Les bienfaits apportés par la marche nordique sont consultables sous l’onglet Marche Nordique du site. Chaque semaine les informations sur l’activité sont enregistrées sur le répondeur dédié 0473257706. le lundi pour le lundi soir et le mardi soir et le vendredi pour le samedi matin.
En semaine, les séances se déroulent au stade Leclanché à partir de 18 h 30 en alternant une semaine sur 2, le foncier et le fractionné. Le lundi, 5 tours de 1 km 200 sont effectués soit au total 6 kilomètres, le mardi 6 tours soit 7 km 200. L’objectif est d’amener les participants à marcher à une moyenne de 6 km/h.
Le samedi matin sur le site des eaux de Volvic principalement ou au Parc de Montjuzet, deux allures sont proposées : allure modérée jusqu’à 6,4 km/h sur une distance d’environ 10 kilomètres et allure soutenue à partir de 6,6 km/h sur une distance d’environ 13 kilomètres.
Statistiques du 1 marsau 30 avril2023.
Les lundis et mardis Nombre de séances réalisées Lundi : 6 Mardi : 7 Nombre de séances annulées : 1 Types de séances Fractionné : 4 (lundi) 3 (mardi) Foncier : 2 ( lundi) 4 (mardi)
Nombre de participants Lundi : 68 dont 41 femmes et 27 hommes Mardi : 53 dont 21 femmes et 32 hommes Total : 121 dont 62femmes et 59 hommes Animateurs : Mady, Christian, Michel J,
Les samedis Nombre de samedis :5 Nombre de séances annulées : 2 Allure Modérée : 5 Soutenue : 2
Nombre de participants : 38 dont 19 femmes et 19 hommes Animateurs : Mady, Christian, Michel J, Sébastien
Animateur : Michel J Nombre de participants : 9 ( 5 femmes et 4 hommes ).
Le mot de l’animateur : cette rivière reste surprenante. L’ayant parcourue à maintes reprises, la descente est chaque fois différente. Le débit d’eau modifie complètement l’aspect du lit. Une année, on passe à droite, l’année suivante, la difficulté se passe à gauche, les bancs de sable ont disparu ou changent de place. A chaque fois, c’est comme une nouvelle rivière ! Même la faune se plaît à nous dérouter, on l’attend là, et cette année, elle est plus dense en aval ou en amont de tel point repéré les saisons précédentes. Et que dire des visiteurs ailés, toujours plus nombreux pour le bonheur des « pagayeurs ». A souligner, les deux oiseaux un peu plus rare rencontrés, le balbuzard à deux reprises et la dizaine d’ œdicnème. Devant l’intérêt des participants, j’ai constitué à partir de données trouvées sur internet ou dans ma bibliographie une liste des oiseaux les plus vus avec quelques détails permettant de les identifier facilement. Cette rivière est d’une beauté et d’une richesse extraordinaire, dommage que les hommes n’en prennent pas assez soin ! Je tiens une nouvelle fois à remercier, Daniel, Luc, adhérents, et Anne-Marie qui nous ont apporté leur soutien pour la dépose et la récupération des participants. Sans eux pas de séjour linéaire possible !
Météo : les prévisions incertaines au moment du départ se sont révélées changeantes au fil des jours. Ce qui a été constant c’est la fraîcheur. Les quelques rayons de soleil, les deux derniers jours ont été fortement appréciés. Le vent a été orienté au Sud au départ virant au Nord-Ouest puis à l’Ouest au cours des quatre jours. Quelques rafales sur la fin ont ralenti notre progression par moment. La pluie nous a accompagné le samedi après-midi, s’interrompant le temps de la mise en place du bivouac. Les autres jours, quelques gouttes le dimanche dans un ciel très nuageux.
Niveau d’eau : contrairement à l’an passé, nous avons bénéficié d’un volume d’eau plus important. Pour mémoire, j’ai relevé les débits suivants : samedi 22 avril, Vichy St Yorre à 12h00 : 64 m³/s dimanche 23 avril, Châtel-de-Neuve à 11h55 : 79,2 m³/s lundi 24 avril, Moulins à 10h00 : 83,8 m³/s mardi 25 avril, valeur de la station la plus proche de notre point d’arrivée Cuffy (Pont du Guétin) à 14h00 : 83,2 m3/s
Classement : facile mais cela reste de l’aventure avec des paramètres imprévus qui nécessitent une forte adaptabilité, une écoute, un équipement sérieux et de la bonne humeur. Conditions de navigation : bonne avec une rivière qui a utilisé toute la largeur de son lit à partir de Moulins. Kilométrage parcouru : 120,6 approximativement Les données ont été fournies par une montre GPS de marque Garmin. Heures de navigation sur le séjour :14 h 50 Vitesse moyenne de progression sur les 4 jours : 8,40 km/h (environ)
Matériel mis à disposition par l’association : – 3 canoës canadien de marque Venture modèle prospector 17 – 1 canoë canadien Nova Craft prospector 17 – 1 canoë canadien Old Town camper – équipement complémentaire pour les canoës (4 pompes, 4 écopes, éponges, 5 cordes de 15 mètres, des mousquetons, 3 chariots) – pour les bagages, chaque participant avait à sa disposition un container de 60 litres et par bateau, un autre de 30 litres et un sac étanche de marque Zulupack pour 4 bateaux – pour le couchage individuel ou en couple 2 tentes Hardwear Montain, 1 tente Coleman Cobra, 1 tente Décathlon 900T (trois participants avaient leurs tentes personnelles) – 7 tapis de sol complémentaires Space Blanket (orange) – équipement pour les participants (9 gilets d’aide à la flottabilité, 9 pagaies et 2 de secours) – pour le transport des bateaux et containers : une remorque routière équipée de l’adaptation « canoë ».
