Animateur : Yves Nombre de participants : 10 animateur compris (7 F, 3 H) Météo : nuageux le matin, éclaircies l’après-midi Distance : 24 km Dénivelé : 650 m Durée : 6H30 pauses comprises Classement Atlas : Facile Kilométrage auto : 60 km pour 2 véhicules soit : 120 km Préparation et rédaction : 3 H
ITINERAIRE : Egliseneuve-près-Billom, le Mas d’Auteyras, PC389, Marcilliole, PC405, PC396, PC426, Reignat, PC457, Montaigut, PC531, PC498, les Ossiaux, PC411, PC375, l’Olivier, PC354, PC355, les Roddiers, la Vaure, Neuville, le Puy Gentil, PC392, la Mouleyras, Brossolière, PC563, Egliseneuve.
Départ d’Egliseneuve-près-Billom fondé autour d’un prieuré bénédictin, dont une partie des bâtiments demeurent proche de l’église. En passant on peut entrevoir des parties gothiques. A proximité du Mas d’Auteyras un coup de fusil d’une intensité sonore importante nous surprend. Les chasseurs traquent le lièvre un peu trop près des habitations. Nous sommes méfiants, quelques mètres plus bas des rabatteurs nous indiquent que dans la direction où nous allons il n’y a aucun risque, nous voilà rassurés. Au passage nous peinons à découvrir le château privé d’Auteyras entouré d’une importante végétation.
Château d’Auteyras
Le sentier argilo calcaire à forte pente nous oblige a être vigilant, sinon glissade assurée. A Marcilliole se dressent devant nous à quelques encablures deux anciens volcans : le Petit et le Grand Turluron. Nous prenons la direction de Reignat, fort villageois, où subsistent encore quelques rangs de vigne, vigne qui occupait 20% de la surface cultivée autour de 1900. Plusieurs passionnés font revivre cette tradition viticole au cépage Gamay pour le rouge et le rosé, et Chardonnais pour le blanc, confirmé par un habitat caractéristique, maison en hauteur avec cuvage.
Face à nous le premier dénivelé de la journée, le Puy Lacroix et le hameau de Montaigut où en 1686 un château était présent. Le chemin argilo sablonneux, passablement pentu, nous oblige à chercher l’herbe pour ne pas glisser. Montaigut contourné, nous arrivons aux Froments, deux tables d’orientation nous aident à lire le paysage sur 360°. Le temps nuageux de ce matin s’est un peu éclairci, la visibilité est meilleure. Cette riche plaine agricole de Limagne, accidentée de buttes, limitée à l’est par la Montagne Bourbonnaise, les Bois Noirs, et le Forez nous offre une mosaïque de couleurs. Surfaces doucement vallonnées où les parcelles céréalières côtoient les premiers herbages. Une profusion de châteaux s’impose à notre regard, Montmorin, Mauzun, Usson, Ravel, plus près de nous La Molière et Busséol au loin.
Nous repartons nord, nord-est en bordure du bois de la Mure. Aux Roddiers un lavoir au soleil fera l’affaire pour la pause déjeuner. De beaux chemins nous mènent à Neuville, village où l’habitat traditionnel, mur en pierre ou en pisé, domine. Nous sommes maintenant face au bois de la Mure, le camaïeu de vert commence à se teinter de jaune..
La pente recommence à s’accentuer pour finir à un deuxième point de vue avec tables d’orientation également, entre Brossolières et Egliseneuve.
La barrière montagneuse des Dômes et Sancy en toile de fond, bleutée ce matin s’assombrit brusquement. Le vent se lève et quelques gouttes arrivent. Contemplation succincte des lieux et nous redescendons rapidement sur Egliseneuve.
La journée aura été un peu nuageuse le matin, accompagnée par de timides rayons l’après-midi, le tout avec une température toujours agréable.
Animateur : Thierry Nombre de participants : 12 animateur compris (4F, 8H) Météo : Ciel partagé entre nuages, brumes et soleil – Grande douceur Préparation et rédaction CR : 2H00 Distance : 23,5 km montre Christian Dénivelée : + 500 m ” “ Duréeséance : 3h40 hors échauffement et étirements Durée marche : 3h28 Moyenne de marche : 6,7 km/h montre Christian
Itinéraire : Départ GR 4 au-dessus de Laschamps, glacis de Mercœur, W du puy de Montjuger, sente vers D2089, W puy de Montchal puis chemin d’exploitation vers Récoleine, GR30 pour contournement sud du puy de Pourcharet, puy de Lassolas et la Vache par GR30, intersection D5 au PC 980, sentier vers Creux du Pialoux et entrée N/W de Fontfeyde, ferme les Carthez, sentier au N/W jusqu’à D5, sente à l’W jusqu’au PC 943, sente au nord jusqu’à Croix Parla, retour Laschamps par GR 4
Observations : Groupe très homogène et donc groupé tout au long de la séance. La pluie annoncée -et redoutée ? – ne s’est pas déversée sur notre groupe. La seule averse a eu lieu lorsque nous étions encore dans nos voitures avant le départ. Les maillots étaient néanmoins humides à l’arrivée mais à cause de l’effort constant et pas de la pluie 😊 ! Sol parfait et moins boueux que je ne le pensais : les feuilles ont recouvert en un tapis épais la plus grande partie du cheminement. Avec les vaches encore aux prés, les bons marcheurs d’Atlas formaient de loin le groupe le plus nombreux. Peu de sportifs dehors en effet ce matin dans le secteur. Plaisir d’être ensemble, discuter de tout et de rien, bonne forme : les ingrédients d’un samedi matin dynamique.
