Animateur : Michel D. Nombre de participants : 11 animateur compris (7 F, 4 H) Météo : isotherme 0° / 9° importants cumuls nuageux, très peu d’averse, soleil pour le repas de midi Terrain : gras et glissant Distance : 21 km Dénivelé : 810m de D+ et – Durée :7h30 pauses comprises Classement Atlas : Moyenne Kilométrage auto : 44 km pour 3 voitures de Quilliot soit 132km Préparation et rédaction : 3h
ITINERAIRE : parking sur D28 – Moulin de la Varenne – Abbaye de Randol – hameau de Randol – descente gorge de la Monne – pont de Riberolles – passerelle – montée par sente Pierre Longue – Allée Couverte Dolmen Sarou – GR 30 – pont de Riberolles – hors sente montée au PC841- Puy d’Auzelle 914m – Olloix -chemin puis sente jusqu’au PC1002 – Puy d’ Olloix – descente coté Sud – chemin jusqu’à Olloix – Puy de Marquerolle 870m – chemin et PC811, 767, 740 – oppidum – descente sur sente au ruisseau de la Monne – remontée sur petit col de la ligne de crète – piste forestière jusqu’au retour aux voitures.
Après regroupement et les consignes, départ de la rando. C’est avec un groupe très déterminé que nous prenons le 1er chemin qui longe la Monne, passage au monastère de Randol et explications, puis passage au hameau de Randol.
Descente par sente au ruisseau de la Monne que nous allons remonter au moyen d’une sente très technique et glissante ( ~6 km = 3h) avec de beaux passages pour photos et contemplation.
Pont de Riberolles, pause, puis remontée des gorges par une sente technique à Pierre Longue, repas de midi au dolmen de Sarou avec un beau soleil.
Redescente par le GR 30 au pont de Riberolles.
Remontée en hors sente au Puy d’Auzelle, très belles vues à 360°, passage à Olloix. Les jambes de certaines commencent à tourner au ralenti pour faire la dernière montée du jour par une sente très glissante et technique. A l’arrivée au sommet 1002m changement de température, bourrasques de vent, pluie et neige. Redescente coté Sud, puis chemin agricole pour retourner à Olloix, de là Puy de Marquerolle et chemin agricole, PC811,767,740, oppidum. Descente au ruisseau de la Monne et remontée, chemin forestier des crètes pour un retour aux voitures.
Animateur : Yves Nombre de participants : 27 animateur compris ( 14 F, 13 H) Météo : légèrement ensoleillée, température très fraiche Distance : 23,5 km Dénivelé : 800 m Durée : 7 H pauses comprises Classement Atlas : Facile Kilométrage auto : 86 km pour 3 véhicules et 50 km pour 3 autres soit : 408 km Préparation et rédaction : 3 H
ITINERAIRE : Reignat, PC755, Saurier, Lagouzoux, PC845, Notre-Dame du Mt Carmel, Brionnet, Orphange, le Chastel, St Floret, Montparge,PC669, PC690, Reignat.
Une belle bourrasque de neige nous accueille ce matin à Reignat lieu de notre départ, le temps de s’équiper et de se chausser, l’intensité diminue. Le froid annoncé n’a pas apeuré les participants et vu le nombre nous organisons deux groupes, Thierry présent me seconde dans cette tâche.
A peine partis les flocons diminuent, le sol est légèrement blanc mais la température reste très fraiche, les bonnets sont de rigueur. Un petit passage hors piste pour éviter une boucle inintéressante et nous voilà sur un agréable chemin en balcon rive gauche de la Couze Pavin à mi pente du plateau de la Chaux. Ce dernier nous conduit jusqu’à Saurier sous le Puy de la Roche Courbière.
A Saurier nous remontons la Couze sur quelques dizaines de mètres pour découvrir les Sources Salées. Sources gazeuses et chaudes chargées principalement en fer. Trois émergences principales, deux par galerie souterraine une dans une faille rocheuse, provoquent des concrétions calcaires de plusieurs couleurs où s’y développe une végétation maritime dite halophile (qui aime le sel).
Source saléesouterraine
Retour au village, passage du pont médiéval à trois arches et muni de becs qui le protègent du courant, surmonté d’un petit oratoire, tradition fréquente à cette époque. Dans ce village médiéval de Saurier, où subsiste encore des éléments de rempart qui nous rappellent que son accès n’était possible que par quatre portes, seule la porte remarquable baptisée Neuve existe aujourd’hui. Un bief à l’eau claire et vive le traverse de part en part , il servait à alimenter autrefois fontaines, moulins, et lavoirs comme en témoignent les dalles inclinées d’ici de là. Petit regard sur la maison du Louvetier et nous quittons Saurier en direction du Pic de Brionnet face à nous.