Eau : chaque participant avait à sa disposition une bonbonne de 5 litres d’eau. Nourriture : prévue au départ par chaque participant et disposée dans les containers mis à disposition Accident : néant
Temps de préparation : 20 heures (découpage des journées de l’itinéraire, montage de la remorque, rassemblement et vérification du matériel, achat des bonbonnes d’eau, informations aux participants par mail et téléphone, compte rendu etc…)
Organisation générale : Transport: à l’aide de deux véhicules en co-voiturage, Anne-Marie (Citroën Berlingo) et Michel J (Renault kangoo) tractant la remorque nous sous sommes rendus au barrage de Vichy, lieu de la mise à l’eau. Le déplacement s’est fait en 1heure environ. Anne-Marie, Luc et Daniel sont venus le 25 récupérer le véhicule Kangoo et la remorque pour les acheminer à l’arrivée. Au retour, Daniel accompagnant Luc pour reprendre son véhicule resté en dépôt. Un grand merci à ces deux adhérents bénévoles et Anne-Marie qui ont permis par leur disponibilité que ce séjour se fasse. Kilométrage effectué par les véhicules : 482 km (Anne-Marie) ; 349 km (Daniel) ; 24 km (Luc) ; 326 km (Michel) soit un total de 1181 km. Hébergement : Les bivouacs en milieu naturel ont toujours été confortables dans un environnement exceptionnel.
Itinéraire : les faits marquants J1. La mise à l’eau s’est faite après le Pont Barrage de Vichy après un court « charriotage » le long de la rivière artificielle. A remarquer, l’amélioration à son extrémité du chemin conduisant à la rivière. Les bateaux chargés, les conseils et consignes rappelés, c’est le départ.. La passe rive gauche étant barrée par un arbre, il faut techniquement commencer par remonter à contre courant avant de gagner la partie centrale du cours d’eau et reprendre le fil de l’eau. Cette première étape franchie, la rivière va nous transporter petit à petit loin de l’agitation de la ville. La Boire des Carrès, espaces naturels sensibles, est laissée sur notre gauche puis c’est le double pont ferroviaire et routier qui est franchi. Une longue ligne droite nous amène à la grosse difficulté du jour, le barrage palplanche de Billy que l’on situe avant de le voir grâce à la forteresse féodale perchée sur le point haut, rive droite. Un repérage s’impose et la décision de le franchir par une petite ouverture rive gauche à la corde semble raisonnable compte tenu du débit. Le pont routier franchi, reste à trouver le meilleur endroit pour passer l’enrochement face à la cimenterie. La pluie redouble en ce début d’après-midi et après quelques kilomètres, je prends la décision d‘écourter la journée et d’installer le bivouac à l’occasion d’une éclaircie. La distance parcourue a été courte, à peine une vingtaine de kilomètres, nous nous rattraperons demain !
Chargement des canoës
Passage du barrage de palplanche
Coucher de soleil du samedi soir
J2. La veille, certains ont préféré dîner dans leurs tentes, d’autres sont sortis sous une bruine pour manger rapidement avant de retrouver le duvet douillet. Une superbe éclaircie a permis à certains de ressortir de leur tanière pour photographier un magnifique couché de soleil. Le ronflement permanent venant de la cimenterie située à plusieurs kilomètres pourtant a bercé le sommeil. Le ciel au réveil est encore très chargé mais la pression n’est pas mauvaise 1010 hPa. Tout le monde est prêt pour un départ annoncé à 10h00. La vitesse de nos embarcations est bonne et sans forcer nous dépassons les 8 km/h. De jolis méandres, une faune omniprésente, quelques visiteurs surpris par notre passage, un chevreuil, un pic noir, cherchant à nettoyer un arbre moribond égaient la journée. Le Pont de Chazeuil passé, c’est bientôt le pont ferroviaire St Loup qui marque l’entrée de la réserve naturelle du Val d’Allier. A la sortie du virage suivant, sur la gauche, c’est la confluence avec la Sioule. Le plus important des affluents de l’Allier, long de 150 kilomètres, il prend sa source à proximité du lac de Servières, au nord du Puy d’Augère, entre le village de Vernines et le lac. Sans vouloir systématiquement, relater toute la faune rencontrée (liste transmise aux participants) je signale pour être rare, la rencontre à faible altitude d’un Balbuzard remontant le cours d’eau à la recherche de son mets préféré, un poisson. Les plus attentifs pourront de nouveau revoir ce bel oiseau, jour 3. Bien située pour les navigateurs, la chapelle Saint-Laurent de style roman du XIème siècle, rive gauche construite sur une butte signale que l’on approche de Châtel-de-Neuvre. Le pont routier franchi, nous nous installons sur l’espace pique nique à proximité. De longs méandres succèdent à des courbes plus serrées, l’érosion par la force de l’eau est bien présente et des effondrements récents visibles. Un pylône de ligne à haute tension au socle renforcé se rapproche dangereusement année après année du bord de la rivière. De nombreux amoncellements de branches et d’arbres occupent une partie du lit. Nous passons sous le nouveau pont qui enjambe l’Allier et où passent la nouvelle voie autoroutière A79 et deux lignes à haute tension plus loin, nous sortons de la réserve et installons le bivouac rive gauche sur une petite île à l’abri du vent. La navigation a duré 5h00 ponctuée de nombreuses pauses pour une distance couverte d ‘un peu plus de 43 kilomètres.
