Date : dimanche 9 mai 2021
Animateur : Thierry
Nombre de participants : 10, animateurs compris (6F, 4H)
Météo : des rafales de vent fort et douceur 
Terrain : parfait
Distance : 24,5 km (openrunner)
Dénivelé : 780 m (openrunner)
Durée du déplacement : 6h36 (montre chrono)
Durée de la randonnée : 5h45 environ
Classement Atlas : facile
Kilométrage auto : 55 km pour 2 voitures, 44 km pour 1 voiture
Préparation et rédaction : 1h00

Consignes sanitaires : afin de respecter les règles, deux groupes ont été formés avec Pierre Picarle menant le second groupe. J’étais le seul animateur.

Itinéraire: Récoleine, puy de Montchal, puy de Lassolas, est et nord du puy de Mercoeur, PC 1093, ouest du puy Pelat, sommet du puy de Montchar, source de l’Enfer, sommet puy de la Moreno, col de la Moreno, nord du puy de Barme, D942, la Boue, est Nébouzat, GR 941B jusqu’à Récoleine.

Les conditions météo de ce dimanche matin m’ont amené à changer le lieu prévu de cette rando dans le Cézallier : on annonçait des vents de 90-100 km/h dans cette zone. J’ai donc opté pour une rando moins exposée dans la chaîne des Puys qui a permis à tous les participants de retrouver un peu de rythme avec une rando aux dimensions standard : près de 25 km pour 800 m de D+. Le début de la balade sur les larges chemins en direction de Montlosier et du puy de Montjuger sert d’échauffement avant de parvenir au pied de Lassolas que nous montons tranquillement par le chemin ouest.  Après le contournement est du puy de Mercoeur, à flanc, nous prenons la direction des puys Pelat dont l’ascension m’a effleuré l’esprit et Montchar par des sentes abandonnées. C’est après une petite grimpette dans la hêtraie que nous faisons halte au sommet pour le déjeuner, bien à l’abri du vent qui souffle par intervalle dans un repli de terrain. Puy de Monchar sur  les cartes ou Vasset dans la littérature volcanologique aux éruptions les plus explosives de la chaîne avec Killian et Chopine. Un gros pierrier de blocs granitiques au pied du flanc nord ouest en est la preuve. Arrivés à la source de l’Enfer, nous avons de suite entrepris la montée du puy de la Moréno en direction du col du même nom. Puy peu fréquenté par Atlas… Au sommet, un beau parterre d’ail des ours nous attendait pour une belle cueillette. Après une descente tout en zig et zag étant donnée la végétation, nous tombons pile-poil sur le col et nous prenons la direction du puy de Barme par la grande trouée nord jusqu’à la D942. Nous fermons la boucle en passant après la Boue près d’un beau menhir à l’entré d’un paturage. Il est reférencé sur la carte. Par de larges chemins d’exploitation nous rejoignons Récoleine, les jambes un peu raides pour certains mais heureux de cette journée au grand air et par les retrouvailles avec les collègues.

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