Lieu : rivière Allier en Limagne Météo : température fraîche avec quelques éclaircies, vent de nord, nord ouest Débit : 44 m3/s
Kilométrage des voitures : 4 véhicules ont été utilisés pour le transport du matériel et des participants. 245 km
Deux sorties ont été programmées pour préparer les séjours 5 et 12 de la saison 2023. -le jeudi 06 avril sur un plan d’eau intérieur (voir compte rendu) -le samedi 15 avril en journée Distance du parcours : 21km 600 (données fournies par une montre de marque Garmin) Nombre de participants : animateur compris 10 (6F,4H)
Matériel mis à disposition : 5 bateaux, 3 Venture prospector 16 (association)et 1 Nova Craft prospector 16 (perso), 1 Old Town camper (perso.), 9 gilets d’aide à la flottaison, 4 sacs étanches de marque Zulupack et 5 bidons de 30l, 9 pagaies de marque Carliste et une de rechange. Les containers contenaient les affaires de rechange, les sacs étanches, le pique-nique. Les bateaux ont été chargés et chaque élément attaché au bateau par des mousquetons. Le débit moyen de la rivière ne présentait aucun risque.
Mise à l’eau à Joze, lieu nettoyé de la renouée du Japon par Atlas.
Composition des bateaux : – Régine et Sophie – Brigitte et Martine – Gwladys et Santiago – Denis et Gérard – Mady et Michel J.
Relation de la journée
L’objectif de la journée était de s’habituer à naviguer en groupe, de maîtriser le passage des différents obstacles et les mouvements de la rivière. Dans ce but quelques précisions ont été rappelées avant le départ et pendant la descente : observation du lit du cours d’eau, les contre-courants, l’inertie des bateaux, l’anticipation face aux difficultés (arbre, seuil, pile de pont etc.). Une embarcation a chaviré à deux reprises suite au manque de réactivité de l’équipage et la non prise en compte de l’inertie du bateau. Le deuxième chavirage a demandé un peu de temps pour récupérer le canoë dans le courant, coincé dans un amas de branches. Une pagaie non tenue a dérivé et a été retrouvée dans un contre-courant quelques centaines de mètres plus loin.
Cette descente s’est passée malgré tout dans la bonne humeur. Après 21 kilomètres et devant la menace d’une pluie imminente, nous nous sommes arrêtés en aval du pont de Limons où l’équipe d’assistance, Marie, Luc et Daniel est venue chargée de douceurs , thé, croquants aux noix, madeleine. Merci à eux !
L’équipe de récupération apporte le réconfort !
Préparation du matériel, rangement, nettoyage et compte rendu : 4 heures
Animatrice : Mady Nombre de participants : 16 animatrice comprise (9F, 7H) Météo : ensoleillée avec quelques nuages et un peu de vent d’ouest selon l’exposition Distance : 24,500 km Dénivelé : 750 m Durée : 7 h15 Classement Atlas : facile Kilométrage auto : 128 km pour 2 voitures de Clermont Fd, 60 km pour 2 voitures du Crest, soit au total 188km. Préparation et rédaction : 2 h30
ITINÉRAIRE : Champeix, Montaigut le Blanc, Les Bruyères, Ouest de Reignat, la Croix Blanche, Creste, Plateau de la Chaux, Prady, Reignat, traversée de la D631, Les Chérots, la Rougère, Champeix.
Depuis la place près de la mairie où nous avons le plaisir de rencontrer le 1er magistrat du bourg, nous traversons la Couze Chambon. Pour aller jusqu’à Montaigut , nous resterons rive droite de ce cours d’eau, avec d’’abord un sentier assez sauvage avant de trouver un chemin le long de la Couze, plus large et plus plat que nous suivons jusqu’à l’entrée de Montaigut le Blanc. A partir de là, le dénivelé commence. Nous empruntons le chemin du bal des fées. Nous ne rencontrons pas de fées mais Josette fait une belle trouvaille, une magnifique morille.
On a beau ensuite scruter avec plus d’attention le sol , on n’en trouvera pas d’autres. Seules les jacinthes parsèment les sous-bois. Le chemin serpente et nous fait progressivement gagner un peu d’altitude. Puis ce sont des grands espaces bien ouverts, sur lesquels les anémones pulsatilles commencent à fleurir et d’où l’on aperçoit le plateau de la Pineire, le massif du Sancy dans les nuages et légèrement enneigé, et face à nous au bout du plateau de la Chaux, Creste où nous montons.
Anémones Pulsatille
Perché sur un piton volcanique, le village est entouré des Pics de Montemoi et de la Roche Courbière, spots de vols à voile. La chapelle située en bout du promontoire et le petit jardin bien ensoleillé qui l’entoure nous invitent au pique nique.