Animateur : Yves Nombre de participants : 12 animateur compris ( 8 F, 4 H) Météo : pluie et soleil peu de vent Distance : 25 km Dénivelé : 600 m Durée : 7H15 pauses comprises Classement Atlas : Facile Kilométrage auto : 50 km pour 2 véhicules et 80 km pour 1 autre soit : 180 km Préparation et rédaction : 3 H
ITINERAIRE : Parentignat, PC442, le Chauffour, château d’Ybois, Mondallier, Flat, Brenat, PC393, le Chéry, PC437, Chabetout, la Tuilerie du Mazel, Côte rouge, Usson, PC501, Artaut, PC382, Château la Vernède, PC376, Varennes-sur-Usson, PC379, PC375, Parentignat.
Nous quittons Parentignat avec quelques gouttes en espérant que le vent fort annoncé nous épargnera. Direction le Chauffour et la butte d’Ybois. Sur le chemin les noix tombées avec la tempête de cette nuit, jonchent le sol, la cueillette est facile. Au pied de la butte petit moment d’histoire : la célèbre Reine Margot séjourna dans la forteresse qui couronnait cette butte quelques jours avant d’être faite prisonnière à Usson.
La pluie avait cessé, le vent était faible mais passé côté nord de la butte changement de programme. Une pluie très froide limite grésil s’intensifie poussée par un vent qui augmente fortement. La glaise du sentier commence à coller aux chaussures. Aux Escures partie élevée et exposée du parcours, la pluie nous single le visage, pas d’abri possible, le pas s’accélère en direction de Flat où un abri bus est bienvenu. Après quelques minutes d’attente, l’intensité ayant diminué, nous repartons en direction de Brenat.
A l’entrée du village la pluie cesse, les nuages s’écartent, le soleil se montre timidement d’abord puis s’intensifie rapidement. Il est presque midi, à l’unanimité les participants proposent de faire la pause méridienne maintenant. Le vaste porche de l’église, bien ensoleillé, fait le bonheur de tous.
Eglise de Brenat
Pique-nique fini, les vêtements ont séché, l’averse est un mauvais souvenir. Usson notre prochain objectif se détache au loin, mis en valeur par un soleil de plus en plus présent. Le cheminement pour y accéder se fait en zigzag, entre des prairies où des charolaises nous présentent un ballet parfaitement orchestré, et un enclos immense occupé par un élevage de porcs noirs. Ce dernier nous contraint à modifier mon tracé. En chemin, nous découvrons le château du Chéry vêtu de rose qui pourrait illustrer un conte pour enfants.
Château du Chéry
La tuilerie du Mazel passée, le soleil persiste, la température est douce, le vent inexistant, changement de tenues pour franchir les 200 mètres positifs face à nous jusqu’au sommet de la butte d’Usson. Traversée du village, montée à la vierge qui se détache sur le fond azur du ciel et détour par les orgues avant de redescendre.
Vierge d’Usson
Le retour en passant par Varennes-sur-Usson ressemble à un après-midi de printemps. Malgré les craintes et les trente minutes d’averse la journée aura été une merveilleuse journée.
Animateur : Pierre Nombre de participants : 12, animateur compris (7 femmes, 5 hommes) Météo : nuageux et légèrement venteux (19°) Distance : 19 km Dénivelé : 750 m Durée : 6h30 pauses comprises Classement Atlas : Facile Kilométrage auto : 336 km pour 3 véhicules Préparation et rédaction : 3 h
Itinéraire : Brousse, Moulin de Chabanne, Logerie, les Gerbaudias, La Prulhière, Ischamp, le grun du Perrier, le Perrier, la Plagne, Artheyre, le Couderchet, Montpommier, Liguedrey, Laval, Laschamp, Moulin du Veyrial, Brousse.
