Séjour 9. Du 11 au 12 mai 2024 : De Saint Pardoux aux Monédières : la Corrèze en cathéther !

Animatrice : CHRISTELLE
Nombre de participants :  12 P. animatrice incluse   9 F 3 H
Météo :  J1 : Temps estival, chaleur et ciel bleu
               J2 : Quelques gouttes le matin avec une averse un peu plus soutenue en fin de matinée puis nuageux le reste de la journée
Terrain :   J1 et J2 nombreux passages gras et de belles flaques d’eau
Distance : J1 22 Km   J2 19 Km
Dénivelée :    J1 280 M    J2 590 M
Durée :     J1   6 H      J2   6 H     pauses incluses
Classement :  Facile
Kilométrage auto :    338 km X 3 soit  1014 km
Préparation et rédaction  : 8 h

ITINERAIRE :

J1/ Saint Pardoux la Croisille, Mensac, le Teil, PC 555, Leix, Vigné, Chauzeix, Coudert, Artiges, étang de la Prade, château de Sédières, étang Neuf, Clergoux, D978, Lachaud, Mas Bichier, la Valette, moulin des Gouttes, Saint Pardoux

J2/ Chaumeil, la Rebière Faure, Roubeyge, le Champ de Roubey, Lachaud, Beyssac, étang de Ganezande, Chauzeix, PC 744, PC 745, Suc au May, PC 904, Puy Genoux, PC 721 , D121, Chaumeil

Pour ce week-end printanier, direction la Corrèze : Secteur plutôt méconnu par plusieurs d’entre nous mais qui recèle de jolis atouts !

Samedi, après un trajet d’à peine 2 heures, nous voici à Saint Pardoux la Croisille où d’emblée on sent que l’on a changé de « culture » avec notamment un patrimoine bâti largement dominé par le granit. Tout au long de notre cheminement, nous allons admirer maisons et édifices bien rénovés et entretenus !

Jolie maison en granit

Parcours plutôt tranquille, peu de dénivelée. Nous alternons entre sentes boisées, chemins  et petites routes encadrées d’une végétation en pleine explosion où le vert clair des jeunes feuilles et le jaune des genêts apportent  vraiment  une magnifique touche de lumière !

Le royaume vert

Superbes également ces épais tapis de mousse que nous avons trouvé dans les forêts de résineux.

Comme à mon habitude ces derniers temps (!!) quelques surprises sur le terrain avec notamment des chemins inexistants, une sente fermée mais ouf, le propriétaire présent au moment de notre passage nous a autorisé à passer (sinon nous étions partis pour un bon détour !!). Du coup nous avons pu accéder à la ferme de Leix, très jolie et paisible chambre d’hôtes appartenant à sa fille qui fabrique entre autres du chocolat ! Dommage, pas le temps de faire pause gourmande, le timing est serré !

Halte pique-nique au bord d’un des beaux étangs du domaine du château de Sédières : conditions idéales avec le soleil et un magnifique paysage bucolique avant d’aller voir de plus près le superbe édifice en granit de type Renaissance italienne.

Château de Sédières 

Propriété du conseil général depuis 1965, le site est ainsi sorti de l’abandon dans lequel il était après avoir abrité un orphelinat agricole pendant 60 ans. De nombreuses manifestations et visites y sont organisées à la belle saison, à voir absolument !

Puis passage à Clergoux où l’on trouve, comme souvent ici, une église dotée d’un clocher à peignes (ou clocher-mur) ainsi qu’un surprenant crucifix sans Christ !

Le Christ a disparu !!

Nous terminons d’un bon pas sans passer par le barrage et l’agréable et grand lac de la Valette (long de 8 km) car l’heure tourne et je préfère donner priorité aux cascades de Gimel qui ferment à 18 h. Site à ne pas louper !  Les gorges de la Montane sont le cadre de ces 3 grandes chutes d’eau ( 38, 45 et 60 mètres de haut) particulièrement impressionnantes avec l’importante pluviométrie du moment !

Cascades  de Gimel 

Le village médiéval qui les surplombe est très beau aussi quoique un peu délicat d’accès en voiture !! il faut bien choisir le bon côté pour éviter les ruelles étroites et pentues !!

Nous reprenons les voitures pour rejoindre le camping du Bois de Calais et ses 2 agréables petits chalets nichés dans la verdure qui nous attendent pour la nuit. Fin de soirée au beau village de Corrèze avec un bon dîner dans une ambiance bon enfant agrémenté de quelques chansonnettes !! On ne pouvait pas partir sans entonner le célèbre tube du groupe « 3 cafés gourmands » qui m’a inspiré le titre donné à ce week-end corrézien !!

