Animateur : Michel D. Nombre de participants : 13 animateur compris (5 F, 8 H Météo : couverture nuageuse et qq averses (sol glissant) températures 9° Distance : 46 km Dénivelé : 450 m + et – Durée : 4 H , de déplacement : 3 H 30 Moyenne :15 km/h Classement : Facile Kilométrage auto : 0 Préparation et rédaction : 2 H 10
ITINERAIRE : Départ du parking du complexe sportif de Pérignat les Sarlièves, pistes jusqu’aux Pérouses, PC456, direction centre équestre du Prat, PC498, piste direction Sud, PC488 – 493, sous le puy de Mardoux, piste jusqu’à Gergovie, descente sur piste jusqu’à la Bavoisine et le circuit du train miniature, piste qui longe l’A75, passage au Golf d’Orcet, étang des Pèdes, camping d’Orcet, château des Combes, remontée par croix de la bataille, zone d’activités du Pra de Serre, pistes sous le puy de Marmant, Veyre, piste par le val de Marie, Martes de Veyre, barrière du Lot, stade de rugby, source du Saladis, nouvelle piste cyclable sol enrobé, direction Nord, barrière du Lot, pont de Mirefleurs, le bateau, reprise piste cyclable direction pont de Cournon, les Queyriaux, gare du Cendre, la vinaigrerie, nouvelle piste cyclable stabilisée jusqu’au Zénith, piste cyclable jusqu’au parking.
Agréable sortie VTT sur pistes très roulantes qui se prêtent à merveille pour cette activité. Terrain humide, avec une grosse averse de pluie au départ. Menée à allure modérée. Le groupe était très homogène. Les participants d’aujourd’hui, avait une bonne facilité sur ce parcours. Parcours de ce jour très rapprochant en longueur et dénivelés à ceux que nous rencontrerons sur les séjours.
Animateur : Yves Nombre de participants : Jeudi 23 animateur compris (11 F, 11 H) Dimanche 11 animateur compris (7 F, 3 H) Météo : Jeudi, soleil, douceur pas de vent. Dimanche, nuageux, plus frais, légère brise permanente. Distance : 22,5 km Dénivelé : 550 m Durée : 7 H Classement Atlas : Facile Kilométrage auto : Jeudi 45 pour 2 véhicules et 30 pour 2 autres soit 150 km. Dimanche 34 km pour 3 véhicules soit : 102 km Préparation et rédaction : 2 H 30
ITINERAIRE : St Bonnet lès Allier, Puy de la Poule, PC498, Puy de Mur, Chapelle Ste Madeleine, PC416, PC352, PC365, Vertaizon, Fontaine de Paulhat, Vassel, Chas, PC438, PC434, Château de Bard, PC406, Le Montlard, PC366, PC356, St Bonnet.
Une fois n’est pas coutume, la randonnée de jeudi appréciée par les participants a été reconduite dimanche. Quelques Puys et curiosités ont agrémenté ce parcours. Saint Bonnet blotti au pied d’une petite butte, où se dresse un château médiéval habité depuis 1330, transformé en chambre d’hôtes aujourd’hui, est notre lieu de départ. Afin d’effectuer un bel échauffement le dénivelé commence d’entrée jusqu’au château.
Château de St Bonnet
En avance par rapport à Pâques la chasse aux œufs n’aura pas lieu au Puy de la Poule, mais la vue est déjà intéressante.
Montée au Puy de la Poule
Sur le flan Est du Puy de Mur, un verger pédagogique et conservatoire nous incite à découvrir les différentes variétés fruitières locales.
Visite du jardin pédagogique
Une faune discrète et diversifiée, (Azure, Laineuse du Prunellier, Lapin de garenne, Lézard verts, Tarier Pâtre) ainsi qu’une flore originale, méridionale et fragile (Chèvrefeuille étrusque, Orchidées, Cornouiller sanguin, Inule variable) peuple ce Puy. La faune à part le lézard restera discrète et les premiers orchidées retiendront notre regard. Arrivés au sommet petite explication sur le phare aéronautique qui interpelle certains.
Phare du Puy de Mur
Descente Nord Est en hors piste, passage à la Chapelle Sainte Marcelle avec la légende de la petite bergère, découvrant la source miraculeuse disparue maintenant, qui a engendré une procession annuelle le 1er dimanche de juillet.
Chapelle Sainte Marcelle
Pour monter sur la butte volcanique de Vertaizon nous empruntons le GR 89 par une sente étroite, glissante, en plein bois, le fameux chemin de Montaigne, nouvellement balisé, que nous sommes étonnés de trouver là.
GR 89
Nous voici sur cette esplanade remarquablement aménagée et entretenue au passé historique prestigieux : Les remparts du village et sa table d’orientation sur la Limagne, le mur d’enceinte du château féodal détruit par Richelieu et son chemin de ronde, la fameuse Eglise Notre-Dame du 13° S à demi démolie, sauvée par les habitants et restaurée depuis 1973 par une association locale.