Chapelle de Creste
Après celui-ci, direction du sommet de l’éperon rocheux où restent quelques pans de murs de l’ancien château du village pour vérifier si le panorama annoncé sur Internet est bien là. C’est bien le cas, vue à 360° ! On repart sur le plateau de la Chaux qui surplombe d’un côté la vallée de la Couze Chambon et de l’autre celle de la Couze Pavin.
Vue sur la vallée de la Couze Pavin
Descente par de larges chemins sur Reignat sauf une petite portion de hors piste sur le plateau. Avec le GR de Pays, nous retrouvons le couvert des bois lorsqu’il bifurque pour suivre le ruisseau d’Auzaurendat. Celui-ci comme beaucoup d’autres manque d’eau et nous n’aurons pas le plaisir d’entendre son gazouillis pendant cette descente plutôt sympa sur l’entrée de Montaigut.
Une succession de coteaux tantôt cultivés, tantôt arborés et nous voici dans le haut de Champeix et le site du Marchidial.
Ancienne église castrale
Le nom provient de l’ancien auvergnat, Marchidial désignant la place du Marché, marché souvent sous la protection d’un seigneur. Au XIIème siècle, le château fut la seconde résidence des dauphins d’Auvergne. Aujourd’hui, il subsiste la base du donjon circulaire roman et l’ancienne église castrale. Les nombreux passages et escaliers dévoilent une multitude de jardins soutenus par des murets de pierre sèche et nous permettent d’accéder au centre du bourg.
Descente vers le bourg…
Un détour vers le jardin des sœurs de St. Joseph inséré entre de hauts murs est décevant. La grille d’accès est fermée et ce n’est qu’à travers les barreaux que nous l’apercevons. Une boisson chaude ou fraîche et un partage de gâteaux (merci à Sophie et à Bénédicte) concluent cette journée. A bientôt !
Animateur : Michel J. Lieu : Chaîne des Puys secteur Puy de Dôme Circuit B Terrain : souple, agréable Météo : température (-1°) au départ, nuages et soleil se partagent le ciel Temps de préparation et de rédaction : 2h00 Mise à disposition de matériel : néant Kilométrage : 4 voitures, 1 voiture en co-voiturage au départ de Clermont (3 personnes) 1 voiture en co-voiturage de Châteaugay et 2 voitures sur place soit un total de 120 km Nombre de participants : 9 animateur compris (2F, 7H) Distance : 20,820 km ; moyenne 6,9 km/h, dénivelée 510 m (montre Garmin Félix 6 Pro Solar). Durée : 3 h 02 (de marche) et 3h15 (déplacement et pauses compris). Échauffement et étirements non comptabilisés.
Itinéraire : départ parking n°1 « Puy de la Chopine » du panoramique des Dômes, golf des Volcans, chemin des Gouris, entrée du lieu dit Fontaine du Berger, stand de tir, plateau de Fraisse, contournement du Puy de Fraisse par l’Est, le Nord et l’Ouest, Bois de Grouleix, Chabanne Vieille, contournement par l’Est, le Nord et l’Ouest du Puy de Côme, bac de Ceyssat, bac de Montmeyre, Chabrary, carrefour de la Fontaine du Loup, passage au Sud du Puy de Besace, col de Ceyssat, Bois de Charmes, arrêt à l’ancien péage. Récupération jusqu’au parking.
Observations : l’objectif de la sortie à 6,6 km/h a été largement atteint par un groupe homogène et très dynamique. Remarques : retour apprécié d’Armand. Le groupe s’étoffe tout doucement et compte potentiellement une petite quinzaine d’adhérents.
Nombre de participants : animateur compris 9 (4F, 5H) Météo : température fraîche en matinée puis douce. Ciel partagée entre nuages et éclaircies ensoleillées. Pas de vent. Kilométrage du véhicule : 61 pour 2 voitures au départ de Clermont et 2 sur place soit un total de 131 km Préparation du matériel, rangement, nettoyage et compte-rendu : 4 heures Faunes : 1 héron cendré, 2 cormorans continentaux, 1milan noir et un couple de canards colvert, 4 hirondelles rustiques (les premières pour moi).
Ce rendez-vous avait pour but de s’habituer à naviguer ensemble et pour certains de découvrir la randonnée avec des canoës canadiens dans la perspective des séjours n° 5 « En canoë canadien sur l’Allier au plus près de la faune » et n°12 « En canoë canadien sur l’Allier ». Deux séjours inscrits au programme 2023 de l’association.
Photo de groupe prise par l’animateur
Relation de la journée L’objectif était d’acquérir ou de revoir toutes les techniques pour manœuvrer au mieux un canoë canadien avec une pagaie simple. La bonne position du barreur et de l’équipier et le rôle précis de chacun ont été abordés. L’utilisation de la pagaie a également été rappelée par une démonstration. Sans vent, le plan d’eau était agréable. Un circuit a été composé autour des balises permanentes et le long des berges afin d’assimiler les techniques et de maîtriser l’inertie du bateau. Une mauvaise manœuvre en fin de séance a précipité deux navigateurs à l’eau. Vite assistés les naufragés se sont rapidement retrouvés sur la terre ferme. Bateau vidé, ils ont courageusement regagné le point de départ, « pagaillant » avec rythme, histoire de se réchauffer.
