusent. Nous traversons la zone découverte avec en point de mire le Puy de Montcineyre. Malgré un moins cinq degrés, le ciel d’un bleu azur nous motive pour l’ascension.

Puy de Montcineyre

Nous traversons le GR 30 pour aborder le puy droit dans la pente. Compte tenu de la déclivité importante nous effectuons quelques méandres afin de soulager nos muscles jambiers. Bravo ! tous les participants sont en haut, 1329 m d’altitude sommet atteint.

Sur la pente du Montcineyre

Petite pause méritée avant d’entamer la descente sud – ouest pour rejoindre le bord du lac éponyme. Séance photos au bord de ce lac gelé ressemblant à une patinoire géante.

Photos du lac
Lac de Montcineyre

Direction le lac de Chambedaze par le point côté1242, nous laissons le lac sur la droite pour atteindre le Puy de la Vaisse par le bois. Ce puy moins impressionnant que le premier s’élève pourtant trente mètres plus haut. De là, la vue sur cet immense manteau blanc qui s’étale devant nous,  enveloppé par un soleil radieux est grandiose. Des sapins habillés de cristaux scintillants en premier plan, au Cantal et Cézallier à l’horizon, nous ne savons où poser notre regard. Endroit choisi par tous pour le pique-nique, malheureusement deux ou trois nuages nous ont privé du soleil permanent pendant la pause.

Montée au puy de la Vaisse

Le gros du dénivelé est réalisé, quelques petites bosses agrémenteront le chemin du retour. Depuis ce matin les traces d’animaux sillonnent en tous sens notre parcours : lièvres, chevreuils, renards, écureuils, et bien d’autres que nous ne savons déterminer.
Nous quittons le puy par une forte pente, exposée sud où la neige commence à fondre, jusqu’aux maisons de La Vaisse. De nouveau dans la forêt , nous discernons le lac gelé de Chaumiane comme dans un Kaleidoscope. Traversée d’un petit vallon escarpé pour se retrouver à Cache-Broche, avant de slalomer dans le bois de Chauméane pour rejoindre les voitures.

Journée très agréable, fraiche au début mais avec un ciel dégagé laissant passer les rayons du soleil qui nous ont accompagnés toute la journée.  Quel plaisir de traverser ces grands espaces vierges de toute trace avec ses conditions météo.

Les grands espaces


Merci pour les excellentes pâtisseries maison offertes à l’arrivée.

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Dim 05/02/2023 Raquettes Sancy – Puy de Montchal

Animateur : Yves
Nombre de participants : 12 animateur compris (8 F, 4 H)
Météo : Couvert, brouillard avec de brèves éclaircies
Distance : 12,5 km
Dénivelé : 465 m
Durée : 6 H pauses comprises
Classement Atlas : Facile
Kilométrage auto :  114 km pour 3 véhicules soit : 342 km
Préparation et rédaction :  2 H

ITINERAIRE : Baraque de Vassivière, Puy de Montchal, forêt de Fraux, Jansenet, le Cocudoux, forêt de la Banny, traversée D978, Puy Merle, baraque de Vassivière.

​Bruine et brouillard lorsque nous quittons ce matin la baraque de Vassivière. Direction le Puy de Montchal pour se mettre en jambes, dès l’entrée du bois la neige n’est pas formidable, lourde, gorgée d’eau. Lorsque l’on aborde la pente la qualité est bien meilleure et nous la garderons jusqu’au sommet. D’en haut en raison d’un épais brouillard le lac Pavin est invisible. Pas de pause sur les bancs pour admirer le paysage, juste une petite pause boisson, abrités entre les arbres car le vent est glacial.
La descente sur le versant sud est agréable, tout le monde prend plaisir à planter le talon dans cette généreuse poudreuse.

