Animatrice : Mady Nombre de participants : 14 animatrice comprise ( 10F, 4H ) Météo : ciel couvert le matin, après midi ensoleillée Distance : 23 km Dénivelé : 750 m Durée déplacement : 6 h15 Classement Atlas : facile Préparation et rédaction : 3 h
ITINÉRAIRE : Jozerand, Buchavat, les Brayards, Champs, Chamalet, Est Chabrépine, les Charmats, Jozerand
La pluie qui nous a accompagnés durant le trajet en voiture s’est transformée en un petit crachin à l’arrivée à Jozerand. Le ciel est bas, la température fraîche et vestes et capes sont enfilées. Je choisis de faire le circuit en sens inverse de celui tracé initialement comptant sur la forêt plus présente sur cette partie pour nous protéger en cas de pluie. Mais finalement, aucune averse ne troublera notre parcours et les vêtements de pluie pourront être enlevés. Tout le matin nous évoluons la plupart du temps dans un environnement très boisé, utilisant de beaux chemins qui ont bien absorbé les pluies des derniers jours, les chaussures ne seront même pas sales. Nous y rencontrons de nombreux « amis » des jardiniers, limaces, escargots qui apprécient l’humidité ambiante. La modification du terrain par rapport à la carte nécessite une adaptation pour rejoindre le ruisseau des Coinches. Nous nous contenterons de le traverser alors que nous aurions dû le longer avant de remonter sur Buchavat. Après le pique-nique pris à Champs, les paysages sont plus ouverts et nous apercevons au nord les paysages très verdoyants et bocagers du département de l’Allier tout proche. Encore quelques montagnes russes pour franchir les petits vallons où coulent les ruisseaux de la Ganne et du Moulin, les vététistes rencontrés préférant pousser les vélos.
Etang sur le ruisseau de la Ganne
Sur le plateau, la végétation s’épanouit, robiniers faux acacias, genêts en pleine floraison, blés parsemés de bleuets ondulants sous le vent et herbe prête à être fauchée, avec au loin, la chaîne des Puy.
Bientôt les foins…
A l’arrivée à Jozerand, un petit détour pour aller jusqu’au château datant de la fin du XVe siècle mais les hauts murs qui l’entourent, empêchent toute vue sur le parc et les bâtiments. photo
Mur d’enceinte du château de Jozerand.
Merci à tous pour votre participation et les douceurs offertes.
Animateur : Thierry Nombre de participants : 15 animateur compris (8 F, 7 H) Météo : Soleil et nuages Distance : 25 km (montre altimétrique de Pierre) Dénivelée : 800 m (montre altimétrique de Pierre) Durée : 7h20 pauses comprises Classement Atlas : Facile Kilométrage auto : 50 km pour 1 véhicule et 80 km pour 2 véhicules – 2 voitures sur place Préparation et rédaction : 3H
Itinéraire : Pessade, GR4, sente SW et E vers piste forestière, buron du Creux, sous le buron du Regardet, chemin vers bois de Saignes, SE vers Beaune le Froid, W vers bois des Bruyères, petite route sous puy de Chambon, D996, vers ferme de Dyane, NW au-dessus du puy de Pouge vers source captée, gué sur ruisseau de Diane, pente est du puy de la Tache vers GR4 entre puy de Monne et puy de la Tache, GR4 jusqu’à Pessade
Un parcours varié est prévu pour une journée sans pluie et avec quelques rayons de soleil. Parti de Pessade avec un petit retard dû aux embouteillages du nord au sud de Clermont, nous quittons vite le GR pour descendre les pentes du vallon de la Monne, sous le puy de la Védrine. Au loin nous apercevons une machine de débardage à l’œuvre sur un pan entier de la colline. A proximité du buron du Regardet, nous verrons déboucher le gros tracteur à chenille qui ramène des grumes vers la civilisation.