Photo du bivouac prise le dimanche matin à 06h40
J3. Après un bon petit déjeuner pris sous un ciel chargé et dans une fraîcheur constante, les consignes sont données pour passer la difficulté de la journée, le pont de Régemortes construit à partir de l’année 1750 et qui porte le nom de son constructeur. Infranchissable, nous le passerons rive gauche, côté passe à poissons. Avant je demande de faire attention à l’ancien pont de chemin de fer, transformé maintenant en passerelle pour les piétons et les cyclistes où subsiste en aval des pieux en fer. Nous prenons pied sur les nouvelles installations touristiques de la ville de Moulins avec emplacement pour l’été d’une zone de baignade. Par contre, pas d’amélioration pour le passage des canoës, il faut les faire dériver sous la première arche à la corde et toute l’équipe se relaie pour passer les containers et autres bagages et pour hisser les bateaux au-dessus d’un enrochement. Une fois les canoës sur le chariot, rechargés, il faut faire quelques centaines de mètres pour regagner la rivière sous les cris des sternes Pierregarin et Naine qui nichent sur l’îlot juste en face. Le nouveau pont franchi, nous quittons par le bras rive gauche, la ville de Moulins et petit à petit les bruits urbains s’estompent. Bientôt de nombreuses cigognes (déjà rencontrées J2) se montrent dans le ciel ou posées sur les berges à la recherche de petits vertébrés de toutes sortes, poissons, amphibiens, reptiles et mammifères. Une succession de zones, avant et après l’espace naturel sensible des Coqueteaux, avec des nids imposants pouvant pesés entre 70 et 100 kg font le bonheur des voyageurs. On peut compter jusqu’à 8, 9 nids sur un chêne immense. Ce sont de sacrés bâtisseurs ! Une multitude d’oiseaux sont visibles et accompagnent ces grands échassiers. Peu après le pont de Villeneuve-sur-Allier, nous entrons sur le département de la Nièvre et chaque nouveau virage fait apparaître de nouveaux résidents, une colonie d’hirondelles de rivage virevoltant, sortant et entrant de leurs cavités, trous horizontaux creusés dans les berges sableuses. Une pause rive gauche nous permet de remarquer des traces au sol où les griffes des pattes antérieures sont bien marquées. Elles conduisent de la rivière à une boire encombrée de branchages et à proximité un jeune arbre de 20 cm de diamètre environ, coupée. Avons nous découvert la cachette d’un castor ? A hauteur de Port Barreau sur une île abritée du vent, rive droite, par de jeunes peupliers, nous installons le bivouac. Nous avons parcouru un peu plus de 30 kilomètres en 3h30 aidés par une belle masse d’eau à 8,7 km/h. La nuit s’annonce belle.
Empreinte de castor ?
Beau travail !
J4. Hier soir, nous avons pu enfin dîner tranquillement dans un atmosphère moins humide permettant d’échanger sur de nombreux sujets et notamment, le bonheur de savourer et de partager cet instant dans cette nature où la rivière trace sa route sans contrainte. Avec ce beau niveau d’eau, il faut rester vigilant et j’encourage les participants pour affiner leur technique à se rapprocher des rives, à frôler la végétation, à passer sous les branches basses des arbres afin d’affiner et de maîtriser au mieux leur embarcation. Après avoir passé à la confluence, rive droite, du ruisseau de Beaumont et rive gauche du ruisseau de Beauregard, le pont du Veurdre se présente. Gros village avec sa maison de la batellerie où le groupe d’Atlas à vélo rando avait fait halte pour un pique nique la saison dernière lors du voyage Clermont-Ferrand, le Mont-Saint-Michel. Nous restons rive gauche tant que cela est possible afin d’éviter le vent d’Ouest sensible par moment. Les rencontres avec la faune continue et après le pont routier de Mornay-sur-Allier à hauteur de Mars-sur-Allier, de nouveaux nids de cigognes nous invitent à une pause et à écouter le craquètement, moyen de communiquer entre les adultes au moment de se remplacer sur le nid ou d’apporter de la nourriture. A cette période la ponte est réalisée, de 3 à 5 œufs qui donneront après 35 à 40 jours d’incubation, des cigogneaux. Les deux parents se relaient pour couver. Une dernière pause sur un îlot, quelques confidences échangées et c’est l’arrivée avec une vue magnifique sur Apremont et son château. Fin du voyage. Déchargement des bateaux, un peu de nettoyage et de rangement, chargement sur la remorque des 5 bateaux et tous ensemble avec l’équipe de récupération, nous prenons le pot de fin de séjour. A bientôt pour une nouvelle aventure !
Apremont vue de la rivière
Pot de fin de séjour
Pendant le trajet, nous avons collecté un gros sac de déchets plastique et verre qui seront triés et déposés dans les containers ad-hoc à Clermont.
Animateur : Fabien Nombre de participants : 6 (4F, 2H) animateur compris Météo : Couvert, fort vent, rafales sur les sommets. Terrain : Gras Distance : 24,5 km Dénivelé : 750 m Durée : 6 h 30 pauses comprises Classement Atlas : Facile Kilométrage auto : 34 km pour 1 voiture de Clermont soit 34 km et 1 voiture sur place Préparation et rédaction : 3 h 00
ITINERAIRE : Laschamp, Beaune le Chaud, Col entre Puys de Mercœur et Lassolas, Puy de Lassolas, Puy de la Vache, Cheires Hautes, Puy de Vichatel, château de Montlosier, PC1043, PC 1084
Depuis Laschamp, point de départ de notre balade du jour, nous empruntons un large chemin qui nous mène à Beaune le Chaud. Tout le long de ce chemin, le Puy de Dôme veille sur nous.