Dimanche, direction Chaumeil et le massif des Monédières : ambiance beaucoup moins lumineuse et moins chaude que la veille car dès le départ quelques gouttes se font sentir. Pour se réchauffer, quelques pas de bourrée ! En effet nous sommes dans le fief de Jean Ségurel, célèbre accordéoniste ! Pays du vélo également où eut lieu pendant des années le Bol d’Or des Monédières.

Encore quelques jolies maisons,

Beau domaine dans le massif des Monédières

un petit passage imprévu en hors-piste  pour cause de sentier inexistant pour ne pas déroger à la règle du moment !!

Chemin disparu!!

puis d’un bon pas, nous poursuivons notre progression dans ce terroir de landes à bruyères et myrtilliers (25 tonnes de fruits rouges par an), prairies humides mais où la forêt a largement repris le dessus du fait du grand recul du pastoralisme. (jusqu’au début du 20ème siècle, les landes occupaient 95% du territoire). Une partie du parcours est donc bien forestière même si l’on traverse de grandes zones déshabillées par des coupes à blanc et où les troupeaux semblent revenir. Un patou s’est d’ailleurs fait entendre !  Heureusement, il n’était pas sur la portion de prairie que nous avons traversée ! Après une bonne grimpette dans la mousse

Grimpette dans la mousse

et un passage de barbelés un peu physique, nous rejoignons le point culminant du jour, le Suc au May (908 m). Coup de chance, brouillard et pluie présents une demi-heure avant se sont éloignés nous laissant profiter d’un joli panorama et d’un pique-nique relativement sec !!

Le Suc au May

Autour de nous, d’autres sommets comme le Puy de la Monédière. On voit aussi les vallées de la Vèzère et de la Corrèze, il y a de quoi arpenter !!  Dans le secteur on trouve le GR 46 (Tours-Toulouse) et la Voie de Rocamadour (variante de Saint Jacques).

Puis c’est la descente, encadrés par les immenses sapins « façon coton-tiges »

Dernière descente

et un retour aux voitures où nous attend un bon gâteau ! Merci Bénédicte !  La météo se maintient au sec, nous faisons un petit détour par le joli site du Mont Bessou offrant habituellement un chouette panorama. Malheureusement le temps a complètement changé, la pluie tombe drue et l’horizon est totalement bouché !  Nous repartons quand même avec le souvenir d’une belle région où il y a encore pleins d’autres choses à voir !

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Dim 05/05/2024 Rando Chaine des Puys – Orcines

Animateur : Fabien
Nombre de participants : 9 animateur compris (5 femmes, 4 hommes)
Météo : Couvert. Quelques apparitions du soleil. Temps sec tout le long de la rando
Distance : 25 km pour une partie du groupe – 30,4 km pour l’autre partie  
Dénivelé : 780 m pour une partie du groupe – 1 050 pour l’autre partie  
Durée : 8h pauses comprises -10h
Kilométrage auto : Toutes les voitures sur place
Classement Atlas : Facile pour une partie du groupe – Difficile pour l’autre partie  
Préparation et rédaction : 3 h

Itinéraire (Colombier – Villars) – Orcines – Chemin des Gouris – Col de Ceyssat – Bac de Montmeyre – Bac de Ceyssat – Contournement du Puy de Côme – Puy Fraisse – Contournement Pariou – Golf – Orcines (Villars – Colombier)

La sortie longue distance prévue ce jour ayant été annulée, j’ai proposé deux points de départ afin de proposer à la fois la balade classique du dimanche mais aussi une balade avec un peu plus de kilomètres et de dénivelé pour compenser cette annulation. C’est donc à 4 que nous partons du Colombier à Chamalières et empruntons la Voie Romaine, dont nous reparlerons plus tard dans la balade, qui nous mène à Villars puis Orcines où nous retrouvons le reste du groupe.
Le groupe constitué, dès le départ, les techniques de navigation et la lecture de carte sont révisées et l’animateur propose un azimut et une distance. Le groupe trouve le point à atteindre. Il s’agit du calvaire d’Orcines que nous rejoignons. De là, nouvel exercice, nouvelle distance, nouvel azimut. Le groupe trouve à nouveau le point : le Puy Plantas qui n’est pas très observable car très peu de dénivelé et noyé dans la végétation. Troisième exercice identique et 3ème réussite pour le groupe qui trouve le Puy de Couleyras. Il est un peu éloigné et nous nous y rendons en suivant la carte. Comme souvent, un chemin direct, tracé sur la carte et encore PR il n’y a pas si longtemps, n’est plus accessible. Bon exercice pour le groupe qui doit trouver un autre cheminement.
Nous continuons notre trajet direction le col de Ceyssat. A l’ancien péage, la vue sur le Puy de Dôme est toujours aussi jolie.

