Animateur : Michel J. Nombre de participants : 5 animateur compris (3F, 2H) Météo : soleil et douce chaleur. Vent du Sud-Ouest en rafales Classement : facile Préparation du matériel, rangement, nettoyage et compte rendu : 2 heures
Matériel mis à disposition par l’association : – 5 kayaks de mer ; 2 Bélouga 1 de marque Plasmor dont l’un mis à disposition par l’animateur, 2 de marque Dag, modèle Miwok et Ysak, 1 Fury de marque Kayman (bateau de l’encadrant). – équipement complémentaire pour les kayaks (jupes d’étanchéité, éponges, 1 cordelette de 10 mètres) – équipement pour les participants (gilets d’aide à la flottabilité, pagaies doubles) – pour le transport des bateaux : une remorque routière équipée de l’adaptation « kayak»
Organisation générale : Transport: à l’aide d’un véhicule en covoiturage Michel J. (Renault kangoo) tractant la remorque. Kilométrage général effectué par le véhicule : 110 km Niveau d’eau : le plan d’eau était presque à son maximum. Conditions de navigation : très bonne. Kilométrage parcouru : 21,400 km et 03 h 53 de navigation à la moyenne de 5,5 km/h environ pour un déplacement horaire de 6 h 03
Vers le Sioulet…
Une sortie était proposée aux adhérents de la liste « kayak » le lundi 12 août. Quatre étaient disponibles. La météo était excellente dès le matin, le vent s’est levé en fin de matinée avec des rafales créant des vaguelettes sur le plan d’eau demandant d’appuyer un peu plus sur la pagaie. La matinée a été consacrée à remonter le plus haut possible la branche alimentée par la rivière Sioule. Après le pique-nique pris tranquillement sous l’ombre d’un grand chêne sur la plage du Pont-du-Bouchet, nous partons vers le Sud-Ouest naviguant dans les méandres devenus très larges de l’ancien cours d’eau du Sioulet. Quelques bateaux à moteur pour troubler la quiétude du lieu et déranger les hérons cendrés qui poussent leur cri désapprobateur et changent de rives.
Un vrai bonheur cette sortie fraîcheur loin de la canicule clermontoise. L’objectif de la journée était de permettre de préparer dès maintenant la saison 2025.
Animateur : Michel J. Nombre de participants : 4 dont 1 femme et 3 hommes. Météo : frais et couvert les premiers jours plus ensoleillé sur la fin. Deux averses orageuses de courte durée les 14 et 15. Classement du séjour : facile Temps de préparation et de rédaction : 20 heures
Le mot de l’animateur. Inédit, ce parcours construit à l’aide de la carte Michelin départementale n°323 en utilisant au maximum les petites « blanches » et quelques kilomètres de chemins forestiers a souhaité associer une campagne qui a inspiré George Sand pour écrire ses romans champêtres relatant les conditions de vie des Français du milieu du XIXè siècle comme dans « La Mare au Diable », « François le Champi » et « Les Maîtres Sonneurs » entre autres. Ce dernier roman m’a permis de trouver la trame de cette itinéraire. Depuis plusieurs saisons, voir les comptes-rendus précédents, nous parcourons un territoire proche de la métropole de Clermont-Ferrand afin de découvrir des richesses naturelles et, ou, patrimoniales peu connues ou médiatisées. Sur le plan de la circulation, nous n’avons pas subi la pression des automobilistes, Christian ayant remarqué que sur une matinée, nous n’avions croisé qu’une seule voiture ! La contrepartie c’est de connaître la surprise d’être sur une départementale inachevée au nord de Treignat, la D 549 qui débouche sur un chemin en terre roulant au départ mais qui se poursuit en chemin herbeux avec ornières nous obligeant à mettre pied à terre. C’est d’avoir également, après le passage d’une petite rivière comme le jour 3, l’Igneraie, une montée courte mais avec un fort pourcentage L’Aventure avec Atlas ! D’un point de vue humain, chacun partageant une vision commune du voyage à vélo, basée sur la découverte, supportant l’imprévu, ne recherchant pas la performance, l’ambiance fut bonne et harmonieuse. Cinq jours de dépaysement un peu plus de 17 h 00 de roulage, un peu moins de 257 kilomètres vélos chargés sans compter les déplacements après installation, un peu moins de 2700 mètres de dénivelée positive.
Données techniques de l’itinéraire fournies par une montre Garmin, la distance parcourue ramenée à l’unité (D). Les dénivelés positifs (DP)et négatifs(DN), altitude la plus basse (AB), altitude la plus haute (AH)de la journée.
Les grandes lignes de l’itinéraire : Il s’est effectué sur petites routes à faible circulation, voies cyclables, chemins goudronnés et quelques kilomètres sur des chemins forestiers.
J1. D 53 km DP 758 m DN 532 m AB 179 m AH 482 m Reugny, Trillers, Huriel, Archignat, Treignat, St-Sauvier, St-Rémy, Préveranges. Soleil, chaleur douce accompagnée de quelques passages nuageux pour cette journée débutée à un peu plus de 100 kilomètres de Clermont-Ferrand à Reugny. L’itinéraire suit sur quelques kilomètres le canal déclassé de Berry en direction du Sud puis prend une franche orientation Ouest par des petites routes. Cette première journée est ponctuée de nombreux franchissements de ruisseaux et rivières notamment la Magieure et l’Arnon qui génèrent des cassures et un peu d’effort des participants. La pause à Huriel dans un jardin public original où la rhubarbe côtoie quelques simples nous permet de déjeuner à l’ombre du donjon de la Toque du XIIe siècle, vestige du château.