Seuls quelques canards se sont joints à nous !
Un covoiturage était organisé au départ de Clermont-Ferrand avec un départ à 10h00 après avoir installé les canoës sur la remorque routière.
Matériel mis à disposition : 5 bateaux, 3 « venture prospector » 16 (association), 1 « novacraft prospector » 16 (perso.), 1 Old Town (perso), 7 gilets d’aide à la flottaison, 4 sacs étanches de marque Zulupack, 7 pagaies de marque Carliste et une de rechange.
Animateur : Fabien Nombre de participants : 34 (24 F, 10 H) + 5 animateurs Météo : Couvert, petites averses Terrain : Humide, boueux, grosses ornières par endroit suite au passage d’engins de travaux forestiers Kilométrage auto : 44 km pour 3 voitures de Clermont et 50 km pour une voiture du Crest soit 182 km + plusieurs voitures sur place Préparation (tracé, confection et mise en place des balises, confection des feuilles de route,…) : 12h + 10h pour Thierry (mise en place et retrait des balises) et 4h pour Yves (retrait des balises).
En ce dimanche était proposé une activité d’orientation. Après avoir suivi une formation théorique, 15 jours plus tôt pour certains d’entre eux, les participants se retrouvaient pour la partie pratique dans un secteur englobant Puys de Paugnat, de Baneyre, de la Gouly, de l’Espinasse et de Tressous.
Ce sont 11 équipes de 2 ou 3 adhérents qui partaient à la recherche de balises disséminées sur ce secteur. Balises placées la veille par Thierry et moi-même et récupérées par Thierry et Yves le surlendemain. Merci à eux.
Pause de balise la veille
Chaque équipe, muni d’un fond de carte du secteur, d’une feuille de route et d’une boussole, devait retrouver 5 balises. Sur le fond de carte, 5 points étaient repérés et sur la feuille de route étaient indiqués azimut et distance à partir de ces points, permettant de trouver le positionnement des balises. Libre à chaque groupe de fonctionner comme il l’entendait (trouver le positionnement des balises dès le départ et tracer leur parcours ou se rendre à chacun de points et utiliser la boussole depuis ce point).
Les explications données, les différents groupes partaient à la recherche des balises. Les animateurs présents (Mady, Liliane, Thierry, Yves et moi-même) partaient déambuler sur le terrain pour éventuellement aider les participants. Michel restant à l’arrivée pour contrôler que les groupes revenant avaient bien trouvé les bonnes balises.
Autour de 16h, heure limite de retour donnée, les groupes revenaient les uns après les autres, visiblement contents de leur journée. Les résultats de chacun étaient vérifiés, marquant la fin de cette journée.
Remarque : Une erreur dans le calcul d’un azimut a fait que la balise 5 du parcours 1 était introuvable. L’animateur s’en excuse encore.
Animatrice : Mady Nombre de participants : 19 animatrice comprise (10F, 9H) Météo : ciel couvert avec de belles éclaircies Distance : 24 km Dénivelé : 480 m Durée : 6 h 45 Classement Atlas : facile Kilométrage auto : 124 km pour 2 voitures de Clermont Fd, 180 km pour 2 voitures du Crest, 2 voitures sur place (46 km+ 53 km ) soit au total 403 km. Préparation et rédaction : 3 h 00
ITINÉRAIRE : Pontgibaud, GR 441 dans la Cheire de Pontgibaud, Cheire de Tournebise, Tournebise, St Pierre le Chastel, Bonnabaud, Epoux, Grand Chambois, Pierre Signée, PC 771 et 770 sur D62, PC 728, Château Dauphin.
Cette randonnée prévue en grande partie dans les cheires doit nous faire passer à des points caractéristiques et je l’espère trouver aussi les fameux « trous ou creux de glace », phénomène naturel extraordinaire où la glace peut se former même en été grâce à un choc thermique dû à la différence de température importante entre l’intérieur et l’extérieur. Le départ du centre de Pontgibaud permet d’être rapidement dans la cheire éponyme. Le cheminement sur les petits sentiers bordés de part et d’autre de morceaux de lave bien moussus est très agréable. Dans cet amas, un trou attire notre attention mais ne révèle pas la fraîcheur attendue, pas de glace. Nous poursuivons jusqu’à atteindre dans la cheire de Tournebise le camp des Chazaloux, vestiges d’une installation humaine ancienne où selon plusieurs écrits de nombreux objets dont entre autres faucilles, flèches en bronze, clés, poterie, monnaie du Moyen Âge ont été découverts. Mais autre fait particulier c’est que plusieurs milliers d’années plus tard pendant la seconde guerre mondiale un autre camp, le camp du maquis des cheires a été établi au même endroit servant de relais à de jeunes résistants avant qu’ils soient dirigés vers le Cantal.
