Secteur : Volvic Date : 19 février 2022 Animateur : Thierry Nombre de participants : 11 animateur compris (3F-8H) Météo : grand soleil et grande douceur Distance : 24,2 Km (montre GPS de Michel J.) Dénivelée : 549m (montre GPS de Michel J.) Durée : 3h33 (3h45 pauses comprises) Moyenne : 6,8 km/h Itinéraire : Parking des Eaux deVolvic, Tournoël, vers Beauvaleix, Facemeunier, Charbonnières-les-Varennes, le Bouy, tour du Suc de Beaunit par le sud, contournement sud du puy de Verrières, sud du puy de Paugnat, les Goulots, Volvic.
Laurent, Véronique, Dominique, Thierry, Ida, Fabien, Pascal, Sandrine, Quentin, Régis et le photographe Michel J.
Remarques : Sortie très dynamique sous un doux soleil de printemps (en hiver) ! Groupe important mais homogène : 30 m entre le premier et le dernier pendant une grande partie de la marche. Terrain souple mais pas boueux ce qui aurait compliqué la progression. Quentin un jeune adhérent continue son intégration et il trouve du plaisir à l’exercice. Véronique, très à l’aise et légère a souvent tracé la route. Tout aurait été parfait si Ida n’avait pas chuté de tout son long dans la descente finale avant le parking. Résultat des courses un poignet fracturé et quinze jours d’arrêt. Il lui tarde de revenir marcher m’a-t-elle dit ce soir 😊. Merci à Michel qui a mené l’échauffement très important avant cette « débauche » d’énergie.
Animatrice : Mady Nombre de participants : 21 animatrice comprise (9F, 12H) Météo : journée ensoleillée et température douce Distance : 26km Dénivelé : 885m (montre altimétrique) Durée : 7h30 Classement Atlas : moyenne ( annoncée facile mais reclassée en raison de la distance, du dénivelé et du hors piste effectués) Kilométrage auto : 120 km pour 3 voitures de Clermont Fd (360 km) et 66 km pour 2 voitures du Crest (132 km) soit au total 492 km Préparation et rédaction : 2 h30 ITINERAIRE : Orsonnette, contournement de la Jonquière, la Matelle, la Croix d’Auzat, Esteil, le ravin des Bérards, la Barre, Les Martres, les Pierres de Brare, Pont du Taillis, Féroussat, Mailhat, Orsonnette. Depuis Orsonnette niché au pied du dyke volcanique de Nonette, nous partons en direction du ruisseau le Gouffre du Rat. Un nom très évocateur ! Pourtant point de gouffre, ni de rat ni même de ruisseau ! Terrain un peu gras il est vrai ce qui laisse supposer que l’eau n’est pas loin. Mais dès que nous commençons à monter vers La Jonquière le terrain s’assèche. Arrivés près de cette butte nous commençons à avoir une belle vue sur la vallée de l’Allier, Nonette et apercevons le chevalement de la mine de La Combelle. Mis en service en 1924, haut de 54 mètres, ce fut le premier chevalement métallique de la région. Jusqu’au XIX ème siècle, avant l’avènement des transports ferroviaires puis routiers, le charbon extrait de ces mines était transporté à dos d’ânes jusqu’à l’Allier, notamment vers Auzat sur Allier pour être embarqué sur des sapinières, grands bateaux construits dans des ateliers de villages voisins, dont celui de Jumeaux, pour être acheminé jusqu’à Paris via le canal de Briare.
Nonette et la vallée de l’Allier
Après quelques zig et quelques zag en montagnes russes autour de la Jonquière, nous descendons vers la Matelle. A partir de là nous abordons dans la belle chênaie du Bois Rond les contreforts du Livradois pour arriver à la Croix d’Auzat.
C’est ensuite Esteil et son église romane. Cet ancien prieuré de l’ordre de Fontevraud fut pendant la révolution française scindé en lots, vendus séparément en 1796. Un mur sépara alors en deux le vaisseau de l’église, formant d’un côté une grange, de l’autre l’église. Mais ses malheurs n’étaient pas terminés puisque en1944 elle brûla dans un incendie volontaire déclenché par les troupes allemandes.