Donjon de la Toque
L’après-midi, avant notre arrivée au camping minimaliste de Préveranges, sera ponctué de la traversée de la forêt avec chemins herbeux et ornières qui nous ont obligés parfois à des détours en sous-bois où seules les araignées d’eau semblent s’épanouirent. Itinéraire à ne pas recommander pour des voyageurs pressés. En arrivant à Préveranges, nous sommes passés du département de l’Allier à celui du cher après une brève incursion dans le département de la Creuse.
J2. D 54 km DP 722 m DN 951 m AB 194 m AH 489 m Préveranges, St-Priest-la-Marche, le Marembert, Vijon, Belfast, Ste-Sevère-sur-Indre, Ligny, Pouligny-Notre-Dame, Mongeneix, Le Montet, La Châtre, Montgivray. Réveillés par les chants de plusieurs sortes d’oiseaux et notamment celui répétitif des ramiers, c’est sous un franc soleil que nous démarrons notre parcours. L’itinéraire comme la veille est prévu vallonné et les muscles des participants ne me contrediront pas. L’enregistrement des journées sur la montre de Christian fait merveille et l’on peut prendre des chemins prévus goudronnés ou non, sans hésitation et avec précision. Chemins bien sûr absents sur la carte au 100 000 de Michelin et ajoutés au stylo sommairement sur le support par l’animateur. Tradition et technologie sont complémentaires.
Petite route bordée par un châtaignier en fleurs
Contrairement à la veille, le terrain est plus sec, moins de mares et d’étangs. Le bocage reste omniprésent. Les châtaigniers en fleurs et de grands chênes sont inclus dans les haies, ou épargnés par le remembrement, trônent isolés ou en petit groupe de deux ou trois au milieu d’un champ. Le paysage change. Les grandes cultures de céréales où la moisson est en cours se mêlent à des pacages bien délimités par les haies. L’eau est encore bien présente et les dernières pluies régulières ont gonflé ruisseaux et rivières et notamment l’Indre que nous traversons à St-Priest-la-Marche à proximité de sa source dans les Monts de Saint-Marien à 410 d’altitude.
Franchissement de l’Indre
Le ravitaillement du midi nous permet de découvrir la petite ville de Ste-Sévère-sur-Indre d’un peu moins de 800 âmes, sa vieille halle du 17ème siècle, sa porte fortifiée du 15ème. Outre ses monuments historiques, la notoriété de la ville vient du tournage du premier long métrage de Jacques Tati en 1947 « Jour de Fête ». La faune n’est pas absente de notre périple pour l’œil qui quitte un court instant la voie asphaltée ou en terre, la buse en attente sur une botte de paille, la pie-grièche installée sur un fil téléphonique observant ces drôles de voyageurs, des hirondelles chassant les insectes sur les points d’eau, des hérons surpris décollant du bord d’une marre, différents passereaux… En fin de journée, visite du bourg de la Châtre dans le département de l’Indre et dégustation d’une bière bien fraîche après l’installation au camping de Montgivray au bord de l’Indre. Le camping porte le nom de la fille de George Sand, Solange connue pour ses aquarelles et son goût pour la peinture.
J3. D 63 km DP 518 m DN 558 m AB 150 m AH 274 m Montgivray, Nohant, Verne, Les Dijeux,Verneuil-sur-Igneraie, Bretagne, Les Septs Chemins, St-Christophe-en-Boucherie, Rezay, La Vieille-morte, Ids-St-Roch, Morlac, Marçais, Orcenais, Nozières, St-Amand-Montrond. Après un peu moins de 8 kilomètres, nous arrivons après avoir traversé l’importante D942, au domaine de George Sand à Nohant. Les vélos posés, nous déambulons dans le hameau entre le château où vécut une grande partie de sa vie et mourut le 08 juin 1876 l’autrice, et le cimetière. Malheureusement la visite des lieux de vie de George Sand, proposée en option n’est pas possible car les horaires d’ouverture sont incompatibles pour des voyageurs à vélo ayant encore de nombreux kilomètres à parcourir dans la journée. Après cette pause dans cet endroit emprunt d’une grande quiétude, nous reprenons la route dans une direction grossièrement Est avec un profil moins tourmenté, plus roulant. Nous traversons de jolis villages un peu loin de tout et du bruit. La campagne est belle, les chaumes d’un jaune vif contrastes avec les délimitations vertes des champs. Nous franchissons un grand axe routier secondaire la D940 au village de St-Christophe-en-Boucherie et en profitons pour faire une pause, attirés par la boulangerie grande ouverte. Nous nous laissons tenter par la spécialité locale « un pain béni » gourmandise consistante qui nous permettra de tenir sans problème jusqu’au pique-nique. Quelques kilomètres plus loin, le département du Cher nous accueille. En milieu d’après-midi, un fond sonore s’entend, le terme de la journée n’est pas loin. Nous passons l’autoroute A71 où de nombreux vacanciers en rangs serrés se dirigent vers le Sud accompagnés d’une noria de camions. Quelques détours volontaires et prévus pour entrer tout en douceur dans la plus grande ville de notre périple St-Amand-Montrond, fin d’étape. Installés, nous subissons une averse orageuse de courte durée. Retour en ville pour faire quelques courses et profiter d’un espace convivial pour se rafraîchir à une terrasse, confortablement installés.