Eglise Notre-Dame
Les deux pauses pique-nique ont été prises à cet endroit, la première sous un chaud soleil sans vent, la deuxième sous quelques nuages, et une légère brise, enrichie d’un joli arc en ciel.
Arc en ciel
Le gros du dénivelé est atteint nous sommes presque à mi parcours. L’après-midi sera plus reposante, de beaux chemins entre les champs cultivés et villages anciens. Vertaizon : la fontaine romaine de Paulhat et son lavoir.
Fontaine de Paulhat
Vassel : son château à la tour classée et son église imposante.
Château de Vassel
Eglise de Vassel
Chas : village fortifié et sa fontaine renaissance que nous avons traversé uniquement dimanche.
Fontaine de Chas
Fortification de Chas
Un dernier petit effort et c’est le Puy Benoît qui nous permet de nous rapprocher du château privé de Bard du 14° S, dernière belle bâtisse du parcours et retour sur St Bonnet.
Animateur : Thierry Nombre de participants : 5 animateur compris (3 F, 2 H) Météo : Ciel partagé avec averses et une giboulée de grêle Distance : 19,8 km (GPS) Dénivelée : 1227 m (GPS) Durée : 8h45 pauses comprises Classement Atlas : Difficile Kilométrage auto : 40 km pour 1 véhicule Préparation et rédaction : 2H30
Itinéraire : Chemin d’exploitation/ D942 face aux puys de Barme (PC 1003) – azimut 360 sommet des puys de Barme (1101 m)– azimut 60 D52 – azimut 48 sommet puy de Montchier (1211m) – azimut 20 sommet du puy des Gros Manaux (1131 m) – azimut 51 voie petit train du Puy de dôme au PC 984 – azimut 318 intersection avec GR4 au PC 1225 – azimut 270 vers Creux de la Berte au PC 1187 – azimut 347 sommet du Grand Suchet (1281m) – azimut 192 sommet du Grand Sault (1074 m) – azimut 182 sommet du puy de Besace (1112 m) – azimut 208 intersection avec GR441A – courte marche à W/SW puis première sente au sente au S/SE jusqu’à D52 puis retour au parking en suivant la D942 dans les bois sous le puy de Barme
Tracé
Comme le suggère la description de l’itinéraire, cette rando s’est faite quasiment en hors-piste avec l’ambition de gagner le sommet de quelques puys du milieu de la chaîne que nous aimons tant. J’ai donc suivi (en gros) les azimuts que j’avais calculé avec le petit travail sur carte préalable. Entre deux points, la distance pouvait être plus ou moins longue donc l’exercice de navigation était de suivre au plus juste l’angle de marche (azimut) mais en tenant compte du terrain en grande partie forestier (hêtres, noisetiers et un peu de sapins) recouvert de feuilles mortes et de nombreuses branches cassées.
La première ascension de la journée, dès la D942 traversée, nous a mené au sommet des Puys de Barme; des Puys car deux ou trois petits cônes de scories construisent l’édifice dont une carrière à l’ouest exploita jusque dans les années 80 la pouzzolane. Au sommet et déjà réchauffés nous descendons jusque sous les lignes électriques pour remonter l’allée jusqu’à l’intersection avec la D52. Dès la route traversée, les premières pentes du puy de Montchier se proposent. Montée tranquille sans obstacle pendant laquelle nous coupons quelques chemins d’exploitation que nous arpentons souvent avec Atlas… J’explique alors aux participants comment j’avais préparé le premier ravitaillement lors du raid 2019 entre Pariou et lac de Chambon, en pendant, la veille, aux sapins sous le chemin quelques sacs de victuailles.
Du sommet, j’ajuste mon nouvel angle de marche avec la boussole pour atteindre le sommet du puy des Grosmanaux. Nous l’attaquons par sa pente orientée S/SW. Le sommet est un peu difficile à deviner mais nous y parvenons presque : il est juste au-dessus de nous et nous le rejoignons par une petite pente d’une dizaine de mètres. Une borne non officielle faite de quelques morceaux de pouzzolane marque le sommet précisément.
Sommet des Grosmanaux
Nous croisons dans la descente du puy le nouveau tracé du GR4-441. Le col de Ceyssat est juste à notre N/NW. Nous suivons la plus longue distance mesurée sur la carte pour parvenir sur la voie du Train du PDD à l’amorce ou presque de la sente qui mène à l’est du puy au S du Petit Puy de Dôme et du Nid de la Poule après avoir traversé le bois de Rochetoux et la zone appelée « Charme les Chars ».
Nous empruntons la sente quelques mètres pour l’abandonner presqu’aussitôt (je fais quelques déçus à cet instant) car le respect de l’azimut nous oblige à prendre la pente sévère de cette face est du PDD avec plus de 300 m de D+ dans la hêtraie. Depuis le début de la rando nous sentons à peine les gouttes qui tombent à intervalles réguliers. Au cours de la montée, nous tombons sur de nombreux morceaux de l’avion de chasse américain qui s’était crashé sur le PDD en 1961, un jour de fort brouillard.