Ce lieu appelle à une pause plus longue, mais il est encore tôt pour le pique nique qui sera pris juste avant la descente sur le ravin des Bérards. Une dernière vue sur la Chaîne des Puys qui sort des nuages avant de pénétrer dans une forêt de Douglas et descendre vers le ruisseau de la Ribeyre qui prend sa source à proximité. Mais le flux de l’eau est si petit qu’on ne l’aperçoit pas si ce n’est à un seul endroit.
A partir de les Martres on commence le retour vers le Val d’Allier, à nouveau dans une forêt de feuillus et sur un beau chemin. Mais à une intersection erreur de l’animatrice, et un peu plus loin le chemin s’arrête… il faut faire un peu de hors piste à travers la forêt pour retrouver le bon cheminement et arriver au point souhaité sur la D24. Au pont du Taillis nous retrouvons le ruisseau de la Ribeyre qui s’appelle plus loin le ruisseau de Féroussat.
Un soupçon de hors piste pour détendre les muscles….
On traverse le village du même nom, laissons Vinzelles sur notre droite, apercevons le château de la Prias et arrivons à Mailhat. Sa magnifique église en arkose ravit toujours autant et on ne se lasse pas d’admirer les arcs aux décors tous différents, les modillons très variés et la porte aux vantaux en bois sculpté datant du XV ème siècle.
Calvaire de Mailhat
Un des arcs de l’église de Mailhat
Dernière étape pour retrouver Orsonnette aux toits recouverts de tuiles canal et génoise sur plusieurs rangs qui lui confèrent un bel aspect méditerranéen.
Merci pour les distributions de gourmandises en cours et en fin de journée et à tous pour votre participation, aux photographes, Laurent et Michel J.
Sortie mixte raquettes/pédestre du dimanche 13/02/22
Animateur : Michel D. Nombre participants. 7 : 4F 3H Météo : Ciel voilé avec vent Sud F 3 puis ensoleillé toute la journée. Distance : 17 km. dénivelé : 400m Qualité de la neige : plaques et croûte le matin, encore assez conséquente dans bois de la Banny. Matériel à disposition : 2 paires de raquettes Durée mouvement : 4h50 Durée d’enregistrement : 6h10 Classement : Facile ( Dans ce secteur parcours entièrement en hors sentiers) Kilométrage Auto. 2 voitures de Clermont. 130 km X2 = 260 km
Itinéraire : Escarot, plaine de la Banny, plaine de Moncineyre, Sous Jansenet, Puy Ferrand 1303m, bois de Fontlonges , son sommet 1306m et son petit étang secret gelé, lac Moncineyre, repas de midi, Plaine de Moncineyre, bois haut de Chambedaze, buron détruit de la plaine 1196m, allée forestière de la forêt de Cisternes, bois de la Banny.
Départ du parking sans raquettes direction le plateau de la Banny, puis passage sous la montagne de Jansenet, et montée au puy Ferrand 1303m pour la vue à 360′. Descente en direction plein sud pour rentrer dans la pinède haute de Chambedaze et là, rencontre inopinée avec un groupe de baroudeurs qui sort juste où je voulais rentrer. C’est le groupe d’Atlas qui fait la traversée en autonomie du weekend . Discussion de 5mn et chacun part dans sa direction. Nous, vers le sommet dans la pinède 1306m et son petit étang secret. Ensuite descente sur le lac gelé de Moncineyre et pause de midi à la cabane forestière du propriétaire de la montagne Moncineyre. Après la pause repas nous chaussons les raquettes car la neige, suite au radoucissement ne nous porte plus, nous les garderons jusqu’au lac de Chambedaze qui lui aussi est gelé. Puis direction Ouest. Pour éviter les Sagnes nous rentrons dans la forêt de Cisternes par la longue allée (nous remettons les raquettes) qui nous conduit au bois de la Banny et retour aux voitures.
Animatrice : Liliane Nombre de participants : 22, animateur compris (11 F, 11 H) Météo : températures fraiches le matin, un peu plus élevées l’après-midi allant jusqu’à 11. Soleil présent par moment mais ciel nuageux la plupart de la journée Terrain : chemins et sentes agréables, boueux seulement à quelques endroits Distance : 24,5 km Dénivelé : 800 m Durée : 8h pauses comprises Classement Atlas : Facile Kilométrage auto : 30 X 3 et 60 X 2 soit 300 kms, cinq voitures en tout
ITINERAIRE : Parking des Goules, Puy des Goules, PC 938, Puy de Chaumont, Puy des Gouttes, Puy de Leyronne, contournement des Puy Coquille et Jumes, bois de Pérol, bois du Girardet, Croix de Ternant, point de départ.