A Tournebise après avoir passé le château un autochtone nous explique que le chemin qui doit nous amener sur la D578 est très embroussaillé et qu’un arbre barre le passage. Il faudrait repasser par les Cheires !!. Cette éventualité n’étant pas envisageable, nous l’empruntons quand même. Pour des Atlassiens, les quelques ronces qui ont poussé et le petit tronc à terre sont une formalité et nous arrivons sans difficulté à la D 578. Au loin on aperçoit la butte de St Pierre le Chastel et à son pied le marais du Paloux que nous allons traverser à l’aide d’un passage sur pilotis.
La marais du Paloux
Cet espace naturel sensible au rôle écologique majeur, possède une mosaïque d’habitats liés aux zones humides ce qui en fait un endroit privilégié pour la reproduction d’oiseaux d’eau et le passage d’oiseaux migrateurs. A l’inverse, la butte de St Pierre le Chastel qui se caractérise par la présence de landes à genêts à balai et de pelouses sèches accueille une flore et une faune très différentes.
Sur la butte de Saint Pierre…
Du haut de la butte nous profitons d’un panorama exceptionnel sur les Dômes et la vallée de la Sioule.
La vallée de la Sioule depuis la butte de St Pierre…
En repartant en direction de Bonnabaud, on devine sous les nuages, le Sancy et quelques minuscules plaques de neige. A partir de la D 579, un peu de hors piste nous permet d’atteindre le chemin qui monte à Bonnabaud, évitant ainsi la route jusqu’à la gare des Rosiers sur Sioule. On longe les murs du château avant d’aller le voir de plus près à travers la grille du portail. Il est temps de penser au pique nique et pas besoin de chercher le lieu adéquat bien longtemps. Merci à Isabelle qui nous permet par l’intermédiaire d’Yves d’utiliser le jardin et la terrasse de la maison de son papa. On retrouve le GR 441 que l’on suit jusqu’à l’entrée de Mazayes Basse. Puis changement de direction pour monter jusqu’à Epoux. De là jusqu’au Grand Chambois, de larges chemins bien dégagés un peu ennuyeux, heureusement compensés par la magnifique vue sur la Chaîne des Puys ; le Puy de Dôme, le Côme, Le Grand Suchet, Le Puy Chopine, le Louchadière et bien d’autres s’offrent sans vergogne à nos regards. Un panorama que les habitants des lieux peuvent apprécier chaque jour. Avec la cheire du puy de Côme on retrouve la forêt et des petits chemins jusqu’à la Pierre Signée. De nombreuses interrogations sur les gravures ; croix, calices, flèches ? Pas de réponses officielles.
La Pierre Signée…
A nouveau une large piste nous amène à la D 62 que l’on suit sur 200 m pour retrouver une sente plus conforme à ce que l’on connaît des cheires.(cheires de Côme) Tellement conforme que l’on perd sa trace ! Après avoir un peu jardiner comme dirait quelqu’un que je connais bien, il faut se résoudre à utiliser la boussole et en un rien de temps le sentier est retrouvé. Peu après, Yves sent un courant d’air frais ! Toujours réactive, Lucette s’approche du trou d’’où vient l’air et nous montre fièrement sa trouvaille, de la glace ! Il y a même un vrai glaçon (stalactite, stalagmite qui se rejoignent ). Enfin la réputation de la Cheire est sauve, les trous à glace existent bien ! Une belle découverte pour beaucoup.
Trou à glace
A l’entrée de Pontgibaud un chemin nous amène à l’arrière de Château Dauphin. A l’époque médiévale, Pontgibaud était une place forte des Dauphins d’Auvergne qui firent construire le château. Les grilles étant ouvertes, on traverse le parc, passons devant le musée de la mine d’argent qui fut la plus importante de France au 19ème siècle et ressortons face à la porte de l’ancienne enceinte de la ville datant du XVème siècle.