Vestige du crasch
Atlas, dans le cadre de ses actions environnementales, avait un temps envisagé de nettoyer ce versant des restes de l’avion ainsi que de quelques carcasses de voitures. Un hélicoptère s’avérait nécessaire pour amener les débris vers des endroits de collecte accessibles. J’avais relevé avec le GPS de l’association les coordonnées des points de nombreux débris. Le projet n’a pas abouti mais le classement de la Chaine à l’Unesco n’a pas suscité auprès des autorités compétentes une envie folle de nettoyer le Géant de ses « impuretés » … Parvenus enfin hors de la hêtraie après une petite heure de dure montée, nous trouvons un grand sapin pour abriter notre pause méridienne de la pluie qui tombe drue. Juste en face du Nid de la Poule nous devinons une partie du reste du programme qui nous attend dans l’après-midi. Nous voyons également vers Pontgibaud le nuage de grêle qui nous surprend lorsque nous remettons le contact après la courte pause.
Parvenus sur le GR juste au-dessus du PC 1225, nous gagnons plein W le fond du Creux de la Berte. Juste avant de descendre, on aperçoit plein W en lisière du bois un groupe de 3,4 chevreuils qui sautent et rejoignent vite l’abri des arbres. Toujours en suivant au plus près l’angle de marche nous parvenons juste comme prévu à la pointe du GR4 (variante) et du PR qui fait le tour du PDD. De là nouveau cap vers le dernier grand sommet du jour, le Grand Suchet. Progression à travers la Cime de la Plaine et les noisetiers après avoir coupé le GR avant de sortir dans la pente recouverte de bruyère et de genêts à balai en attente de leurs fleurs. Au sommet, un vent violent nous accueille.
Grand Suchet
Nous nous y arrêtons à peine le temps d’une ou deux photos. La suite est une longue marche de près de 3 km à travers les bois jusqu’à l’amorce de la pente qui mène au sommet du Grand Sault. L’absence de repère oblique à surveiller son cap à la boussole pour essayer de rester au plus près de l’azimut défini. La trace GPX enregistrée comparée à ce que j’avais dessiné montre que la progression s’est faite dans la bonne direction mais pas avec des zigs et des zags par rapport à l’azimut fixé. Comme dirait Michel J., c’est la différence entre une course d’orientation et une navigation : la précision requise n’est pas la même…
Petite pause bienvenue au sommet du Grand Sault avant de redescendre vers le dernier sommet de la journée qui parait bien haut à l’horizon, le puy de Besace.
Grand Sault
Au sommet, les objectifs de la journée sont plus qu’atteints. Les atlassiens qui m’accompagnent ont des raisons d’être satisfaits de leur journée. Du coup le retour à la voiture se fait par le GR et des chemins d’exploitation. Nous longeons à l’ouest les puys de Salomon et de Montchier. Ce dernier est très imposant avec une longueur N/S de plus d’1,5 km.
Le bruit des voitures qui filent sur la D942 nous ramène à la réalité…. et à notre point de départ après près de neuf heures d’effort.
Animateur : Michel D. Nombre de Participants : 10 animateur compris (3 F 7 H) Météo : couverture nuageuse et qq averses (sol glissant) températures 9° Distance : 45 km Dénivelé : 351 m + et – Durée : 4 H de déplacement : 3 H Moyenne : 16 km/h Classement : Facile Kilométrage auto : 0 Préparation et rédaction : 3 H
ITINERAIRE : Départ Base canoë/kayac de Cournon, usine d’eau potable, passerelle remontée de l’Allier , pont de Cournon, belle rive, sablières, l’ile de Mirefleurs, le bateau, source du Sail, l’Albaret, Ste Margerite, sources, Charbonnier, pont de Longues, Banque de France, pont des Goules, château de Chadieu, rocher d’escalade de Gournier, sentes de bords de l’eau, Montpeyroux, visite en vélos car deux cyclistes ne connaissaient pas, roche Fumade, PC363,Arson, pont des Goules, les côtes blanches sur piste cyclable, Martres de Veyre, la moyenne Vaure, oppidum de Gondole, la Ribeyre, les Queyriaux, bords de l’Allier, pont de Cournon, retour à la base de canoë.
Agréable sortie VTT sur pistes très roulantes qui se prêtent à merveille pour cette activité. Terrain humide, menée à allure modérée. Le groupe était très homogène. Les participants d’aujourd’hui, avait une bonne facilité sur ce parcours. Parcours de ce jour très rapprochant en longueur et dénivelés à ceux que nous rencontrerons sur les séjours.