Ma proposition du jour au groupe : petite brochette de puys. La météo annoncée est favorable.
Nous partons du parking des Goules avec pour premier objectif le puy des Goules. La mise en jambe est rapide car très vite le chemin, en montée douce au départ, devient de plus en plus raide jusqu’au sommet. Là-haut nous sommes accueillis par un peu de vent, mais la vue sur les puys principalement du Pariou, du Puy de Dôme, du côme est saisissante. Nous faisons le tour du cratère et un peu plus loin ce sont les puys de Chaumont, les Gouttes et Chopine, Coquille et Jumes que nous pouvons admirer. On ne s’en lasse pas de ces puys !
Nous redescendons et contournons le Grand Sarcoui par la gauche pour nous diriger vers le puy de Chaumont. Nous entamons l’ascension de ce dernier par des chemins confortables. Puis, ne trouvant pas le petit chemin indiqué sur la carte, nous terminons en hors-piste jusqu’au sommet.
Nous redescendons, direction Puy des Gouttes, au sommet duquel est prévue la pause déjeuner avec vue panoramique. C’est par le GR qui grimpe fortement dans les arbres que nous atteignons notre but. Notre effort est récompensé par la superbe vue sur le Grand Sarcoui, le puy des Goules, du Côme, de Lantegy et bien sûr encore le Puy de Dôme qui trône au milieu. Mais c’est à l’abri du vent que nous prenons le temps de nous restaurer et de déguster quelques gourmandises offertes par certains (encore merci à eux).
Nous reprenons notre chemin par le fond du cratère tout en admirant le Chopine qui nous fait face, magnifique. Direction le puy de Leyronne que nous traversons en passant vers son sommet jusqu’aux puys de Coquille et Jumes. Le chemin qui passe par le sommet de ces deux derniers étant fermé pour travaux, nous les contournons par la gauche. Du coup, nous faisons le détour jusqu’à la Croix de Ternant. Les chemins empruntés sont un peu boueux mais gardent tout leur charme dans ces bois de Pérol et du Girardet. Puis dernière ascension jusqu’à la Croix pour apprécier la vue sur Clermont-Fd et ses alentours, avant de retourner à notre point de départ et terminer cette belle journée partagée.
Merci à vous tous pour votre bonne humeur et à très vite sur d’autres chemins.
Animateur : Michel D. Nombre de participants : 9 : 4F et 5H Météo : Grand froid le matin, couvert température négative , redoux l’après midi avec humidité puis neige. Grosses bourrasques de vent d ‘ouest sur les parties découvertes. Distance : 15 km 800 Dénivelé : 400m + et – Qualité de neige : Croûtée le matin et souple sous le couvent de la forêt d’épicéas Durée : 5h30 Classement : Facile Kilométrage Auto : 2voitures de Clermont 120 x 2 =240km et du Crest 85 x 1 = 85km Total =325 km
Itinéraire : Escarot , forêt de la Banny, ouest de Cocudoux, forêt de Cisternes, PC 1184, la Plaine, lac de Chambedaze, forêt de Fontlonges, PC1213, traversée de la grande forêt direction Montcineyre, grande plaine au sud du lac de Montcineyre, passage au dessus de la grande plage sud du lac, PC1206, puy Ferrand, sous Jansenet, Est du Cocudoux, retour au bois de la Banny et retour Escarot.
Départ du parking sans raquettes car la neige est dure et nous porte très bien, nous chaussons les raquettes à l’entrée du bois de la Banny que nous traversons dans une épaisseur de neige conséquente et souple. Après la forêt de la Banny nous entrons dans la forêt de Cisternes , nous la traversons du nord au sud jusqu’à Sagnes , plaine puis direction lac de Chambedaze caché dans un épais brouillard. Nous rentrons dans le bois de Fontlonges pour la pause de midi, puis grande traversée du bois en direction du lac Moncineyre qui est entièrement gelé. Montée au puy Ferrand et direction Est du Cocudoux. Puis de là on replonge dans le bois de la Banny à l’abri du fort vent d’ouest, après la traversée nous nous laissons descendre sur notre point de départ.