Le parking est proche. Un dernier moment de partage et de convivialité et c’est le moment du retour. A bientôt pour de nouvelles découvertes…Merci à Pascal, Patrick et Didier pour les photos…
Animateur : Michel J. Nombre de participants : 7 dont 2 femmes et 5 hommes. Temps de préparation et de rédaction : 5 heures
Mot de l’animateur Nous avons échappé à une météo annoncée médiocre avec seulement quelques gouttes de pluie dans la nuit et du vent un peu soutenu le dimanche orienté Ouest. Nous avons passé deux jours intéressants pour préparer les objectifs de la saison, revoir l’état du matériel, échanger sur les habitudes des uns et des autres et passer une nuit en bivouac bien abrité au bord de l’Allier, réveillés par moment par les bourrasques d’un vent tempétueux agitant la tête des arbres. Au petit matin, le chant des oiseaux a accompagné le petit déjeuner, le pliage des tentes et le rangement du matériel. A deux pas de chez soi, il reste beaucoup à découvrir et même si ce trajet a été réalisé en grande partie l’an passé, la couleur du ciel, l’évolution de la nature en avance ou en retard, la présence de nouveaux compagnons de route font que c’est chaque fois différent. Et partir directement avec nos montures de Clermont, sans obligation d’un transport à organiser sans perte de temps que du bonheur ! Nous avons joué avec les pistes cyclables et les petites routes voire des chemins goudronnés ou pas pour rendre ce parcours le moins stressant possible et on y arrive ! Le pot de fin de séjour a été pris un peu en avance à la fin du premier jour en terrasse au restaurant du Pont à Joze, nous permettant de faire un ravitaillement en eau pour le repas du soir . Bonne ambiance et bonne humeur étaient au programme.
Météo : temps couvert les deux jours avec un vent d’Ouest faible le samedi, soutenu le dimanche. Quelques gouttes dans la nuit et une courte averse à l’arrivée sur Clermont, le dimanche.
Faune : oiseaux vus au cours des deux jours suivant les milieux rencontrés, héron cendré, buse variable, milan noir, pinson des arbres, canard colvert. Patrimoine : de passage à Loubeyrat (J1), la pause de midi nous a permis de visiter la Cathédrale des Montagnes (voir explications dans le compte-rendu de 2022).
Intérieur de la Cathédrale des Montagnes
(J2). Profitant d’un arrêt à Ravel, bourg animé en ce dimanche, nous nous sommes dégourdis les jambes en visitant l’église Notre Dame de Salmeranges du XIIème siècle, de style gothique construite en arkose issue de carrières proches. A voir notamment, le bénitier d’époque romane, le panneau en bois sculpté daté du XIVème siècle de la porte de l’escalier du clocher, le banc seigneurial en bois peint du XVIIIème siècle et le magnifique mécanisme d’horloge installé dans la nef en 1872. .
Avant d’achever notre parcours la pause de l’après-midi à Culhat se devait d’être à la Lanterne des Morts datant du XIIème siècle. Ce type de monument est plutôt rare pour la région. La lanterne, de style roman, fait environ 4 mètres de hauteur et est construite en pierre de taille venant d’une carrière locale. Le monument consiste en un socle à sa base, surmonté d’un fut creux sur lequel repose une lanterne à six ouvertures. L’ensemble est coiffé d’une calotte ovoïde surmontée d’une croix. Une ouverture à hauteur d’homme percée dans le fut permettait de hisser une chandelle jusqu’à la hauteur de la lanterne, devenant selon l’explication officielle, un « phare vers le repos éternel pour les défunts ».
La Lanterne des Morts de Culhat
Données techniques de l’itinéraire fournies par le compteur vélo et une montre Garmin Félix 6 pro, la distance, vitesse moyenne (VM). Les dénivelés positifs (DP) Classement du séjour : moyen
Les grandes lignes de l’itinéraire : Il s’est effectué sur petites routes à faible circulation, voies cyclables, chemins goudronnés et chemins d’exploitation.
J1, Montferrand,, Cébazat, Sayat, Malauzat, Volvic, Enval, Chatel-Guyon, vallée des Prades, Loubeyrat, Teilhède, source Rozana, La Moutade, Le Cheix, Sardon, Les Martres sur Morge, St Ignat, Villeneuve-L’Abbé, Entraigues, Joze. Distance 75,00 km, VM 15,3 km/h, DP 953 m.
J2, Joze, Beauregard-l’Evêque, Bouzel, Vassel, Moissat, Ravel, Lezoux, L’étang de l’Ile, La Croix Mauzat, Bulhon, Terrasse-Haute, Terrasse-Basse, Le Bassinet, Culhat, Joze, Les Martres-d’Artière, Lussat, Navarre, Gerzat, Montferrand.
Les bords de l’Allier au petit matin avec le chant des oiseaux.Sur les petites routes de Limagne…
Distance 70 km, VM 15 km/h, DP 586 m.
Accident : néant Problème mécanique : aucun Matériel mis à disposition : 1 tente de marque Hard Wear Montain modèle Laser, 2 tentes de marque Coleman, modèle Cobra, 4 sursacs en goretex, 1 paire de sacoches, 1 remorque « Bob ».