J4. D 65 km DP 577 m DN 573 m AB 152 m AH 371 m St-Amand-Montrond, Braize, St-Bonnet-Tronçais, Etang de Salous, le Brethon, la Bouteille, le Grand Villers, Meaulne, Urçay. La journée est consacrée à la découverte des grands arbres de la forêt domaniale de Tronçais. Nous quittons St-Amand en suivant sur quelques kilomètres le canal de Berry puis nous nous orientons Sud Est vers le domaine forestier de 11000 hectares restauré, planté voire semé à l’initiative de Colbert ministre de Louis XIV pour former une réserve de bois pour les chantiers de marine. Aujourd’hui, les chênes d’exception sont utilisés pour la création de tonneaux de cognac ou de grands vins, l’ébénisterie ou, avec les bois les moins nobles, le chauffage. Nous arrivons rapidement sous un ciel chargé à Braize, connu pour sa foire aux ânes et notamment l’âne du Bourbonnais. C’est également une des portes d’entrée de cette célèbre forêt. Nous sommes de nouveau dans le département de l’Allier. L’idée est d’utiliser les chemins forestiers ou sentes pour aller à la rencontre des chênes les plus remarquables dénommés « la Sentinelle », « les Jumeaux », « Stebbing 2 » et la futaie de Colbert. Un petit mot sur chacun de ses arbres remarquables, il y a tant à dire…La Sentinelle : je suis né à la fin du XVIème siècle en 1580 et je suis le plus gros chêne de la forêt. Je suis installé d’où mon nom, sur une limite de la forêt Royale. Je suis classé et j’abrite une espèce protégée « le Grand Capricorne ».
Le hêtre “Sentinelle”
Les Jumeaux : nous sommes deux frères nés sur une même souche et avons une circonférence de 5,10 m et une hauteur de 25 m, l’un de nous est à terre et moi encore debout, je suis en fin de vie Le Stebbing II : j’ai presque 400 ans et je suis en pleine forme. Je suis le plus grand de la forêt avec mes 36 mètres et ma circonférence de 5 m 90 me permet de m’accrocher au sol…
Le hêtre Stebbing II
Avant d’atteindre ce dernier chêne, nous avons pu voir et observer traversant le chemin, une maman martre avec deux petits qui l’un derrière l’autre sautaient d’un arbre couché à un autre, sans se soucier de notre présence. Moment rare ! Après avoir suivi l’étang de Tronçais nous optons et nous installons en faisant un léger détour à l’étang de Saloup pour le pique-nique. Petit à petit le massif forestier s’estompe derrière nous. Le bocage reprend sa place et nous glissons par palier jusqu’à la rivière l’Aumance qui file vers le Nord et nous servira de main courante jusqu’à Meaulne, normalement fin de l’étape du jour. Arrivés au bourg, les panneaux indiquant le camping semblent quelque peu défraîchis. Le camping est fermé malgré sa présence au moment de la préparation du séjour sur internet. Pas de problème, Google est interrogé par Patrick qui trouve à quelques kilomètres au Nord un camping à Urçay. Un peu de ravitaillement au bourg et nous prolongeons notre journée de quelques kilomètres en suivant le canal de Berry sur une piste cyclable fraîchement ouverte.
J5. D 22 km DP 72 m DN 42 m AB 162 m AH 215 m Urçay, Grand-Fond, Vallon-en-Sully, Reugny Nous reprenons vers le Sud, cette partie de canal ouvert et non encore matérialisé comme voie verte sur les cartes. La végétation par endroit est envahissante et les ronces progressent sur le goudron mais nos pneus « Schwalbe » ne craignent pas le défi… Le canal déclassé a sur de courtes distances disparu absorbé par le passage d’une route, quelquefois l’eau n’est plus présente, une végétation dense et inextricable ayant pris sa place. Les écluses ne fonctionnent plus, des portes verticales régulent plus ou moins le mouvement de l’eau. Nous avons roulé à bonne allure sur cette voie rectiligne sans obstacle.
Bientôt la fin du voyage….
Au moment de prendre la route pour regagner Reugny, je suggère la visite du musée du canal de Berry. Beaucoup d’informations sur l’historique, la vie des mariniers, la technique des écluses, la création d’étangs et l’acheminement de l’eau pour maintenir le canal navigable. Une heure et demie de découvertes où l’on peut se rendre compte que la vie était rude pour les femmes, les hommes et les enfants dans la première partie du 19ème siècle. Hébergement : sous des tentes dans des campings sympathiques et accueillants Accident :néant Problème mécanique : aucun Matériel mis à disposition : 2 tentes de marque Décathlon, modèle 900MT, 1 remorque « Bob ».
Animateurs : Michel J et Pierre Nombre de participants : 8, animateurs compris (6F, 2H) Météo : nuageux le matin, couvert l’après-midi. Température de 14 à 20°. Terrain : chemins localement boueux voire inondés. Distance : 20,5 km Dénivelé : 700 m Durée : 7h00 pauses comprises Classement Atlas : Facile Kilométrage auto : 96 km pour 2 véhicules Préparation et rédaction : 4h00
Itinéraire : Chadrat, Montagne de la Serre, Les Moulèdes, Les Marthes, Cournols, Le Mas, Ponteix, Mont-Redon, La Malodière, Chapelle Sainte-Anne, Chadrat.
Cette randonnée était animée par Pierre dans le cadre de sa formation au brevet fédéral F d’animateur et avait Michel pour tuteur.
La météo annoncée pour la journée était assez variable avec une probabilité d’averses dans l’après-midi. Le ciel est chargé dès le début de la randonnée. Après une légère montée en direction du sud, nous passons près d’une croix cernée de coquelicots. Le temps de ce début d’été est très humide avec des températures plutôt printanières et la végétation en profite allègrement.
Nous voyons aussi beaucoup de jolis papillons dont des demi-deuils.
