Animateur : Thierry
Nombre de participants : 7, animateur compris (6F, 1H)
Météo : belles éclaircies tout au long de la journée, températures un peu fraîches
Distance : 23,5 km 
Dénivelé : 965 m  
Durée : 7h40 (pauses comprises)
Classement Atlas : facile
Kilométrage auto : 180 km pour 2 véhicules 
Préparation + CR : 60 mn

Itinéraire :
Le Saillant, Montagne des Huides – PC 1365, Montagne des Renards, point haut  Montagne de Rocherousse-PC 1394, crêtes au-dessus du buron de Bel-Air puis jusqu’au bois de Lorette, burons de Montval,  Courbières, HP à travers les Estives de la montagne de Pradiers jusqu’à jonction avec tour des Vaches rouges à proximité des ruines de Paillasère la Roche, buron de Paillassère-bas, col du Chamaroux, sommet du Chamaroux (1476 m), retour au Saillant à travers les prés.
Randonner à sa guise sur le plateau du Cézallier à partir de mai n’est pas toujours très aisé. Suivant que la montée à l’Estive a eu lieu ou pas le cheminement est différent. Obligation de suivre les chemins d’exploitation ou autres balisages si les vaches sont là ou un peu plus de liberté si elles sont encore au chaud dans les étables ou a proximité des fermes…. L’itinéraire dessiné pariait sur des prés encore vides.

C’est donc avec un peu d’inquiétude que je scrutai les paysages à partir de Saint-Alyre es Montagne. Par chance, à cause de la saison encore indécise, les vaches n’étaient pas encore montées. L’itinéraire s’est donc comme prévu déroulé à 70% en hors piste nous obligeant bien sûr à de multiples franchissements de clôtures.
La randonnée nous a permis d’apprécier ce qui fait le charme du Cézallier, le sentiment des grands espaces quasi infinis. C’est pour cela que j’avais privilégié le passage par de nombreux points hauts. Du coup, le regard a souvent embrassé les ondoiements du relief du plateau jusqu’au nord, le Sancy et au sud-ouest, les Monts du Cantal, aussi proches les uns que les autres, comme en stéréo.
Nous avons pu admirer à la jumelle trois chevreuils sous la montagne de Rocherousse et quelques marmottes auvergnates au pied d’un pierrier à proximité du buron de Bel-Air nous observant dans leur position bien connue. 
Notre passage dans les estives nous laisse penser que le niveau d’herbage n’est pas suffisant pour alimenter les animaux. Un peu de retard sans doute dans la végétation…. De loin en loin, on a observé des éleveurs en train de vérifier et consolider les clôtures, signe que la début de la saison se rapproche.
La célèbre fête de la montée aux estives d’ALLANCHES s’est déroulée le 21-22 mai.
A bientôt.

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