Il parait tout proche mais le chemin sera long pour y arriver. Une fois contourné, nous abordons la dernière montée face aux imposantes orgues basaltiques, et nous sommes au pied de la chapelle romane Notre Dame du Mont Carmel. Il est douze heures trente, site idéal pour le pique-nique avec une vue splendide sur le Sancy enneigé beigné par le soleil. Quelques rayons chaleureux nous ont accompagnés dans la matinée, mais dès que les nuages les cachent, un vent glacial nous enveloppe. La pause fut brève.
Le Sancy vu du Pic de Brionnet
La descente sur Orphange et St Floret s’effectue d’un bon pas. Passage obligé par le site du Chastel qui domine le village. Site archéologique unique avec des tombes rupestres du Moyen Age creusées dans le granit dominé par un ossuaire et une chapelle du 12°S. Site souvent parcouru lors des randonnées Atlas, mais qui a été une découverte pour certains aujourd’hui.
Nous retraversons la Couze sur le vieux pont de St Floret cette fois, lui aussi doté d’un petit oratoire en rénovation. La remontée s’effectue par un bon chemin avant de rejoindre le GRP Autour d’Issoire qui nous ramène à Reignat. Journée bien déroulée dans la fraicheur par moment et dans la bonne humeur, terminée par un moment de convivialité organisé par Isabelle pour son anniversaire.
Merci aux deux futurs animateurs qui nous ont guidé à tour de rôle afin de perfectionner leur connaissance en lecture de carte et en orientation sur le terrain.
Animateur : Pierre Nombre de participants : 15, animateur compris (8 femmes, 7 hommes) Météo : Légèrement nuageux et autour de 12° Distance : 20,7 km Dénivelé : 690 m Durée : 06H30 pauses comprises Classement Atlas : Facile Kilométrage auto : 234 km au total pour 3 voitures Préparation et rédaction : 3 h
Itinéraire : Isserteaux, Le Fieux, Bouchiche, Champorent, Bouffevent, Dagout, Chaugne, Le Chalet, Péroulade, Cartas, Les Antoines, Bessadet, Emerat, Serpanoux, Le Mas, Bracou, Roussel, Les Gruns, Isserteaux.
Annoncée comme dégagée, la journée commence par des bancs de brouillard à Isserteaux qui vont rapidement se dissiper. Après un rapide briefing, nous entamons la randonnée par une descente jusqu’à Champorent, Isserteaux étant situé sur un point haut granitique. Le chemin herbeux est humide des pluies récemment tombées avec quelques zones bien boueuses. Arrivés à la D754, nous la longeons sur 300m avant d’attaquer un petit hors piste à travers un champ qui nous permet d’éviter un bout de route par les Fourguis. Entre Chaugne et le Chalet, les chemins pourtant bien clôturés sont assez encombrés car visiblement peu empruntés. Après Cartas, ce qui devait être un chemin d’exploitation en terre est en fait goudronné. Laurent, à qui j’ai confié le suivi de l’itinéraire dans le cadre de sa formation d’animateur, nous trouve un tracé plus adapté. Une trogne, ou arbre tétard, est en bordure de cet agréable chemin mais qui fait l’objet d’un abus d’appropriation. Après le Petit Lignols, nous nous arrêtons pour déjeûner Aux Antoines.
A la reprise, le chemin pourtant bien présent que nous devions emprunter est impraticable car complètement envahi de broussailles denses. La journée est somme toute belle mais calme, pas de pépiements d’oiseaux. Nous descendons jusqu’à Serpanoux avant de remonter jusqu’à l’étang des Maures en suivant et traversant par de multiples gués le ruisseau du même nom.
Nous continuons via les hameaux de Roussel et des Gruns. Avant de rejoindre Isserteaux, nous montons à la Croix de Montjoux qui la surplombe et nous offre une belle vue sur la chaîne des Puys.
Animatrice : Mady Nombre de participants : 19 animatrice comprise (12 F – 7H) Météo : beau temps, température douce mais fort vent du sud Distance : 19 km Dénivelé : 523 m Durée déplacement : 6 h Classement Atlas : facile Voitures : 70 km x 2 voitures soit 140 km de Clermont Fd, 30 km x 2 soit 60 km voitures du Crest au total 200 km, 1 voiture sur place. Préparation et rédaction : 3h
La randonnée aurait pu s’intituler d’une couze à l’autre ou entre 2 couzes car c’est en effet entre la Couze Chambon et la Couze Pavin que va se dérouler le parcours avec un objectif essentiel, les grottes de Perrier.