Le départ de la rando se fait depuis l’église Saint-Martin, édifice du 12e siècle plusieurs fois remanié, à Brousse. Ce sera d’ailleurs le seul édifice remarquable sur l’itinéraire du jour car nous ne traverserons que quelques villages et hameaux.
Toutefois, en traversant La Prulhière, certains observent derrière une haute haie une construction rappelant un édifice religieux. Yves, Laurent et Pierre en trouveront l’origine ; il s’agit d’une église inachevée faute de financement. Les sentiers empruntés nous amènent à Ischamps dont le nom est issu du patois signifiant « essaims » et c’est après avoir suivi une rue nommée le chemin des abeilles que nous descendons vers le ruisseau Le Miodet. Sa traversée se fera sur un pont rudimentaire,
suivi d’une génuflexion afin de passer un tronc.
Puis nous remontons vers le grun du Perrier. Ce terme de « grun » tient son origine du patois « grounh », le groin du cochon, et utilisé avant la francisation pour désigner un monticule. Au Perrier, nous nous arrêtons pour le déjeuner dans un champ. Il souffle un peu de vent mais nous sommes relativement protégés par une haie. Les noms des hameaux traversés par la suite nous rappellent l’origine de leur nom en patois : La Chabanne (la Cabane), La Plagne (espace plat), Le Couderchet (petit pâturage mis en commun), Artheyre (lieu où on avait vu des ours) jusqu’à Brousse qui tire son nom de « buxerius » signifiant buis en latin.
Animatrice : Mady Nombre de participants : 20 animatrice comprise (13F-7H) Météo : journée ensoleillée, température douce Distance : 16, 79 km ( montre Garmin 7) Dénivelé : 1075 m ( montre Garmin 7) Durée déplacement : 7h Classement Atlas : Difficile Voitures : 96 km pour 2 voitures de Clermont Fd soit 192 km, 84 km pour 2 voitures du Crest soit 168 km. Au total 360 km. 1 voiture non comptabilisée, hors du covoiturage officiel. Préparation et rédaction : 3 h
ITINÉRAIRE : Le Mont-Dore, Val de Courre, Puy de Sancy, Col de la Cabane, Roc de Cuzeau, Grande Cascade, le Mont-Dore.
Le départ près de la gare du funiculaire qui grimpe jusqu’au Salon du Capucin à 1245 m d’altitude, est l’occasion de rappeler qu’il est le plus ancien funiculaire électrique de France. Construit en 1898, il a fêté ses 125 ans en 2023. Une première petite montée nous amène sur le Chemin des Artistes qui est également emprunté par une variante du GR4. En courbe de niveau, et plus ou moins parallèle au chemin des Médecins qui est légèrement plus haut, il permet d’arriver facilement au niveau de la station du Mont-Dore. Après avoir cheminé à l’ombre de la forêt, nous retrouvons un espace découvert et le beau ciel bleu du départ.
Début du Val de Courre
La montée du Val de Courre s’effectue tantôt à l’ombre, tantôt au soleil, chacun et chacune à son allure et les plus observateurs peuvent apercevoir six chamois sur la pente gauche de la vallée.
Une pause au col permet le regroupement et un petit temps de repos avant de recommencer à progresser vers le sommet du Sancy tout en profitant des panoramas magnifiques que nous offre Dame Nature et à nouveau des chamois aperçus côté Val d’Enfer !
Chamois dans le Val d’Enfer
La douceur de la température nous permet de faire la pause pique-nique sur le sommet juste en dessous de la table d’orientation.
Sur la dernière partie des crêtes faites ce jour, de nouvelles pauses d’observation à l’aplomb de la vallée de Chaudefour. Mouflons et chamois peuvent brouter en toute tranquillité sur ces pentes abruptes. Au sommet du roc de Cuzeau on profite un bon moment des dernières vues aériennes et sur l’ensemble du parcours de la journée avant de prendre le chemin du retour.
Le massif du Sancy
Passées les estives où les sorbiers des oiseleurs resplendissent avec leurs baies rouges orangées très appréciées des oiseaux, nous arrivons à la Grande Cascade qui est le dernier point fort de la randonnée et terminons la descente sur le Mont-Dore, heureux d’avoir pu échapper aux brumes clermontoises.
Remarque : un groupe important, avec souvent Michel J en serre file.