Animateur : Thierry Nombre de participants : 20 animateur compris (8 F, 12 H) Météo : Soleil et douceur Distance : 23 km (GPS) Dénivelée : 725m (GPS) Durée : 7h pauses comprises Classement Atlas : Facile Kilométrage auto : 80 km pour 3 véhicules (Le Crest) et 110 km pour 2 véhicules (Auchan Nord) Préparation et rédaction : 2H00
Itinéraire : Jassat –GR30 Courbanges – bois de Courbange – Leylavaux – La Bouay – vers puy des Prêtres hors sentier – vers Serre Haut –St Victor la Rivière – vers Bessoles – D5 – sommet du puy de Bessoles – sente N/NW à travers le bois de Groire pour descendre vers le ruisseau de la Planchette – Pont sur la D5 PC 852 – l’Argelier – Jassat
Plutôt animateur le dimanche, je retrouve ce jeudi un groupe fourni d’Atlassiens pour randonner dans cette belle partie orientale du Sancy à travers bois et hauts plateaux. De Jassat connu pour ces grands campings 5 étoiles (6 ou 7 même ?), nous prenons notre temps pour commencer à consommer après 3 km la dénivelée du jour (près de 300 m d’un coup pendant 3 km environ).
La dénivelée du jour
Nous gagnons le plateau de Courbanges par le long chemin des Quaires, nom qui signifie « pierre/pierre équarrie », référence aux rochers qui surplombent la Courbanges, le tout formant un petit complexe crêtes/vallon très pittoresque ?
Chemin des Quaires
Chemin des Quaires en référence au chemin suivi pour transporter les pierres avec lesquelles les Anciens ont construit le hameau de Courbanges ? Je dois pas être loin de la vérité… Mais je prends volontiers la vraie signification si quelqu’un la connait 😊. Pour une fois, l’air du plateau ne nous glace pas le corps, au contraire, il est chargé d’une douceur qui incite à s’attarder. Petit point de vue qui invite à la lecture de paysage : on voit loin, du Baladou au Puy Ferrand. La traversée de la pessière nous donne l’occasion de parler de l’arbre en regardant une coupe d’épicéa et la souche résultante : quelles sont les différentes parties du tronc ? Du liège et du liber qui composent l’écorce de tout arbre, du mince cambium, usine à cellules de cellulose qui constituent le bois et est à l’origine de la croissance radiale du tronc, au bois proprement dit, l’aubier et le duramen plus dur. Émouvante la complexité de la vie de ces êtres vivants depuis près de 400 millions d’années qui ont permis le développement de la vie sur terre ! Dès la sortie du bois le Sancy apparait grandeur nature. On l’a vue mille et une fois mais on ne se lasse pas de ce paysage. Là encore un peu de lecture de paysage s’impose.
Sortie du bois
Nous déjeunons sur la pente d’un pré exposé au sud face au puy de Pertuyzat. On devine au SW le puy de Montchal et plus au Sud, le puy de Montcineyre. Un petit hors-piste évite d’entrer dans les « faubourgs » de Besse comme prévu sur mon tracé. Après avoir contourné le puy des Prêtres par le sud,
Le Puy des Prêtres
nous entamons notre remontée au nord vers St Victor par de larges chemins d’exploitation qui laissent voir le puy de Dôme…
Vue sur le Puy de Dôme
Le prochain objectif est le sommet du puy de Bessoles que nous atteignons par un peu de cheminement hors sentier. La boucle de retour nous oblige à redescendre de ce beau puy offrant une vue circulaire sur tout le secteur du Sancy et au-delà. Un peu de Hors-piste encore pour gagner le bord du puy : ronces et arbustes cherchent à nous entraver mais le groupe arrive à franchir ces obstacles pour parvenir à l’amorce d’une petite sente au NW qui descend dans la hêtraie jusqu’au bord de la Planchette petit ruisseau affluent de la couze Chambon, 200 m plus bas.
Descente dans la Hêtraie
On ne descend pas aussi vite à 21 qu’à 5 atlassiens ! Surtout que le début de la sente est pentu. Finalement, tout le monde se retrouve plus bas pour profiter d’une pause bien méritée. Le dernier tronçon vers Jassat, le long de la Planchette est avalé rapidement et le petit pot de l’Amitié dans un -hélas- détestable café-restaurant du Lac (qui sert ses boissons dans des gobelets en carton) vient conclure cette belle journée de randonnée. Merci à Laurent et Sophie pour les belles photos.
Animateur : Yves Nombre de participants : 16 animateur compris ( 8 F, 8 H) Météo : Ensoleillé avec un léger passage nuageux Distance : 18 km Dénivelé : 560 m Durée :5 h 45 pauses comprises Classement Atlas : Facile Kilométrage auto : 105 pour 2 véhicules et 122 pour 2 autres soit :454 km Préparation et rédaction : 2h30
ITINERAIRE : Azérat, PC477, PC479, Clémensat, PC601, PC659, le Solier, le Pin, St-Hilaire, Bize, Bouzerat, PC603, Jauriat, Chazelle, PC463, Azérat.
