Animateur : Sébastien Nombre de participants : 13 animateur compris (3F, 10H) Terrain : Dur Météo : nuageux, températures fraîches Temps de préparation et de rédaction : 0h30 Mise à disposition de bâtons : 1 paire Kilométrage : 7 voitures avec une moyenne de 30 km AR Distance : 19,0 km Durée : 2h50 de déplacement, pour un objectif de 3h00
Itinéraire : Parc des Sources de Volvic, Moulet-Marcenat, tour du Puy de Paugnat, Puy de Monceau, Charbonnières-les-Varennes, Croix de Saint-Priest, passage au nord du Puy de la Baneyre, Les Goulots, Parc des Sources
Observations : Bonne progression !
Le groupe à l’arrivée frais et en forme…manque le photographe
Animateur : Fabien Nombre de participants : 15 animateur compris (9 femmes, 6 hommes) Météo : Couvert, vent le matin Distance : 16 km Dénivelé : 770 m Durée : 6h45 pauses comprises Classement Atlas : Facile Kilométrage auto : 18 km pour 1 voiture et 6 voitures sur place Préparation et rédaction : 3 h
Pour cette première randonnée de l’année 2025, c’est une distance courte qui a été choisie pour commencer l’année. Distance courte mais le dénivelé est bien là compte tenu que nous évoluons en plein sur la Faille de la Limagne donc montées et descentes s’enchaînent. L’animateur a choisi d’évoluer sur les chemins de Ceyrando, association Ceyratoise qui réhabilite et entretient les chemins de la commune. La disponibilité et la présence d’une représentante de Ceyrando ont, en plus, permis d’en apprendre plus sur cette association et ses activités. Départ du cimetière de Royat, d’où une bonne côte nous mène au pied de Gravenoire. Nous rejoignons ensuite Boisséjour et apercevons les premiers balisages de Ceyrando. Nous suivons la salamandre qui nous conduit à Ceyrat puis au rocher d’escalade des Gorges de l’Artière. A partir de là, nous cheminons sur la dernière réhabilitation de Ceyrando, le chemin des bergers. Ce chemin, au fort dénivelé positif est bien aménagé et nous permet de découvrir les cabanes de berger. De jolis travaux en bois agrémentent le sentier.
Après avoir parcouru le fort dénivelé de ce sentier, nous attaquons la pause méridienne ou de nombreuses douceurs sont partagées. Comme à son habitude, Didier anime le repas !!
Didier l’ambianceur !!
Et c’est reparti. Nous suivons maintenant un nouveau balisage, l’ours sur un chemin qui, au travers de trouée d’arbres, permet d’avoir une jolie vue sur Ceyrat et le Montrognon. Nous bifurquons pour emprunter encore un chemin, nommé le Chaos de la Faille ; chemin qui porte parfaitement son nom et permet de découvrir ces particularités géologiques entre le rocher du Diable, le rocher du Géant, les Tors, etc…
Tors
Nous rattrapons le chemin des Ours, sur lequel une participante chute lourdement. Après discussion, la décision est prise de faire appel aux pompiers. La route la plus proche est cherchée et le point de rendez-vous est fixé aux pompiers. Nous nous dirigeons vers cette route et attendons tous avec la blessée les pompiers. Une fois la blessée et son accompagnant pris en charge, le groupe repart et regagne rapidement le point de départ, où quelques douceurs sont encore échangées rapidement, la pluie annoncée commençant à se manifester. Merci à tous, merci à Ceyrando pour tous ces beaux chemins créés, entretenus et mis en valeur.
