Secteur géographique : Est du Cézallier
Animateur : Michel
Nombre de participants : 15, animateur compris (9 F, 6 H)
Météo : frais le matin puis un beau soleil nous a accompagné avec une température douce avant le retour de la fraîcheur à la tombée du jour…
Terrain : sec
Distance : 25 km montre GPS
Dénivelé : 1336 m montre GPS
Durée : 8h16 pauses comprises
Classement Atlas : moyenne compte tenu de la difficulté des parties en hors piste « Rando Aventure »
Kilométrage auto : 180 km pour 2 voitures et 160 km pour 2 voitures Préparation et rédaction: 2h00
ITINERAIRE :
Le Cheylat (43), (alt. 572m), Suc Brûlé (alt. 841m), le Suc, bois Madame, bois de Barthonnet, confluence des ruisseaux Barthonnet
et d’Apcher (alt 779m), Leyvaux, épaulement jusqu’à l’altitude de 1047m, Saroil, lieu dit les « Cheirs » (alt 1114m), Combalibeuf
(alt 1069m), Courteuge, ancien GR41 en direction d’Autrac, à 1 km d’Autraguet, descente à droite dans le vallon,
passage du ruisseau de la Freidière (alt 697m), Solignac, Combe Frede, Le Cheylat

Belle journée d’automne avec encore quelques feuilles accrochées aux branches des chênes. Cette partie du Cézallier est très sauvage avec de nombreux vallons qui se rejoignent avant d’arriver à l’Alagnon. Blocs en granit cachés dans une végétation un peu piquante, genêts envahissants, un terrain parfait pour Atlas. Patrimoine bâti de qualité avec la chapelle restaurée du 11 et 12ème siècle de Leyvaux et ses peintures intérieures, pignons à redans à Saroil……

Informations complémentaires pour le pignon à redans (source : internet)
Un pignon à redents ou à redan ou en gradins ou à pas de moineaux est un pignon saillant dont l’extrémité est découpée en redents ou gradins. Variante des pignon à échelons, caractéristiques par exemple des « pignons flamands ». Ses origines remontent au Moyen Âge.
Il est un élément esthétique et décoratif d’architecture urbaine bourgeoise autant que de constructions rurales plus modestes.

La saillie du pignon aurait comme principaux avantages de permettre l’accès à la toiture, souvent en chaume à l’origine, et de servir de coupe-feu. En architecture traditionnelle, les redents sont généralement couverts de pierres plates qui les protègent de la pluie, empêchent les infiltrations d’eau dans le mur porteur et permettent au couvreur ou au cheministe d’y poser ses outils. Ces pierres sont souvent (mais pas toujours) inclinées vers le bas, de manière à laisser s’écouler l’eau de pluie. Dans l’évolution de l’architecture vers le monumental, les redents augmentent de taille et ne jouent pas de rôle particulier, sinon esthétique / décoratif.

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