Niché au bord de la Couze Chambon, Neschers notre point de départ est un village très ancien où furent découverts au XIXème siècle des vestiges datant du paléolithique, conservés au British Museum à Londres.. Nous laissons derrière nous, le bourg pour monter à la Croix de Pignat, belle croix de carrefour. Implantées à la croisée de chemins, ces croix guidaient les voyageurs. C’est encore pareil de nos jours, car ce sont encore des points caractéristiques qui nous servent souvent à choisir le bon chemin. Étant sortis de la vallée, nous cheminons sur une étendue assez plate tout en ayant une vue sur les reliefs environnants. A l’arrivée à Pardines, je profite d’un petit arrêt pour donner des informations sur le village puis je réalise que ce sont celles qui concernent Chadeleuf. Il faut dire qu’entre les 2 bourgs quelques données concordent, vestiges de fortifications, courtines, tours rondes.. Pour Pardines, un événement marquant, l’éboulement en 1733 de la falaise qui a détruit 60 habitations sans faire aucune victime, les habitants étant tous à l’église, située plus loin. Je rectifie bien sûr et certains suggèrent de faire une interrogation à l’arrivée à Chadeleuf pour vérifier si tout le groupe était bien attentif.
Descente vers Perrier
Des parties plus boisées pour descendre sur Perrier, et peu avant le village nous commençons à apercevoir à travers les arbres les premières falaises et cheminées de fée. Le village des Roches où nous arrivons ensuite est constitué de nombreux habitats troglodytiques qui furent habités dès le Moyen-Âge. Une vingtaine de familles y vivaient encore au 19ème siècle mais plus qu’une seule habitante en 1945.
Le pique-nique pris en surplomb de la vallée de la Couze Pavin, nous déambulons à la découverte des différents habitats.
La grotte de Marie-Pierrette (dernière habitante), la grotte de la Sablette (vendeuse de sable à usage ménager sur le marché d’Issoire), la Tour de Maurifolet sont autant de lieux où nous pouvons apprécier à sa juste valeur le magnifique travail de restauration effectué.
Tour Maurifolet
Au fur et à mesure des sentes empruntées nous montons sur le plateau, espace très dégagé sur lequel on ressent très fortement les rafales du vent de sud qui souffle ce jeudi mais qui permet aussi une vue panoramique à 360°. Après Boissac, on suit le ruisseau du même nom pour revenir à l’entrée de Pardines, au niveau de la carrière de basalte. Impressionnant trou qu’on longe sur presque 2 kilomètres bénéficiant ainsi gratuitement d’un nuage de bruit et de poussière.
Chadeleuf, le dernier village avant le retour sur notre point de départ, est lui bien calme. Nous faisons une petite pause au pied de la grosse tour ronde, vestige de fortifications élevées au 14ème siècle avant de retrouver grâce à 2 habitants du village d’autres traces d’une histoire plus récente. Ce sont les stigmates du passage d’un tank allemand qui se dirigeait vers la bataille du Mont Mouchet.
Chadeleuf
Nous quittons ce village plein de charme, en passant près d’un très beau lavoir et arrivons à Neschers après avoir fait un peu moins de kilomètres qu’annoncés. Ayant débuté la randonnée plus tard que prévu en raison d’embouteillages à la sortie de Clermont, j’ai renoncé à faire un détour par La Ronzière.
Merci aux deux postulants au brevet d’animateur, Denis qui a assuré le guidage le matin, et à Patrick qui a pris le relais après le pique-nique.
Animateur : Thierry Nombre de participants : 7 animateur compris (3 F, 4 H) Météo : Couvert avec quelques rayons de soleil. Doux Carte : IGN 2431E Distance : 28 km (mon GPS Garmin) Dénivelée : 995 m (mon GPS Garmin) Durée : 8h30 pauses comprises Classement Atlas : Moyenne Kilométrage auto 3 voitures sur place Itinéraire : Lycée de Chamalières, Crêtes de Royat, descente vers D68, chemin des Ecoliers, PR au-dessus route de l’arboretum de Royat, montée plein est dans bois de la Pauze, PR jusqu’à Charade, Manson, Thèdes, Berzet, D133, parcours de santé Ceyrat , chemin du Bourgailloux, cimetière de Boisséjour, chemin vers la Chataigneraie, sommet puy de Montaudoux, descente nord-ouest vers rue des Montagnards, parc Thermal de Royat, chemin des Crêtes, retour par sentiers forestiers du bois de Villars
Aujourd’hui notre petit groupe se lance dans une grande boucle au-dessus de l’agglomération, sur les bords de la faille de Limagne. Territoires connus au quotidien qui offrent des aspects insoupçonnés lorsqu’on prend le temps de les parcourir à pied. Nous commençons par un petit « coup de cul », la côte de Bey. Les cheminements forestiers ont été affectés par l’agrandissement des sentiers pour permettre aux pompiers d’intervenir en cas d’incendie. La végétation a depuis un peu rétréci les chemins mais ils ne sont pas à l’abri d’un débroussaillage (il vient d’avoir lieu 😊). Bientôt ce sont les crêtes de Royat, le Paradis que nous quittons rapidement pour redescendre dans la vallée par un sentier bien raide. Nous passons devant l’Avan’C, la nouvelle salle de spectacle de Royat. Nous cheminons un moment le long de la Tiretaine sur le chemin des Ecoliers. Le sentier s’élève progressivement jusqu’à l’entrée sur le PR de l’Arboretum. L’objectif est de rejoindre Charade au niveau de son « 8 trous ». A cette fin, rien de mieux qu’un petit hors-piste bien raide dans le bois de la Pauze.