Animateur : Thierry Nombre de participants : 12 animateur compris (8F- 4H) Météo : nuit très claire et étoilée, pas de vent, 0° une fois la nuit tombée Distance : 12 km Dénivelée : 300 m Durée : 4h pauses comprises Classement Atlas : Facile Kilométrage auto : 40 km pour 3 voitures soit : 120 km Préparation et rédaction : 3H
Itinéraire : Mareuge , pont sur la Monne, le Vert, PR SW et W Bois de Saigne jqà PC 1224, NE jqà bois de Maugue et W par PR en lisière de forêt jqà la Monne, buron du Regardet, burond du Creux, grande piste forestière au NE et Est jqà PC 1074, intersection PR vers Saulzet au Nord et Monteynard à l’Est, PR vers Mareuge au Sud
Les bonnes conditions étaient réunies pour cette rando nocture : clarté, étoiles, absence de vent et température ne nécessitant qu’une polaire en ce qui me concerne. Les chemins d’exploitation et forestier suivis en majorité étaient presque dégagés de la neige tombée ces dernières semaines; verglacés par endroit, ils nécessitaient malgré tout une vigilance de tous les instants. Parvenus au sud du bois de Maugue au plus haut de la rando, les lumières de Pessade apparaissent au nord. Nous poursuivons en pénétrant le bois juqu’à la Monne dont les sources sont proches à l’ouest, à la Fontaine de Montadoux. Près du refuge du Regardet, deux lampes sont allumées : un jeune randonneur déjà dans les lieux et entendant des bruits de bâtons a signalé le refuge. Nous franchissons un ruisseau avant de monter à la bâtisse. Y aura-t-il assez de place ? Le jeune est heureusement seul et a même allumé un petit feu bien agréable même si le froid n’est pas aussi intense que prévu. Nous le « dérangeons » au milieu de son repas… Nous avons vite fait de nous installer et de partager avec lui nos vivres de course : fromage, pain, panettone, pain d’épice, roses des sables et vin chaud que je fais réchauffer et qui parfume vite l’intérieur du refuge.
Nous repartons après 45 minutes de pause réconfortante en n’oubliant pas de souhaiter une bonne nuit à notre jeune ami Tancrède qui restera le seul occupant des lieux. Le retour à Mareuge se fait par un grand chemin forestier qui nous fait passer près du buron du Creux beaucoup moins accueillant que son proche voisin et traverser le ruisseau de la Védrine. On devine sur un dernier point haut et à l’occasion d’une trouée forestière les masses du Baladou et du puy de la Védrine. Un large chemin d’exploitation prend la relève et nous ramène aux lumières de la civilisation : celles de Saulzet le Froid et de la Garandie les plus proches. Le chemin libre cette fois de tout piège nous amène rapidement à la fin de cette boucle nocturne qui laissera de beaux souvenirs à chacun.
Animateur : Georges Nombre de participants : 16 animateur compris ( 8 F et 8 H ) Météo : quelques rayons de soleil le matin, pluie et vent l’après-midi Terrain : gras, de nombreuses flaques d’eau Distance : 19 km Dénivelée : 350 m Durée : 5 h Classement Atlas : facile Kilométrage auto : 30 km pour une voiture, 50 km pour une autre soit 80 km et 4 voitures sur place Préparation et rédaction : 2 h
Itinéraire : Départ du parking des eaux de Volvic, Tourtoule, Argnat, Egaules, retour sur Volvic.
Le parking des eaux de Volvic est notre point de départ pour cette dernière rando de l’année. La météo nous avait annoncé pluie et neige. Nous partons sous un ciel couvert mais sans pluie. Quelques petites montées pour se mettre en jambes et nous voici à Tourtoule, après une longue descente nous traversons Argnat, direction Egaules.
Il est 11h45, nous décidons de prendre le pique-nique car de gros nuages noirs arrivent de l’ouest, la pluie n’est pas loin. Le casse-croûte terminé, les premières gouttes arrivent. A la sortie du village, nous apercevons un petit sanglier seul et apeuré. Il s’enfuit en suivant un grillage à moutons mais ne pouvant le franchir, il revient sur nous et s’arrête à bonne distance.
La pluie et le vent s’intensifient, la température baisse. Le retour sur Volvic s’effectue à bonne allure, contents de retrouver les voitures. La petite cabane du parking des eaux est la bienvenue pour déguster chocolats et friandises, merci à tous.
Bonnes fêtes de Noel et de fin d’année à toutes et à tous.
Animateur : Michel D. Nombre de participants : 11 animateur compris (4F, 7H) Météo : Partiellement nuageux, brise de Nord Terrain : enneigé Distance : 15 km Dénivelé : 550m de D+ Durée : 7h pauses comprises (observation de la faune et lecture du paysage + repas) Classement Atlas : Moyenne Kilométrage auto : 60 km pour 2 voitures soit : 120 km + 1 voiture sur place Préparation et rédaction : 3h
ITINERAIRE : parking de Pessade – bois de Pessade – pont du Chevalard – bois de Rioux – lac de Servières – les burons du plateau de Servières – forêt sous le Puy de Baudet – bois de Pessade – source du Chevalard et ses canyons – pont haut du Chevalard – retour aux voitures.