Depuis trois jours on nous prépare à d’importantes intempéries, pourtant la météo consultée ce matin nous promet une journée correcte avec peut-être une petite averse pour l’après-midi, cela conforte mon choix de parcours. Déjà quelques rayons de soleil, pas de vent, une température douce, et des nuages épars, nous quittons donc Azérat confiants. Dès le 12° S un prieuré, dépendant de l’abbaye de la Chaise Dieu, trônait un milieu de ce village, au 15° S sa chapelle est érigée en église paroissiale très lumineuse.
Eglise d’Azérat
Direction Nord-Est vers le bois de l’Orme que nous traversons sur un chemin roulant et très agréable.
Chemin au départ
Juste avant Triozon, nous partons à gauche pour rejoindre le ruisseau de Chastan. A proximité nous découvrons, enveloppée dans la végétation les vestiges de la source de Clémensat. Source déjà connue à l’époque gallo romaine, ancienne propriété des Bénédictins de l’abbaye royale de la Chaise Dieu, exploitée jusqu’en 1931 par la source voisine de St Girond sous le nom de source St Odillon. Eau minérale médicamenteuse, contenant principalement du fer, de l’arsenic, bénéfique pour le foie et les états lymphatiques et déprimés.
Source de Clémensat
Vue sur l’eau ferrugineuse
A partir de Clémensat la montée est modérée mais constante. Passé la Fritière notre regard balaye à l’ouest, une vue à 180° des Dômes à la Margeride, parsemée de quelques tâches blanches sur le Sancy, le Cézallier et les Monts du Cantal. Cette vue sera conservée une grande partie de la journée.
Le Cézallier avec ses plaques de neige
Nous voici à le Pin, petit hameau connu pour ses anciennes mines de mispickel, minerai composé de fer, arsenic, soufre, exploitées de 1899 à 1919, acheminé à l’usine d’Auzon pour la fabrication de produits phytosanitaires, principalement des pesticides utilisés pour le traitement des vignes et des arbres fruitiers. D’autres gisements dans ce secteur ont permis à cette usine de produire, sur une quarantaine d’années, de 1903 à 1949.
A l’approche de le Pin
Il est midi nous arrivons à St-Hilaire, le temps change, des nuages plus sombres s’approchent accompagnés d’une légère brise. Nous décidons de profiter du généreux porche de l’église pour faire la pause. J’en profite pour expliquer, qu’en décembre 2018 nous avions avec le groupe visité la distillerie d’huiles essentielles très réputée , basée sur la commune.
Porche de L’église de St-Hilaire
Repas fini, dès le départ, trois gouttes nous caressent le visage, nous profitons d’être à l’abri pour nous équiper. Petit regard sur le nombreux modillons, aux visages humains, de l’abside et nous plongeons sur Bouzerat.
Les modillons
La crainte aura été de courte durée, les nuages menaçants ont disparu, remplacés par un soleil d’abord timide mais qui s’intensifiera et nous accompagnera jusqu’à l’arrivée. Les huit kilomètres de descente s’effectuent gentiment, tantôt dans les bois, tantôt à découvert, en profitant de la nature qui reprend vie, des effluves des premières fleurs, et de cette douceur printanière. Devant nous la Limagne de Brioude, cette vue incroyable sur l’horizon qui nous aide à réviser notre géographie et, presque à nos pieds, se découvrent les méandres de l’Allier.
La journée se termine comme elle a commencé, sous un beau soleil et dans la bonne humeur, en charriant gentiment l’animateur qui leur a fait faire malencontreusement deux petits demi-tours. Merci à Laurent pour son excellent roulé aux abricots maison en l’honneur de l’anniversaire de Georges.
Animatrice : Liliane Nombre de participants : 12, animateur compris (8 F, 4 H) Météo : Températures de 6 à 8°. Soleil et ciel bleu le matin, puis nuageux en fin de matinée et quelques gouttes de pluie en début d’après-midi. Terrain : Chemins sur terrain sec, tapissés de feuilles mortes en sous-bois. Très boueux à un endroit vers le ruisseau de la Planche. Distance : 20 kms Dénivelé : 600 m Durée : 6 h 15 pauses comprises Classement Atlas : Facile Kilométrage auto : 112 X 1 et 74 X 2 soit 260 kms. 1 voiture de 4 personnes, 2 voitures de 3 personnes et 2 voitures sur place. Préparation et rédaction : 3 h
Itinéraire : Parking retenue d’eau d’Anchald, PC 757 – 737 – 691 – 611, Pranal par petit HP et chemin, Chalusset, PC 629 – 698 – 793 – 792, Bromont Lamothe, Lamothe, Puy de Moufle, PC 753 – 757, retour au parking.
Ce matin nous sommes un petit groupe à braver la météo qui annonce une journée de pluie un peu partout dans la région. Bien nous en a pris : ciel bleu et soleil nous accueille à notre point de départ, au plan d’eau d’Anchald, pour notre randonnée du jour. Avant de partir nous prenons le temps d’aller voir, au bout de la retenue d’eau, le barrage construit en travers de la rivière Anchal. Puis nous prenons la direction du Viaduc de la Sioule. Le chemin emprunté descend vers la Sioule, et le viaduc nous apparait bientôt. Impressionnant vu d’en bas ! Nous remontons par des chemins très agréables dans les bois.