Surprise, la commune a ouvert ses pentes aux fondus de VTT de descente en traçant moultes pistes de difficultés différentes. Nous ne les croisons pas dans la montée mais une fois parvenus sur le plateau. Reprenant notre souffle à une intersection justement nous sommes sévèrement grondés par une Vttiste électrifié qui nous fait la morale en nous disant que nous marchons là à nos risques et périls. L’espace est pourtant encore ouvert aux randonneurs ! Seuls des warnings apparaissent normalement aux intersections. Après cette petite montée d’adrénaline, nous reprenons la route pour Manson que nous traversons rapidement pour prendre la direction de Thèdes. Nous tangentons le circuit de Charade imaginé par Jean Auchatraire, Président de l’Automobile Club d’Auvergne à la fin des années 40. Le circuit voit sa première course se disputer en juillet 1958. Près de 60000 personnes se massent autour du circuit pour cette première. 4 Grands Prix de F1 s’y courront entre 64 et 72. Redessiné en 1989, il essaie de survivre aujourd’hui en se positionnant sur les voitures à moteur électrique. Nous parvenons à Thèdes peu après par un agréable petit chemin d’exploitation. Au sommet d’un tertre, devant nous, se dresse une belle chapelle circulaire construite sur 3 étages au XIXème siècle.
Chapelle de Thèdes
Son créateur, Benoit Godot, érudit clermontois, y est enterré depuis 1849. La température a un peu fléchi sur le plateau et malgré la faim qui commence à se manifester nous décidons d’accomplir les 2,5 km qui nous séparent de Berzet pour y manger à l’abri près de la petite chapelle du village. Signe que le rythme est bon nous avons marché plus de 13 km dans la matinée. Nous filons dès la reprise vers Ceyrat. Je rate un petit « tourne à gauche » qui nous oblige à une portion routière et pentue un peu plus longue que prévue jusqu’à l’entrée sur le parcours de santé qui surplombe la ville de bout en bout. Ce cheminement nous permet de découvrir les embranchements avec un tas de petits sentiers balisés et entretenus par l’association Ceyrando (www ceyrando fr). Nous quittons le parcours pour progresser sur le sentier qui longent l’Artière de Boisséjour. Au bout nous débouchons en face du vieux village de Boisséjour que nous traversons jusqu’au joli cimetière de Boisséjour tout en herbe et à la vue imprenable sur l’agglo 😉. Nous profitons de l’aménagement d’un réseau de sentiers autour du bois de la Chataigneraie pour parvenir au pied du puy de Montadoux : une drôle d’école de spectacle y est installée.
Nous grimpons le puy par sa face nord sur une sente bien grasse. Une fois notre souffle repris, pour éviter les presque certaines belles glissades, je décide de redescendre par une sente au nord-ouest qui débouche sur la rue des Montagnards. Lucette nous l’avait fait découvrir à l’occasion d’une ascension précédente. J’en trouve bien le départ mais je dois manquer une bifurcation car nous mettrons un certain temps pour arriver au pied de ce vieux puy. Même si on aperçoit les maisons toutes proches, elles sont défendues par des murailles de ronces et autres épineux qui m’arrachent les bras alors que je suis en « reconnaissance ». Finalement au bout de deux, trois essais infructueux sur des voies sans issue, nous retombons un tout petit peu plus haut sur une sente possible qui nous amène enfin rue des Montagnards 😊 Nous descendons vers la mairie et le parc thermal que nous remontons jusqu’à la grotte des Fileuses. Pas le temps d’admirer la magnifique coulée de basalte issue d’une éruption du Petit Puy de Dôme : la fatigue commence à se faire sentir après 26 km. Il nous reste à monter jusqu’au Paradis pour retrouver le parcours de santé du Colombier et après quelques sentes différentes de celles empruntées le matin nous retrouvons nos voitures au bout d’une boucle finalement exigeante.
Animateur : Yves Nombre de participants : 18 animateur compris ( 10 F, 8 H) Météo : journée nuageuse sans pluie Distance : 22 km Dénivelé : 500 m Durée : 6 H 50 pauses comprises Classement Atlas : Facile Kilométrage auto : 48 km pour 3 véhicules et 72 km pour 1 autre soit : 216 km Préparation et rédaction : 3 H
ITINERAIRE : St Myon, Croix des rameaux, PC439, PC460, PC500, PC525, PC510, Chaptuzat Haut, PC483, la Bégonne, PC453, Château du Chancel, les Bourgs, PC450, Château des Bérangers, Chaptuzat, Bellebat, PC407, Château de la Roche, PC478, Bens, Crois de la garde, Glénat, PC428, Puy St Jean, Artonne, St Myon.