Après regroupement et les consignes, départ de la rando par le bois de Pessade direction nord, nous trouvons rapidement de la neige absente de toutes traces, mis à part celles des animaux. Nous naviguons dans la forêt de Rioux pour atteindre le lac de Servières, dans les parties faciles je fais faire la trace à tour de rôle aux participants.
Petite pause sur les bords du Servières, ensuite grande traversée du plateau de Servières pour arriver à la forêt sous le Baudet, où nous nous installons au milieu d’une clairière pour notre pique-nique. Remontée en lisière de la forêt dans une grosse quantité de neige fraiche, où un participant casse une raquette, grosse difficulté pour lui ensuite à suivre sans raquette. Nous établissons un plan B pour un retour direct aux voitures
Une agréable journée sur des sentes appropriées à notre activité raquettes du jour, très bon enneigement avec une neige très poudreuse .
Le groupe au départ…manque Sébastien et le photographe !
Terrain : souple, fine couche de neige glacée au-delà de 800 mètres d’altitude, quelques grosses flaques d’eau Météo : température fraîche, idéale pour l’exercice Temps de préparation et de rédaction : 2h00 Mise à disposition de matériel : 2 paires de bâtons de marche nordique en 1,25 et 1 en 1,15. Kilométrage : 3 voitures en covoiturage au départ de Clermont, 4 voitures sur place soit un total général de 280 km
Animateur : Michel J.
Nombre de participants : 13 animateur compris (5F, 8H) Distance ; 17,82 km ; moyenne 6,5km/h soit 9’10’’au km ; dénivelée 370 m (montre Garmin Félix 6 Pro Solar) ; kcal dépensés 1250 environ. Durée : 2 h 43’ 20’’ (de marche) et 2 h 53 (déplacement et pauses compris). Échauffement et étirements non comptabilisés.
Itinéraire : départ parking des eaux de Volvic, tour du Puy de Paugnat, passage à l’ouest du Puy des Marais, approche du col de la Nugère, le long ouest du Puy de la Nugère, les Goulots, les Cheires de Bruvaleix, parking
Observations : l’objectif de la sortie à 6,5 km/h a été atteint. Les nouveaux dans cette activité Marie, Valérie, Frédéric, Philippe et une revenante Geneviève ont été bien intégrés et stimulés par les habitués. Bonne ambiance. Itinéraire court, moyenne de déplacement volontairement plus modeste que d’habitude afin de permettre une découverte de l’activité aux adhérents s’étant positionnés sur le questionnaire 2025 « Activités » et à celles et ceux qui souhaitaient réintégrer le groupe marche sportive après un arrêt plus ou moins long… L’équipement recommandé a été rappelé dans les messages en amont de l’activité : chaussures de trail, jogging, un collant plus ou moins chaud en fonction de la météo, vêtement respirant pour le haut, petit sac à dos avec ravitaillement, eau, des bâtons (de type marche nordique) pouvant être prêtés …
Remarque : quelques arbres et branches sur l’itinéraire ont légèrement ralenti la progression du groupe.
Animateur : Yves Nombre de participants : 20 animateur compris (10 F, 10 H) Météo : journée ensoleillée, température agréable, pas de vent. Distance : 14 km Dénivelé : 450 m Durée : 6 H pauses comprises Classement Atlas : facile Kilométrage auto : 34 km pour 3 véhicules et 42 km pour 2 autres soit : 186 km + 1 véhicule sur place Préparation et rédaction : 3 H
ITINERAIRE : Laschamps, PC1093, PC1084, col de la Moréno, PC1144, PC1083, PC1080, col de Moréno, PC1096, Laschamps
Départ de Laschamps où la neige est tombée en abondance en début de semaine. Pour nous mettre en jambe pour cette première sortie raquettes de la saison, nous empruntons le GR4 en direction du Puy de Pourcharet. Le décor proposé par la neige sur le branches est déjà féerique, semblable à une carte de fin d’année, ambiance qui nous accompagnera toute la journée. La neige crisse sous nos pieds, les branches courbées par la neige s’ébrouent à notre passage, frissons dans le cou garanti.