Papillon demi-deuil
A la suite d’une descente et de la traversée de la D213 et de la D8, nous attaquons la première montée un peu sérieuse en direction du sud-ouest. Après un portillon, le chemin est un peu envahi par les herbes. Puis nous tournons à droite à hauteur d’un peuplier noir qui avait été taillé dans le temps en « têtard » ou en « trogne ». Cette taille consiste à couper court les branches afin d’obtenir selon les espèces des rejets, du bois d’œuvre, du compost… Au sortir du chemin, nous effleurons Cournols où une procession religieuse est donnée et nous dirigeons vers le site appelé le dolmen de la Grotta ou dolmen des fées. Ce site, constitué à l’origine de 13 dalles appelées orthostrates dont 9 subsistent aujourd’hui remonte au néolithique. L’une des dalles de couverture est faite de trachyte venant du Mont-Dore. Ce sera le lieu de notre déjeuner.
Le dolmen de la grotta
pique-nique au Sarrou
Au redémarrage, direction ouest, puis nord. Un peu avant d’arriver au lieu-dit Le Mas, nous optons pour un joli chemin empierré. Après quelques dizaines de mètres, un ruisseau emprunte aussi notre itinéraire. Au début assez léger, le débit de l’eau va en augmentant. Il nous faudra faire preuve d’équilibre pour ne pas (trop) nous mouiller les pieds. Les orages du vendredi précédent en sont les responsables.
Chemin noyé
Après la traversée de la D213 et du Ponteix, nous entamons la montée en aller-retour du Mont-Redon où quelques ruines d’un château médiéval sont encore visibles. A la descente en direction de l’est pour revenir vers Chadrat, un peu de hors-piste. Avant d’arriver à la chapelle Saint-Anne, qui était plus un lieu de repos pour voyageur qu’un lieu cultuel à ses débuts, nous goûtons les fruits d’amélanchiers en bordure de champ. Les fruits comestibles sont petits, de la taille d’un cassis, et ont un léger goût de poire (appelée « poire sauvage » au Canada) et d’amande. On peut en faire des confitures. Un peu avant d’arriver aux voitures, les grandes orchidées bouc en bordure de chemin sont nombreuses en ce moment et connaissent un beau développement.
Orchidée bouc
Le ciel aura tenu jusqu’aux voitures et comme l’aura dit Liliane, ce fut une randonnée « Au fil de l’eau ».
Animateur : Michel J Nombre de participants : 5 animateur compris (3F, 2H) Météo : mercredi, couvert avec quelques averses de courte durée, jeudi nuageux et des rayons de soleil en milieu de journée, vendredi couvert avec un vent au Nord. Classement : facile Matériel mis à disposition par l’association : – 5 kayaks de mer ; 2 Bélouga 1 de marque Plasmor dont l’un mis à disposition par l’animateur, 2 de marque Dag, modèle Miwok et Ysak, 1 Fury de marque Kayman (bateau de l’encadrant). – équipement complémentaire pour les kayaks (jupes d’étanchéité, éponges, 1 cordelette de 10 mètres) – équipement pour les participants (gilets d’aide à la flottabilité, pagaies doubles et 1 de secours) – pour le transport des bateaux et containers : une remorque routière équipée de l’adaptation « kayak»
Transport: à l’aide d’un véhicule en covoiturage Michel J. (Renault kangoo) tractant la remorque. Kilométrage général effectué par le véhicule : 174 km Niveau d’eau : maximum. Conditions de navigation : très bonne. Kilométrage parcouru : 54,81 km sur les 3 jours à la moyenne de 4,7 km/h.
Préparation du matériel, rangement, nettoyage et compte rendu : 10 heures
Le mot de l’animateur : Ce séjour devait se dérouler sur 5 jours et permettait de visiter deux des grands plans d’eau artificiels sur le cours de la Dordogne, le barrage de Bort et le barrage de l’Aigle. Les conditions météorologiques et le niveau d’eau en ont décidé autrement. Par précaution, connaissant le second plan d’eau très encaissé avec des berges difficiles d’accès, une météo annoncée médiocre et une température fraîche, j’ai décidé en accord avec les participants d’écourter notre escapade…
Relation des faits : Il est presque 11h00, lorsque l’on glisse les bateaux à l’eau après un transport routier ponctué de quelques averses. Les bateaux équipés de large coffre étanches sont chargés avec tout le matériel, la nourriture et l’eau pour être en complète autonomie. Nous accueillons deux nouveaux en séjour, Marie et Pascal, ayant déjà pratiqué le kayak sur la journée. Ce plan d’eau est vaste, 10,72 km² soit 1072 hectares d’une longueur de 21 kilomètres et une largeur maximum de 1,5 kilomètres. C’est le 4ème barrage de France avec une profondeur moyenne de 30 m et maximum de 110 m. Il est orienté grosso modo, Nord Sud avec plusieurs branches à l’Est et à l’Ouest. Sa construction a débuté en 1941 et la mise en eau a été réalisée seulement en 1952 suite à des problèmes liés à la géologie du lieu. Son alimentation, rive droite et rive gauche par des rivières et ruisseaux est multiple. Citons les plus importants, la Dordogne, la Mortagne, le Chavanon, la Burande, le Rigaud, le Dognon, le Lys. Malgré le temps maussade, le groupe est motivé et nous apprécions de pouvoir côtoyer de très près la végétation et pour les plus expérimentés de pouvoir