Arrivés au col de Ceyssat, c’est l’occasion pour l’animateur de parler de l’importance de cet endroit et de toute l’activité qui y existait à l’époque Gallo-Romaine et d’évoquer aussi d’un lieu lié à cet endroit : le Temple de Mercure. La station météo du sommet du Puy de Dôme est aussi évoquée car c’est son édification qui a permis la découverte de ce Temple en 1872.
Ce moment culturel passé, direction le bac de Montmeyre. Un peu avant l’arrivée au point d’atterrissage ouest des parapentes, Patrice nous montre des vestiges de cette époque Gallo-Romaine. De ce point d’atterrissage, nous avons une vue du Puy de dôme moins connue.

Direction ensuite le bac de Ceyssat, qui sera le lieu de notre pique-nique. Nous contournons le Puy de Côme où l’ail des ours est très présent et sujet de conversation.

Ce contournement est aussi l’occasion de voir quelques vestiges d’une époque ancienne.

Tout autour du Puy de Côme, de nombreux chemins sont barricadés avec de jolis panneaux “Chemin fermé” et des extraits d’arrêtés obligeant l’animateur à adapter son parcours.
Un joli cheminement dans la forêt nous amène jusqu’au pied du Puy de Fraisse. C’est l’occasion de refaire de l’orientation. Direction pleine est. Pierre et Corinne nous conduisent avec succès au sommet. Pour la redescente, l’animateur propose d’utiliser la technique de l’erreur volontaire. Là aussi, mission parfaitement accomplie. L’ascension et la redescente de ce Puy, tout en hors-piste, ont été appréciées.
Des chemins plus confortables rejoints, c’est d’un pas rapide que nous contournons le Puy de Pariou pour rejoindre le golf d’Orcines puis notre point de départ.
A Orcines, c’est, depuis le matin, le vide grenier et le marché aux fleurs. Une buvette est là pour l’occasion. Ce sera le lieu du pot de fin de randonnée.

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Dim 21/04/2024 Rando Combrailles – Herment

Animatrice :  Christelle
Nombre de participants : 11 P  (7 F 4 H)
Météo : Ciel couvert, température fraîche, quelques portions sous un  vent du Nord sensible
Terrain :  Quelques passages boueux
Distance :  22 km 
Dénivelée :   340 D+   
Durée : 6H45 pauses incluses
Classement :  Facile
Kilométrage auto : 96 x 1 ET 114 x 1 soit 210 km
Préparation et rédaction : 3 h

Itinéraire :  Herment, PC  789, les Granges, bois des Granges, rocher des 3 tourtes, Pont de Gaumard, PC 720, PC 691, confluence ruisseau de Perchade et Petit Sioulet, PC 691, chez Monneron, chez Guyonnet,  AR chez Callou, AR ruisseau de la Faudèche, Terre noire, St Lazare, Barailles, Herment.

Pour ce dimanche automnal..Oups  printanier … ! nous voici dans les Combrailles. Son nom viendrait du gaulois « comboro » qui signifie probablement « rencontre de vallées ». Cet immense territoire est effectivement à la confluence de nombreuses vallées (Tardes, Voueize, Cher, Sioule, Sioulet, Bouble….).

Départ d’Herment où une petite brise bien froide me pousse à vite démarrer notre parcours ! Nous prenons le temps de découvrir d’un peu plus près le village qui mérite le détour. Installé sur une butte basaltique on peut, par beau temps,  profiter d’un large panorama sur les Monts Dore, ceux du Limousin, le  Plomb du Cantal…Nous découvrons également  l’église  collégiale du 12ème ,

Collégiale d’Herment

un énorme tilleul de Sully planté en 1601 ! 

Tilleul de 1601 (célébration naissance de Louis 13)

ainsi que la jolie promenade des Murs qui suit le tracé des anciens remparts.

De retour en pleine nature, découverte d’une autre curiosité, le rocher des Trois Tourtes,

Rocher des trois Tourtes

un empilement de 3 gros blocs, ancien autel druidique partiellement détruit.  On est censé trouver une cavité dans lequel on peut déplacer une pierre qui produirait un « son de cloche », plusieurs d’entre nous ont décortiqué le site sans trouver le trou en question !

Nous reprenons notre parcours dans de jolis bois puis la découverte du pays d’Herment se transforme en pays d’égarement !!

A la recherche d’un chemin …

A plusieurs reprises la carte ne correspond vraiment pas à la réalité ou les chemins sont barrés. Tentant de trouver une solution de repli, nous nous retrouvons à la confluence de 3 ruisseaux grossis par la météo pluvieuse. Après concertation avec le groupe, j’abandonne l’idée de traverser et nous rebroussons chemin une fois de plus. On prend quand même le temps de regarder les fleurs notamment le caltha des marais ainsi que de beaux orchis.

Caltha des marais ou populage

Nous verrons aussi des lathrées clandestines, plantes parasites que l’on connait moins (merci Annick pour les explications !). Côté faune nous avons le plaisir de voir gambader plusieurs chevreuils ! Pendant la pause pique-nique, je potasse une nouvelle fin de parcours afin d’éviter un gros supplément de kilomètres dû à nos demi- tours et impasses ! 