Déjà quelques arbres obstruent le chemin et nous imposent contorsions ou déviations en plein bois. Au pied du Puy Pelat, nous nous dirigeons plein nord en slalomant entre le Puy de Beaune et celui de Montchar. Le chemin est plus étroit et la couche est plus épaisse. Le poids de cette neige a entrainé l’étêtage de nombreux arbres qui nous barrent le passage et nous obligent à ramper ou escalader. Séance de gym et d’assouplissements qui nous occupera une bonne partie du parcours, surtout l’après-midi. Passé le Puy de la Moréno nous arrivons au col où, sous un soleil radieux, nous prenons notre pique-nique.
Il est 12h30, le soleil au zénith active la fonte au sol et en l’air, nous repartons encapuchonnés pour gravir le Puy de Monchier. La neige plus ou moins gelée jusque là se ramollit fortement, les raquettes s’enfoncent dans cette neige lourde et molle. A partir de là c’est un carnage, arbres coupés, déracinés, branches cassées, déchiquetées le spectacle est désolant. Ce sera le parcours du combattant sur ce Puy et celui de Salomon.
Retour au col de la Moréno et direction le parking, par la gauche de la Montagne de Laschamps. Après plusieurs sauts d’obstacle et un passage en hors piste, moins pire que les sentiers normaux, nous regagnons les voitures. La météo avait prévu du soleil, elle ne s’est pas trompée. Journée très agréable en grande partie ensoleillée sous un ciel bleu azur, avec suffisamment de neige et cela, proche de la ville. Merci à Pierre pour son excellent gâteau maison, et à tous pour l’éventail de friandises proposées.
Animatrice : Mady Nombre de participants : 18 animatrice comprise (11F, 7H) Météo : ciel couvert Distance : 21,96 km Dénivelé : 950 m Durée déplacement : 7hClassement Atlas : Moyen Voitures : 110 km x 2 voitures de Clermont Fd soit 220 km, 70 km pour 2 voitures du Crest soit 140 km total = 360 km Préparation et rédaction : 3h
ITINÉRAIRE : Stade de foot de Besse, Thiaulaire, cascade de Vaucoux, Anglard, Champs, Le Fayet, Ourcière, cascades de Chiloza, Besse.
Pour cette randonnée annoncée facile, j’ai tracé sur la carte un parcours empruntant des chemins, de petites sentes et juste un peu de hors piste sur le plateau. Mais comme souvent le milieu naturel a évolué et va nous réserver quelques surprises. Après la sortie de Besse, il faut atteindre Thiaulaire, pour se retrouver en pleine nature. Un beau chemin, surplombant le Ruisseau de Vaucoux et recouvert d’une épaisse couche de feuilles de hêtres qui cache un terrain pas toujours très stable, nous amène jusqu’à la D 633 sur laquelle nous devons prendre une sente pour aller jusqu’à la cascade du même nom. Sente peu apparente et c’est finalement Laurent qui signale une trace, pratiquement invisible dans le talus. Une montée assez raide dans le bois et nous voici à nouveau sur un grand chemin. Le cheminement en descente redevient facile. Mais peu après, une coupe de bois étant en cours, l’environnement est dégradé.
A nouveau du hors piste pour retrouver le sentier et le longer de plus ou moins loin car il est devenu impraticable, envahi par les ronces ou bloqué par des arbres tombés. Pourtant subsistent à quelques endroits des passages de clôtures faits de planches surélevées, témoins de l’ancienne utilisation. Une dernière clôture franchie sur un de ces aménagements assez vétuste, et nous voici à nouveau sur un chemin. Toujours en contrebas le ruisseau de Vaucoux et au fur et à mesure de notre progression, le bruit d’eau s’intensifie et la cascade apparaît enfin.
Cascade de Vaucoux
La fraîcheur ressentie près de cette importante chute d’eau n’incite pas à cette saison à trop s’attarder. Et nous devons rattraper le retard pris avec les difficultés de terrain précédentes. Nous continuons à monter en profitant de l’abri de la hêtraie où une légère couche de neige recouvre les feuilles qui jonchent le sol.
Mais à partir d’Anglard, ce sont des grands espaces où le vent de sud ouest qui souffle est bien ressenti. Sur la montagne de Champs, nous profitons d’un bosquet pour faire la pause pique nique. Le vent a permis de dégager les nuages et de ces hauts plateaux nous découvrons à l’ouest le massif du Sancy et au nord la chaîne des Puys avec son élément central, le Puy de Dôme.