se faufiler entre les arbres. L’idée pour cette première journée est d’aller vers le Nord afin de gagner la confluence entre le Chavanon et la Dordogne puis de remonter au maximum les deux cours d’eau. Arrivés au Pont d’Arpiat, il faut se rendre à l’évidence. Le projet s’avère infaisable pour la bonne raison que les trois buses de grands diamètres passant sous la route et permettant l’écoulement des deux rivières sont complètement sous l’eau. Habituellement, la Burande qui rejoint la Dordogne en aval du pont est peu navigable mais cette fois nous pouvons pousser nos bateaux sur 400 à 500 mètres en amont, arrêtés seulement par la végétation ennoyée qui nous refuse le passage. De retour au Pont D’Arpiat, nous débarquons sur un court chemin conduisant à la route D73A, histoire d’observer le mouvement d’eau en amont de l’obstacle. Petit clin d’œil au groupe qui à vélorando a descendu la Dordogne de la source à l’estuaire de la Gironde en 2021. Nous étions passés sur ce pont pour gagner un camping à la ferme à Arsac, très spartiate ! Après avoir échangé sur la hauteur d’eau avec un autochtone et absorbé le pique-nique, nous reprenons notre navigation en longeant la rive droite vers le Sud. Pas de bruit si ce ne sont les cris des Milans noirs et de quelques passereaux cachés dans la végétation surpris par notre présence. Après un peu plus de 3 kilomètres, nous arrivons à hauteur de l’ancien Prieuré de Port-Dieu appelé prieuré de Trappes occupé dans le passé par des bénédictins. Il dépendait de l’abbaye de la Chaise-Dieu. Puis après la petite anse du ruisseau de Combrailles, nous abordons un défilé d’une trentaine de mètres de large bordé de rives abruptes boisées densément. L’espace s’ouvre de nouveau et j’opte pour traverser et rejoindre la rive gauche et aller poser le pied à la Grange Haute. L’espace est composé d’un espace verdoyant avec un plan incliné pour la mise à l’eau des bateaux, quelques bâtiments sans doute anciennement à vocation agricole, quelques caravanes à demeure sans grosses infrastructures, cela fait penser à un pied à terre à l’ancienne. Après avoir dépassé un joli mouvement de terrain côté à 612 m d’altitude, inabordable nous retraversons en ligne directe pour passer rive droite afin de trouver un lieu pour installer le bivouac. Du fait du niveau d’eau, les berges sont inaccessibles, les arbres, aulnes, chênes, saules, bouleaux ont les pieds dans l’eau et les basses branches commencent à souffrir de ce trop d’humidité. Après quelques recherches peu satisfaisantes, une mise à l’eau herbeuse nous attire avec un couvert composé de chênes. Le débarquement se fait en douceur et après le déchargement et la mise au sec des bateaux, nous installons notre campement. La journée a été ponctuée de mini averses et après un début de soirée sans pluie, nous prenons le dessert dans les tentes. La pluie rythmera notre sommeil toute la nuit.
Au petit matin, l’ambiance est vaporeuse, les tenues de kayak sont humides mais la température reste douce et après un petit déjeuner copieux qui doit tenir au corps, nous reprenons l’exploration vers le Sud. Deux participants ayant une expérience de la Guyane font des rapprochements avec l’humidité et l’ambiance végétale de ce département. Au toucher, l’eau nous paraît chaude… Chacun à son rythme, les kayaks se dirigent vers le Sud en suivant la rive droite, pas de bruit, le chant des oiseaux nous accompagnent. Bientôt sur un promontoire rive gauche entouré par une haute végétation où nous pouvons observer pendant un long moment, les ruines du château de Thyrières, ancien château fort du Xème siècle ayant appartenu à Catherine de Médicis qui a gouverné une partie de la Haute Auvergne. Après avoir dépassé, l’avancée rocheuse de Thyrières, nous découvrons sur notre gauche le site du Château de Val qui fera l’objet d’une longue pause un peu plus tard. Le lieu dit Outre Val passé nous suivons une berge très pentue puis sur notre droite s’ouvre une anse étroite où nous nous engageons et que l’on remonte au maximum attirés par un fort bruit d’eau. C’est le vallon du Lys où se succèdent des cascades, la dernière se jette par un saut de 10 mètres dans la retenue.
Encore un petit coin retiré à visiter et c’est l’heure du pique-nique. Une table nous attend à la base nautique d’Aubazines où un rayon de soleil nous accueille. L’extrémité du plan d’eau est atteint, des bouées matérialisent la limite possible de la navigation, le barrage qui sert à réguler le débit de la Dordogne, produit également de l’électricité, l’équivalent des besoins d’une ville comme Limoges soit 310 Gwh/an . Nous passons sur la rive gauche et le prochain arrêt, c’est le Château de Val totalement entouré, il y a encore quelques jours aux dires du pilote de la vedette de promenade par l’eau. On ne pouvait accéder à l’édifice que par la digue bâtie. Il faut remonter aux années 1990, pour voir un tel spectacle. Notre arrivée ne passe pas inaperçue car 5 kayaks de mer sur le plan d’eau de Bort-les-Orgues, l’évènement n’est pas habituel en terre Auvergnate.