Animateur : Thierry Nombre de participants : 11 animateur compris (5 F, 6 H) Météo : Grand soleil toute la journée Carte : IGN 2433 SB Distance : 25 km Dénivelée : 640 m Durée : 7h30 pauses comprises Classement Atlas : Facile Kilométrage auto 120 km pour 2 véhicules – 1 voiture sur place Préparation et rédaction : 3H
Itinéraire : Tauves, Noilhat, Mézérat, le Buisson, Saint-Pardoux, La Tour d’Auvergne, le Mesnil, Sauzet, vers Nodif, W PC 1183, la Roche, Longechaud, PC 1014, sente au SW, W butte ND de Natzy, chapelle ND de Natzy, N vers D203, Monument Résistance, N vers la Gièze, Mézérat, Vassivières, Theil-St Gal, Tauves
Belle boucle aux confins de l’Artense et du Sancy sous un soleil radieux et des couleurs de feu. En effet, dès l’approche par la route, les hêtres et les chênes couvrant les collines boisées depuis St Sauves prennent avec la lumière du soleil au Levant des teintes fauves et rougeoyantes. Nous partons de Tauves, bourg dynamique de l’ouest Sancy aux multiples commerces. Par des petites routes qui montent et descendent nous gagnons Noilhat et Mazérat. Les prés d’un vert intenses et peuplés de beaux troupeaux de Salers rajoutent aux couleurs déjà évoquées. Sur les points hauts de ce paysage de bocage, les monts du Cantal se dévoilent précisément sur toute leur longueur, du Plomb au puy Violent le plus à l’ouest. Bientôt nous rentrons dans Saint-Pardoux et sa belle église Romane des XI et XII siècle, transformée à de multiples reprises, orientée au nord et pas à l’est, ce qui n’est pas courant. D’emblée, ce sont les couleurs qui impressionnent : colonnes et murs sont peints, fruits d’un travail de restauration du milieu du XIXème siècle. Le grand retable doré au riche décor de végétaux impressionne lui aussi.
Retable de l’église de St – Pardoux
A noter en face de l’église, au fond du jardin d’une grande et belle demeure, autrefois colonie de vacances et magnifiquement restaurée depuis, on trouve une grande statue de ND de Natzy, sculptée dans de la pierre du Gard mais fragilisée par les intempéries elle fut rapidement remplacée fin XIXème par une statue en fonte haute de 6,50 m. Après ce hameau au riche passé, on tombe inévitablement sur la fameuse ville de la Tour d’Auvergne que nous abordons après avoir contourné son petit lac entouré par d’accueillantes berges engazonnées. Les branches ainée, cadette et puinée de la grande famille de la Tour d’Auvergne donnèrent naissance à travers différentes alliances à plusieurs grands personnages de l’Histoire comme Marie de Médicis, Henri de la Tour d’Auvergne dit Turenne le grand soldat de Louis XIV et Louis-Henri de la… qui fit construire le palais de l’Elysée au milieu du XVIIIème siècle. Le bourg fut bâti à l’origine autour d’un château-fort construit sur une butte basaltique dont on peut encore admirer les belles orgues très hautes et régulières. Pour y avoir séjourné quelques mois à l’hiver – printemps 2024, je confirme que c’est un bourg à l’architecture et à l’ambiance très austère. Le contraste en termes d’animation commerciale avec Tauves sa voisine est saisissant. Elle possède un beau marché le jeudi alors qu’il n’y en a pas à la Tour…. Le cheminement se poursuit dans la direction de la Stèle mais nous bifurquerons avant. Le sentier s’élève pour gagner le plateau. A l’heure du déjeuner, j’avais prévu de m’arrêter vers Sauzet sur un espace pique-nique. Las, un groupe de chasseurs occupe déjà le lieu. Nous nous arrêtons plus loin dans un beau pré de fauche au soleil, plein sud. Les pluies et la douceur ont favorisé de nouvelles pousses et la fauche vient d’avoir lieu, l’herbe sèche sous nos yeux. Nous entamons le retour peu après le repas. Nous traversons la forêt de la Montagne de la Roche et nous constatons la surface des coupes rases. Le prochain objectif de l’après-midi c’est d’atteindre la chapelle de ND de Natzy par l’est à l’opposé du chemin normal. Quelques passages de clôtures sont nécessaires afin d’éviter les troupeaux encore nombreux. Après un dernier effort dans une petite sapinière nous sommes au sommet de la colline sous la statue de ND de Natzy. Nous bénéficions là d’une vue à 360° : on touche presque du doigt ,à l’est, le massif du Sancy,
au sud les Monts du Cantal ne semblent pas si lointains et à l’ouest c’est la Corrèze et le plateau des Monédières avec en avant-plan la profonde échancrure de la vallée de la Dordogne à proximité de l’Ancien Prieuré Port-Dieu et du pont d’Arpiat. Nous repartons après un petit quatre-heures pour la dernière partie de la rando sur des petits chemins en sous-bois jusqu’à Mazérat déjà traversé à l’aller et Vassivières.