De grands espaces mais aussi de nombreux barbelés ! Le point le plus haut de la randonnée a été atteint. Dans la vallée, le village de Besse semble tout proche et la descente commence. Encore une sente disparue après Le Fayet, une nouvelle partie de hors piste, quelques glissades sur un terrain boueux, et enfin le chemin retrouvé pour Ourcière. Une pause boisson bien méritée et après les encouragements d’un autochtone qui pense que nous allons nous égarer avec la nuit, nous remontons sur les cascades de Chiloza qui se succèdent sur La Couze Pavin. En cette fin de randonnée, la rambarde de bois installée est bien utile pour franchir les hautes marches des escaliers qui nous amènent en haut du parcours aménagé ! Aucune pluie de toute la journée, mais de fines gouttes de brouillard saluent notre arrivée aux voitures. Merci à toutes et tous pour votre bonne humeur malgré les difficultés de terrain qui d’après certaines ont fait de cette randonnée annoncée avec un peu de hors piste, une randonnée avec un peu de chemins ! Et merci à Laurent pour ses photos
Animateur : Michel D. Nombre de participants : 10 animateur compris (6F, 4H) Météo : partiellement nuageux, brise du sud, Terrain : sentes et chemins 2/3 et hors piste 1/3 Distance : 16 km Dénivelé : 1000m de D+ Durée : 7h pauses comprises Classement Atlas : moyenne Kilométrage auto : 2 voitures de 115 km et 1 autre de 120 km soit 350 km Préparation et rédaction : 3h
ITINERAIRE : parking du Madalet – GR4 – col de Couhay 1676m- Puy Gros 1793 – col de la Cabane 1781 – sente sous Puy de Sancy – Pas de l’âne – col de Courre – descente dans le val de Courre – téléski du val d’Enfer – puis sente de l’ancien GR 4 – sente sous le Pan de la Grange – Puy Ferrand – sente sous le Puy de la Perdrix – sente en descente au chalet de la tyrolienne et du parcours aventure – retour aux voitures.
Après regroupement, départ ce 1er décembre avec une météo digne d’un printemps depuis le parking du Madalet à Super-Besse . Bizarre, la station est déserte, tout l’inverse des journées noires de monde des vacances. Nous attaquons par le GR 4 et la boucle du Sancy avec une sente au milieu des enneigeurs qui fonctionneront toute la journée. Étonnant de voir neiger par cette température. J’explique aux Atlasiens du jour, que les enneigeurs fonctionnent comme les frigos de cuisine qui ont la distribution des glaçons, mais en plus grosse quantité.
Le GR4 emprunté les a mis vite en condition car direct dans la falaise en passant auprès de la cascade, pour accéder au col de Couhay. Suivi du GR 4 avec des lectures de paysages. Vers le Puy Gros, surprise, il n’y avait que deux participants qui l’avaient déjà gravi, donc d’un commun accord nous décidons de faire l’ A/R . Pas prévu à mon itinéraire : cela augmentera le total du dénivelé. Tout le monde est au sommet, premières observations de fauve sauvage avec des chamois versant fontaine salée (Belle récompense).
Ensuite passage au Col de la Cabanne, puis sente sous le Puy de Sancy, suivant le Pas de l’âne. Nous faisons notre pause de midi au col de Courre, plein soleil comme des lézards avec une vue magnifique sur le cirque de la Fontaine Salée où nous observons à nouveau quelques chamois peu craintifs. Nous prenons la descente du val de Courre où nous rencontrons Dédé.
Arrivée à la station du Mont-Dore, Ici aussi, pas beaucoup de fréquentation, tout est pour nous. De là nous attaquons la dure remontée, en longeant le téléski du val d’Enfer, pour rejoindre le départ de l’ancien GR 4 qui montait dans la piste A de ski de descente.
Nous avons mis 1h pour monter à la cascade de la Dore, la sente nous a permis une vue plongeante sur elle, puis replat pour aller chercher la sente sous le pan de la Grange.