Depuis Beaune le chaud, direction le col entre les Puys de Mercœur et Lassolas. Le groupe affronte les premiers dénivelés de la journée pour atteindre ce col. Ce col atteint, nous prenons plein sud où une belle montée dans la pouzzolane nous amène au sommet du Puy de Lassolas.
Au sommet, le vent est fort et souffle par rafales, réduisant le temps d’observation.
Redescente du Puy de Lassolas pour remonter immédiatement et atteindre le sommet de son jumeau, le Puy de la Vache. Le lieu se prête parfaitement à quelques explications géologiques. Nous parlons donc de cratère égueulé, de lacs de barrages (en observant les lacs d’Aydat et de la Cassière), des différentes teintes de pouzzolane, etc. Nous prenons aussi le temps d’observer le panorama à 360 degrés.
Après être redescendu du Puy de la Vache, direction le dernier sommet de la journée, le Puy de Vichatel. Sur ce parcours, une grotte, la grotte de Ribbe Haute est pointée sur la carte. Nous nous amusons donc à la chercher. Nous ne la trouverons pas mais sa recherche nous aura permis de bien jardiner dans les Cheires Hautes et de faire du hors-piste non prévu mais apprécié de tous. Une fois revenu sur le bon chemin, nous cheminons jusqu‘au sommet du Puy de Vichatel, lieu de notre casse-croute. Le vent est fort au sommet et nous nous abritons dans la partie boisée du sommet. Une fois rassasiée, nous ne nous éternisons pas car, même à l’abri, le vent se fait bien sentir et nous redescendons. La 2éme partie de notre balade consistera à rejoindre tranquillement notre point de départ. Nous passons devant l’étang de Montlosier puis le château du même nom. C’est le moment d’évoquer le Comte de Montlosier et toute son œuvre dans ce secteur (défrichement, reboisement, restauration de sol), à l’origine de l’apparence actuelle du lieu. Le retour au point de départ s’effectue sans encombres mais à bon train sur les larges chemins constitués par le GR.
Animatrice : Christelle Nombre de participants : 12 animatrice comprise (9F, 3H) Météo : J1 ciel gris avec des éclaircies, quelques petites averses J 2 temps dégagé le matin, couvert ensuite, quelques gouttes
Terrain : J1 Souple, quelques passages boueux Parcours J1 22.6 km, 805 D+ 630 D- 7 h 40 déplacement pauses incluses J2 23.5 km , 610 D+ 775 D- 7 h 20 pauses incluses Classement Atlas : Facile Kilométrage auto : 310 km x 3 véhicules Préparation et rédaction : 20 h 00
ITINERAIRES : J1 Départ Solignac sous Roche, GR 3 jusqu’à la côte d’Agnès, ruines d’Artias, Tarrier, Roche en Régnier, le Pichet, Chambeyron, St Pierre du champ. J2 Lou Gourmand, Villeneuve, Vacheresse, Uffarges, les Chaffoix, aller retour coulée de Bourianne, PC 925, La Faye, les Vignaux, Chalencon, Montager, Boubas, Solignac.
RECIT : Une fois de plus voilà les atlassiens regroupés au musée Quillot, heureux de se retrouver pour une nouvelle échappée ! Départ à 7 heures des 3 voitures, l’autoroute jusqu’à Issoire, puis de belles départementales qui nous permettent d’emblée de profiter de panoramas étendus sur les Puys, le Sancy et les vallons du Livradois. Arrivée 2 heures après environ à Solignac sous Roche accueillis par un ciel noir et une averse qui nous font craindre le pire pour le reste de la journée ! Nous entamons donc le parcours en tenue de pluie.
L’horizon n’est pas bouché pour autant et nous permet d’apprécier la belle vue sur les sucs du Meygal, le Mont Mezenc, les Monts d’Ardèche et bien d’autres. Malgré le ciel gris, les quelques rayons de lumière et le vert intense des prés nous offrent un joli tableau qui donne une belle sensation d’immensité que nous savourerons tout le week-end !
Le paysage forestier est bien agréable aussi, alternance de hêtraies sapinières et de groupes de grands pins sylvestres qui rappellent la grande dominance du terrain granitique. Sur cette première journée mention spéciale pour le sentier qui longe le ruisseau Lavaux (en contrebas du village de Lingoustre)
ainsi que le bois de Boursier où nous ferons un peu de hors-piste imprévu du fait de la disparition de certains sentiers pourtant annoncés sur la carte. Plaisir des yeux et révision de botanique également car la flore printanière est bien présente : anémone Sylvie, ficaire, populage des marais (famille des renoncules), coucou (ou primevère officinale), hellébore fétide, le célèbre pissenlit appelée aussi « salade de taupe » !….les jonquilles sont rares nous n’en verrons que dans quelques prés au cours du trajet. Coté patrimoine bâti, les ruines d’Artias, vestiges d’un château construit vers l’an 1000 (un des plus anciens du Velay).
Il ne reste vraiment pas grand-chose de l’édifice mais l’éperon rocheux sur lequel il a été construit offre une superbe vue sur la vallée et la jeune Loire qui vient de passer à Retournac.
Le site est très bien entretenu par l’association des Amis d’Artias qui propose aussi une petite exposition d’outils anciens, bravo à eux ! Quelques gradins et bancs sont les bienvenus pour le pique-nique. Nous repartons vers le Suc de Chaumont et le Mont Miaune, sommets emblématiques du secteur que nous n’avons pas le temps d’explorer. Sur notre chemin une carrière où l’on exploite la phonolite, cette roche sonnante que nous avions déjà trouvé sur d’autres sucs altiligériens. Puis nous trouvons un autre beau site, le village de Roche en Régnier et son donjon, seul vestige d’un château du 13ème siècle. Depuis la butte castrale encore un très beau panorama sur la vallée et les sucs. Roche était une commune prospère abritant une des plus importantes baronnies du Velay, on y trouve de belles demeures en pierre superbement rénovées et entretenues !