Nous reprenons donc notre cheminement dans cette belle campagne vallonnée et rebelote ! A hauteur du hameau « chez Calloux » nous nous retrouvons de nouveau coincés devant un chemin fermé par une grosse barrière métallique ornée d’un panneau propriété privée !! C’est donc encore un retour en arrière. Je ne rentre pas de nouveau dans le détail mais sur les 5 derniers kilomètres nous ferons chou blanc encore plusieurs fois !!! J’ai rarement vu ça ! Certains ont dû croire que nous étions en train de tourner un remix du « petit poucet « !! mais non je n’ai pas réussi à les perdre et c’est dans la bonne humeur que le groupe retrouve les voitures et de bonnes gourmandises ! Merci à tous pour votre présence et votre patience après cette rando « jeu de piste » !!

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Jeu 18/04/2024   Rando Combrailles – St Hilaire La Croix

Animateur : Georges
Nombre de participants : 16 ( 10 F et 6 H )
Météo : Pluie et neige le matin, petite accalmie en début d’après-midi
Terrain : gras et torrent dans les chemins en pente
Distance : 15 km
Dénivelée : 400 m
Durée : 4h 30
Classement Atlas : facile
Kilométrage auto :  100km x1 et 65km x2  soit 230 km 2 voitures sur place
Préparation et CR: 2 h

Itinéraire : Départ de st Hilaire la Croix, descente sur la vallée de la Morge, Lavaure, La Tour Serviat, Moulin Josse, Barrage de la Sep, Combe de Lèbre, Retour à St Hilaire la Croix.

Météo annoncée pluvieuse aujourd’hui au départ de St Hilaire la Croix. Nous partons sous une petite pluie fine, la pluie s’est vite transformée en neige avec de gros flocons. Nous sommes vite transformés en bonhommes de neige, belle ambiance. La neige nous a accompagnée toute la matinée.


Direction la vallée de la Morge, avant la traversée du ruisseau, petite halte pour visiter les rochers Rufino.

Cet artiste a créé un parc où les sculptures taillées dans la roche représentent des figures humaines et animales. Nous ne nous attardons pas, direction Lavaure et La Tour Serviat où nous apercevons le château du même nom des 12e et 15e siècles. Nous quittons le village pour redescendre la vallée et traversons une deuxième fois la Morge jusqu’au moulins de Josse.
Nous quittons la vallée en direction du barrage de la Sep.

La retenue est à son maximum avec les pluies des dernières semaines. Une dernière petite difficulté et nous arrivons à St Hilaire la Croix ; il est 13h 15, nous n’avons pas pris notre pique-nique. Certains préfèrent manger sur place, d’autres aller chez eux au chaud.
Merci à tous d’avoir bravé ce temps hivernal.

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Dim 17/03/2024 Rando au pays de Couzes – Rentières

Animatrice : Christelle
Nombre de personnes : 11 P Animatrice incluse 9 F 2 H
Météo : Temps couvert, quelques éclaircies, température douce
Terrain : Quelques passages gras
Distance : 25 km        
Dénivelée : 690 m
Durée : 7h30 pauses incluses
Classement : Facile
Kilométrage Auto : 140 X 2 soit 280 km
Préparation et rédaction : 3 h

ITINERAIRE : Rentières, Chausse Haut, le Fromental, direction NNE  PC 852, PC 795, Charmaix haut, Saint Hérent,  direction SSO  Chalouze, Laval, Chalande, la Croix du Sanaire, l’Esplantade, Rentières

Pour ce troisième dimanche de mars, nous voici au départ de Rentières. Joli village aux belles maisons de pierre volcanique dont certaines visiblement très anciennes.

Installé sur la bordure orientale du Cézallier et surplombant la Couze d’Ardes que l’on peut observer depuis le joli promontoire de la Dent du Monty. Au loin se profile une belle falaise d’orgues basaltiques.

Voulant faire un bref passage à l’église pour admirer de belles fresques, je suis allée récupérer la clef auprès de la propriétaire du gîte de l’Accueillette. Tentative avortée car l’énorme clef n’a jamais voulu fonctionner ! Nous ne verrons pas les fresques qui auraient été réalisées par un bagnard évadé et venu se réfugier à Rentières !

Dans ce secteur nettement marqué par le volcanisme en des temps anciens, beaucoup de creux et de bosses, nous entamons donc une belle première montée pour admirer le panorama depuis la butte du Fromental. Large vue sur les vallons alentour, les monts du Luguet, le Forez, il ne reste qu’une belle arche de l’ancien château fort du 12ème siècle et de la chapelle Sainte Agathe.