Après une longue pause qui a permis de prendre des photos, visiter l’exposition dans la chapelle du château, nous reprenons la navigation vers le Nord. Le temps passe et il faut songer déjà au lieu d’un bivouac. Mais avant, nous allons explorer le vallon où se jettent les rivières la Panouille et la Tialle en passant sous le pont d’Entraigues qui permet de relier Beaulieu à Lanobre par la D49. Joli et fort agréable détour dans un calme parfait. Nous contournons les ruines du château de Thyrières et cherchons un emplacement pour passer la nuit. Les berges sont soit trop pentues soit submergées. Nous croisons la vedette panoramique avec son lot de touristes qui déclenche une houle qui n’effraie pas nos bateaux, construits pour supporter des vagues plus grosses. Un peu de sensation en cette fin de journée. Nous repassons rive droite car le lieu du bivouac d’hier devient une évidence, nous ne trouverons pas mieux. Encore un petit effort et nous voilà en terrain connu. Le niveau d’eau pendant la journée a encore baissé, certaines racines de souches se montrent, c’est le moment de s’installer. Pas de pluie jusqu’à maintenant mais la fin du dîner en plein air sera de nouveau arrosé ainsi que la nuit. Avant l’aube, des bruits d’eau se font entendre, sans doute des sauts de gros poissons. La pluie a cessé mais le plafond des nuages est bas, des brouillards flottent sur le plan d’eau et la fraîcheur arrivée au cours du sommeil se confirme avec la levée du jour. Je profite du petit déjeuner pour proposer au groupe d’abréger le séjour car les prévisions ne sont pas meilleures dans les jours à venir et le barrage de l’Aigle est vraiment difficile en cas de mauvaises conditions climatiques. A l’unanimité, la décision est prise et nous allons regagner nos pénates…
Reste une anse profonde rive droite à visiter que nous remontons sur près de 2 kilomètres à partir de la Grange Haute.
A l’embouchure du Rigaud qui prend sa source à 881 d’altitude sur le plateau à proximité d’Aulnat-Soubre, nous virons de 180° et contournons le dernier mouvement de terrain. Le paysage devient familier, des constructions apparaissent et c’est l’arrivée. Les containers remplis, les bateaux passés à l’éponge nous gagnons le plateau pour prendre le pique nique mais à peine installés, nous fuyons une violente averse orageuse et finissons dans la voiture. Merci à toutes et tous d’avoir passer ce bon moment dans la bonne humeur malgré une météo capricieuse. Une belle aventure tout de même à refaire par beau temps ?
Animateur : Michel J. Terrain : souple et humide, de grosses flaques d’eau par endroits Météo : température douce avec un soleil ardent sur fond de ciel bleu Temps de préparation et de rédaction : 2 h 00 Mise à disposition de matériel : 1 paire de bâtons de 1,15 m. Déplacement routier : 2 voitures, en co-voiturage au départ de Clermont (2 personnes) avec un kilométrage moyen de 40 (aller et retour) et 2 voitures sur place avec un kilométrage moyen de 45 soit un total de 170 km
Nombre de participants :7 animateur compris (2F, 5H) Distance : 25,75 km ; moyenne 6,8 km/h, dénivelée 396 m (montre Garmin Félix 6 Pro Solar). Durée : 3 h 28 (de marche) et 3 h 41 (déplacement et pauses compris). Échauffement et étirements non comptabilisés.
Itinéraire : départ du parking des camping-cars de Paugnat, zone appelée les Cheyres, Sud du Suc de Beaunit, Nord du Puy de Verrières, Est de Grelière et Lambertèche, GR 441, Ouest du Puy de Lespinnasse, Sud du Puy de Tressous, passage de la D 941, Ouest et Sud du Louchadière, Bois de Mauzac, GR 441, col de la Nugère, Ouest du Puy de la Nugère, Puy des Littes, Bois Latia, contournement par l’Est et le Nord du Puy de Paugnat, parking.
Nous accueillons pour la première fois avec Atlas sur cette distance Carole, adepte régulière de la marche nordique qui a trouvé rapidement sa place dans le groupe et semble avoir apprécié l’activité. J’avais choisi un itinéraire très ensoleillé pour le début de matinée afin de profiter au maximum des bienfaits de l’astre solaire retrouvé. Roulant, il nous a permis de maintenir les deux premières heures un rythme à 7 km/h, sans être gênés par les quelques grosses flaques inhabituelles sur le parcours facilement contournables. Les hêtraies traversées présentent une ramée de toute beauté, abondante et d’un vert printanier. Quelques feuilles et jeunes branches au sol montrent qu’un orage de grêle est passé par là dans les jours précédents. Pour une fois dans ce secteur habituellement sans présence humaine, nous avons doublé quelques randonneurs qui participaient à une marche organisée par le village de Pulvérières. Tout au long de cette longue boucle, une bonne ambiance a régné, je dirai comme d’habitude. Merci à tous de votre présence !
Les bienfaits apportés par la marche nordique sont consultables sous l’onglet Marche Nordique du site. Chaque semaine les informations sur l’activité sont enregistrées sur le répondeur dédié 0473257706. le lundi pour le lundi soir et le mardi soir et le vendredi pour le samedi matin. En semaine, les séances se déroulent au stade Leclanché à partir de 18h30 en alternant une semaine sur 2, le foncier et le fractionné. Le lundi, 5 tours de 1 km 200 sont effectués soit au total 6 kilomètres, le mardi 6 tours soit 7 km 200. L’objectif est d’amener les participants à marcher à une moyenne de 6 km/h. En cette fin de second trimestre, les participants avec l’entraînement régulier ont énormément progressé et la moyenne est de 6,7 km/h. Belle progression depuis la nouvelle saison, début septembre. Le samedi matin sur le site des eaux de Volvic principalement, deux allures sont proposées : allure modérée jusqu’à 6,4 km/h sur une distance d’environ 10 kilomètres et allure soutenue à partir de 6,6 km/h sur une distance d’environ 13 kilomètres.
Ces trois derniers mois, la fréquentation est en forte progression avec des adhérents très motivés.