Ce qui est d’ailleurs le cas de la plupart des habitations croisées tout au long de notre parcours. Une fois de plus chapeau bas à toute cette région pour la préservation de son patrimoine ! Pour cette fin de première journée, nous reprenons un peu de hauteur pour approcher des 1000 mètres d’altitude et rejoindre Saint Pierre du Champ et l’auberge du Campos d’où l’on profite encore d’un immense panorama verdoyant !
En chemin vers le gîte…
Panorama depuis l’auberge.
Soirée, repas et nuit extrêmement agréables dans un lieu que tout le monde va garder en mémoire ! Grande gentillesse de nos hôtes, délicieuse nourriture, propreté et jolie décoration, tout y était ! On recommande vivement !
Ancien chemin réouvert pour accéder à la coulée
Après une nuit au calme et un copieux petit déjeuner nous voici reparti sous un ciel plutôt dégagé. Premier objectif du jour : la coulée de Bourianne (912 m alt).
Il y a 6 millions d’année, une coulée a parcouru plus de 5 kilomètres. Lors du refroidissement du magma, le tout s’est craquelé et par un phénomène physique complexe a abouti à la création de nombreux prismes. Pour finir, des soulèvements ont projeté ces colonnes formant cette longue coulée de blocs rocheux longue de 800 mètres de long sur 100 mètres de large. Je n’ai pas prévu sa traversée car l’ensemble est vraiment très chaotique et demanderait trop de temps ! Surprenant paysage avec en prime une belle vue étendue sur la campagne environnante ! Ce site mérite le détour ainsi que le joli village de Saint Julien d’Ance situé en contrebas (que je n’avais pas prévu faute de temps). Dans la partie haute, à hauteur des Chaffoix, un beau chemin bordé de jolis blocs a été réouvert, nous l’avons trouvé bien charmant ! Puis c’est reparti pour rejoindre le château de Chalencon 250 mètres plus bas. Une jolie descente avec de beaux points de vue sur le château et la vallée de l’Ance. Cette petite rivière prend sa source dans les monts du Forez. Classée Natura 2000, elle est bien appréciée des pêcheurs. Après cette belle descente dans la forêt, nous abordons le village médiéval de Chalencon (un autochtone nous a précisé que l’on prononçait « Chalenquon »). Petit hameau constitué de superbes maisons de pierre regroupées autour d’une vieille forteresse médiévale (visites possibles en juillet août) et d’une chapelle romane .Un site superbe autogéré par ses habitants depuis les années 80 dans une démarche de développement durable. Lieu de résidence d’un auteur régional Gilles Calamand et d’un sculpteur Paul Guillet. Nous passons devant la maison de ce dernier en allant au château, derrière les vitres de la pièce de vie nous apercevons une quantité impressionnante de sculptures …surprenant ! le site est également régulièrement le cadre de divers tournages.(très récemment celui de Louise Violet film d’époque dans lequel on retrouvera Alexandra Lamy). Autre point de visite incontournable, le superbe Pont du Diable que nous rejoignons dare-dare avant de pique-niquer car le temps se gâte ! On y accède par une petite coursière dallée (très casse-figure lorsque le sol est mouillé !!).En superbe état, il surplombe l’Ance qui passe 15 mètres en dessous et présente 2 beaux arches en plein cintre. La légende raconte que sa construction n’aboutissant pas, le diable aurait proposé ses services au seigneur de l’époque en lui réclamant en échange l’âme de la première personne qui traverserait. Bien pris qui croyait prendre, alors que le Seigneur, se sacrifiant, s’apprêtait à traverser il fût doublé par un chien qui se trouva donc être la fameuse première âme !
Nous nous serions bien attardés mais une petite averse nous a rattrapé dès la fin du pique-nique et du coup nous avons repris le chemin du retour rapidement ! nous empruntons de belles sentes dans une jolie hêtraie accompagnés de notre mascotte du jour, un petit chien qui ne nous lâchera pas jusqu’aux voitures (Nous avons d’ailleurs fini par appeler sa propriétaire) !
Sente le long du ravin du jugement
Nous passons un dernier hameau où nous admirons encore les belles bâtisses rénovées et échangeons une fois de plus avec un habitant ! Bravo la Haute-Loire pour l’accueil !! Tout au long du parcours plusieurs personnes ont gentiment échangé avec nous ! Arrivée à Solignac à 16 h, ravis de toutes ces belles découvertes, bien détendus par ces 48 heures de sport et convivialité et contents d’avoir échappé à la mauvaise météo annoncée ! Nous terminons de façon joviale avec une halte dans un bar de Craponne sur Arzon où l’on se souviendra du patron et son chapeau à la Frida Oum Papa ! Encore merci à tous !