La journée était annoncée pluvieuse sur l’ensemble du département. Dans l’espoir que la partie nord soit un peu épargnée, mon choix s’est porté sur ce secteur que nous avions déjà parcouru en 2020 et 2023. Le parcours d’aujourd’hui sera différent. Certains participants m’ont avoué qu’ils avaient hésité en voyant Limagne sur le descriptif, je les rassure : le parcours prévu aux portes des Combrailles sera rythmé par les coteaux qui surplombent cette plaine.
Départ de St Myon, village renommé pour ses eaux minérales dès le 17°S où en 1920 neuf sources étaient exploitées. La source Desaix la plus connue et la plus ancienne, baptisée La Reine des Eaux d’Auvergne, a été exploitée jusqu’aux années 50. Un bandeau publicitaire toujours présent sur la façade d’une maison nous confirme son existence. Nous partons la découvrir en bord de Morge. Petit aller retour avant de traverser la Morge, trait d’union entre Combrailles et la rivière Allier. A proximité du pont trône une magnifique sculpture représentant un cheval uniquement faite avec des fers soudés les uns aux autres, beau travail !
La rivière traversée, le dénivelé commence en direction de la Croix des Rameaux d’où l’on découvre les contreforts des Combrailles avec Combronde blotti à ses pieds. Notre chemin continue maintenant entre les puys Merle, l’Orme et Garnedon. Leur altitude est faible mais le parcours est vallonné : on monte et descend en permanence. Nous voici à Chaptuzat Haut, mon tracé nous conduit au Château du Chancel, demeure imposante qui mériterait une importante restauration. Nous contournons le domaine pour ressortir face au château des Bourgs joliment entretenu et habité.
Laissant Vensat à notre gauche nous remontons au lieudit Tercezière où un petit coin de verdure arboré nous tente pour la pause de mi-journée. Nous sommes sur un point haut, au nord nous apercevons Gannat et au sud-est Aigueperse tout proche. Casse-croûte fini nous repartons, après avoir longé un petit bois, le château renaissance des Bérangers nous apparait tout resplendissant, construit avec la pierre locale d’un blanc éclatant. Domaine ancien, de style gothique, restauré et converti en résidence privée pour des vacances de luxe. De là, la vue sur Chaptuzat et la vallée est remarquable. Plein sud sur la colline d’en face, on distingue les toitures des tours du Château de la Roche notre prochaine découverte.
Nous sommes au plus bas du cheminement du jour, il faut donc remonter. Nous arrivons devant cet imposant Château de la Roche avec ses fortifications médiévales et son inattendu portail d’entrée, complété par une partie renaissance avec ses grandes fenêtres à meneaux. Ici en 1503 naquis Michel de l’Hospital, juriste, écrivain, poète, et chancelier de France en 1560.
Nous sautons maintenant de bosse en bosse à flanc de coteau avec à notre gauche en contre bas, la partie plate de Limagne aux cultures variées qui nous offre un panel de coloris en cette période automnale. Ces coteaux argilo calcaire ont longtemps été occupés par la vigne et des vergers. Quelques plantations d’ici de là nous le rappellent. Dans la traversée de Glénat un séchoir à tabac bien rempli nous remémore qu’il y a peu lorsque la Manufacture était encore présente à Riom, des milliers d’hectares été semés en Limagne. Une petite filière existe toujours actuellement.
Une halte au Puy St Jean s’impose pour admirer le village d’Artonne. Ce puy aménagé en espace naturel qui possède un jeune arborétum est appelé Belvédère de Limagne. Devant la table d’orientation les conversations vont bon train, Phillipe résidant du village nous servira de guide local dans quelques instants. Comme souvent à l’aide d’une table, on essaie de repérer les différents volcans qui composent la Chaîne des Puys, ce qui n’est pas toujours évident. Au sud la Limagne s’étend à perte de vue coupée par un imposant rideau de pluie.
Au Puy Saint Jean
Nous quittons le Puy pour descendre sur Artonne situé au creux d’un coteau orienté sud où abondent les eaux. Village auvergnat remarquable labellisé “Petite Cité de Caractère” avec, en autre, ses maisons vigneronnes et ses 16 fontaines. Situé sur la Voie Romaine entre Clermont et Néris les Bains, Artonne à été une Seigneurie Royale ayant appartenu à Catherine de Médicis.
Guidé par Phillipe nous découvrons les vestiges des remparts, la fontaine ornée d’une tête servant de jet d’eau, l’imposante collégiale St Martin bâtie avec le calcaire de Glénat et autres fontaines. Deux devantures remarquables d’anciennes boucheries captent notre regard au passage. Visite terminée, retour sur St Myon. Avant de retraverser la Morge nous passons devant un front de taille de carrière où l’on apprend que cette roche à la couleur originale tirant sur le rouge, appelée migmatite a été extraite dans plusieurs carrières du secteur jusqu’aux années 70. Cette roche grossièrement taillée en pierres a été utilisée pour la construction de plusieurs maisons du village, ce que nous avions repéré ce matin.