Statistiques du 01 février au 30 avril 2024
Les lundis et mardis Nombre de séances réalisées Lundi :12 Mardi : 13 Nombre de séances annulées : 0
Types de séances Fractionné : 6 (lundi) 6 (mardi) Foncier : 6 (lundi) 7 (mardi) Nombre de participants Lundi : 239 dont 143 femmes et 96 hommes Mardi : 192 dont 106 femmes et 86hommes Total : 431 dont 249 femmes et 182 hommes Animateurs : Mady, Christian, Michel J,
Les samedis Nombre de samedis :11 Nombre de séances annulées : 2 (1 manque de participants, 1 conditions météo) Allure Modérée : 11 Soutenue : 5 Nombre de participants : 106 dont 56 femmes et 50 hommes Animateurs : Mady, Christian, Michel J, Sébastien
Animateur : Michel J. Nombre de participants : 7 animateur compris (2F, 5H) Météo : température douce avec un ciel laiteux du à des poussières sableuses en altitude. Classement : hors catégorie Transport des participants : Renault Kangoo et Toyota Yaris Assistance au transport : Régine et Mady Kilométrage routier : 208 km (dépose du ravitaillement et récupération des participants) Temps de préparation et rédaction des divers documents : 5 heures Cartographie utilisée : cartes Ign Top 25, 2531 OT. Matériel mis à disposition par l’association: trois paires de bâtons de marche nordique 1,10, 1,15 et 1,25m
Les grandes lignes de l’itinéraire : départ parking des eaux de Volvic, les Cheyres-de-Bruvaleix, contournement par l’Est, le Nord et l’Ouest du Puy de Paugnat, Nord du Puy de Pradet, Ouest du Puy la Baneyre, GR441 puis Sud du Puy de Tressous, traversée de la D986, contournement Nord et Ouest du Puy de Louchadière, entre Puy de Clermont et Puy Chopines, GR 441 jusqu’au rond point de Vulcania, plein Sud jusqu’à Chabanne Vieille, entre Grand Suchet et les Puys de Côme puis Balmet, bac de Ceyssat, bac de Montmeyre, Ouest du Petit et Grand Sault, traversée de la D68, Nord et Ouest du Puy de Besace, la Fontaine du Loup, GR441A, traversée de la D52, traversée du parc d’Allagnat plein Sud puis Ouest, contournement du Puy de Barme par l’Est puis Sud, traversée de la D942, long chemin d’exploitation passant au Sud du Puy Pelat jusqu’à la jonction avec le GR441, GR4, contournement du Puy de Mercoeur par l’Ouest et le Sud, col à 1112m, Est du Puy de la Mey, traversée de la D5, jonction avec le GR4, GR30 et GR441, parking de covoiturage de la Cassière.
A Paris plus de 50 000 personnes se lancent sur la distance du marathon. En Auvergne 7 Atlassiens dans un anonymat souhaité traversent la Chaîne des Puys jouant avec le terrain sur un itinéraire déterminé. Comme proposé lors du dernier entraînement sur 30 kilomètres du samedi 30 mars, nous avons pris une allure de sénateur, entre 6,1 et 6,2 km/h dès le début surveillant régulièrement nos montres afin de s’assurer de pouvoir tenir la distance. Un bon état d’esprit a régné tout au long de la journée et les participants ont pu échanger dans la bonne humeur sur différents sujets. Annoncé au départ, une pause de 5 minutes a été imposée au 10, 20, 30 et 40ème kilomètre. Avant le 30ème kilomètres nous avons pu remplir en eau nos contenants, Mady ayant déposé en un lieu précis 2 bonbonnes de 5 litres et quelques provisions, amandes grillées, abricots secs, dattes et une brioche aux pralines qui a été très appréciée. Les déchets ont été repris en fin d’après-midi avant la récupération des participants. La dernière difficulté du parcours, le petit col entre les Puys de Mercoeur et de Lassolas a fait son petit effet sur les organismes. Dans la descente, Christian a été pris de crampes aux deux mollets. Après des étirements et massages, nous l’avons escorté jusqu’à la D5 où Mady est venu le chercher. Sage décision à quelques kilomètres de l’arrivée afin de ne pas aggraver une possible blessure. La dernière ligne droite s’est faite à bonne allure. Le parcours de 42 km 680 a été réalisé en moins de 07h00 (06h53) à une allure moyenne de 6,2 km/h pour des dénivelées positive de 1045 m et négative de 702 m. Bravo à tous !
Merci à Régine et Mady pour la dépose, la récupération des participants et la prise des photos.
Animateur : Michel J. Nombre de participants : 9 animateur compris (3F, 6H) Météo : ciel couvert avec quelques passages de ciel bleu Durée de l’activité : 4 h 15 en comptant la marche pour revenir à la voiture Kilométrage auto : 2 voitures de Clermont Fd (266 km) en co-voiturage soit un total de 532 km. Matériel mis à disposition : tout l’équipement pour la pratique d’une via-ferrata Préparation du matériel et rédaction : 3 h 00
La fenêtre météo est au rendez-vous pour cette première sortie de la saison au Malzieu. De nombreux adhérents semblent motivés en 2024 pour cette activité et nous avons du refuser 3 personnes inscrites au dernier moment. Bien équipé et entretenu, le parcours se compose d’une passerelle, 5 ponts de singe, 1 pont népalais et d’1 tyrolienne. Dénivelé : 60 mètres. La journée a commencé par le passage au practice afin de découvrir pour les nouveaux et se rappeler pour les habitués les bons gestes à adopter pour une progression en toute sécurité. Nous avons suivi le parcours facile, le matin puis après un retour aux voitures pour déguster le pique-nique, nous sommes repartis, certains sur la difficile, d’autres faisant un mixte entre facile et difficile et deux adhérents refaisant la facile pour bien s’imprégner du parcours. En fin de matinée, chacun a souhaité s’essayer à la tyrolienne.
Bonne ambiance dans un climat d’entraide. Le nombre de participants est évidemment restreint pour des raisons de convivialité, de sécurité et de transport.