Destruction des chemins d’exploitation garantie ! Nous marchons à l’envers du parcours suivi pendant notre rando de nuit en décembre. Les distances paraissent moins grandes. Nous remontons le long du bois de Maugue quand nous devons laisser place à une quinzaine de quads remplis de gens souriants qui s’excusent (sans doute ?) du dérangement mais quand même ca fait toujours un pincement au cœur de voir de tels engins de « loisir » rompre la tranquillité des estives. Nous continuons vers Beaune le Froid sur un large chemin d’exploitation jusqu’à la croix au PC 1088. Nous changeons alors complètement de direction pour filer plein ouest vers le puy Chambon à travers le bois des Bruyères. Il y avait autrefois un accès au sud pour longer le bois tout en bénéficiant des somptueux panorama vers la vallée de Chaudefour et la Montagne de la Plate. Mais les taillis ont envahi cette petite bande de gazon sur laquelle je pensais déjeuner. Nous nous rabattons donc dans le bois au niveau d’une coupe récente bien exposée au soleil.
Le repas est rapidement avalé et nous reprenons notre progression pour une longue après-midi de rando. Première étape, reprendre pied sur la petite route forestière qui traverse le bois un peu plus haut dans la pente. Elle nous mène sans difficulté au pied du puy Chambon qui n’est pas notre cible du jour. Nous continuons donc la route jusqu’au croisement avec la D996 qui monte au col de la Crois-Morand. Nous la traversons pour rejoindre le chemin qui mène à la ferme de Dyane. Aux abords de la ferme nous prenons toutes les précautions pour ne pas trop nous faire remarquer car l’éleveur est (était ?) connu pour être assez ombrageux avec les randonneurs. Nous sommes sur un chemin en surplomb peu visible de la ferme dissimulée derrière des sapins. Ouf l’exploitation est derrière nous et le groupe s’anime à nouveau. Il nous faut trouver le gué du ruisseau de Dyane pour prendre appui sur les pentes est du puy de la Tache. Il est atteint presqu’au bout du chemin que nous suivons depuis les abords de la ferme. On devine bien tout là-haut le collet entre Monne et Tache qui est notre but. La pente est rude mais le terrain est encore facile. Le groupe s’étale tout au long de cette belle montée que beaucoup découvrent.
Les premiers vont pouvoir voir une marmotte proche…. Parvenus sur le GR entre les deux puys, une pelouse moelleuse et ensoleillée est l’endroit idéal pour une longue pause réconfortante. Nous sommes au point haut de la rando. Il ne reste que 7-8 km à parcourir jusqu’à Pessade en suivant ce beau GR 4 : une formalité !
Animateur : Michel J. Météo : couvert, quelques gouttes, température fraîche. Terrain : petites routes et chemins d’exploitation Distance du parcours : 65 km ; Dénivelé positif : 849 m (montre GPS) Durée de la sortie: 5 h 37 (avec les pauses) Durée de roulage : 4 h 36 ; 14,2 km/h de moyenne.
Nombre de participants : animateur compris 10 (4F, 6H) Temps de préparation (matériel et rédaction) : 2 h 30
Les grandes lignes de l’itinéraire : départ à 09h00 de la rue des Fossés sous le Séminaire, piste cyclable Croix Neyrat, Blanzat, bassin de rétention du Bedat, Sayat, Malauzat, Volvic, Enval, Charbonnières-les-Varennes, Beaunit, Verrières, Grelière, les Bruyères, Paugnat, Moulet-Marcenat, les Goulots, le Cratère, Argnat, Sayat, Blanzat, cimetière de Gerzat, les Vergnes, la Combaude, Musée.
La préparation des séjours se poursuit. Le groupe est en forme et malgré une météo maussade l’ambiance a été bonne. Le parcours a été apprécié et les quelques kilomètres de chemins d’exploitation nous ont rapproché un peu plus de la nature…
Animateur : Georges Nombre de participants : 10 animateur compris 7 F et 3H Météo : ensoleillé le matin et nuageux l’après-midi Terrain : humide par endroits avec de grosses flaques d’eau Distance : 19 km Dénivelé : 380 m Durée : 5h 30 pause comprise Classement Atlas : facile Kilométrage auto : 50 km x 2 pour 1 voiture, 55 x 2 pour 1 autre voiture soit 210 km Préparation et rédaction : 2 h
ITINERAIRE : Départ de Briffons, puy des Anglais, pc 863, Combas, le Ribeyroux, Muratel, pc 855, pc 890, pc 957, retour à Briffons.