Puis après une nouvelle tournée de descente, montée et redescente à proximité des Ribes où pullulent les amas de pierres volcaniques entassées par les agriculteurs au fil des années. On profite d’une belle vue sur une partie de la chaîne des Puys, agréable lieu pour notre pique-nique. Nous sommes rejoints par un sympathique local qui nous abreuvera de toutes sortes d’informations durant toute la pause !!  Nous apprenons notamment que la lentille était cultivée ici auparavant.

Après avoir « pinaillé » quelques instants sur une portion de sentier barricadé et soi-disant réservé aux riverains, nous rejoignons le superbe site de Saint Hérent, mignon petit village et belle église perchés sur un éperon rocheux creusé par le ruisseau de Courbières. Une fois de plus nous ne pourrons accéder à l’intérieur de l’édifice réputé pour ces belles fresques.

Et c’est reparti pour une longue remontée de 400 m de dénivelée pour rejoindre le plateau du pré du Perché où se trouve un étang qui vire à la tourbière, une cabane d’observation des oiseaux permet de profiter d’un beau moment de quiétude et d’un large panorama à 360.

Nous avons  été survolés par un vautour  fauve dont le retour semble assez marqué ces dernières années dans le Cézallier et le Sancy.

Nous entamons le retour, une petite inattention de ma part nous occasionne une erreur de trajectoire et un supplément de distance !!  Puis fin de parcours sans encombre, encore de belles bâtisses en pierre parfois gâchées par un environnement fermier qui ressemble à une déchèterie…quel dommage !

Merci à tous pour votre participation et merci aux gentils fournisseurs de douceurs !!

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Dim 10/03/2024 Raquettes Sancy – Croix Morand

Animateur : Fabien  
Nombre de participants
 : 9 (3F, 6H) animateur compris
Météo : Ensoleillé le matin, nuageux l’après-midi 
Distance :  13,6 km   
Dénivelé :  470 m
Durée : 6h00 pauses comprises                                                                                      
Terrain : Neige fraîche le matin. Humide et collante l’après-midi
Classement Atlas : Facile
Kilométrage auto : 100 km pour 1 voiture et une voiture sur place venant de Durtol  
Préparation et rédaction : 3h

ITINERAIRE : Col de la Croix Morand, Puy du Baladou, Puy de Baudet, Puy de l’Aiguiller, Puy Corde, Trioulérou, Puy de la Croix Morand.

Arrivés au Col de la Croix Morand, le parking est complétement enneigé. Une des 2 voitures tente une entrée mais sans succès. Cela permet à ses occupants de s’échauffer en la poussant pour la sortir ! Coup de chance, le chasse neige arrive et dégage le parking, nous permettant de garer les voitures convenablement.

Nous chaussons les raquettes et empruntons le GR30 direction le Col du Baladou. La neige est bien tombée pendant la nuit et nous faisons notre trace dans cette neige immaculée. Arrivés au pied du Baladou, c’est le moment de la 1ere ascension du jour.

Ascension du Puy de Baladou

Après avoir observé le joli paysage, nous redescendons ce Puy. Une partie du groupe redescend par la pente la plus douce. Une autre partie redescend plein ouest par une pente beaucoup plus prononcée permettant de revoir les techniques de descente en raquette.

Descente du Baladou plein ouest

Nous arrivons alors sur la forêt de Pessade. Tous ces arbres enneigés donnent une très belle ambiance hivernale.

Après avoir longé la forêt, direction le Puy de Baudet.

Le groupe en direction du Puy de Baudet

Le groupe en direction du Puy de Baudet

Nous montons par le flanc sud, en pente très douce. Au sommet, le contraste est saisissant avec son flanc nord beaucoup plus abrupt. Nous profitons du joli paysage sur la Chaîne des Puys

la Chaîne des Puys depuis le Puy de Baudet

et continuons notre chemin direction Puy de l’Aiguiller. Nous veillons à rester sur les courbes de niveau et évitons le chemin le plus direct qui nous ferait descendre pour remonter. Nous profitons d’un rocher pour nous protéger du vent et cassons la croute. Le fond de l’air restant frais et le soleil s’étant caché, ce casse-croute est rapidement avalé et nous repartons pour notre prochain objectif, le Puy Corde où nous voyons le lac du Guéry sans la moindre couche de glace. Cette année encore, la pêche au trou semble mal engagée.

Après avoir gravi le Trioulérou, nous nous approchons du dernier objectif de la journée : le Puy de la Croix Morand, terrain de jeu des snowkite qui sont bien présents ce jour. Au sommet, nous apprécions une dernière fois tous ces paysages qui nous ont accompagnés tout au long de la journée. Notre redescente sud-ouest nous amène directement à l’auberge de la Croix Morand, très fréquentée ce jour, où nous prenons le pot de fin de balade.