Celles et ceux qui pensaient que le tracé serait plat ont été surpris mais ravis. Ponctué par de nombreuses découvertes la journée n’a pas été monotone. Malgré un ciel couvert permanent nous avons été épargnés par la pluie, choix judicieux.
Animatrice : Mady Nombre de participants : 10 animatrice comprise (7F, 3H) Météo : ciel couvert et une petite averse le matin, se dégageant en fin de matinée pour de belles éclaircies Distance : 25 km Dénivelé : 600 m Durée déplacement : 8 h Classement Atlas : facile Voitures : 24 km x 2 voitures de Clermont Fd soit 48 km Préparation et rédaction : 3h
ITINÉRAIRE : Mozac, Châtel-Guyon, le château de Chazeron, Rochepradière, Enval, Mozac.
Après les traversées de la voie de chemin de fer, de 2 routes, et d’un no man’s land nous voici en pleine campagne pour remonter vers Châtel-Guyon. Les nombreuses sentes présentes sur le terrain mais absentes de la carte obligent à plusieurs reprises Laurent, à qui j’ai proposé de prendre la carte pour nous guider, à utiliser la boussole pour décider de celles à emprunter pour respecter le parcours tracé. Tantôt en forêt, tantôt en terrain découvert, nous progressons vers la ville thermale. C’est par le Mont Chalusset que nous y arrivons. La petite averse subie peu après le départ a laissé place à un ciel encore couvert mais qui promet de s’éclaircir. Nous nous arrêtons à la table d’orientation qui permet de découvrir la ville et un peu de son histoire.
Châtel-Guyon
Face à nous, la colline du Calvaire marque l’emplacement de l’ancienne forteresse du Comte Guy II auquel Châtel-Guyon doit son nom car la citadelle s’appelait alors «Castrum Guidonis» (château de Guy).
La descente dans le parc thermal est suivie d’une remontée vers le chemin de Crestas qui traverse une forêt à l’origine peuplée de chênes et de châtaigniers mais aussi maintenant avec quelques cèdres de l’Atlas bien acclimatés sur ce versant sud et sous lesquels s’effectue une belle régénération naturelle. Sur des souches, de nombreuses sculptures, œuvres d’un agent de la commune qui a souhaité prolonger ainsi la vie des arbres abattus, donnent un côté poétique à ce chemin.
Passé le Parc Écureuil, c’est toujours en forêt que nous progressons, avec une belle lumière qui traverse le feuillage automnal. Il est 12 h lorsque nous arrivons au Château de Chazeron et après quelques photos et la lecture du panneau explicatif du lieu, une table ronde en pierre accueille tout le groupe pour le pique-nique.
Dès que celui-ci est terminé par quelques gâteaux pâtissés par Weronika et l’animatrice , le petit air vif qui souffle, nous pousse à repartir rapidement, pour descendre à l’abri de la forêt vers la vallée de Sans Souci. Plusieurs des participants, ne connaissant pas cette vallée, je propose d’aller jusqu’à la cascade de l’Écureuil. Le ruisseau de Romeuf qui l’alimente est bien chargé et la cascade présente un beau débit.
Cascade de l’Écureuil
Après le ruisseau de Romeuf, c’est celui du Sardon que nous suivons en empruntant une sente au niveau du pont de Rochepradière. Bien marquée au début, elle se transforme ensuite en ruisseau. Pour éviter de mouiller les chaussures et les pieds, une seule solution : escalader un petit talus pour retrouver un chemin sec. Ce qui est fait sans problème ! A l’entrée de St-Hippolyte, c’est en suivant sur quelques mètres la D15 pour éviter un détour plus long pour rejoindre le chemin prévu, que nous arrivons à Enval.
Ancien village vigneron , aux gorges bien connues, il fût fréquenté par Guy de Maupassant et Georges Sand qui le décrivait ainsi. « Il y a un petit coin aux environs de Riom où je me plaisais singulièrement jadis. C’est un hameau nommé Enval. Il est situé dans une impasse volcanique qu’on appelle, là, comme dans beaucoup de localités analogues : le bout du monde ! Autrefois ce hameau était une merveille pour les artistes….. ». Nous allons jusqu’à la source Marie source ferrugineuse découverte au XVIIIème siècle, puis exploitée pour ses vertus thérapeutiques. Perdue vers 1920, elle est retrouvée par la commune en 1999.
Après comme il se doit l’avoir goûtée, il est temps de terminer la randonnée en suivant le sentier de la Coulée de l’Ambène jusqu’au centre de Mozac.