Au cours de la matinée certains ont pu apercevoir un magnifique oiseau qui niche dans les rochers ou vieux murs, un Tichodrome échelette (à voir sur internet !)
Entraînement pour le Raid du dimanche 07 avril 2024 Animateur : Michel J. Terrain : souple, gras par endroit et humide Météo : température fraîche avec une couverture nuageuse. Temps de préparation et de rédaction : 2 h 00 Mise à disposition de matériel : 3 paires de bâtons 1,10 m 1,15 m et 1,25 m. Déplacement routier : 2 voitures, au départ de Clermont (3 personnes) avec un kilométrage moyen de 35 (aller et retour) et 3 voitures sur place avec un kilométrage moyen de 30 soit un total de 160 km
Petite pause au 20 kilomètres…
Nombre de participants : 7 animateur compris (1F, 6H) Distance : 30 km ; moyenne 6,6 km/h, dénivelée 691 m (montre Garmin Félix 6 Pro Solar). Durée : 4 h 35 (de marche) et 4 h 50 (déplacement, pauses comprises). Échauffement et étirements non comptabilisés.
Itinéraire : départ parking des eaux de Volvic, les Cheyres-de-Bruvaleix, Les Goulots, Puy des Littes, Ouest du Puy de la Nugère, passage route D 941, GR441, Bois de Mauzad, Est et Nord du Puy de Louchadière, contournement par le Sud, Ouest et Nord du Puy de Tressous, Sud Puy de l’Espinasse, passage entre les Puys de L’Espinasse et de la Goulie, Sud du Puy de la Baneyre, Est de Lambertèche, Est de Grelière, passage de la D90, Sud du Puy de Verrière, Est de Paugnat, contournement du Puy de Paugnat par l’Est, Cheyres de Bruvaleix, parking
Drôle d’observateur !
La fenêtre météo annoncée s’est révélée exacte et après l’orage et la pluie soutenue de la fin de nuit précédente un ciel couvert nous a accueilli pour cette dernière préparation avant le raid du dimanche 07 avril qui nous fera traverser la Chaîne des Puys en linéaire de Volvic à la Cassière en contournant les principaux et les moins connus des volcans. Le groupe a su tenir l’effort d’une manière homogène sur un rythme régulé sur les 20 premiers kilomètres puis les habitudes de la marche rapide plus soutenue ont fait monter la moyenne qui était prévue au départ à 6,2 km/h. Nous serons plus raisonnables la semaine prochaine !
Nombre de participants : vendredi 22 mars : 2 (2H) samedi 23 mars : 6 (1F, 5H) jeudi 28 mars : 2 (2H)
Météo : clémente sur les 3 jours avec un vent sensible le samedi et le jeudi. Durée : 4 h 00, le 22/03/24 ; 8 h 00, le 23/03/21 ; 3 h 00 le 28/03/24 (déplacement routier compris) Kilométrage auto : 110 km environ pour tous les véhicules et l’ensemble des déplacements. Matériel mis à disposition apporté par les participants : un tracto-pelle Komatsu le vendredi, une pelleteuse Yanmar sur remorque le samedi, quelques outils de taille le jeudi Préparation et rédaction : 3h00
Trois jours ont été consacrés à la remise en état de la plantation des noyers située sur la commune de Gerzat à proximité du marais de Lambre, réserve naturelle gérée par la LPO (Ligue de protection des oiseaux). Ce chantier est suivi depuis plusieurs années par Alain depuis le départ de Nicole. L’histoire de cette l’aventure débute en 2010 par la signature entre la ville de Gerzat, l’EARL des Riolles (parcelle agricole) et l’association Atlas Aventure d’une convention d’implantation d’une haie à visée agricole, agronomique, environnementale, esthétique et historique. En février 2011, l’association associant des jeunes du centre aéré de Gerzat a réalisé une plantation de 41 noyers qui a été complété en 2013. Actuellement, la plantation compte 85 arbres environ sur une distance linéaire de 850 mètres. Chaque année, Alain passe à plusieurs reprises pour suivre cette plantation, les tailler pendant l’hiver afin que les arbres poussent en hauteur afin de ne pas gêner les machines agricoles. Les derniers étés secs ont fait mourir une dizaine d’arbres que l’on a décidé de remplacer. Un échange lors de vœux à la mairie de Joze a permis de faire connaissance avec Jean-Charles qui a proposé de donner à l’association les arbres à remplacer, à récupérer dans sa pépinière privée. Cette longue opération a demandé des moyens matériels pour l’arrachage qui a eu lieu le vendredi et la remise en terre le samedi. Jean-Charles a mis à disposition un tracto-pelle articulé pour la première phase et Armand a pu obtenir de sa société la mise à disposition d’une mini pelle.
Six personnes ont participé au chantier le samedi, Mady s’occupant de préparer le pique-nique des travailleurs. Sous les conseils de Jean-Charles, des trous imposants ont été réalisés puis les arbres ont été pralinés avec un mélange de bouse de vache et de terre. Ensuite de la corne broyée a été disposée avec du terreau universel en mélange au fond trou. L’arbre planté, un solide tuteur le maintenant, il ne restait plus qu’à boucher le trou en formant une cuvette afin de pouvoir retenir un maximum d’eau lors des prochaines pluies. Un arrosage de 10 litres d’eau par pied, transportés à l’aide des containers habituellement utilisés pour les randonnées en canoë, a complété la mise en terre. Jeudi, dernière opération manuelle à deux pour affiner la taille des arbres. Les prochaines opérations sur cette plantation : un arrosage copieux dans le courant du printemps et début d’été en fonction des précipitations.
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