Chemin dans les bois
A un moment nous pouvons apercevoir la Sioule sur notre droite. Et afin d’éviter une portion de route nous faisons un petit hors-piste pour rejoindre un chemin en contrebas. Nous passons par les lieux dits de Pranal, puis de Chalusset avant d’aboutir au bois de Lamothe. Nous le traversons par une très belle sente apaisante et arborée qui longe le ruisseau de la Planche. Il n’est pas très large et a peu d’eau, nous le franchirons trois fois mais donc assez facilement. Nous terminons la matinée par une remontée dans le bois jusqu’au plateau où nous faisons notre pause déjeuner. Le plus gros du dénivelé de la journée est fait. C’est avec plaisir que nous sortons notre panier du sac. Notre circuit de l’après-midi se fait sur des chemins dégagés. Les nuages se sont installés mais la pluie annoncée n’est toujours pas arrivée. Nous pouvons donc profiter de la vue sur les paysages alentours et sur la chaîne des Puys. La traversée de Bromont-Lamothe puis de Lamothe nous donne l’occasion de voir d’un peu plus près ces villages. Et avant de retourner à l’étang d’Anchald, nous faisons la montée du Puy de Moufle.
Puy de Moufle
De son belvédère, et malgré les nuages qui bouchent l’horizon, un beau panorama s’offre à nous sur la retenue et le barrage d’Anchald, la chaîne des puys et le massif du Sancy. L’arrivée de quelques gouttes nous déloge, mais finalement la pluie annoncée nous aura épargnés. Merci à vous tous et à bientôt avec grand plaisir pour d’autres découvertes.
Animateur : Yves Nombre de participants : 10 animateur compris (4 F, 6 H) Météo : Ensoleillée toute la journée Distance : 10 km Dénivelé : 650 m Durée : 5 H Classement Atlas : Facile Kilométrage auto : 86 pour 1 véhicule et 120 pour 1 autre soit : 206 km Préparation et rédaction : 1 H
ITINERAIRE : Parking PC1386, Suquet de Claude, Croix de St Robert, Puy de Mareilh, Creux des Boeufs, Roc de Cuzeau, Col de Cuzeau, Puy des Crebasses, Bois de Sarreveille, PC1386, parking.
Journée exceptionnelle ce jeudi, déjà sur la route d’approche, le Sancy, éclairé par un soleil très présent, brille de toute sa splendeur et se dessine à la perfection sur un fond bleu azur. J’ ai décidé de partir aux environs de 1400 m d’altitude et j’ai bien fait car en dessous, la neige se fait rare le long de la route qui monte au col de la Croix St Robert. Stationnement au parking du virage de la carrière sur la montée de la célèbre course de côte automobile du Mont-Dore Chambon-sur-Lac. Nous chaussons dès le départ, direction le Suquet de Claude, au pied du Puy de l’Angle où il ne reste que quelques plaques sur la face sud.
Vers le Suquet de Claude
Passage à la croix Saint Robert, qui apprécierait d’être redressée, et cap nord-est vers le Puy de Mareilh. Un petit groupe de bovidés que l’on pense être des mouflons grignote sur le sommet où la neige a laissé ressortir une plaque herbeuse. A notre arrivée ils ne sont plus là mais les traces marquent leur passage.
La Croix St Robert
D’en haut les regards se perdent sur un environnement riche et dégagé. Lac du Guéry au nord, lac Chambon à l’est, le Sancy au sud, un véritable tableau de 360°. La douceur de ces derniers jours a transformé le manteau neigeux et le constat fait en arrivant se confirme autour de nous. Mon parcours prévu pourra être réalisé, car pratiquement en totalité sur les versants nord où la neige est toujours présente. La descente du Puy de Mareilh en direction du Creux des Boeufs, pourtant plein sud, reste très agréable car la neige a conservé une épaisseur correcte. Liliane expérimente même la solution luge sur un sac plastique.
Descente du Puy de Mareilh
Afin de profiter d’une bonne qualité de poudreuse et d’un déplacement plus ludique nous ignorons le GR. Nous abordons le Roc de Cuzeau au pied de l’épaulement de gauche, passage physique mais intéressant, sur les derniers mètres la pente est un peu raide mais tout le monde gagne le sommet.
Montée au Roc de Cuzeau
La station du Mont Dore est à nos pieds, le parking a l’air complet, les skieurs comme des fourmis occupent les pistes. La petite brise ressentie nous fait descendre de quelques mètres pour la pause méridienne. Comme des lézards, adossés à un rocher, on se croirait en été. Le ciel est tellement limpide que derrière le Forez on distingue à l’horizon Mézenc et Margeride. Le Puy des Crebasses face à nous semble nous attendre, pique-nique terminé nous l’atteignons sans difficulté par la crête et le col de Cuzeau.