Descente du Puy de Montchal

Après avoir quitté la forêt de Fraux, la température change brusquement, nous arrivons sur le plateau à découvert pour rejoindre le Jansenet. Le vent du nord est cinglant et le brouillard toujours très présent. Nous apprécions l’abri du buron pour nous restaurer.
Nous partons maintenant à l’assaut du Cocudoux où, à la cime, une étincelle de soleil jaillit juste pour la photo.

Sommet du Cocudoux

Déplacement dans la forêt de la Banny en prenant garde de ne pas emprunter les pistes du musher, chose faite. Pendant la traversée des rayons sporadiques ont pénétré la forêt en se faufilant entre les conifères.
A la traversée de la D978 pour gagner le Puy Merle, des flocons virevoltants dansent autour de nous. Petit zig zag dans la zone humide, passage d’un pont de neige, avant la montée finale.

Direction le puy Merle sous la neige
Pont de neige

Le soleil un peu plus généreux nous découvre le Paillaret et le Chambourguet mais les pistes de la station sont à peine visibles.

Montée au Puy Merle
Le Chambourguet ensoleillé

Arrivés aux voitures nous sommes enveloppés par un soleil radieux, dommage il est trop tard !

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Séjour 2 du 04 au 06/02/2023 Hivernale dans le Nord Cézallier

Du samedi 04 au lundi 06 février 2023
Animateur : Michel J.
Nombre de participants : 7 (3F, 4H).
Météo: temps couvert avec une visibilité limitée par moment. Vent sensible de Nord-Est pendant les trois jours, tempétueux dans la nuit de dimanche à lundi. Chute de neige (3 cm) dans la nuit de dimanche. Températures proches de 0°C le samedi avec un refroidissement allant crescendo sur le reste des trois jours.
Classement : facile
Transport : Renault Kangoo avec remorque routière et Peugeot 206.
Kilométrage routier : 241km (aller et retour)
Temps de préparation du matériel et rédaction des divers documents : 10 heures
Cartographie utilisée : cartes Ign, série bleue au 1/25000 n°2533 Ouest, Top 25 n°2534 OT et 2432 ET.
Matériel mis à disposition par l’association: une tente de marque Ferrino, modèle Maverick, quatre sursacs en goretex, quatre couvertures de survie Space Blanket orange, trois pulkas, trois pelles à neige, 10 pieux en alu, une remorque routière.

Faune et indices rencontrés : un renard en déplacement en direction du Jansenet (lundi). Trois chevreuils sous le Cocudoux Nombreuses traces d’animaux, couchettes et crottes (moquette) de chevreuil, traces de renard, crottes de lièvre. Empreintes d’écureuil en montant le Montcineyre.

Mot de l’animateur.
Ce deuxième raid devait se faire sur les hauteurs du Cantal mais l’incertitude de la météo et l’annonce d’un vent violent m’a fait changer de zone géographique. Ainsi nous sommes repartis explorer un vaste territoire peu couru entre Nord du Cézallier et Sud du Sancy. Cette nouvelle proposition a été bien perçue et acceptée par les inscrits. Un fois au bivouac, j’ai suggéré à chacun de prendre à tout de rôle la tête du groupe avec des points caractéristiques à trouver. Armés de la carte du secteur et d’une boussole, chacun a joué le jeu avec sérieux et a trouvé l’exercice plaisant et instructif. Le manque de visibilité et de repère visuel le samedi a montré qu’avec application on pouvait parvenir au but recherché. Pour certains ce raid était une première avec Atlas et pour d’autre une première tout court ! Une bonne ambiance a régné tout au long de ces trois jours et je remercie les différents photographes pour leur apport.

Quelques chiffres : données fournies par une montre Garmin (kilométrage) et un planificateur d’itinéraire (dénivelées).
J1. Dénivelées positive 480 m, négative : 380 m, kilométrage : 11
J2. Dénivelées positive 460 m, négative : 460 m, kilométrage : 13
J3. Dénivelées positive 460 m, négative : 460 m, kilométrage : 12

Départ de l’itinéraire à proximité du lieu-dit l’Escarot, orientation Sud pour gagner la forêt de la Banny, contournement par l’Ouest puis le Sud du Cocudoux où nous surprenons trois chevreuils qui débouchaient de la lisière du bois.