Animateur : Yves Nombre de participants : 17 animateur compris ( 9F, 8H) Météo : Doux et couvert le matin, chaud et ensoleillé l’après midi. Distance : 13 Km Dénivelé : 650 Mètres Durée : 6 H15 mn pauses comprises Classement Atlas : Facile Kilométrage auto : 128 Km pour 2 véhicules et 125 pour 2 autres soit 506 km Temps de préparation : 2 h30
ITINERAIRE :La Stèle, ancienne station de Chambourguet, Montaigut, PC 1476, Puy de Chabane, vallon de la Jarrige, Puy de Chambourguet, La Stèle.
La neige est encore bien présente en bas de la station de la Stèle ce matin, on verra plus tard que sur les crêtes il en est autrement. Départ Sud Est dans le bois, sous une température très douce, on constate effectivement l’inversion des températures qui règne en ce moment car il faisait plus froid à la Bourboule lors de notre passage. Direction le bas de l’ancienne station de Chambourguet où la progression se fait sans problème la neige est là, à partir de là le gymkhana commence entre plaques de neige, sol moussu , feuillu et plusieurs petites rases bien en eau, nous conservons notre cap en direction de la passerelle qui enjambe le ruisseau de la Jarrige. Nous retrouvons des sentes enneigées pour atteindre la zone découverte de Montaigut.
Vue sur les pampilles de glace et l’objectif du jour
Là le spectacle est surprenant, le vent et le soleil ont transformé l’étendue blanche des jours précédents en un patchwork de neige, terre, rochers, et végétation. Nous slalomons d’une plaque de neige à l’autre en contournant la station de Chastreix par le Nord jusqu’au PC 1476. Mon but était de passer par la crête du puy de Chabane, la Tour Carrée et retour. Nous décidons de quitter les raquettes tout en restant vigilants car la neige présente une couche de glace, relativement glissante, suite aux bruines verglaçantes des derniers jours. Il faut mettre les pieds le plus possible sur les bruyères, où la stabilité est rassurante, quitte à briser ces lustres de cristal de glace avec toutes leurs pampilles. Le décor est féerique.
Montée à la crète de Chabane
La montée sur la crête puis sa longueur se font sans difficulté malgré une brise très fraiche. Petite photo de groupe et c’est la redescente qui sera un peu plus sportive. Tous les participants écouteront les conseils et les respecteront. J’abandonne le passage à la Tour Carrée car à cet endroit les crampons sont indispensables.
Au Puy de Chabanne
Descente du Puy de Chabanne
Le soleil a fait son apparition et nous le conserverons jusqu’à l’arrivée. Nous rechaussons les raquettes et descendons par le vallon du ruisseau de la Jarrige encore bien fourni en neige, mais toujours glacé dans sa partie supérieure. Les consignes sont mises en pratique, la descente se fait prudemment, personne n’a posé les fesses au sol et tout le monde est content de trouver de la neige molle et plus agréable un peu plus bas. Le retour se fait par la montagne de Chambourguet, nous passons par son sommet et retournons au parking en louvoyant dans la forêt où la neige est de nouveau présente en abondance. Les participants un peu anxieux en milieu de journée ont apprécié cette rando atypique qui a compensé le manque de neige.
Animateur Michel J. Nombre de participants : 07 animateur compris (3F, 4H) Météo : couvert avec une légère humidité ambiante une partie de la matinée. La masse d’air s’est progressivement asséchée dans la seconde partie de journée. Ciel bleu pour finir. Enneigement : limite par plaques au-dessous de 1200 m. Encore suffisant et de bonne qualité sur Vaisse et bois du Pinet et forêt de Banny à l’Ouest du Cocudoux. Distance : 13,830 km (montre GPS) Dénivelé : 530 m (montre altimétrique) Durée : 6 h 30 (pauses comprises) Classement Atlas : facile Kilométrage auto : 1 voiture de Clermont Fd (120 km) et 1 voiture du Crest ( 94 km) soit 214 km en co-voiturage. Matériel mis à disposition : une paire de raquettes Préparation et rédaction : 3 h 30
A travers la hêtraie du Pinet
Observations : parcours réalisé en pleine nature dans des conditions météorologiques qui se sont avérées bonnes pour la saison. Pour rappel, samedi lors de l’enregistrement du message, les prévisions étaient annoncées assez mauvaises avec des précipitations pluvieuses et neigeuses. L’enneigement, bizarrement à altitude égale par rapport par exemple au puy de Montchal, était encore bon avec une qualité de neige acceptable pour un parcours en raquette sur une grande partie de l’itinéraire.