La douceur de ce paysage d’élevage, vallonné et verdoyant est apaisante. On planterait volontiers une tente pour un petit bivouac automnal 😊. Après un dernier petit coup de c… pour s’arracher du fond de vallée qui ceinture Tauves au sud, nous voilà rendu à notre point de départ près de la mairie du bourg. Nous n’aurons aucun mal pour conclure cette journée de plein air et de soleil dans un petit bar accueillant.
Animateur : Georges Nombre de participants : 29 ( 20 F et 9 H ) Météo : nuageux toute la journée, pas de pluie Distance : 18 km Dénivelée : 350 m Durée : 6h pause comprise Classement Atlas : facile Kilométrage auto : 2 voitures 200 km et 2 autres 272 km soit 472 km ; 3 voitures sur place Préparation et rédaction : 3 h
Itinéraire :
Départ de Pontaumur, les Bouchons, pc 608, pc 585, Rochemaux, Miremont, les Merciers, les Coutils, Sioulet, la Prugne, pc 552, retour à Pontaumur en suivant le Sioulet.
Aujourd’hui départ de Pontaumur dans les Combrailles, sous un petit crachin vite dissipé. Le nombre de participants nous oblige à faire 2 groupes, merci à Yves de prendre le deuxième qui nous suivra à distance. Après avoir traversé le Sioulet qui nous servira de fil rouge toute la journée, nous entamons la montée sur le plateau en direction de Miremont. Nous perdons de vue le Sioulet sur notre droite que nous retrouverons à Miremont. Nous atteignons le village vers midi trente, il est l’heure du pique-nique que nous prenons sur la place du village.
Après avoir repris des forces, direction de l’église et du cimetière perchés sur un promontoire rocheux, le cimetière a la particularité d’être en demi-cercle. Derrière l’église se trouve un château en ruine qui date du onzième siècle.
Nous entamons le retour et traversons le Sioulet que nous suivrons au plus près. Un petit détour au lieu-dit Sioulet nous permet de traverser deux fois la rivière.
Après le village de la Prugne, une petite sente en balcon dans une hêtraie
et ensuite une sapinière, nous guident jusqu’aux voitures. Agréable journée sans soleil mais avec des forêts qui commencent à prendre leurs couleurs d’automne.
Merci à tous et à bientôt sur de nouveaux chemins.
Animateur : Yves Nombre de participants : 12 animateur compris ( 9 F, 3 H) Météo : pluie le samedi, ensoleillé le dimanche Distance : 32 km sur 2 jours Dénivelé : 1215 m sur 2 jours Durée : 12H30 pauses comprises Classement Atlas : Facile Kilométrage auto : 1245 km avec 3 véhicules Préparation et rédaction : 8 H
ITINERAIRE : 2 randonnées , une au départ de Bozouls, l’autre au départ d’Espalion.
Jour 1 : 14 km +465 m -465 m 5h30
Depuis le départ de Clermont-Fd, sur la route la brume et le crachin nous accompagnent. A Laguiole le brouillard est même à couper au couteau, sans jeu de mots. Dans la descente sur Espalion le ciel s’éclaircit un peu , l’horizon semble s’ouvrir. Arrivé à Bozouls il pleuviote très légèrement, sur le parking les participants, mines un peu confites, se pressent sous les arbres pour le changement de chaussures et s’équipent en fonction de cette météo peu encourageante.
Nous nous avançons au bord de ce canyon naturel creusé par le Dourdou dans une roche calcaire. Sur une plate forme d’où l’on peut observer cette gorge en forme de fer à cheval de 400mètres de diamètre et de 100 mètres de profondeur, le spectacle est grandiose et surprenant. Là où habituellement une foule se presse, ce matin nous sommes les seuls emmitouflés sous nos capuches. Le manque de luminosité et de clarté nous prive un peu de l’aspect gigantesque du décor de ce cirque calcaire. Motivés, nous voulons voir de plus près, nous entamons la descente par de belles ruelles magnifiquement pavées et bordées de maisons admirablement restaurées. Avant d’atteindre le fond, sur notre gauche une cascade de 13 mètres de haut attire notre attention, celle-ci se jette dans le Gour d’Enfer qui donna vie à de nombreuses légendes. Nous voici au fond, les 100 mètres de falaises rectilignes qui nous bordent semblent immenses, on a du mal à voir le sommet.
Cascade du Gour d’Enfer
Nous allons suivre le Dourdou au fond de ce canyon en passant simultanément d’une rive à l’autre par des passerelles style himalayennes en bois très glissantes, en raison de l’humidité ambiante. Il semblerait que la météo s’améliore, mais cela reste une impression, les arbres bordant la rivière nous protègent et vu la profondeur, nous ne ressentons pas le vent. Au bout de trois, quatre kilomètres nous commençons à sortir de cet abîme oppressant en direction de Sentel, où un hangar agricole en bordure de chemin sera le bienvenu pour un pique-nique à l’abri, car la pluie même fine sévit toujours. Repas fini, nous replongeons sur le Dourdou dans une partie du canyon qui s’élargit de plus en plus et le traversons une dernière fois.