Ce matin départ de Briffons, village au sud des Combrailles. Le ciel est couvert, la température est idéale pour la rando. Nous partons en direction du puy des Anglais qui se situe au milieu d’une sapinière. De larges chemins nous conduisent jusqu’au ruisseau de Cornes avec une alternance de bois et de prairies verdoyantes, le printemps s’installe. Après un passage près du champ de tir de Bourg-Lastic, direction le village de Ribeyroux. Nous découvrons une maison abandonnée avec une magnifique façade en pierres taillées
Prochain village Muratel, il est l’heure du pique-nique
les nuages ont disparu, le soleil arrive. Nous repartons en direction du petit Sioulet, un chemin en balcon au-dessus du ruisseau nous conduit jusqu’au moulin des Renards. Pas de moulin en vue, il est caché au milieu des bois. Pour éviter une route goudronnée qui passe par Tortebesse, nous traversons un petit bois pour retrouver le petit Sioulet. Nous entrons dans la forêt domaniale de l’Eclache, une petite sente devient vite impraticable, nous décidons de traverser en hors piste à la boussole pour retrouver le chemin forestier. Celui-ci est en pleins travaux. Un socle en béton est prêt à recevoir une éolienne, deux autres chantiers sont en cours plus loin. Notre spécialiste de champignons trouve deux grosses morilles.
Un long chemin forestier nous guide jusqu’aux voitures.
Merci à Germaine la régionale de l’étape pour ses explications et merci au groupe pour les friandises de midi et de fin de journée.
Nombre de participants : 5 animateur compris (2F, 3H) Météo : ciel présentant quelques éclaircies en fin de matinée puis se couvrant progressivement avec de gros nuages noirs vers l’ouest. Température fraîche. Pas de pluie ! Classement : facile
Matériel mis à disposition par l’association :
3 kayaks de mer ; 2 Bélouga 1 de marque Plasmor dont l’un mis à disposition par l’animateur, 2 de marque Dag, modèle Miwok et Ysak, 1 Fury de marque Kayman (bateau de l’encadrant).
équipement complémentaire pour les kayaks (jupes d’étanchéité, éponges, 1 cordelette de 10 mètres)
équipement pour les participants (gilets d’aide à la flottabilité, pagaies doubles)
pour le transport des bateaux : une remorque routière équipée de l’adaptation « kayak»
Organisation générale :
Transport: à l’aide d’un véhicule en covoiturage Michel J. (Renault kangoo) tractant la remorque.
Kilométrage général effectué par le véhicule : 105 km
Niveau d’eau : le plan d’eau était très bas et de nombreuses constructions jamais vues apparaissent…
Conditions de navigation : très bonne.
Kilométrage parcouru : 16,610 km et 03h18 de navigation une moyenne entre 4,6 et 5 km/h environ. Une bonne reprise sur ce plan d’eau à moins d’une heure de Clermont-Fd et tellement dépaysant. Le niveau étant anormalement bas à cette période cela nous a permis de découvrir des vestiges du temps où le barrage n’existait pas et notamment l’ancienne route qui menait à Miremont et ses parapets encore en assez bon état. Nous avons accueilli Philippe qui s’est vite adapté à son bateau. La technique du radeau a été mis en place histoire d’effectuer une manœuvre rapidement…
En remontant l’ancien cours de la Sioule !
Le niveau d’eau est tellement bas que l’on croise même une voiture ! 😏
Un déplacement à vélo a eu lieu le mercredi 07 mai 2025 pour suivre l’évolution de la plantation en ce début de printemps. Vous verrez en regardant la photo ci-dessous que les noyers ont pris de l’ampleur et que les 85 arbres se portent bien ! L’opération menée les 22, 23 et 28 mars 2024 est couronnée de succès avec une reprise à 100 % des arbres transplantés.
A bientôt pour une nouvelle opération….. -o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-
Animateur : Yves Nombre de participants : 10 animateur compris ( 7 F, 3 H) Météo : nuageux le matin, orage et averse l’après-midi Distance : 22 km Dénivelé : 600 m Durée : 6 H pauses comprises Classement Atlas : facile Kilométrage auto : 75 km pour 2 véhicules ( Benoit, Yves) soit : 150 km Préparation et rédaction : 2 H
ITINERAIRE : Manglieu, Tarragnat, Le Chat, PC457, PC486, PC489, Champriat, Craimps Haut, La Rochette, PC652, Dagout, La Farge, Pourrat, Le Brugeron, Les Creux, Château Auger, Manglieu.
Courte rando prévue aujourd’hui, car la météo annonce de gros orages dans l’après-midi. Nous quittons donc Manglieu dans la brume, après avoir visité l’imposante Abbatiale du 12°S, nous traversons l’Ailloux et direction le Puy de Céveloux.