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Dim 25/02/2024 Rando Chaîne des Puys – Volvic


Animateur : Sébastien
Nombre de participants : 11 animateur compris (6F, 5H)
Météo : Couvert avec quelques giboulées, arrivée sous la pluie, températures fraîches
Distance : 22 km   
Dénivelé :  800 m +
Durée :7 H 00 pauses comprises
Classement Atlas : facile
Kilométrage auto : 60 km
Préparation et rédaction : 1 H

ITINERAIRE
 : Volvic, remontée du vallon entre la Coussedière et Viallard, Facemeunier, Douhady, Vallée de Sans-Souci, Saint-Hippolyte, Enval, Tournoël, Volvic

Après avoir pris un peu de hauteur depuis le parc des sources de Volvic, nous arpentons un chemin en fond de vallon, inédit pour tous les participants. Celui-ci termine son tracé au travers d’une belle aspérité rocheuse nous permettant peu à peu de nous hisser au-dessus des frondaisons et de découvrir le paysage alentour. La suite de notre cheminement nous conduit à l’extrémité est des Combrailles où nous pouvons apercevoir au loin le village de Charbonnières-les-Varennes, semblant comme endormi au fond du val d’Ambène… Mais c’est dans la direction opposée que nous avons décidé de nous rendre aujourd’hui.
Nous prenons notre repas dans la forêt, avec une belle vue sur le château de Chazeron, situé sur le coteau opposé au nôtre. Petite descente hors piste à travers la forêt jusqu’au ruisseau de Romeuf, où nous arrivons à hauteur d’une passerelle de fortune constitué d’un simple poteau téléphonique. Je demande si quelques courageux se sentent de faire l’aller-retour mais aucun doigt ne se lève… Pas grave, notre itinéraire ne nous oblige pas à traverser et nous suivons donc ce cours d’eau dans un paysage très bucolique jusqu’à Rochepradière.
La dernière partie de notre parcours s’amorce alors, mais ce ne sera pas la plus reposante. Nous suivons en effet une succession de buttes et de petits vallons sur un terrain assez accidenté. La forêt est toutefois magnifique et tout le groupe poursuit sa progression dans la bonne humeur jusqu’au château de Tournoël, citadelle réputée inexpugnable et censée fermer l’accès à l’Auvergne par toute invasion en provenance du nord. Ce château imprenable ne l’était toutefois pas tant que cela et après un siège de plusieurs mois, les comtes d’Auvergne qui le défendaient se rendirent au roi de France en 1213. L’Auvergne fut alors annexée au domaine royal. Comme s’il se rappelait soudainement de cet événement, le ciel auvergnat commença alors à nous tomber sur la tête, d’abord doucement, puis de plus en plus durement et nous arrivâmes aux voitures bien trempés mais heureux de cette journée.

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  Dim 18/02/2024 Rando Sancy – Pessade

Animateur : Fabien  
Nombre de participants : 14 (9F, 5H) animateur compris
Météo : Couvert avec quelques rayons de soleil l’après-midi
Terrain : Très gras et glissant dans les bois de Maugue
Distance :  26,5 km   
Dénivelé :  900 m
Durée : 8h00 pauses comprises
Classement Atlas : Moyenne
Kilométrage auto : 74 km pour 2 voitures de Clermont soit 148 km et une voiture sur place
Préparation et rédaction : 3h

ITINERAIRE : Pessade, Lac de Servières, Puy de Combe Perret, Col de l’Ouire, Puy de l’Ouire, Puy Corde, Puy de l’Aiguiller, Col de Baladou, Bois de Maugue.

Départ de Pessade pour cette randonnée du jour. Après une mise en jambe dans les Bois des Rioux, nous arrivons au Lac de Servières dont nous faisons le tour.

Lac de Servières

Ce lac, d’origine volcanique (éruption phréato magmatique) est, depuis 2019, propriété du Département après avoir longtemps appartenu à la société de pêche de Michelin.

Depuis les rives de ce lac, nous remontons plein sud en hors-piste à travers bois sur les flancs du Puy de Combe Perret pour en atteindre le sommet et profiter d’une belle vue sur le lac de Servières et la Chaîne des Puys en arrière-plan.

De là, nous cheminons sur le GR30 pour atteindre le Col de l’Oiure et monter au Puy du même nom.

Montée du Puy de l’Ouire

Après la redescente et le repas avalé, nous naviguons sur le plateau entre Puys Corde et de l’Aiguiller pour ensuite redescendre au col du Baladou.

Vue depuis le Puy Corde

De là, un long cheminement dans les bois de Maugue et de Mareuge nous ramène à notre point de départ. Les chemins que nous empruntons, pourtant agréables en temps normal, sont boueux, complétement défoncés, remplis d’ornière dû au passage de nombreux engins forestiers effectuant d’énormes coupes rendant le lieu complétement différent.