Nous avons juste le temps avant qu’elle ne ferme de visiter l’abbaye fondée à la fin du VIIe siècle, l’une des plus anciennes et des plus importantes abbaye de Basse-Auvergne.
Merci à Laurent pour son active participation et à bientôt pour de nouvelles découvertes.
Animateur : Michel J. Nombre de participants, animateur compris : 14 (6F, 8H) Météo : température douce, journée ensoleillée Terrain : souple, humide le long des ruisseaux Distance : 22,830 km (montre gps) Dénivelé : 1011 m (montre gps) Durée du déplacement : 7 h 20 environ Durée de la randonnée : 5 h 50 environ Classement Atlas : difficile Cartes Ign 1/25000 : 2432 ET Kilométrage auto : (98 x 2) + ( 108 x 2) = 412 km Préparation et rédaction : 3 h 00
Après la présentation habituelle de l’itinéraire avec notamment les passages en hors piste, nous traversons le Parc Fenestre à La Bourboule avant de contourner par le Nord et l’Ouest, le plateau de Charlannes, haut lieu du ski de fond dans les années 70-80. De nombreux carrefours demandent un peu d’attention pour rester sur le bon cheminement tracé par l’animateur. Après avoir longé les pentes raides du bois de la Bonsière nous atteignons les Bughes de Tour puis la Grenouillère.
Nous traversons la D610 peu passante à cette époque de l’année et à l’entrée de Liournat, nous prenons un vieux chemin peu ou plus utilisé qui bientôt se perd dans une végétation dense et épineuse. Le but est de remonter en hors piste en amont du ruisseau de Jamet. Dans un premier temps même si le terrain est humide et spongieux, la progression est assez aisée en suivant les traces des animaux de la forêt. A quelques centaines de mètres du pont routier, à la côte 1100, nous bloquons dans des buissons et genêts. Nous sommes obligés de gagner la bordure de la route que nous suivons pendant quelques minutes. A l’entrée du chemin conduisant au buron de Charlannes, nous prenons plein Sud afin d’atteindre le premier point haut côté 1163m de la journée. Pour le second, Patrick, en formation du brevet fédéral utilise la technique du jalonnement pour nous guider à travers la forêt.
A proximité du Puy de Lachaud.
Le soleil est au rendez-vous sur ce deuxième point haut à 1187m et la vue est magnifique sur les massifs du Cantal et du Sancy. L’endroit est propice pour le pique nique. Avec un tel panorama, avant de repartir, une lecture de paysage s’impose et l’on cherche à identifier un maximum de sommets sur les deux massifs. Une partie de la forêt située au Sud Ouest de notre position a fait l’objet d’une coupe à blanc et nous progressons dans cette zone en faisant attention de ne pas écraser les jeunes mélèzes de la nouvelle plantation. Un ancien chemin orienté plein Est nous amène au col de la Sœur puis toujours dans le même axe à travers bois et une pâture au Bois de la Charbonnière. De nombreux carrefours pas toujours très présents sur la carte obligent le navigateur à conserver le cap pour arriver au buron de la Charbonnière. La descente vers le ruisseau de Vendeix, très en eau et le chemin parallèle ruisselant, demande à poser les pieds au bon endroit pour éviter toute glissade. La fraîcheur est présente dans ce vallon encaissé. Après avoir franchi, le ruisseau à gué puis sur un pont, la longue remontée pentue vers Vendeix Haut réchauffe les organismes. Un nouvel petit effort et nous sommes au sommet de la Roche Vendeix à 1160m.
La Roche de Vendeix
C’est une découverte pour au moins 4 adhérents et le panorama est sublime avec une lumière rasante sur le massif adventif du Sancy. Pour terminer cette belle journée, le Rocher de l’Aigle à 1231m d’altitude, point culminant du parcours, est atteint sans problème par un groupe en forme. La descente sur La Bourboule se fera à travers une jolie hêtraie et sur la fin, des bordures de pacages au soleil déclinant. Merci pour les douceurs apportées par les participants et aux photographes pour les clichés. A bientôt pour de nouvelles aventures !
Animateur : Yves Nombre de participants : 10 animateur compris (7 F, 3 H) Météo : nuageux le matin, éclaircies l’après-midi Distance : 24 km Dénivelé : 650 m Durée : 6H30 pauses comprises Classement Atlas : Facile Kilométrage auto : 60 km pour 2 véhicules soit : 120 km Préparation et rédaction : 3 H
ITINERAIRE : Egliseneuve-près-Billom, le Mas d’Auteyras, PC389, Marcilliole, PC405, PC396, PC426, Reignat, PC457, Montaigut, PC531, PC498, les Ossiaux, PC411, PC375, l’Olivier, PC354, PC355, les Roddiers, la Vaure, Neuville, le Puy Gentil, PC392, la Mouleyras, Brossolière, PC563, Egliseneuve.