Nombre de participants : dimanche 16 avril 2023 : 4 animateur compris (2 F, 2H). jeudi 20 avril 2023 : 5 animateur compris (2F, 3H)
Météo : dimanche ciel voilé avec un vent du nord ; jeudi ciel plus lumineux et température en hausse, vent du nord faible. Classement : facile
Matériel mis à disposition par l’association : – 3 kayaks de mer ; 2 Bélouga 1 de marque Plasmor dont l’un mis à disposition par l’animateur, 1 de marque Dag, modèle Miwok, 1 Fury de marque Kayman (bateau de l’encadrant). Le jeudi 20 avril, un nouveau kayak a été mis à disposition de marque Dag modèle Ysak. – équipement complémentaire pour les kayaks (jupes d’étanchéité, éponges, 1 cordelette de 10 mètres) – équipement pour les participants (gilets d’aide à la flottabilité, pagaies doubles et 1 de secours) – pour le transport des bateaux et containers : une remorque routière équipée de l’adaptation « kayak»
Organisation générale : Transport: à l’aide d’un véhicule en co-voiturage Michel J. (Renault kangoo) tractant la remorque. Kilométrage général effectué par le véhicule pour les deux sorties : 200 km
Niveaux d’eau : le plan d’eau était rempli correctement. Conditions de navigation : très bonne.
Kilométrage parcouru : le dimanche 16 km 600 et le jeudi 21 km 600 pour une durée de navigation respectivement de 4 h 20 et 4 h 50, données fournies par une montre de marque Garmin.
En remontant le Sioulet…
La but de ces deux journées étaient de faire découvrir cette activité mise en place depuis 2015 et de constituer un groupe maîtrisant la pratique et intéressé, dans un premier temps par la découverte sur plusieurs jours de grands plans d’eau intérieurs. Avec l’arrivée du cinquième bateau, il est possible de faire une voiture complète et d’organiser des séjours en autonomie à moindre coût.
L’adaptation et la recherche de la glisse n’ont pas posé de problème aux acteurs, la performance viendra petit à petit avec l’amélioration du coup de pagaie. Journée à renouveler afin d’augmenter le nombre de pratiquants. Préparation du matériel, rangement, nettoyage et compte rendu : 4 heures
Animateur: Georges Nombre de participants : 16 (9 F, 7 H) Distance : 18 km Dénivelé : 600 m Durée : 6 h 00 Météo : couvert le matin et quelques rayons de soleil l’après- midi Classement Atlas : facile Kilométrage voitures : 50 km pour 2 voitures et 82 km pour 2 autres soit 264 km
ITINERAIRE Départ de la source de la tête de Lion, reprise des voitures pour St Floret, chapelle du Chastel, Chazeras, Félines , Chapelle du Mont Carmel, Orphange, La Vigne Grande, pc 552, D 28, retour à St Floret.
Retour aux pays des Couzes pour cette rando de 18 km. La semaine dernière nous étions dans la vallée de la Couze Chambon et aujourd’hui c’est la Couze Pavin avec trois sites intéressants à voir.
Départ du parking de la source à la tête de Lion, située après St Floret sur la rive droite de la Couze. La tête de lion est constituée d’une roche appelée travertin, résultant du dépôt continuel de calcaire charrié par l’eau.
Retour aux voitures et second départ à St Floret, direction du site de Chastel et sa chapelle du Xlllème siècle . Son portail sud et ses deux chapelles latérales datent du XlVème, quant au clocher, il a été partiellement rebâti au milieu du XVlème. A l’intérieur, une vierge à l’enfant en marbre de Nonette et des peintures murales, malheureusement, nous n’avons pas pu y accéder. La chapelle est entourée d’un ancien cimetière conservant un ossuaire de forme pyramidale datant du lXéme et d’une profondeur de 5 mètres comblée d’ossements et de tombes rupestres anthropophages du haut moyen âge.
Direction le troisième site : la chapelle du Mont Carmel perchée sur un piton basaltique à 927 m d’altitude.
Elle date du XVlème siècle ( photo 6 ). Depuis le sommet, une vue à 360° sur la chaîne des puys, le massif du Sancy, la Couze Pavin et la Couze Valbelet. Après le pique-nique pris au sommet, retour à St Floret.
Merci à tous et à bientôt pour de nouvelles randos.
Animateur : Michel D. Nombre de participants : 07 animateur compris (4 F, 3 H) Météo : couverture nuageuse puis soleil (sol glissant) température 9° Distance : 49 km Dénivelé : 1020 m Durée : 6 h 50 Durée de roulage : 4 h 20 Moyenne : 12 km/h CLASSEMENT : technique : facile ; physique : moyen (allure modérée) Kilométrage auto : 0 Préparation et rédaction : 2 h 40
ITINERAIRE : Départ du parking camping-car du Panoramique des Dômes, Laschamp, parking Puy de la Vache, Maison du Parc, Récoleine, Olmont, Croix de Pialoux, Monteribyre, Pont d’Olby, Olby, repas de midi et réparation de crevaison, la Gardette, Mazaye Basse, Petit et Grand Chambois, les Amontées, Cheire de Côme, la Pierre Signée, remontée piste forestière jusqu’à la D559, piste forestière jusqu’au bac de Ceyssat, piste sous le Grand Suchet, Cime de la Plaine, le Traversin, sente vtt sous le petit Puy de Dôme et arrivée au péage, retour au parking auto.
Agréable sortie VTT sur pistes de la ‘’Boucle des Dômes’’ très roulantes qui se prêtent à merveille pour cette activité. Terrain humide, sortie menée à allure modérée. Le groupe était très homogène. Les participants d’aujourd’hui, avaient une bonne facilité sur ce parcours mis a part sur les dernières montées en raison d’un terrain très boueux.
Parcours de ce jour très rapprochant en longueur et dénivelé de ceux que nous rencontrerons sur le séjour de la Margeride. Nous avons subi 1 crevaison et quatre chutes sans gravité.