Quelques oiseaux ont été remarqués, 1 héron et 2 canards, un couple de milans royaux, l’ensemble le long du ruisseau de Groleix à la recherche de nourriture. Un lièvre levé à la descente du Puy de la Vaisse. Des indices d’animaux découverts sous forme d’excréments : au sud de la forêt de Bany, fumées de cerf, légèrement plus loin après le lac de Chambedaze, laissées de sanglier, moquettes de chevreuil et quelques crottes de lièvre par ci par là…
ITINÉRAIRE : Petit parking sur la D978 à la latitude de la ferme du lac Chauvet (située à l’Ouest du ruisseau de la Clamouze). Forêt du lieu dit Pinet, direction Sud-Est en direction de la Montagne de Chambedaze, Puy de la Vaisse, direction Nord, bois de Fontlonge, Ouest du Cocudoux, D978.
Pas le temps de se mettre en jambe, la belle hêtraie du Pinet, pentue, nous oblige pour soulager les mollets à mettre les cales à nos raquettes. Le brouillard dépose sur les lunettes de fines gouttelettes d’eau. Beau début de journée pour l’orientation. On jongle entre le cap à suivre et les zones les plus propices à un déplacement en raquettes.
Les nombreuses narses ont conservé une belle épaisseur de neige, les pessières un peu moins. L’un des objectifs de la journée est d’atteindre le sommet de la Montagne de Chambedaze à 1216 m. Il nous faudra en l’absence d’une hauteur de neige suffisante faire des exercices d’étirement pour franchir quelques clôtures, nombreuses dans le décor local. C’est une première pour Atlas que ce sommet souvent évité lors de traversées Nord Sud du Cantal au Sancy en hivernale car un peu excentré par rapport à l’axe habituel suivi.
Un vent d’Est sensible sur cette partie un peu découverte nous invite à nous mettre à l’abri pour le pique nique dans la belle hêtraie du versant Ouest du Puy de la Vaisse.
Hêtraie du Puy de la Vaisse
Le sommet à 1358 m est gagné en zigzaguant en appréciant le calme et la beauté des arbres majestueux qui nous entourent. Le second objectif atteint, il nous reste à peaufiner les techniques de la descente dans une neige épaisse et agréable à fouler.
Puy de la Vaisse
Le retour s’amorce vers le Nord dans un premier temps en jouant avec les parties enneigées de la forêt des Fontlonges. Nord-Ouest pour passer au Sud du Cocudoux. Nous dédaignons le sommet que certains ont gravi le jeudi précédent. Le soleil étant bien présent maintenant sous un ciel où le bleu domine, je propose pour parachever cette journée quelques techniques de navigation pour retrouver les voitures. Après quelques explications sur l’erreur volontaire dont Isabelle se souvient et le maintien d’un cap, la boussole est confiée à Daniel pour cette longue traversée de la pessière. A l’aide de l’application Iphigénie Isabelle a pu constater la réalité du cheminement suivi.
Merci à toutes et tous de votre bonne humeur et pour les douceurs distribuées. Photographes du jour, Régine, Laurent.
Animatrice : Mady Nombre de participants : 16 animatrice comprise (10F, 6H) Météo : grand ciel bleu, température douce Distance : 11,500 km (Gps) Dénivelé : 400 m (montre altimétrique) Qualité de neige : légèrement croûtée le matin, un peu plus molle sous le soleil de l’après-midi Matériel mis à disposition : 2 paires de raquettes Durée du déplacement : 5 h 00 Classement Atlas : facile Kilométrage auto : 2 voitures de Clermont Fd (122 km x 2), 2 voitures du Crest ( 86 x 2) soit 416 km et 1 voiture sur place. Préparation et rédaction : 2 h 30 ITINERAIRE : Escarot, forêt de La Bany, Cocudoux, Puy Ferrand, les Fontlonges, lac de Montcineyre, Jansenet, lisière forêt des Fraux, Escarot.