Abbatial de Manglieu
Avant Tarragnat, le sentier se faufile entre de hautes herbes détrempées suite à l’orage d’hier. Nous voilà déjà trempés jusqu’aux genoux, test idéal pour l’étanchéité des chaussures. A Tarragnat les premières gouttes arrivent, un auvent fera notre affaire pour enfiler les vêtements de pluie. Nous contournons le Puy de Céveloux par un deuxième passage dans les herbes mouillées. Dans le bois de Rouaire, l’attention est de mise car si glissade, bain de boue assuré. Le soleil commence à pointer son nez, la chaleur est pesante, on est bien dans une ambiance de temps orageux. La montée sur Craimps est agréable avec une large vue, sur les puys et pics du Bois de la Comté, sur la Limagne d’Issoire et ses petits pitons rocheux, et en toile de fond le Sancy et le Cézallier. Peu après le hameau la Rochette, un petit coin sympathique avec des sections de troncs alignés comme des bancs, nous tend les bras pour la pause méridienne.
Nous sommes au plus haut du parcours, la descente sur Dagout et la Farge, par cette douceur, est appréciée. La D754 coupée nous remontons sur Pourrat pour contourner le Puy d’Auger et découvrir son château privé du 15°S. Le tonnerre commence à se faire entendre au loin. Au fur et à mesure de notre avancée dans le bois les grondements se font de plus en plus forts et de moins en moins espacés, le ciel s’assombrit puis se noircit fortement.
Montée au puy d’Auger
A proximité du château nouvelle séance de protection contre la pluie, le clocher de Manglieu est en vue il nous reste 2,5 km environ. Nous délaissons les chemins, emboitons la route et activons le pas. La pluie propulsée par le vent du nord se fait de plus en plus forte. Nous sommes déjà bien ruisselants, à l’entrée du village un porche de garage nous sert d’abri momentané en attendant une accalmie.
Sous le porche
Les voitures sont à quelques dizaine de mètres, les plus courageux donnent le las et nous voilà parti, jambes à notre cou, dans la rue principale. Un abri bus bienvenu a fait notre affaire pour le changement de tenue. Le timing pourtant calculé en fonction des données météo n’aura pas été assez précis pour éviter ces trombes d’eau. Merci aux courageux présents .
Animateur : Yves Nombre de participants : 13 animateur compris ( 6 F, 7 H) Météo : couvert avec quelques éclaircies Distance : 25 km Dénivelé : 940 m Durée : 7 H 50 pauses comprises Classement Atlas : Moyenne Kilométrage auto : 170 km pour 1 véhicule et 140 km pour 2 autres soit : 450 km Préparation et rédaction : 3 H
ITINERAIRE : D588 vers Saint Laurent Chabreuges, PC608, Talairat, Artiges, Verneuges, PC613, Moulin de la Poudrière, Moulin de Lugeac, Saint Just Près Brioude, Vazeilles, PC663, Lodines, Les Ages, retour aux voitures.
Temps bien couvert ce matin, petit hors piste pour rejoindre le chemin en direction de la Chassagne. Au PC608, nous croisons la D12, sur notre gauche nous apercevons les ruines d’une ancienne tuilerie où l’on distingue encore les briques du four. Quelques pas plus loin, des anciennes mines nous rappellent que le secteur était riche en argent, plomb et antimoine, d’ailleurs celles de la Chassagne, spécialisées en antimoine ont été actives jusqu’en 1996. Notre parcours se continue sur un large chemin d’exploitation jusqu’à Talairat, où la gare nous remémore le passage d’une ligne ferroviaire de Brioude à St Flour , mise en service en 1910, active jusqu’à fin 1940 pour les voyageurs et en 1953 pour les marchandises. De Talairat à Artiges, nous l’empruntons, transformée en agréable chemin. D’Artiges à Verneuges, afin de diminuer la pente sur le contrefort du Pié de la Vergueur, volcan relativement jeune (15000 ans), exploité en pouzzolane, un tunnel de 650m fut creusé : le plus long de cette ligne.