Vers Rivaldière nous abandonnons la rivière pour prendre plein sud vers Carcuac et la Planhe sur ce plateau du Causse Comtal. Après un léger morceau de petite route nous reprenons d’abord nord puis nord-est après le Bruel pour rejoindre notre fameux Dourdou, cette fois ci en rive gauche et en haut de falaise. La météo qui s’était un peu améliorée en début d’après-midi semble de nouveau se détériorer. Nous distinguons à peine les falaises d’en face, dommage parce que par beau temps la vue sur ces grandes parois verticales est mirifique. Nous atteignons maintenant le long promontoire avec son habitat développé au bord de parois vertigineuses où se dresse l’église romane Ste Fauste. Juste le temps de la photo de groupe et nous courrons nous mettre à l’abri dans l’église car une averse vigoureuse poussée par le vent s’abat sur nous. Nous guettons une légère baisse d’intensité pour regagner nos voitures au plus vite.
Je suis un peu déçu de cette journée, c’était la plus impressionnante curiosité du week-end mais la météo nous l’a gâchée, dommage !
Jour 2 : 18 km +750 m -750 m 7h
Les premiers rayons du soleil traversent les vitres pour baigner la table du petit déjeuner ce matin. Les mines s’ouvrent, les yeux pétillent, ouf de soulagement : la journée devrait être ensoleillée.
Les grandes flaques à proximité des voitures confirment que la journée d’hier a été bien arrosée. Aujourd’hui pas de déplacement en voitures, on chausse et départ d’Espalion, lieu de notre gîte. Coup d’œil rapide aux principales curiosités de la ville : l’ancien Palais de justice, le vieux pont roman en grés rose, le scaphandre posté devant l’unique musée dédié à cet univers fascinant. En 1864 Benoît Rouquayrol ingénieur des mines natif d’Espalion invente le premier scaphandre autonome moderne de l’histoire de la plongée, conçu initialement pour secourir les travailleurs de la mine de Decazeville en cas de “Coup de Grisou”. Au passage nous découvrons le scaphandrier en bronze installé les pieds dans le Lot en 2000.
Palais de justice et pont roman
Visite terminée nous quittons la ville en direction du Puech de Vermus. Pas le temps de s’échauffer, la pente commence et nous conduit aux pieds de la vierge érigée au sommet en 1862. La vue panoramique sur Espalion, et le château de Calmont d’Olt en fond, est mise en valeur par un soleil rasant. Au loin la brume encore présente en fond de vallées s’élève doucement et contraste avec les couleurs environnantes.
Observation finies nous allons vers le sud, sud-est, notre regard se fixe sur une construction insolite qui dépasse de la forêt. Késako ! Château d’eau, relais quelconque, cheminée, etc… La réponse viendra à midi pendant la pause où après avoir scruté la carte en détail nous lisons qu’il s’agit d’une Cheminée d’Equilibre. Monsieur Google nous apprendra que c’est un organe hydraulique essentiel à la régulation des débits d’eau afin d’éviter les coups de bélier, nous voilà instruits.
Sur le parcours nous contournons un éboulis impressionnant, comme un fleuve de pierres dans la forêt, le Clapas de Thubiès, débris d’orgues basaltiques tombés du Puech de Roquelaure par érosion il y a 8 millions d’années.
Clapas de Thubiès
Dans le contournement de ce pierrier géant, notre chemin est barré par une clôture qui préserve des zones de captage, un peu de hors-piste et quelques barbelés seront enjambés pour retrouver la direction de Roquelaure et son château du 12°S remarquablement restauré. Jouxtant le château une chapelle aux marches généreuses fera notre affaire pour le pique-nique. Nous sommes en plein soleil, abrités du vent, accompagnés par un gentil chien du village, moment apprécié par tous.
Nous avons atteint le bout de notre boucle, nous descendons maintenant face au nord avec une large vue sur St Côme D’Olt par un sentier parsemé des nombreuses pierres et de rochers encore très humides, prudence ça glisse ! Face à nous au loin, le Couvent de Malet, mis en valeur par ses pierres blondes se détache de son écrin de verdure. Nous approchons le Lot, le clocher Tors de l’église St Côme se dresse devant nous, originalité peu courante.
Nour retrouvons le GR65 chemin de Compostelle, déjà emprunté sur une courte distance ce matin, que nous suivrons en partie jusqu’à Espalion en croisant ça et là quelques pèlerins. Pour finir cette magnifique journée, les passages le long du Lot seront bucoliques et reposants et nous feront oublier celle d’hier. Sur l’ensemble ces deux jours resteront un bon souvenir.