Animateur : Fabien Nombre de participants : 9 animateur compris (6 F, 3 H) Météo : Couvert et brumeux le matin. Beaucoup plus dégagé l’après midi avec quelques apparitions du soleil. Terrain : Boueux par endroit. Complétement défoncé autour du Puy de Côme suite aux passages d’engins des travaux de “réhabilitation” du Puy de Côme Distance : 22,2 km Dénivelé : 850 m Durée : 8h10 pauses comprises [gros cumul de temps arrêté (3h) du aux nombreux arrêts pour orientation (explications, repérages sur la carte, calcul d’azimut, etc…)] Classement Atlas : annoncée facile. Reclassée moyenne pour le dénivelé suite à la motivation du groupe à faire des Puys non prévus Kilométrage auto : 28 km pour 2 véhicules et un véhicule sur place venant de Durtol (soit 20 km environ) soit 76 km Préparation et rédaction : 3h00
ITINERAIRE : Parking Panoramique de Dômes, Bois de Rochetoux, Col de Ceyssat, Aire d’aterrissage ouest des parapentes, Grand Sault, Petit Sault, Bac de Montmeyre, Puy de Gorce, Bac de Ceyssat, Puy Balmet, Chabane Vieille, Col entre Cliersou et Grand Suchet, Traversin, la Vialle, Col de Ceyssat,Creux de la Berte.
Le but de cette randonnée aux portes de Clermont était double : D’une part, montrer que, même un dimanche autour du Puy de Dôme, on pouvait encore trouver des endroits très tranquilles et peu parcourus et, d’autre part, (re)découvrir des notions d’orientation en prévision de la journée du 2 Avril.
Départ du parking du panoramique des Dômes où le Puy de Dôme ne veut pas se montrer et se cache derrière le brouillard. Devant un panneau indicateur reprenant l’altitude, l’animateur encourage les participants en possédant un à étalonner leur altimètre. En effet, la connaissance de l’altitude peut être un des moyens de se repérer sur une carte. Le large chemin à travers les Bois de Rochetoux nous sert d’échauffement et nous mène rapidement au Col de Ceyssat. De là, nous bifurquons plein ouest pour arriver à l’aire d’atterrissage ouest des parapentes. Le 1er objectif du jour est d’atteindre le somment du Grand Sault. Aucun chemin n’étant tracé sur ce Puy, cela sera forcément en hors piste. Nous nous repérons sur la carte et définissons l’azimut. Nous sortons les boussoles qui nous mènent au sommet du Grand Sault. Exercice réussi !!. Nous voici au sommet du Grand Sault.
Groupe avec l’animateur
De là, le nouvel objectif est annoncé : le Petit Sault. Nouveau calcul d’azimut et c’est reparti pour le Petit Sault que nous atteignons toujours en hors piste. De là, les exercices continuent. L’animateur indique le nouvel objectif à atteindre, à savoir le bac de Montmeyre et propose d’utiliser une autre technique d’orientation : l’erreur volontaire. Après explication de cette technique, nous décidons de mettre le cap plein ouest pour rejoindre le chemin qui contourne le Petit Sault qui constituera notre point d’arrêt. Une fois sur ce chemin, nous le prendrons “à droite” ce qui devrait nous mener au bac de Montmeyre. Une nouvelle fois, exercice réussi ! Nous prenons le temps de lire les explications en ce lieu, qui nous rappellent que l’endroit fut un haut lieu de la Résistance Auvergnate. De cet endroit, nous pouvons également observer la face ouest du Puy de Dôme, un côté moins habituel.
Nous faisons une pause avec le hors piste et prenons un chemin qui nous mène au bac de Ceyssat. Mais en chemin , nouvel exercice : Le Puy de Gorce. Cet exercice est plus difficile. En effet, ce Puy est peu marqué. De plus, la lecture de carte montre la présence d’une borne sur ce Puy (une carte ancienne car on pourra à ce sujet regretter que sur les cartes IGN récentes, ces bornes n’apparaissent plus…). Donc l’animateur en profite pour rajouter de la difficulté en demandant de trouver cette borne. Sur le terrain, l’exercice s’avère difficile car ce Puy est en plein déboisement et de nombreux troncs et branches jonchent le sol . Mais, tout le monde participe assidument et c’est finalement un appel de Lucette qui nous indique qu’elle a trouvé la borne. Elle était bien cachée. Bravo Lucette !! Nous la dégageons pour la rendre plus visible.
La borne géodésique !