Départ d’Egliseneuve-près-Billom fondé autour d’un prieuré bénédictin, dont une partie des bâtiments demeurent proche de l’église. En passant on peut entrevoir des parties gothiques. A proximité du Mas d’Auteyras un coup de fusil d’une intensité sonore importante nous surprend. Les chasseurs traquent le lièvre un peu trop près des habitations. Nous sommes méfiants, quelques mètres plus bas des rabatteurs nous indiquent que dans la direction où nous allons il n’y a aucun risque, nous voilà rassurés. Au passage nous peinons à découvrir le château privé d’Auteyras entouré d’une importante végétation.
Château d’Auteyras
Le sentier argilo calcaire à forte pente nous oblige a être vigilant, sinon glissade assurée. A Marcilliole se dressent devant nous à quelques encablures deux anciens volcans : le Petit et le Grand Turluron. Nous prenons la direction de Reignat, fort villageois, où subsistent encore quelques rangs de vigne, vigne qui occupait 20% de la surface cultivée autour de 1900. Plusieurs passionnés font revivre cette tradition viticole au cépage Gamay pour le rouge et le rosé, et Chardonnais pour le blanc, confirmé par un habitat caractéristique, maison en hauteur avec cuvage.
Face à nous le premier dénivelé de la journée, le Puy Lacroix et le hameau de Montaigut où en 1686 un château était présent. Le chemin argilo sablonneux, passablement pentu, nous oblige à chercher l’herbe pour ne pas glisser. Montaigut contourné, nous arrivons aux Froments, deux tables d’orientation nous aident à lire le paysage sur 360°. Le temps nuageux de ce matin s’est un peu éclairci, la visibilité est meilleure. Cette riche plaine agricole de Limagne, accidentée de buttes, limitée à l’est par la Montagne Bourbonnaise, les Bois Noirs, et le Forez nous offre une mosaïque de couleurs. Surfaces doucement vallonnées où les parcelles céréalières côtoient les premiers herbages. Une profusion de châteaux s’impose à notre regard, Montmorin, Mauzun, Usson, Ravel, plus près de nous La Molière et Busséol au loin.
Nous repartons nord, nord-est en bordure du bois de la Mure. Aux Roddiers un lavoir au soleil fera l’affaire pour la pause déjeuner. De beaux chemins nous mènent à Neuville, village où l’habitat traditionnel, mur en pierre ou en pisé, domine. Nous sommes maintenant face au bois de la Mure, le camaïeu de vert commence à se teinter de jaune..
La pente recommence à s’accentuer pour finir à un deuxième point de vue avec tables d’orientation également, entre Brossolières et Egliseneuve.
La barrière montagneuse des Dômes et Sancy en toile de fond, bleutée ce matin s’assombrit brusquement. Le vent se lève et quelques gouttes arrivent. Contemplation succincte des lieux et nous redescendons rapidement sur Egliseneuve.
La journée aura été un peu nuageuse le matin, accompagnée par de timides rayons l’après-midi, le tout avec une température toujours agréable.
Animateur : Thierry Nombre de participants : 12 animateur compris (4F, 8H) Météo : Ciel partagé entre nuages, brumes et soleil – Grande douceur Préparation et rédaction CR : 2H00 Distance : 23,5 km montre Christian Dénivelée : + 500 m ” “ Duréeséance : 3h40 hors échauffement et étirements Durée marche : 3h28 Moyenne de marche : 6,7 km/h montre Christian
Itinéraire : Départ GR 4 au-dessus de Laschamps, glacis de Mercœur, W du puy de Montjuger, sente vers D2089, W puy de Montchal puis chemin d’exploitation vers Récoleine, GR30 pour contournement sud du puy de Pourcharet, puy de Lassolas et la Vache par GR30, intersection D5 au PC 980, sentier vers Creux du Pialoux et entrée N/W de Fontfeyde, ferme les Carthez, sentier au N/W jusqu’à D5, sente à l’W jusqu’au PC 943, sente au nord jusqu’à Croix Parla, retour Laschamps par GR 4
Observations : Groupe très homogène et donc groupé tout au long de la séance. La pluie annoncée -et redoutée ? – ne s’est pas déversée sur notre groupe. La seule averse a eu lieu lorsque nous étions encore dans nos voitures avant le départ. Les maillots étaient néanmoins humides à l’arrivée mais à cause de l’effort constant et pas de la pluie 😊 ! Sol parfait et moins boueux que je ne le pensais : les feuilles ont recouvert en un tapis épais la plus grande partie du cheminement. Avec les vaches encore aux prés, les bons marcheurs d’Atlas formaient de loin le groupe le plus nombreux. Peu de sportifs dehors en effet ce matin dans le secteur. Plaisir d’être ensemble, discuter de tout et de rien, bonne forme : les ingrédients d’un samedi matin dynamique.
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