Cascade de la Dore
Sous le Pan de la Grange
Dernière montée pour le Puy Ferrand qui fait mal aux jambes à deux Atlassiennes mais qui au sommet, sont ravies d’avoir accompli cet effort. Plus que de la descente pour retrouver les voitures. Nouvelles observations de mouflons, cette fois à 100 mètres couchés dans une belle herbe sèche juste au dessus des canyons de Chaudefour. Passage au chalet du départ de la tyrolienne et du parcours aventure. Pour clôturer notre sortie, nous avons marché dans notre première neige : celle en préparation des pistes.
Merci à Corinne et Pierre pour leur excellente tarte aux pommes dégustée aux voitures, et merci à tous.
Animateur : Michel J. Nombre de participants animateur compris : 17 (9F, 8H) Météo : température douce, journée ensoleillée, passages nuageux Terrain : souple, quelques flaques d’eau Distance : 24 km (montre gps) Dénivelé : 800 m (montre gps) Durée du déplacement : 6 h 00 environ Durée de la randonnée : 5 h 30 environ Classement Atlas : facile Cartes Ign 1/25000 : 2633W, 2533E, 2534E Kilométrage auto : (90 x 2) + ( 120 x 2) = 420 km Préparation et rédaction : 3h00
Avant le départ, comme d’habitude, je présente les grandes lignes du circuit en boucle. Très campagnard où l’élevage domine, à la limite du plateau du Cézallier, nous allons longer pendant 3 kilomètres le cours de l’Allagnon, rivière très connue des pécheurs où l’on peut trouver l’omble commun, la truite fario, l’écrevisse à pied blanc et, où la loutre s’est à nouveau installée. Pour être complet, je précise que ce cours d’eau d’un peu moins de 90 kilomètres prend sa source dans le Cantal, au Puy de Bataillouse à 1680 m et se jette au Saut du Loup dans l’Allier, point où nous sommes passés à vélo rando lors de notre périple Clermont, la Cerdagne en septembre dernier.
Partis d’une altitude modeste à 533 mètres au cimetière de Chambezon, nous commençons notre parcours par une longue descente sur un chemin caillouteux pour atteindre 460 mètres, au niveau de la rivière. Au loin sur un promontoire rocheux sous un ciel encore encombré d’une strate nuageuse se distingue l’impressionnante forteresse de Léotoing construite au XII ème siècle, plusieurs fois remaniée et renforcée notamment vers 1365 par Robert Dauphin (deuxième du nom) pour la protéger des attaques lors de la guerre de Cent Ans et des compagnies de mercenaires qui sévissaient dans la région.
Le terrain supporte encore les traces des dernières averses et quelques flaques nous obligent et nous obligeront tout au long de la journée à de petits contournements. L’habitat est dispersé et seuls quelques hameaux traversés font la transition entre les pâtures et les chênaies rabougries situées sur les points hauts inexploitables pour l’agriculture. Après avoir abandonné le fond du vallon, nous suivons sur 4 kilomètres, le ruisseau d’Auze qui trace son cours dans une végétation dense de part et d’autre où chevreuils et sangliers peuvent s’épanouir tranquillement. Différentes roches affleurent et le chemin érodé montre des cailloux propices à l’échange avec le groupe, granit, quartz, grès, basalte…
Après avoir parcouru le bois de Combe Savy, voici Féchat Bas puis après le ruisseau de la Ribeyre nous atteignons Sagheat, 13 kilomètres ont été parcourus et c’est la pause pique nique sous un soleil chaud pour la saison. Pour digérer, une longue montée sur une chemin confortable au pourcentage raisonnable nous amène au point haut de la journée, à un peu plus de 800 mètres d’altitude, une ligne de partage des eaux pour les nombreux ruisseaux qui coulent soit vers le Nord, soit vers le Sud Est et qui alimentent le bassin versant de l’Allier. A Ségonzat, hameau faisant partie du village de St Gervazy nous coupons le GR de Pays « Autour d’Issoire » et nous nous dirigeons vers l’est puis au contact du Puy Ferrat nous inclinons notre cheminement, grossièrement vers le Sud.
Fusain avec ses capsules roses et ses graines orange
Encore un petit effort pour éviter quelques centaines de mètres de goudron et après avoir contourné « la Bastide » point haut occupé par une antenne de télécommunication et un château d’eau, c’est l’arrivée à Chambezon. Merci pour les douceurs apportées et à bientôt.
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