Direction le bac de Ceyssat qui sera notre lieu de pique nique. A la fin de ce pique nique, l’animateur propose un nouvel exercice plus théorique : Il donne un azimut et une distance et demande où cela nous mènerait. Réussite des participants qui trouvent le Puy Balmet. L’ascension de ce Puy n’était pas forcément prévu mais le groupe est très motivé et se prend au jeu et nous voilà parti à la recherche du sommet. Parfaite lecture de carte des participants qui en observant les courbes de niveau constatent que son ascension est plus facile par sa face sud est, ce que nous ferons. Une fois au sommet, nous redescendons plein nord pour nous retrouver au pied du Puy de Côme. Nous retrouvons un chemin. Mais il est complétement défoncé avec des ornières très profondes dues à des engins de chantier. Nous trouverons plus tard un panneau explicatif qui indique de gros travaux de réhabilitation du Puy de Côme en cours. Mine de rien, le temps passe . La lecture de carte, les explications, le calcul d’azimut, etc… occupent bien. Et nous avons assez travaillé l’orientation pour aujourd’hui ! C’est donc d’un pas plus rapide que nous continuons sur le chemin où le passage des engins conjugué aux fortes pluies de la veille rend la progression “boueuse”. A Chabanne Vieille, nous quittons ce chemin pour en prendre un autre qui nous mène au col entre Petit et Grand Suchet. La montée est prononcée mais une belle récompense nous attend à l’arrivée : le brouillard a complétement disparu et le Puy de Dôme nous en met plein la vue. De là, c’est toujours sur cette allure rapide que nous rejoignons à nouveau le col de Ceyssat via le Traversin puis le chemin qui contourne le Puy de Dôme par l’ouest.
Du col de Ceyssat, nous reprenons un chemin qui nous ramène au Creux de Berte. Ce chemin, une découverte appréciée pour certains, non tracé sur la carte, est de plus en plus tracé sur le terrain. Il y a même un balisage grossier (donc pas officiel !) qui est apparu depuis mon dernier passage (balisage de traileurs surement). Depuis le Creux de la Berte, nous observons le paysage et devinons les Puys qui s’offrent à nous.
De là, un petit chemin, pentu et étroit nous fait dévaler la face est du Puy de Dôme pour nous ramener au point de départ. Nous dégustons un bon gâteau maison fait par Liliane. Merci à elle. Merci à tous pour votre implication et participation à cette journée.
Animateur : Sébastien Nombre de participants : 16 animateur compris (11F, 5H) Météo : Nuageux se dégageant dans l’après-midi, températures fraiches Distance : 27 km Dénivelé : 900 m Durée :8 h 00 pauses comprises Classement Atlas : annoncée facile, reclassée moyenne Kilométrage auto : 50 x 4 véhicules, soit 200 km Préparation et rédaction : 1 h 00
ITINERAIRE : Châtelguyon, Chazeron, Le Bois d’Argnat, Les Sagneaux Blancs, Roucheyroux, Banson, Puy Chabanne, Genétoux, passage à l’est du Puy Grammont, Châtelguyon
Le parcours commence sous les nuages et même un épais brouillard devant le château de Chazeron. Dommage, nous ne pourrons que deviner la structure massive du bâtiment dont la construction s’est étendue du XIe siècle (donjon) au XVIIIe siècle (ailes et communs).
Le château de Chazeron
La progression se fait néanmoins dans la bonne humeur et les traversées de vallons vont s’enchaîner jusqu’à midi, moment où le bois de Roucheyroux nous offrira une belle protection pour manger.
Progression dans le Vallon des Prades
Pause de midi
Après un très bref passage sur le GR 300, sentier qui nous aurait mené jusqu’au centre de Clermont-Ferrand si nous l’avions aveuglément suivi, nous montons vers le sud-ouest sur les flancs du Puy Chabanne. Traversée d’un très beau haras où un cheval sans cavalier nous fait spontanément une démonstration de ses talents en trottinant fièrement et longuement la tête dressée dans son enclos. La descente suivante, vers le ruisseau des Fourneaux, s’avère un peu plus sportive que prévue.
Descente sportive vers le ruisseau des Fourneaux
Le chemin se perd en effet dans la végétation et nous sommes obligés de jardiner, voire de remonter un peu la pente avant de finalement trouver un accès praticable jusqu’en bas. Mais belle récompense au bout du compte, de pouvoir marcher au fond d’un vallon resté très sauvage et que la sécheresse de ces dernières semaines a rendu particulièrement facile à arpenter.
Ruisseau des Fourneaux
La remontée du vallon côté sud est quant à elle assez raide et les jambes deviennent lourdes en fin de journée. Chacun monte à son rythme… avant la dernière descente de la journée sur un beau chemin en balcon offrant de magnifiques échappées sur l’étang artificiel de Saint-Coust.
Animatrice : Mady Nombre de participants : 19 animatrice comprise (9F, 10H) Météo : ciel couvert avec une belle éclaircie en mi journée Distance : 21 km (montre gps) Dénivelé : 450 m (montre altimétrique) Durée : 6 h 45 Classement Atlas : facile Kilométrage auto : 48 km pour 3 voitures de Clermont Fd, 60 km pour 1 voiture du Crest, 4 voitures sur place pour 64km soit au total 172 km Préparation et rédaction : 2 h 30
ITINERAIRE : Châteauguay, sommet du Puy de Marcoin, Forêt de Marcoin, Marsat, Les Vergnes, Mirabel, Champ Griaud, Châteauguay.