Dès le parking l’enneigement est suffisant et nous pouvons chausser immédiatement pour partir à la conquête des grands espaces. La journée s’annonce sous de meilleurs augures que ceux que laissaient présager les paysages peu enneigés aperçus des voitures. Légèrement croûtée, la neige porte bien et nous gagnons rapidement le bois de la Bany. Alors que nous naviguons entre les arbres, nous apercevons sur un chemin, un attelage de chiens de traîneaux. Sensation de grand nord …..mais il passe trop vite, pas le temps de photographier !
Grands espaces dès le départ !
Après une progression sur un terrain relativement plat, nous commençons les choses sérieuses en approchant du Cocudoux. La montée au sommet (1342 m) est courte mais raide. Mais quelles récompenses avec une vue magnifique sur les monts du Cantal, du Sancy bien sûr et la dégustation d’une pâte de coing venant d’Andalousie offerte par Monique.
Le Cantal depuis le Cocudoux
Grâce à la qualité de la neige la descente droit dans la pente s’effectue sans difficulté. On remonte un peu et nouveau point de vue depuis le Puy Ferrand (1303 m). Petit détour plein sud par les Fontlonges avant de gagner le lac de Montcineyre où quelques petits glaçons flottent à la surface.
Lac de Montcineyre
Le pique nique pris tranquillement sous une douce température, la distribution de gourmandises effectuées (merci à Corinne et Georges) nous remettons les raquettes en ordre de marche. Direction le Jansenet et sa hêtraie où il faut enlever à nouveau quelques couches de vêtements car ça remonte et il fait chaud ! D’ailleurs, 2 renards pour certains, 2 chevreuils pour d’autres, aperçus très rapidement, profitent eux aussi de cette belle journée pour jouer dans la neige.
La traversée des parties humides en direction du bois de Fraux se passe sans bain de pieds. Déception toutefois en y arrivant car que je pensais pouvoir le traverser. Mais l’enneigement y est vraiment médiocre, voire inexistant. Nous continuons en longeant la lisière et après avoir contourné quelques zones humides c’est le retour aux voitures et la fin de cette belle journée de plein air.
Merci à Laurent et Christian pour les photographies prises au cours de la randonnée.
Animateur : Thierry Nombre de participants : 13 animateur compris (8F, 5H) Météo : grand soleil toute la journée, température douce en altitude au soleil dès 10h30 passé – pas de vent Enneigement : médiocre jusqu’à 1300 m , neige plus dense et résistante sous la raquette au-dessus – une toute petite couche de poudreuse suite aux petites chutes du milieu de semaine Distance : 15 km (montre GPS) Dénivelé : 750 m (montre GPS) Durée : 7h Classement Atlas : facile Kilométrage auto : 2 voitures (dont une restera au Crest) de Clermont-FD (120 km) et 2 voitures du Crest ( 90 x2) soit 300 km en co-voiturage.<
Itinéraire: Départ du beau hameau de Courbanges en direction de la montagne de la Plate avec pour objectif de mi-parcours de parvenir sous le puy de la Perdrix et finalement de revenir par la montagne de Costapin, le puy de Serveix et la forêt de Courbanges. Itinéraire à vue donc.
Nous partons du parking du gîte qui s’est enrichi depuis mon dernier passage de sorte de hutte-tonneaux pour hébergement des amateurs de calme et de beaux horizons. Vu le manque de neige, nous chaussons 400 m après et nous coupons à travers les pâtures pour parvenir au buron de la Plate puis sud-ouest pour arriver à proximité du premier relief de la journée. Plutôt que de continuer dans la même direction, parallèlement à la vallée de Chaudefour, nous allons au sud-est chercher le long épaulement NW qui nous mène sous les premiers rochers du volcan. Les deniers mètres de l’ascension sont pentus et les gens encore trop habillés transpirent…. Depuis le buron, je suis en tee-shirt et je m’en porte bien.