Nouveau visage des bois de Mareuge

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Dim 11/02/2024 Rando Allier – Charroux

Animatrice : Christelle
Nombre de participants :  17 animatrice incluse (10 F, 7H)
Météo : Ciel clair, un peu de bruine par moment, quelques passages  légèrement ventés
Terrain :  Humide avec quelques passages plus gras
Distance : 23.500 km
Dénivelée :  510 m  (OpenRunner)
Durée :  7 h pauses comprises
Classement : Facile
Kilométrage auto :   110 km pour 2 voitures et 62 km pour 1 voiture soit un total de 282 km et une voiture sur place
Préparation et rédaction : 2 heures

ITINERAIRE :  Départ Charroux, la petite Varenne, les Ruilliers, les Rivards, entrée de St Bonnet, viaduc de Rouzat, Bègues, voie ferrée, Jenzat, bois de la Garenne, Charroux

Une fois n’est pas coutume, nous voici dans  l’Allier, secteur où nous ne venons pas très souvent.  Parcours en territoire bourbonnais où  nous avons arpenté  jolis vallons et collines  tout en découvrant un patrimoine historique riche et varié !

Départ de Charroux, labellisé «  Plus beaux villages de France depuis 1987 », site touristique majeur qui attire 200 000 visiteurs chaque année. Resté dans son jus , sans rénovation excessive, nous découvrons une partie de cette jolie cité bâtie autour de sa place centrale et striée de ruelles pavées de pierre dont les noms évoquent une activité  artisanale qui fût très importante au Moyen-âge ( jusqu’à 4000 habitants). Implantée sur un plateau d’où l’on profite d’un large panorama, elle domine de grandes surfaces cultivées, beau patchwork où le vert des jeunes feuilles de colza donne déjà une petite note printanière.

Après une première traversée au milieu des champs nous découvrons le château des Ruilliers,

château des Ruilliers

bâtisse du 15ème siècle remodelée au 18ème. Même si certains éléments ont souffert,  le corps principal est en très bon état et joliment rénové.

Puis nous plongeons vers la Sioule qu’enjambe le remarquable viaduc de Rouzat : 180 m de long, 60 de haut, 500 tonnes d’acier, le géant de pierre inauguré en 1871 est un des premiers chantiers de la société Gustave Eiffel (avant même la Tour Eiffel /1889 et le Garabit /1884). Un des points de passage de la ligne Commentry-Gannat, 52 km qui nécessiteront la construction de 6 autres viaducs et un tunnel !

viaduc de Rouzat

Puis nous remontons dans le Bois de l’Anneau où le sol est largement tapissé de perce-neiges afin de rejoindre Bègues, commune également située sur un promontoire offrant une  large et belle vue. Nous nous installons à l’abri du vent à l’arrière de sa petite église romane  pour la pause pique-nique.  L’occupation du site remonte à des temps très anciens, la Tène second âge du fer ( entre 450 et 25 avant JC). En partant, halte devant une belle bâtisse  à l’abandon  dévorée par le lierre. Ancienne maison de maître elle fût  transformée en maison de repos pour les routiers par un journaliste, François de Saulieu (créateur du fameux logo des restos routiers). Fermée depuis 1989, elle a été enfin rachetée par la commune qui  planche sur un projet de réhabilitation.

Puis nous replongeons vers la Sioule avec un passage sous un deuxième viaduc, celui de Neuvial avant de rejoindre Jenzat, capitale mondiale de la vielle à roue, instrument à cordes, frottées par une roue et non par un archet. Quelques secondes de musique sur You tube nous permettent  de bien identifier le style musical  de cet instrument ! La commune est connue aussi pour son immense parc doté de 3 châteaux  de style très différents (XIIIème, XVème  et  XVIIIème).

Châteaux de Jenzat

On accède au domaine par un immense portail en fer forgé. Puis encore une autre petite halte culturelle à l’église Saint Martin où nous admirons de vieilles fresques du XVème siècle.

Eglise de Jenzat

Retour en montagnes russes avec une bonne grimpette dans les bois de la Garenne , descente et remontée de nouveau vers Charroux au milieu des champs baignés par une très belle lumière avant de retrouver les voitures où nous profitons d’un festival de bons gâteaux !!

Merci et bravo à tous les cuistots, on est bientôt prêt pour une nouvelle version de Top Chef, les rando- pâtissiers !!

Nous n’aurons pas le temps de découvrir toutes les richesses de Charroux mais nous arpentons quand même quelques jolies ruelles et apercevons son fameux clocher tronqué

Clocher tronqué de Charroux

avant de rejoindre le Barapotin où nous terminons la journée avec une revigorante boisson chaude et de bonnes rigolades ! merci au patron pour l’accueil extrêmement convivial !!

Merci à tous pour votre participation !