Quand on évoque Châteauguay, on pense immédiatement à son château qui domine la plaine de la Limagne et à son vin …. Le château édifié au 14ème siècle sur l’emplacement du château de Vigosche (XIème) a été le lieu de rencontres entre le Marquis de Lafayette et le Marquis de Laqueuille, pour préparer les réformes des États Généraux et l’abolition des privilèges. Le vignoble très important au 19ème siècle recouvre encore près de 100 hectares et bénéficie depuis 2010 de l’appellation AOC. Mais Châteauguay peut être aussi un point de départ de randonnées par son positionnement à l’extrémité Est du plateau de Lachaud. C’est par ce plateau que nous commençons la randonnée en nous dirigeant plein ouest, le 1er objectif étant le Puy de Marcoin Le ciel est couvert et bas, pas de belle vue sur la Chaîne des Puy ! Au point côté 503, avant la traversée d’une petite route goudronnée nous découvrons grâce à un panneau explicatif le Marais du Grand Patural. Cette zone humide temporaire de 4 hectares où 4 mares peuvent exister est une réserve importante de biodiversité avec plus de 105 espèces recensées dont le papillon cuivré, la huppe fasciée, la salicaire commune et la salamandre tachetée pour n’en citer que quelques unes. Au croisement de chemins suivants, une croix qui paraît neuve par rapport à son socle attire notre attention. C’est la Croix de Rouère disparue en janvier 2014. Cette information trouvée sur un bulletin municipal de la mairie de Malauzat, ne dit pas si celle en place maintenant est d’origine ou une copie. Une sente sympathique nous conduit à travers bois au Puy de Marcoin.
La montée au Puy de Marcoin
Au sommet, un imposant château d’eau et malgré quelques recherches nous ne retrouvons pas la borne géodésique qui figure sur la carte IGN. A t-elle disparu avec la construction du châteaud’eau ? La descente du puy s’effectue par un petit sentier qui nous ramène au bas d’un versant où la vigne est encore présente. Le chemin suit en parallèle le très petit ruisseau de Saut Gouttière avant de pénétrer dans la forêt de Marcoin.
Ruisseau du Saut Gouttière
A la sortie de la forêt là où devrait couler Le Mirabel, c’est un fossé à sec que nous traversons. Le large chemin que nous suivons laisse apparaître par endroits sur le talus de gauche les blocs d’une coulée de lave. Un peu plus loin à droite nous surplombons le ravin de Canolas. En 2020 une semaine de nettoyage avec 30 bénévoles a permis d’en extraire 1000 pneus. Les photos avant et après affichées sur un panneau sont explicites. A la vue des premières maisons de Marsat nous changeons de direction pour remonter en partie le coteau avant de descendre plein nord. C’est là, peut être grâce à l’apport d’eau de ses affluents notamment la Rivaux dont la source est proche de Volvic, que nous voyons enfin couler le ruisseau de Mirabel.
Le ruisseau de Mirabel
Provenant de la coulée de la Nugeyre, la qualité de ses eaux permettait d’alimenter moulins, lavoirs, fontaines et même une pisciculture. Nous le suivons, puis le traversons sur une petite passerelle pour remonter ensuite dans Marsat. Très ancien sanctuaire, la petite cité, a fait l’objet de visites de personnages illustres, Grégoire de Tours au VI siècle et le roi Louis XI en 1465. Après le passage au cloître restauré et la visite de l’église (Vierge Noire, retable du XVIIème, roda ou roue de cire, dernière chandelle offerte par une confrérie de Riom avant la Révolution, portail sculpté) nous nous installons au pied de la seule tour relativement intacte de la citadelle médiévale pour le pique nique avec le soleil qui a fait son apparition.
Le cloître
Tour, lavoir à gauche et coulée de lave….
Repus de nos provisions et des gourmandises offertes, nous repartons pour rejoindre Châteauguay en empruntant en partie le GR300 qui remonte sur la colline. Après un passage en forêt, à l’entrée de Châteauguay, enfin quelques vignes ! Un détour par le plateau de Champ Griaud et retour dans le bourg pour passer devant les caves qui auraient été creusées par des prisonniers à l’époque de Napoléon 1er.
Les caves de Châteaugay
Devant les entrées, on recherche et on trouve les encoches dans la pierre qui permettaient de caler une barre transversale, pour sortir à l’aide d’une corde les tonneaux. Nous terminons la randonnée par le château. Après 1789, les douves sont comblées et les enceintes abattues et cet espace devient terrain à construire. En 1828, il fut alors question d’abattre la forteresse pour fournir de la pierre à bâtir. Heureusement ce projet ne se réalisa pas, et nous pouvons donc encore admirer dans la cour, une belle porte du XVème siècle, (sculptée de choux et de pinacles, avec l’écu incliné de la famille de Laqueuille).
La porte du château
Encore des gourmandises et nous nous séparons après une belle journée. Merci à tous et à bientôt.
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