Après environ 7 kilomètres, nous installons le bivouac au Nord-Est du lac de Chambedaze en sous bois, l’endroit volontairement non précisé. Le reste de la journée est consacré à gagner les points hauts de la Montagne de Chambedaze (alt.1216m) et du Puy de la Vaisse (alt.1359m) dans une neige croûtée par endroit et froide, peu transformée autrement. Retour au bivouac en empruntant une piste puis une forêt d’épicéa.
La longue nuit en bivouac où la température est restée clémente s’est passée tranquillement accompagnée par le bruit des chutes des derniers blocs de neige transformée perchés sur les branches des arbres.
Aujourd’hui l’itinéraire va nous amener au Sud de la forêt de la Banny que nous allons remonter vers le Nord utilisant au mieux le relief et les différents coupe-feu jusqu’à la hauteur du Cocudoux que l’on monte par l’Ouest (alt. 1342m). Le point suivant côté 1333 (Jansenet) est atteint avec une visibilité réduite puis la petite cuvette à l’altitude de 1322m passée nous gagnons la Plaine du Montcineyre et le bord de lac.


Bien pris par la glace, nous le contournons par le Nord, l’Est et le Sud tantôt en suivant la berge tantôt sur le lac même. La dernière étape est la grimpette du Puy Ferrand à 1303m avant le retour par la forêt au bivouac. Au cours de la journée, la température s’est peu à peu abaissée donnant une sensation de froid avec l’humidité ambiante. Petit réconfort en fin d’après-midi, un super coucher de soleil inattendu.
Le vent s’est rapidement levé en soirée et est devenu tempétueux pendant la nuit provoquant chez les participants un sommeil haché. Au réveil, une fine couche de neige (3 cm environ) recouvre les tentes.


Après un petit déjeuner copieux, il est temps de se mettre en route. Le matériel a été rangé dans les pulkas qui resteront sur place. Les sacs à dos, légèrement chargés, de jolis points sont à trouver, un premier côté 1306 puis une zone humide à 1270m d’altitude. Une courte traversée en partie boisée, en partie à découvert nous positionne au pied du Montcineyre. La montée est raide pour gagner la lèvre d’un des cratères puis le sommet est atteint par une pente plus douce dans un paysage et une neige à peine froissée.

Les belles formes du Montcineyre

Nous sortons peu à peu des bois plein Sud, quelques bosquets de hêtres pour gagner une jolie dépression à 1204m transformée artificiellement en mare pour abreuver le bétail à la période chaude. Maintenant nous naviguons plein Ouest jusqu’à la lisière de la forêt puis en contournant les différents points hauts de la pessière par le Sud, nous regagnons le lieu du bivouac où nous attendent les pulkas. Harnais en place, les uns derrière les autres, les femmes et les hommes qui ne tractent pas devant pour ouvrir la voie ou aider au passage des clôture, nous reprenons en passant sous le Puy Ferrand la direction des voitures. Voilà cette courte aventure est finie !





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Jeu 02/02/2023 Rando Limagne Sud – La Roche Blanche

Animatrice : Mady
Nombre de participants : 7 animatrice comprise (4F, 3H)
Météo : ciel couvert
Distance : 21 km 200 (montre gps)
Dénivelé : 720 m ( montre altimétrique)
Durée :6 h 45
Classement Atlas : facile
Kilométrage auto : 38 km pour 1 voiture de Clermont Fd et 10 km pour 1 voiture du Crest, soit au total 48 km
Préparation et rédaction : 3 h

ITINERAIRE : La Roche Blanche, Chanonat, Opme, Puy de Jussat, Plateau de Gergovie, Gergovie, la Roche Blanche

Nul doute, c’est bien la falaise de calcaire blanc truffée d’une vingtaine de grottes qui ont servi d’habitats au moins jusqu’à la fin du 18ème siècle qui a donné son nom à la Roche Blanche. Mais suite à plusieurs éboulements l’accès aux grottes n’est plus autorisé.