Animateur : Thierry Nombre de participants : 11 animateur compris (7 F, 4 H) Météo : Soleil Distance : 24,8 km (GPS) Dénivelée : 1043 m Durée : 7 h 45 pauses comprises Classement Atlas : Moyenne (reclassée car ascension Mont Chamaroux non prévue initialement)) Kilométrage auto : 160 km pour 2 véhicules de Clermont-Fd Préparation et rédaction : 2 h 00
Itinéraire : Le Saillant – Montagne des Hudes – Montagne de Courbières – Courbières – Pradiers – Les Pousadoux – les Reilles – buron de Paillasère Bas – col de Chamaroux – Mont Chamaroux – Le Saillant
Première rando de la saison dans le Cézallier (si on ne compte pas les randos hivernales de Michel). Saison propice car même si j’aime les vaches et les Salers en particulier, circuler à travers les estives du Cézallier est beaucoup plus simple sans la présence des bêtes. Pas de clôtures non plus à franchir et pour cause… Un grand terrain de jeu nous était donc proposé ce dimanche, arrosé d’un soleil généreux que le samedi ne nous avait pas laissé espérer. Nous partons du Saillant, petit hameau célèbre pour sa cascade d’origine volcanique que nous voyons de haut à l’aller. L’objectif est de gagner plus au sud Pradiers avant la pause méridienne. A cette fin nous profitons de la « disponibilité » des estives pour abandonner rapidement le chemin d’exploitation et taper pleine pente la Montagne des Hudes. 230 m de dénivelée pour nous échauffer donc. En nous retournant, on aperçoit au nord le Sancy bien enneigé.
Au sommet, le vent a vite fait de nous refroidir. Juste le temps de faire un peu d’orientation avec l’exercice carte-terrain et terrain-carte en prenant comme repère visuel le signal du Luguet à notre est /nord- est. Exercice à renouveler car les automatismes ne sont pas forcément encore là . De notre point haut nous devinons bien le cheminement jusqu’à Courbières – on ne voit pas Pradier caché par le petit plateau qui domine Courbières. On bénéficie également d’un beau point de vue sur tout le massif du Cantal lui aussi bien enneigé.
Petite occasion de faire de la lecture de paysage en nommant puys et vallées visibles. Cette vue à 360° sur les estives nous confirme bien la statistique qui nous dit que 80% du territoire agricole auvergnat est consacré à l’élevage. Un autre exercice sympa consiste à nommer tous les burons que nous voyons à l’est, à l’ouest et au sud, au-dessus de nous ou plus bas. Pas toujours simple. Nous sommes sur le château d’eau du secteur avec de nombreuses sources. Bien que marchant dans les estives, nous constatons que le terrain n’est pas aussi humide que prévu y compris quand nous traversons les zones humides dans le bas de la Montagne. Signe de la relative sécheresse qui commence à s’installer ? Nous rejoignons au PC 1187 le petit chemin d’exploitation qui nous mène à Courbières. Sur notre ouest, on admire le bois de Lorette, jolie et rare hêtraie du secteur. De Courbières, un beau chemin en balcon au-dessus du ruisseau éponyme nous amène à Pradiers comme prévu pour la pause pique-nique.
C’est un village aux maisons traditionnelles très bien restaurées. L’ensemble homogène en fait un village très coquet. Nous mangeons sur l’esplanade de l’église à la façade et aux joints refaits de peu… Pour conclure cette halte, je dégote un petit café-restaurant en contre-bas qui une fois n’est pas coutume dans nos randos nous permet d’avaler un petit café réconfortant. Parvenus au point le plus au sud de la boucle, il nous faut remonter au nord et nous confronter au vent du nord qui se renforcera un peu dans l’après-midi. A la différence de la matinée principalement en hors-piste, l’après midi nous fait remonter par un chemin d’exploitation un peu monotone.
Nous longeons à l’ouest la montagne de Pradiers jusqu’aux Reilles. Là, nous abandonnons le chemin pour viser la pointe nord d’une grande sapinière. Ce petit hors-piste nous fait monter rapidement de 150 m. Je me rappelle avoir bivouaqué non loin de là, à l’occasion d’une traversée hivernale du Cézallier. Nous rejoignons rapidement encore un peu plus haut le sentier des Vaches Rouges qui nous conduit au grand buron de Paillasère Bas.
Nous l’abandonnons peu après pour gagner le col de Chamaroux à 1291 m. Le beau dôme s’élève 180 m au-dessus de nous mais il semble bien lointain. Finalement les meilleurs d’entre-nous l’atteindront en seulement 20 minutes.
Un peu plus pour les derniers . Au pied du Mont, on trouve quelques timides jonquilles car la poussée commence à peine : on a bien senti dans la journée que le Cézallier sort à peine de son hiver. Le Saillant est vite rejoint en ligne quasi droite repérée lorsque j’étais au sommet. Nous sommes arrivés, encore tout étonnés d’avoir pu bénéficier d’une telle journée de soleil, de grand air et de somptueux paysages. Merci à Laurent pour ses belles photos.
Lieu : rivière Allier en Limagne Météo : température fraîche avec quelques éclaircies, vent de nord, nord ouest Débit : 44 m3/s
Kilométrage des voitures : 4 véhicules ont été utilisés pour le transport du matériel et des participants. 245 km
Deux sorties ont été programmées pour préparer les séjours 5 et 12 de la saison 2023. -le jeudi 06 avril sur un plan d’eau intérieur (voir compte rendu) -le samedi 15 avril en journée Distance du parcours : 21km 600 (données fournies par une montre de marque Garmin) Nombre de participants : animateur compris 10 (6F,4H)
Matériel mis à disposition : 5 bateaux, 3 Venture prospector 16 (association)et 1 Nova Craft prospector 16 (perso), 1 Old Town camper (perso.), 9 gilets d’aide à la flottaison, 4 sacs étanches de marque Zulupack et 5 bidons de 30l, 9 pagaies de marque Carliste et une de rechange. Les containers contenaient les affaires de rechange, les sacs étanches, le pique-nique. Les bateaux ont été chargés et chaque élément attaché au bateau par des mousquetons. Le débit moyen de la rivière ne présentait aucun risque.