Montée au Puy des Crebasses
La descente face au Puy de Jumel est un régal, la neige est en quantité suffisante, légèrement ramollie , les raquettes portent bien, un vrai plaisir. L’étendue à perte de vue est légèrement marquée par quelques traces de raquettes ou de skis de-ci de-là. Sur notre droite la Crête de Coq et la Dent de la Rancune, mises en valeur par une belle luminosité, se détachent du fond de la Vallée de Chaudefour, rehaussé par la Couze qui serpente entre les roches. Nous sommes au Bois de Sarrevielle, nous suivons la lisière plein nord au relief bosselé pour rejoindre le PC1386 et les voitures.
Vers PC 1386
Journée estivale très agréable, ciel bleu permanent, pas de vent, neige encore correcte, groupe sympa, le bonheur en somme.
Animateur : Thierry Nombre de participants : 7 animateur compris (4 F, 3 H) Météo : grand soleil Distance : 12,6 km Dénivelée : 700m Durée : 7 H pauses comprises Classement Atlas : Facile Kilométrage auto : 75 km pour 2 véhicules (150 km ) Préparation et rédaction : 1H00
Itinéraire : Parking du Guéry, col de l’Ouire, vers Grande Fontaine, puy de l’Aiguiller, puy de la Croix-Morand, Trioulérou, puy de Corde, vers col de l’Ouire et retour parking.
Nous pouvons enfin profiter d’une belle journée de soleil et de neige même si cette dernière dans une ou deux semaines ne sera plus praticable en raquettes. L’idée de la balade improvisée car en remplacement de la rando prévue au col de la Geneste est de grimper les 3 ou 4 puys du secteur : Aiguiller, Croix-Morand, Trioulérou et Corde. Nous allons bénéficier toute la journée des beaux points de vue à 360° surtout en direction du massif adventif, des pointes du Sancy et du plateau du Guéry. La rando commence classiquement sur le GR30 modifié : il passe désormais dans la forêt au lieu de continuer sur le chemin d’exploitation et de traverser la zone humide et les estives. Le nouveau tracé, une fois sorti de la forêt, passe plus au nord.
Sur le nouveau tracé
Après avoir longé sur 500 m la rupture de pente qui plonge dans la forêt sous le puy de l’Ouire, on rejoint rapidement l’ancien tracé et le col.
Rencontre de l’ancien tracé
Plutôt que de suivre le GR pour prendre pied sur le plateau, je décide de continuer le chemin NE pour traverser 150 m plus bas la forêt de Guéry plein est et de remonter sur l’autre versant du vallon pour atteindre le plateau coté Baudet. A 1400 m, nous descendons donc de 100 m environ dans les bois dans une neige froide et déjà transformée. Le cheminement est plus ou moins simple dans ces bois peu entretenus. Vers 1310 m nous traversons le ruisseau de Grande Fontaine. Je me pose la question de continuer plein est comme imaginé mais la progression risque d’être difficile dans une pente prononcée, sur une longueur non négligeable et dans une forêt assez compacte. Je décide de reprendre SE pour remonter les 170 m de dénivelée qui nous séparent du plateau.
La remontée des 170 m
Nous suivons une trace de raquette qui disparait vite à l’est. Nous passons près de la source de Grande Fontaine à 1400m. La pente dans le bois est assez sévère et il faut trouver de bons appuis. Nous parvenons finalement à la limite du bois, juste sous la rupture de pente du plateau. Un dernier coup de cul à donner, en évitant les corniches de neige un peu plus à l’est et la pente trop raide au-dessus. Nous nous aidons d’une étroite passe pas au milieu des rochers, pentue mais avec de bons appuis pour finalement finir sur une pente que nous rendons raisonnable au prix de quelques zigs et zags.
Passage de la pente
La difficulté du jour derrière nous, nous profitons de beaux points de vue à l’ouest sur le lac. Nous continuons vers le puy de l’Aiguiller dans une neige un peu gaufrée qui laisse déjà voir l’herbe par endroit.
Vers le Puy de l’Aiguiller
Au loin, au SE, on devine le col de la Croix-Morand et son puy éponyme, notre prochaine étape. En traversant le plateau nous pouvons observer un snowkiter qui essaie de s’arranger avec le peu de vent du moment. Il arrive à prendre quelques souffles et à parcourir de belles longueurs. Technique l’activité ! Nous déjeunons aux trois-quarts de la pente du puy de la Croix-Morand tournés vers le nord. On retrouve à nos pieds le cheminement de la rando du 29 janvier…. En guise de digestif nous gagnons vite le sommet du puy de la Croix Morand pour admirer le massif adventif à portée de main qui ressemble à une grosse meringue.
