Animateur : Thierry
Nombre de participants : 7, animateur compris (3 F, 4H)
Météo : Soleil et chaleur automnale
Distance : 24 km (montre GPS)
Dénivelée : 1380 (montre GPS)
Durée : 8h45 (pauses comprises) Classement Atlas : Moyenne

ITINERAIRE :
Village de Valbeleix – Roche-Nité –Roche de l’Aigle – Ruisseau du Sault en aval de
Boslabert – Roche des Quaires en HP – Mont Leiranoux – le Brugelet – le ruisseau
de Sault en HP– la centrale électrique – intersection avec D26 – Gorges de
Courgoul – Sud – la Tourette – la Valette – D26 – Marcenat – le Vernet – Valbeleix

Comme prévu, ce fut une belle randonnée engagée qui nous a permis de passer
d’un plateau à l’autre, du plateau de la Chavade au-dessus de Valbeleix au plateau
de Leiranoux, entre Boslabert et sa déjà vieille ferme d’éoliennes et Le Brugelet.,
plateaux dédiés uniquement à l’élevage de belles Salers.


La descente de la Chavade vers le fond de la vallée s’est faite en empruntant
quelques traces d’animaux mais le plus souvent en jouant avec les taillis de
noisetiers de la forêt de la Chavade… Tout le monde a apprécié ensuite la remontée
du ruisseau du Sault, dans un environnement sauvage où mêmes les chasseurs ne
doivent pas venir souvent… Nous avons quand même vu des panneaux annonçant
des réserves de chasse …


Parvenu sur le plateau de Boslabert, nous avons pris la direction du Leiranoux ou
nous avons pris un repas au chaud soleil d’octobre, confortablement calés sur les
laves de cette très vielle éruption (5 M d’années).
Mais il fallait revenir vers le Valbeleix et pour cela redescendre un peu avant le
Brugelet vers le ruisseau du Sault à hauteur de la petite centrale électrique.
Descente qui a alterné le HP et l’utilisation de quelques vestiges de beaux chemins
que devaient emprunter les anciens pour joindre le Brugelet au Valbeleix ??


Chemins abandonnés aujourd’hui. Une petite pause bienvenue dans le ruisseau a
permis aux pieds de se relaxer. Pendant ce temps là, l’animateur en quête du
meilleur passage livrait une bataille homérique à de bien mauvaises ronces mais les
enfonçait malgré tout sur une profondeur de 15 mètres ! Du sang mais pas de larme !


Parvenu enfin au croisement de la D26, dans les gorges de Courgoul, la remontée
ensuite vers la Tourette puis la descente vers la Valette n’était quasiment plus qu’une
formalité même avec 300 nouveaux mètres de D+ !!
La fin de la ballade s’est faite en suivant un chemin en balcon au-dessus de la couze
du Valbeleix, à partir de Marcenat.


En conclusion, une bien belle ballade dans un terrain pas toujours simple propice à
la rando façon ATLAS.

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