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DIM 04/02/2024 Rando Sancy – Guéry

Animateur : Fabien
Nombre de participants : 20 animateur compris (12 femmes, 8 hommes)
Météo : Grand soleil, températures élevées pour la saison
Distance : 20,5 kms   
Dénivelé :  780 m
Durée : 7h15 pauses comprises
Classement Atlas : Facile
Kilométrage auto : 4 voitures de Clermont pour 80 km  soit 320 km. Deux voitures sur place
Préparation et rédaction :  3 h

Itinéraire Col de Guéry, Puy Loup, Col de St Laurent, Banne d’Ordanche, Bois de la Paillère, PC 1252, Puy Gros, GR 30 pour rejoindre le Col de Guéry.

Après avoir quitté un Clermont dans le brouillard, c’est d’un Col de Guéry bien ensoleillé que nous partons. Nous cheminons un peu dans la forêt domaniale de Guéry sur des chemins que, normalement à cette époque de l’année, nous ne pourrions pas emprunter car ils constituent les pistes de ski de fond du domaine nordique du Guèry. Mais pas le moindre centimètre de neige…Au sortir de cette forêt, nous débouchons sur le plateau qui nous permet d’avoir une superbe vue dont nous profiterons toute la journée. C’est la 1ere occasion de faire une lecture de paysage et d’essayer de trouver qui est qui, en particulier entre roches Tulière et Sanadoire. Une participante nous donne alors un moyen mémotechnique de les distinguer !  Nous continuons sur le plateau et arrivons au-dessus du lac du Guéry dont nous profitons de la vue avec le Massif Adventif au second plan.

Lac de Guéry

 Ce lac, agé de 2 millions d’années, est d’origine volcanique. C’est une coulée de lave basaltique qui a barré le ruisseau des Mortes qui descend du Puy Gros et a donné naissance au lac. Propriété d’EDF jusqu’en 2020, il a vu son niveau d’eau réhaussé en 1890 par la construction d’un barrage qui avait pour rôle d’alimenter, avec la Dordogne, la centrale hydroélectrique de la Compissade en vue de fournir l’électricité au funiculaire du Mont Dore. Depuis 2021, c’est le conseil départemental du Puy de Dôme qui est propriétaire de ce lac, qui a également la particularité de se trouver à cheval sur 4 communes.

Nous reprenons notre cheminement et montons au Puy Loup. Au sommet, les habitués du lieu remarquent que la construction que nous avons connue ouverte aux 4 vents est dorénavant bien protégée. Un panneau explicatif nous indique qu’une association de guide, Auvergn’attitude, est en train de la réhabiliter en abri. Nous redescendons du Puy Loup direction col de St Laurent en passant par la borne des 4 seigneurs, aujourd’hui point de séparation de 4 communes : Murat le Quaire, Perpezat, Laqueuille et le Mont Dore. Cette descente nous offre une belle vue sur notre prochain objectif : la Banne d’Ordanche.

Banne d’Ordanche

Passé ce col, nous attaquons l’ascension de la Banne d’Ordanche. Au sommet, nouvelle lecture du paysage. Nous profitons d’autant plus du sommet que celui-çi souvent venté est, ce jour, très calme. Redescente de la Banne d’Ordanche direction ouest pour atteindre une autre particularité du jour : un tra. Un tra, trou en patois, était une construction creusée dans le sol par les bergers qui s’en servaient d’abri les étés entiers. Un peu l’ancêtre des burons ! Ce tra a été reconstitué par la même association qui réhabilite actuellement la construction du sommet du Puy Loup, Auvergn’attitude. Cette reconstitution leur a nécessité 115 heures de travail en n’utilisant que des outils d’époque (pelles, pioches, marteaux, haches, scies et rien d’autre !). C’est à côté de ce tra que nous prendrons la pause méridienne. Les 1eres douceurs conclueront ce repas. Le grand soleil incite plus à la sieste qu’à repartir mais il faut repartir !

Dans les bois de la Paillère, nous changeons complétement de cap pour repartir sur notre point de départ. Nous atteignons alors le pied du Puy Gros, dernière ascension du jour. En son sommet, la vue est tout aussi belle, notamment sur la Vallée de la Dordogne et le Massif du Sancy.

Vue sur la vallée de la Dordogne et le massif du Sancy

La redescente offre également une belle vue sur la Chaîne des Puys et autre Puy de l’Ouire.

Vue sur la chaine des puys et le puy de l’Ouire

C’est par le GR30 et après avoir longé le lac de Guèry par sa rive ouest

Lac de Guéry rive ouest

et fait un rapide aller-retour jusqu’à la cascade des Mortes de Guèry que nous regagnons notre point de départ.

C’est alors que les coffres des voitures s’ouvrent et il en sort nombre de gâteaux faits maison tous aussi bons les uns que les autres. Merci à tou(te)s les patissier(e)s !!

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