Animateur : Thierry Nombre de participants : 12 animateur compris (9 F, 3 H) Météo : Grand soleil toute la journée Carte : IGN 2431SB Distance : 24,5 km (montre Régine) Dénivelée : 750 m (montre Régine) Durée : 7h45 pauses comprises – 7h de marche Classement Atlas : Facile Kilométrage auto 80 km pour 3 véhicules Préparation et rédaction : 3H
Itinéraire : Montfermy, S/SO PC 691, PC 721, Nord Puy Maladroit, la Quarte, les Chazots, Martinèche, Sapins de Martinèche, la Barre, la Chazotte, plage de la retenue de Fades-Besserve, GR4, St Jacques d’Ambur, Côte Faite, les Vaissières, Est puy Maladroit, Baspeyras, les Combres, D418, Montfermy
Départ de la rando un peu hésitant car la carte ne prend pas en compte les modifications du tracé du GR 4 intervenues depuis 2017, date d’édition de la carte. L’ancien tracé du GR est rétrogadé en simple chemin de PR peu balisé ; les anciennes balises GR, quasi effacées, sont encore visibles sur certains arbres. La rando va emprunter de beaux chemins ruraux surmontés souvent par des chênes et des frênes formant de belles haies. Le bocage existe encore un peu dans les Combrailles. La rando est aussi l’occasion pour deux aspirants-animateurs de pratiquer carte et boussole sur le terrain. Après puy Maladroit je passe les commandes à Martine qui va nous guider sur un segment du parcours sans grands pièges mais qui va nécessiter observation et concentration. C’est à l’approche de Martinèche que se pose le choix, à une intersection, du bon chemin à suivre. L’utilisation de la boussole est nécessaire à ce moment-là pour confirmer le choix. Il est bon puisque nous parvenons quelques minutes plus tard dans le hameau. A l’entrée, nous tombons sur un clapier bien fourni en lapins, chose plutôt rare aujourd’hui. Plus loin le chemin d’exploitation qui se transforme en sente devient bientôt infranchissable : trop de ronces et d’orties qui me martyrisent les mollets, pauvre de moi qui randonne en short aujourd’hui 😊. Martine a le bon réflexe d’emprunter une portion du champ en parallèle de notre sente, en léger surplomb. Au bout du champ, pas d’autres choix qu’un peu de hors-piste dans les bois pour descendre retrouver notre sentier désormais plus accueillant. Les opérations de lecture de carte et de manipulation de la boussole nous ont un peu ralenti. Comme l’idée est de déjeuner au bord de la retenue des Fades, je reprends les commandes et accélère un peu l’allure. Un peu plus tard, nous parvenons à la Chazotte et nous profitons d’une plage ensoleillée pour la pause méridienne. Les fauteuils du restaurant fermé après la saison estivale font parfaitement l’affaire, nous offrant un moment des plus confortable.
C’est Patrick qui prend la relève après le repas. Nous empruntons un segment du GR 4 jusqu’à St Jacques d’Ambur, ce qui facilite la tâche de l’impétrant. Une belle et spacieuse tiny-house attire notre attention à l’entrée du bourg.
Avec ses deux mezzanines, son rez de chaussée astucieusement aménagé et malgré la relative petite surface habitable, elle a tout pour séduire les amateurs dont je suis 😊 A la sortie du bourg, nous sommes témoin d’un drame : deux martinets sont pris au piège d’un container grillagé qui abrite du matériel de construction d’un hangar à proximité. Ils sont rentrés par un léger espace libre dans le bas de la cage mais n’arrivent plus à en sortir. Ils tournoient comme des forcenés sans solution. Mais avec patience (et son bâton de marche), Laurent parvient à guider un des oiseaux vers la sortie. L’autre mettra un peu plus de temps à s’extirper. Heureux de cette conclusion, nous reprenons notre marche, sans difficulté au niveau orientation, vers Côte-Faite. Juste après les choses se compliquent car deux sentes parallèles se proposent, l’une plus large et « bon chemin » que l’autre. Nous prenons bien sûr la plus accueillante qui finalement s’avère la mauvaise. Belle leçon : les habits ne font pas le moine y compris en randonnée ! Après un petit hors-piste au nord qui nous remet sur la bonne sente nous traversons plus bas dans le bois le beau ruisseau de Tourdoux. Un rude chemin en lacet nous fait remonter de près de 180 m jusqu’à parvenir sur le plateau.