Massif adventif
Un peu de lecture de carte et d’explications sur le maniement de la carte avec la boussole pour déterminer un azimut. Nous cherchons à gagner le puy de Corde (que je confondais avec le Trioulérou) : azimut 320 °. Pas difficile à vue dans de bonnes conditions de visibilité, plus difficile dans ce secteur quand le brouillard sévit. Nous laissons le petit bout de Trioulérou à notre SE. Sur le chemin du troisième puy, Corde, nous rencontrons deux raquetteurs adhérents d’Atlas que l’on voit quelquefois à nos activités. Chaque randonneur du groupe avance à son rythme et nous nous retrouvons tous au sommet du puy de Corde bien en herbe… Encore beaucoup d’observations… Les voitures sont à 10 minutes mais nous prenons le chemin des écoliers pour faire durer le plaisir : donc contournement sud du puy pour rejoindre le col de l’Ouire plein nord. La redescente vers le parking se fait comme à l’aller par le GR. Notre isolement de la journée si regénérant prend fin aux voitures avec une surfréquentation du Guéry pour cause de vacances et de beau temps. Vivement le brouillard !
Animateur: Georges Nombre de participants : 13 ( 9 F et 4 H ) Distance : 18 km Dénivelé : 100 m Durée : 5 h 30 Météo : frais le matin et soleil toute la journée. Classement Atlas : facile Kilométrage voiture : 30 km pour 2 voitures et 3 sur place soit 60 km Préparation et CR : 2h
ITINERAIRE : Départ pont de Cournon, La Prade rive droite, traversée de l’Allier sur pont métallique, le coin d’Arbat, Malmouche, ancienne mine des rois, pont de Dallet, les Vaures, falaise de Malmouche, pont métallique et retour à Cournon rive gauche.
Soleil et fraicheur lorsque nous quittons le pont de Cournon en direction des puys de captages rive droite. Nous suivons une sente dans la partie boisée et découvrons un étrange fruit de la grosseur d’une orange avec une peau jaune pleine de picots.
Oranger des Osages
Après recherche, il s’agit d’un arbre d’origine d’Amérique ( Oranger des Osages ) son fruit n’appartient pas à la famille des agrumes. Nous arrivons dans la zone des puys de captages, ils alimentent en eau potable la ville de Clermont, il en existe plus de 70.
Le circuit de l’eau
Nous traversons l’Allier sur le pont métallique en direction de l’usine de relevage au lieu-dit le coin d’Arbat,tout est clôturé, ce qui nous oblige à un aller-retour. Direction la falaise de Malmouche, nous passons à bonne distance du sommet par mesure de sécurité, au retour nous passerons au pied . Nous voici à l’ancienne mine des rois de Dallet, l’entrée a été murée et nous avons un peu de mal à la trouver, la végétation a repris ses droits. Elle a été exploitée de 1884 à 1984 pour son calcaire bitumineux, il a été ensuite broyé, chauffé pour faire des pavés de trottoirs. De nombreux fossiles d’animaux et de végétaux ont été découverts ( crocodiles, tortues, escargots et bien d’autres ) ainsi qu’un minéral de la famille des Opales ( la Lussatite ) pour info le découvreur habitait à Lussat.
Nous traversons à nouveau l’Allier sur le pont de Dallet, le métallique étant en travaux. Il est l’heure du casse-croûte, des tables avec bancs c’est le grand confort !!! Nous repartons en suivant les méandres de la rivière, une petite halte pour des photos.
L’Allier
Nous voila au pied de la falaise de Malmouche lieu de nidifications des hirondelles de rivage, nous pouvons voir des trous dans la paroi. Elles sont plus petites que les hirondelles rustiques et creusent une galerie dans le sable de 80 cm à 1 mètre pour nicher.
Falaise de Malmouche
Retour au pont métallique que nous empruntons pour passer rive gauche et rejoindre les voitures.
Merci à tous et surtout un grand merci à Josette pour son invitation a prendre un pot chez elle.
Ce site utilise des cookies pour améliorer votre expérience lorsque vous naviguez sur le site. Parmi ces cookies, les cookies classés comme nécessaires sont stockés sur votre navigateur car ils sont essentiels pour le fonctionnement des fonctionnalités de base du site. Nous utilisons également des cookies tiers qui nous aident à analyser et à comprendre comment vous utilisez ce site. Ces cookies ne seront stockés dans votre navigateur qu'avec votre consentement. Vous avez également la possibilité de désactiver ces cookies.
Les cookies nécessaires sont absolument essentiels au bon fonctionnement du site. Cette catégorie comprend uniquement les cookies qui garantissent les fonctionnalités de base et les fonctions de sécurité du site. Ces cookies ne stockent aucune information personnelle.
Tous les cookies qui peuvent ne pas être particulièrement nécessaires au fonctionnement du site et qui sont utilisés spécifiquement pour collecter des données personnelles des utilisateurs via des analyses, des publicités et d\'autres contenus intégrés sont appelés cookies non nécessaires. Il est obligatoire d\'obtenir le consentement de l\'utilisateur avant d\'exécuter ces cookies sur notre site.