Village et falaise

Nous empruntons le sentier qui permet d’accéder au sommet et arrivons près de la tour Julia, peut-être construite au XVI° siècle. Dommage des caissons imitant la pierre ont été collés sur le haut de l’édifice pour cacher des antennes et de près ce n’est pas très beau.
Après avoir profité de la vue sur la village et la vallée de l’Auzon nous quittons ce point haut pour retrouver champs, vignes et vergers, paysage traditionnel de la vallée. Arrivés à proximité de Chanonat au carrefour du chemin et de la D52 là où est implantée la Croix St Anne au lieu de poursuivre vers le village comme prévu nous décidons de le contourner en empruntant le chemin qui part à droite.

La Croix Sainte Anne

La Croix Ste Anne, seule croix de Chanonat inscrite aux Monuments historiques, est à la fois croix de rogations (les rogations correspondent aux 3 jours qui précèdent l’Ascension pour demander à Dieu la protection contre les calamités naturelles), croix de justice et croix de bornage cadastral primitif du Moyen âge qui jouait un rôle essentiel dans la levée des impôts.

Nous retrouvons le parcours initial à la sortie nord de Chanonat prés du puy de Cimard que nous longeons pour monter vers Opme. Les chemins gras depuis le départ, le deviennent de plus en plus. La terre colle aux semelles et les pas sont plus lourds. Nous allons inutilement jusqu’au sentier sous la ferme du Pradet. Une clôture et un panneau de propriété privée en interdisent l’accès. Demi tour jusqu’à l’intersection précédente où nous avions fait une pause. Pas de regrets, le chemin est agréable et nous amène directement au centre du village.

Escalier ancien

Par de petites ruelles, nous longeons les hauts murs du château, lieu de résidence de juin 40 à juillet 41 du Général de Lattre de Tassigny qui y créa une école de cadres pour former des chefs militaires en vue de la reconquête du Pays et continuons en direction du Puy de Jussat.
Le début du chemin nous offre de belles vues sur le village et également sur le chaîne des puys dont les sommets sont dans les nuages .

Village et son château et le Puy Giroux

Puis, la sente empruntée se perd. Un peu de hors piste pour retrouver au point prévu un grand chemin puis le Puy de Jussat où nous nous installons pour le pique nique avec le village en dessous, la montagne de la Serre en face et au loin, les monts du Sancy bien cachés par une épaisse couche nuageuse.
Après la pause, une petite sente nous conduit au niveau d’une des grottes de ce puy constitué lui aussi de calcaire. Les pins, le terrain sec évoque un paysage méditerranéen !

Mais en remontant vers le plateau de Gergovie nous retrouvons un paysage plus volcanique. Nous traversons le plateau au niveau du monument aux morts, redescendons nord ouest puis empruntons le chemin qui longe le versant nord du plateau. Au lieu dit le lac, nous passons près d’une série de bacs destinés à l’alimentation en eau du bétail (moutons) suite au captage des sources de Fontmort et des Chiens qui alimentent Aubière en eau potable.

Le chemin est à nouveau très gras (le nom du lieu n’est pas innocent!) et une épaisse gangue de boue entoure à nouveau nos chaussures. Nous retrouvons un terrain plus sec au niveau du Puy de Mardoux et des Rocs Rouges, restes de la cheminée d’un petit volcan érodé par le temps.

Traversée du village de Gergovie et retour à La Roche Blanche où « la statue est toujours à la même place » par le chemin du réservoir et la sente du départ. Nous nous quittons, après une dernière distribution de gourmandises (merci à Didier, Josette et Dominique), les jambes un peu lourdes…

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