Une belle illustration de la simplification du tracé cartographique par rapport à la réalité du terrain : les zigs et zags n’apparaissent pas sur la carte qui présente des segments beaucoup plus rectilignes. Martine et Patrick en prenne bien conscience. La fin de la rando approche lorsque nous revenons vers le Puy Maladroit et les petits hameaux qui l’entourent : Baspeyras et Le Malleret. Autrefois purement agricoles, ils sont maintenant occupés par de belles constructions assez récentes formant presque un lotissement. Nous empruntons un beau chemin assez ancien qui nous descend jusqu’à la départementale à l’entrée de Montfermy. Bizarre, ce large chemin rural qui passe aux Combres par deux, trois vielles maisons n’apparait pas du tout sur la carte. Je ne pensais pas que la simplification dont je parlais plus haut allait jusqu’à faire l’impasse sur des chemins pourtant tracés de longue date. 😊
Animateur : Thierry Nombre de participants : 7 animateur compris (3 F, 4 H) Météo : quelques éclaircies – grande douceur Distance : 25 km Dénivelée : 750 m Durée : 8h pauses comprises Classement Atlas : Facile Kilométrage auto 30 km pour 1 véhicule – 2 voitures sur place Préparation et rédaction : 3H
Itinéraire : col de Ceyssat, cratère Kilian, Est puy de Salomon, Ouest puy de Montchier, Nord puy de Barme, D942, gde piste d’exploitation vers Mercoeur, sente S/SO vers la Boue, sente Est Plachamps, Recoleine par GR 441B, chapelle au-dessus de Récoleine, NE vers puy de Pourcharet, puy de Monteillet, GR4 jusqu’au grand carrefour vers Laschamps / Mercoeur, sente Ouest puy Pelat, passage sous ligne HT, SO puy de Montchar, sente vers source de l’Enfer, sente Est puy de la Moréno, col, sente NE parallèle à D942, Est puys de Montchier et Salomon par chemin d’exploitation, sente Est vers GR4, Nord vers col de Ceyssat
Comme le montre la description de l’itinéraire, à part les puys, peu de points pour se repérer sur la carte et le terrain 😊. C’est en effet un petit circuit serpentant entre les puys du sud de la chaîne que j’ai proposé aux participants de ce dimanche. Nous avons utilisé des sentes et sentiers peu connus des présents, plus par ceux qui participent à nos marches sportives dans le secteur. Peu de curiosité sinon au début de la marche le passage au-dessus du cratère Kilian, aujourd’hui grande dépression noyée dans la verdure, avant-hier (9000 ans av JC) éruption explosive majeure de la chaîne. De gros blocs de cette éruption ont été identifiés au sommet du puy de Dôme, à une distance de 1500 m et 400 m plus haut. Après le passage vers le col de la Moréno, nous entrons dans des espaces plus ouverts qui offrent de beaux points de vue sur les puys que nous avons tangentés et ceux que nous rencontrerons par la suite.
Les passages en sous-bois permettent à Pierrre en rando découverte de nous faire profiter de son expertise mycologique. Avec les conditions météorologiques de ces derniers jours, il y a eu de belles poussées. De fait, nous rencontrerons ici et là quelques porteurs de sacs en plastique…. Le passage à Récoleine nous apprend qu’un petit café derrière l’ancienne auberge de la Fourniale est encore ouvert. Quelques instants plus tard, nous nous arrêtons pour la pause déjeuner près de la petite chapelle qui domine le hameau. Le point de vue permet une belle lecture du paysage de ce petit secteur entre Dômes et Sancy.
Un temps évoqué, l’ascension du puy de Pourcharet par son côté nord ne se fait pas et est remplacée par la montée beaucoup plus modeste du puy de Monteillet avec un sommet 100 m plus bas que celui de son voisin immédiat.
C’est néanmoins une première ascension de ce puy pour le groupe, animateur compris. Après cet unique passage hors-piste de la journée, nous retrouvons rapidement le GR 441 qui file vers Laschamps. Nous le quittons au niveau du grand carrefour pour gagner par des sentes plus ou moins effacées la source de l’Enfer au pied du puy de Montchar. La littérature scientifique nous apprend que sur ce côté nord se situe la brêche d’explosion granitique/basaltique. De fait c’est sur ce côté qu’on aperçoit un important éboulis, rare dans la chaîne. Avec Kilian et Chopine, le puy de Montchar est le fruit de l’éruption explosive la plus grande de toute l’histoire de la Chaîne. Après les pluies de la semaine, la source est bien en eau… Peu après nous voilà revenu au col de la Moréno. Un sentier parallèle à la route nous amène au départ d’un nouveau sentier découverte qui serpente sous les puys du secteur. Une petite sente sous le puy des Grosmanaux nous amène au GR dans son nouveau tracé, au sud du col de Ceyssat que nous rejoignons au terme de cette agréable journée passée au cœur de la Chaîne.
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