A la sortie de Verneuges, tout en contournant le Pié, nous plongeons sur la vallée du Céroux, objectif du jour. Ce ruisseau qui prend sa source vers Soulages sur le plateau d’Ally, se jette 34km à l’est dans l’Allier, à Vieil Brioude. Le soleil perce les nuages et d’un coup nous changeons brutalement de température. Au loin, nous apercevons les éoliennes d’Ally et l’origine de la vallée que nous allons poursuivre. Soudain un bébé chevreuil jaillit d’un bosquet, apeuré il détale à toutes pattes et seules ses petites oreilles dressées nous permettent de le suivre avant de disparaitre dans la végétation abondante. Nous voilà au Moulin de la Poudrière, bâtiment bien entretenu sur le bord du Céroux, endroit idéal pour le pique-nique.
Endroit idéal pour le pique-nique
Le chemin jusqu’à Lugeac, proche ou éloigné du ruisseau, ne sera que montagnes russes, et zigzague entre diverses traces laissées par des motos, le tout dans cette hétraie sauvage mais exigeante physiquement. A Lugeac, pour ne pas emprunter la route de Saint Just, nous décidons de passer au dessus, par la Côte du Chausse. Bien mal nous a pris car, après la montée sur un chemin fraichement aménagé, le sentier en courbe de niveau a complètement disparu. Notre progression se fait dans des pâturages en pleine zone de paillats, en sautant de murs en murs. Le clocher de St Just apparait : nous sommes sauvés! Arrêt devant l’église romane du 12° dont les pierres rouges provenant du volcan de la Vergueur ornent la façade.
Eglise de Saint-Just-Près-Brioude
En bas du village, l’imposant Château du Mas se détache des champs alentour où les fleurs très nombreuses de pissenlits rehaussent le tableau.
Château du Mas
Nous abandonnons le Céroux que l’on a suivi pendant 8 km pour remonter sur Vazeilles par la Combe Ramade. Un petit troupeau d’ânes en mal d’affection se rapproche et se laisse caresser gentiment. Au départ, le sentier rocheux grimpe très raide et se prolonge une fois la montée finie, en un agréable dédale en courbe de niveau très reposant. Vazeilles dépassé, nous contournons le Bois de la Couelle pour rejoindre Lodines. Après, le parcours prévu dans le Bois des Ages parait compromis vu la configuration du paysage par rapport à la carte. Nous longeons donc le bois par des pâturages et gagnons le chemin qui mène aux Ages, où un vieux pont de pierres à trois arches inégales, admirablement conservées, enjambe le ruisseau de Courgoux.
Il nous reste le Pié Boutey à contourner et nous serons aux voitures. Un brave monsieur nous confirme qu’à partir de là, il n’y a plus de chemin et nous montre que notre destination, c’est tout droit dans le bois. Boussole en main, nous voilà partis : quelques arbres enjambés, quelques ronces contournées ou piétinées et quelques glissades réalisées, nous retrouvons enfin nos véhicules.
Journée bien remplie. Participants satisfaits des paysages mais contents d’arriver car, si la distance est restée correcte, le dénivelé s’est bien envolé et le hors piste a dépassé le soupçon. Merci à tous pour ce bel effort !
Animateur : Georges Nombre de participants : animateur compris 23 (12 F et 11 H) Météo : pluvieux le matin et nuageux l’après-midi sans pluie Terrain : humide et gras Distance : 18 km Dénivelé : 500 m Durée : 5h 30 Classement Atlas : facile Kilométrage auto : 84 km pour 3 voitures et 50 km pour 3 voitures soit 402 km Préparation et rédaction : 2 h
ITINERAIRE : Départ d’Orbeil, Beauregard, Perthus, Domaine de Vort, Domaine de Moidas, Béchaud, La Roche, Les Fougères, La Malcourtie, Barberie, retour a Orbeil.
Orbeil, point de départ de la rando avec une petite pluie intermittente. Nous empruntons le GRP autour d’Issoire une grande partie de la journée. Une petite incursion au village de Beauregard et nous descendons sur les berges de l’Allier qui, avec les pluies de ces derniers jours, a un fort débit. Nous quittons les berges de l’Allier en direction des domaines de Vort et de Moidas. La pluie ne nous a pas quittés et sur le plateau un petit vent n’arrange pas les choses. Nous arrivons au village de la Roche, il est l’heure du casse-croûte, un petit muret pour s’asseoir est le bienvenu.
Un monsieur nous propose gentiment de nous abriter sous son balcon en cas de grosse averse. La pluie a cessé, direction la bute d’Ibois.