Mise à l’eau à Joze, lieu nettoyé de la renouée du Japon par Atlas.
Composition des bateaux : – Régine et Sophie – Brigitte et Martine – Gwladys et Santiago – Denis et Gérard – Mady et Michel J.
Relation de la journée
L’objectif de la journée était de s’habituer à naviguer en groupe, de maîtriser le passage des différents obstacles et les mouvements de la rivière. Dans ce but quelques précisions ont été rappelées avant le départ et pendant la descente : observation du lit du cours d’eau, les contre-courants, l’inertie des bateaux, l’anticipation face aux difficultés (arbre, seuil, pile de pont etc.). Une embarcation a chaviré à deux reprises suite au manque de réactivité de l’équipage et la non prise en compte de l’inertie du bateau. Le deuxième chavirage a demandé un peu de temps pour récupérer le canoë dans le courant, coincé dans un amas de branches. Une pagaie non tenue a dérivé et a été retrouvée dans un contre-courant quelques centaines de mètres plus loin.
Cette descente s’est passée malgré tout dans la bonne humeur. Après 21 kilomètres et devant la menace d’une pluie imminente, nous nous sommes arrêtés en aval du pont de Limons où l’équipe d’assistance, Marie, Luc et Daniel est venue chargée de douceurs , thé, croquants aux noix, madeleine. Merci à eux !
L’équipe de récupération apporte le réconfort !
Préparation du matériel, rangement, nettoyage et compte rendu : 4 heures
Animatrice : Mady Nombre de participants : 16 animatrice comprise (9F, 7H) Météo : ensoleillée avec quelques nuages et un peu de vent d’ouest selon l’exposition Distance : 24,500 km Dénivelé : 750 m Durée : 7 h15 Classement Atlas : facile Kilométrage auto : 128 km pour 2 voitures de Clermont Fd, 60 km pour 2 voitures du Crest, soit au total 188km. Préparation et rédaction : 2 h30
ITINÉRAIRE : Champeix, Montaigut le Blanc, Les Bruyères, Ouest de Reignat, la Croix Blanche, Creste, Plateau de la Chaux, Prady, Reignat, traversée de la D631, Les Chérots, la Rougère, Champeix.
Depuis la place près de la mairie où nous avons le plaisir de rencontrer le 1er magistrat du bourg, nous traversons la Couze Chambon. Pour aller jusqu’à Montaigut , nous resterons rive droite de ce cours d’eau, avec d’’abord un sentier assez sauvage avant de trouver un chemin le long de la Couze, plus large et plus plat que nous suivons jusqu’à l’entrée de Montaigut le Blanc. A partir de là, le dénivelé commence. Nous empruntons le chemin du bal des fées. Nous ne rencontrons pas de fées mais Josette fait une belle trouvaille, une magnifique morille.
On a beau ensuite scruter avec plus d’attention le sol , on n’en trouvera pas d’autres. Seules les jacinthes parsèment les sous-bois. Le chemin serpente et nous fait progressivement gagner un peu d’altitude. Puis ce sont des grands espaces bien ouverts, sur lesquels les anémones pulsatilles commencent à fleurir et d’où l’on aperçoit le plateau de la Pineire, le massif du Sancy dans les nuages et légèrement enneigé, et face à nous au bout du plateau de la Chaux, Creste où nous montons.
Anémones Pulsatille
Perché sur un piton volcanique, le village est entouré des Pics de Montemoi et de la Roche Courbière, spots de vols à voile. La chapelle située en bout du promontoire et le petit jardin bien ensoleillé qui l’entoure nous invitent au pique nique.
Chapelle de Creste
Après celui-ci, direction du sommet de l’éperon rocheux où restent quelques pans de murs de l’ancien château du village pour vérifier si le panorama annoncé sur Internet est bien là. C’est bien le cas, vue à 360° ! On repart sur le plateau de la Chaux qui surplombe d’un côté la vallée de la Couze Chambon et de l’autre celle de la Couze Pavin.
Vue sur la vallée de la Couze Pavin
Descente par de larges chemins sur Reignat sauf une petite portion de hors piste sur le plateau. Avec le GR de Pays, nous retrouvons le couvert des bois lorsqu’il bifurque pour suivre le ruisseau d’Auzaurendat. Celui-ci comme beaucoup d’autres manque d’eau et nous n’aurons pas le plaisir d’entendre son gazouillis pendant cette descente plutôt sympa sur l’entrée de Montaigut.
Une succession de coteaux tantôt cultivés, tantôt arborés et nous voici dans le haut de Champeix et le site du Marchidial.
Ancienne église castrale
Le nom provient de l’ancien auvergnat, Marchidial désignant la place du Marché, marché souvent sous la protection d’un seigneur. Au XIIème siècle, le château fut la seconde résidence des dauphins d’Auvergne. Aujourd’hui, il subsiste la base du donjon circulaire roman et l’ancienne église castrale. Les nombreux passages et escaliers dévoilent une multitude de jardins soutenus par des murets de pierre sèche et nous permettent d’accéder au centre du bourg.
Descente vers le bourg…
Un détour vers le jardin des sœurs de St. Joseph inséré entre de hauts murs est décevant. La grille d’accès est fermée et ce n’est qu’à travers les barreaux que nous l’apercevons. Une boisson chaude ou fraîche et un partage de gâteaux (merci à Sophie et à Bénédicte) concluent cette journée. A bientôt !
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