La pause au sommet de la Montagne est la bienvenue. Nous prenons la direction du puy de Chamgourdeix par une belle descente dans une neige qui commence à bien porter. J’aurai aimé manger sous le puy de la Perdrix mais il reste près de 250 m de D+ et nous décidons de manger à l’abri d’un repli de terrain, en plein soleil, sans le petit courant d’air qui nous aurait gâché le plaisir un peu plus bas. A l’amorce de la reprise, une colonne de randonneurs s’approche en provenance de la crête. Plus vêtus tu peux pas ! Ils sont guidés par un guide de moyenne montagne du Mont-Dore. Il m’apprend que ce sont des Parisiens en villégiature à SuperBesse qui doivent repartir à Paris en fin d’après-midi même. Ils resteront longtemps sur place à nous observer grimper jusqu’au niveau de l’arrivée des télécabines. Nous nous posons après une rude montée digestive. Nous observons le départ des skieurs pas très nombreux de l’autre coté de la barrière. Quelqu’un me fait remarquer qu’ils ont tous la mine sombre… C’est vrai à bien les observer !
Nous avons fait la dénivelée du jour, il ne reste plus qu’à descendre en prenant notre temps dans une neige ma foi “raquettable” jusqu’à l’orée ouest de la forêt de Courbanges. Nous coupons la plaine des Moutons pour prendre la direction du puy de Serveix que j’ai identifié au loin qui n’en finira plus de se rapprocher. Nous laissons finalement la montagne de Costapin à 300 m au sud mais nous passons sur la montagne de Sausse. Le relief du secteur est particulièrement difficile à lire. Le résultat des épisodes volcaniques et surtout des glaciations qui ont modelé le paysage. Passés le ruisseau de Malvoissière, je décide finalement d’obliquer vers la forêt alors que le puy de Serveix promis n’était qu’à 300-400 m… Sans nous en apercevoir l’après-midi était déjà bien entamé et comme j’envisageais de traverser la forêt de Courbanges, il y avait encore de la route. Yves nous signale au loin un renard qui reste longtemps sur place ne nous sentant pas encore… A l’orée de la forêt à 100 m d’un buron, je vérifie qu’à cet endroit et autant que je puisse en juger le bois n’est pas très, très praticable… Dommage, cela nous aurait changé du type de cheminement pratiqué depuis le matin. Nous contournons la forêt pour rejoindre Courbanges 7 heures après notre départ.
Animateur : Georges Nombre de participants : 12 animateur compris ( 4 f et 8 h ) Distance : 10 km Dénivelé : 500 m Météo : petite chute de neige au départ, vent sur les plateaux et un peu de brouillard toute la journée. Durée : 5h30 ( pause comprise ) Classement Atlas : facile Kilométrage voitures : 124km pour 2 voitures et 94 pour une autre
ITINERAIRE Col de la Geneste, ruisseau de Chareire, Buron de Meynialou, chemin forestier en direction de la fontaine salée, la Montagne Haute, pc 1591, ouest du Paillaret, retour au col de la Geneste.
Départ du col de la Geneste où nous avons pu garer nos voitures facilement. Un petite chute de neige nous accompagne jusqu’au ruisseau de Chareire, que nous traversons sans difficulté pour remonter sur le plateau entre les ruisseaux de la Trantaine et de Chareire. La neige est croutée en surface avec une petite couche de poudreuse, nous nous dirigeons en direction du Buron de Meynialou. Nous entamons la descente dans un bois de hêtres, avec une neige poudreuse et agréable pour rejoindre le chemin forestier en direction de la fontaine salée. Le passage technique d’un talus ralentit notre progression, certains choisissent la descente sur les fesses, d’autres avec l’aide des arbustes. Un dernier passage dans le bois pour le pique-nique.
Direction le GR 30 entre le puy Gros et le Paillaret, nous retrouvons un vent de nord ouest et le brouillard avec une visibilité réduite. Le passage de petits vallons est délicat, de petites plaques à vent et crevasses nous ralentissent ( quelques chutes sans gravité ). C’est une journée blanche. Après le passage au départ des téléskis du Ferrand sud et du col de Couhay ,nous entamons la descente à l’ouest du puy de Paillaret, une dernière difficulté ( le passage d’un pierrier) et c’est avec le soleil que nous retrouvons les voitures. Merci à tous et rdv pour une prochaine rando.
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