Au sommet se dressait un château fort datant du 11° siècle, aujourd’hui disparu. La reine Margot y a séjourné quelques temps. Malheureusement nous n’avons pas trouvé de sente pour atteindre le sommet. Une descente nous conduit jusqu’au village de Chauffour et c’est le retour aux voitures.
Merci à tous malgré la météo, heureusement quelques rayons de soleil en fin de parcours.
Animateur : Yves Nombre de participants : 10 animateur compris ( 7 F, 3 H) Météo : journée ensoleillée Distance : 24 km Dénivelé : 550 m Durée : 7 H pauses comprises Classement Atlas : Facile Kilométrage auto : 140 km pour 2 véhicules soit 280 km Préparation et rédaction : 3 H
ITINERAIRE : Merlines, Pont de la Borie, PC647, PC621, PC601, Gare de Savennes, Le Moulin de Bardoire, La Randonnière, Feix, PC749, PC689, Gare de Savennes, Couleyroux de Gioux, Gioux, PC746, PC719, PC698, PC680, Merlines
Petite incursion en Corrèze ce matin au départ de Merlines, centre ferroviaire de grande importance de 1880 à 1952, au carrefour de deux grandes lignes Paris Bézier et Lyon Bordeaux.
Nous quittons ce petit village paisible par les gorges du Ruisseau de l’Abeille affluent du Chavanon. Le but du jour est de découvrir les Gorges du Chavanon, site grandiose, sauvage, profondément entaillé dans la roche, limite depuis des siècles entre l’Auvergne et le Limousin. Notre parcours rencontre rapidement un beau et large chemin, la taille des parois rappelle les vestiges d’une voie ferrée. Nous sommes sur l’ancien tronçon Bourges – Miécaze, crée en 1882 et fermé en 1950 suite à la mise en eau du barrage de Bort les Orgues. Nous sommes partis pour environ 8 km le long de cette rivière, bercés par le clapotis de l’eau et caressés par des rayons matinaux qui se frayent un passage à travers les hêtres.
Soudain, au dessus de nos têtes se découvre le magnifique viaduc du Chavanon à 100m au dessus de l’eau sur 300m de long, construit de 1997 à 2000 pour le passage de l’autoroute Lyon – Bordeaux. C’est le troisième pont suspendu de France après Tancarville et Aquitaine.
Viaduc du Chavanon
Compte tenu de la qualité du chemin, notre progression est rapide et nous arrivons très vite à proximité de la Gare de Savennes où nous découvrons les Fours à Chaud de Gioux. Le calcaire appelé cipolin, par cuisson dans ces fours fournissait de la chaux pour la construction et le chaulage des terres, l’activité ayant pris fin avec l’arrêt de la ligne. Nous voici à la gare, le beau chemin s’arrête. Nous continuons toujours le long de cette rivière qui s’enfonce dans cette vallée avant la confluence avec la Dordogne. Le sentier devient plus étroit, plus escarpé et plus sauvage, nous entrons dans un site Natura 2000 où plusieurs tunnels servent de gîte à de nombreuses espèces de chauve-souris dont une majorité de Barbastelles.
Sortie d’un tunnel
Au Moulin de Bardoire, nous sortons des Gorges, la pente est raide, la sente peu marquée, la faim se fait sentir. C’est fait ! On est en haut. Nous apercevons les toitures du hameau de la Randonnière et un étrange bâtiment en bois qui aiguise notre curiosité. Nous nous en approchons et nous découvrons un imposant observatoire du brame du cerf, ouvert au public depuis peu.
L’observatoire
Le chemin d’accès délimité par un tressage de gaulettes de châtaignier a été aménagé par les élèves en Bac Pro du lycée agricole de Rochefort Montagne. L’endroit est sympathique. Nous y prenons notre pique-nique.
Jusqu’à la Trapperie, nous nous déplaçons sur le plateau avec vue sur le Sancy où la neige, avec ces journées ensoleillées a pratiquement disparu. Plongée sur le Chavanon que l’on traverse cette fois à la Gare de Savennes ou d’autres fours à chaud sont au bas de la pente. Remontée sur Gioux par le Puy de Ragaury, sentier caillouteux avec quelques “coups de cul” mais sous un soleil radieux.
Retour tranquille sur Merlines pour clôturer cette journée très agréable.
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